Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Alexandre Jean Cuza

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alexandre JeanIer
Illustration.
Alexandre Jean Cuza.
Titre
Prince souverain de Roumanie

(4 ans et 17 jours)
Premier ministreBarbu Catargiu
Apostol Arsache
Nicolae Crețulescu
Mihail Kogălniceanu
Constantin Bosianu
Nicolae Crețulescu
PrédécesseurCréation du titre
SuccesseurCarolIer
Prince souverain de Valachie

(3 ans)
PrédécesseurTriumvirat :
Ioan Manu
Emanoil Băleanu
Ioan Al. Filipescu
SuccesseurLui-même
(prince souverain de Roumanie)
Prince souverain de Moldavie

(3 ans et 19 jours)
PrédécesseurTriumvirat :
Jean Alexandre Cantacuzène
Vasile Sturdza
Anastasie Panu
SuccesseurLui-même
(prince souverain de Roumanie)
Biographie
DynastieCuza
Nom de naissanceAlexandru Ioan Cuza
Date de naissance20 mars 1820 (dans le calendrier grégorien)
Lieu de naissanceBârlad (Moldavie)
Date de décès (à 53 ans)
Lieu de décèsHeidelberg (Allemagne)
PèreIoan Cuza
MèreSultana Cozadini
ConjointElena Rosetti
(sans descendance)
Elena Maria Catargiu-Obrenović(sa maîtresse)
EnfantsAlexandru Ioan Cuza
Dimitrie Cuza

Signature de Alexandre Jean Ier

Image illustrative de l’article Alexandre Jean Cuza
Monarques de Roumanie
modifier 

Alexandre Jean Cuza (enroumain :Alexandru Ioan Cuza), né le àBârlad enMoldavie (enRoumanie) et mort le àHeidelberg (enAllemagne), est l'une des figures majeures de larenaissance culturelle roumaine, devenu officier, homme d'État etsouverain desPrincipautés unies de Moldavie et de Valachie entre 1859 et 1866.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Origines familiales

[modifier |modifier le code]

Alexandre Jean Cuza appartient à la classe noble traditionnelle desboyards, majoritaire dans les gouvernements locaux deValachie et deMoldavie, gardant le contrôle de la terre (systèmelatifundiaire), clé de la fortune et du pouvoir dans l'ère pré-industrielle[N 1]. La famille Cuza appartient à la mouvance libérale, et Alexandre, parfaitement francophone, est éduqué dans cet esprit. CitantMavrocordato, il dit de lui-même :« Je ne suis pas un homme du peuple, mais je suis un homme pour le peuple. »

Jeunesse

[modifier |modifier le code]

Alexandre Jean (Alexandru Ioan) Cuza est né le (le selon lecalendrier julien) àBârlad en Moldavie. Il est le fils de Ioan Cuza (1783-1848) et de Sultana Cozadini (vers 1795-1865), née àConstantinople dans une famille roumaine d'origine gréco-italienne[2]. Ses parents, mariés en 1812, ont deux autres enfants : Dumitru, mort d'un accident d'équitation et une sœur, Sultana, mariée à un préfet nommé Mihai Jora, devenu ministre des affaires étrangères de Moldavie en 1860-1861[3]. Son père, boyard et propriétaire terrien est originaire duJudeț de Vaslui où sa famille a occupé durant plusieurs générations des postes dans la haute administration moldave[4].

Sa famille paternelle participe à larévolution roumaine de 1821 alors qu'il est encore un nourrisson. En 1831, il commence ses études dans un pensionnat à Iași dirigé par un Français : Victor Cuenin. Il y côtoieMihail Kogălniceanu etVasile Alecsandri. En 1835, il obtient son baccalauréat à Paris, puis poursuit des études en droit et en médecine qu'il n'achève pas. Il est membre de la Société des économistes dont il démissionne en 1840. De retour en Moldavie, il intègre l'armée moldave, puis devient président du tribunal de Covurlui en mars 1842. Le 30 avril 1844, il épouseElena Rosetti, fille dupostelnic Iordache Rosetti, boyard de haut rang issu de lafamille Rosetti, avec laquelle il n'a pas de postérité. Cependant, son épouse élève les deux fils qu'Alexandre a eus de sa maîtresseElena Maria (Marija) Obrenović, Alexandru (né en 1862 ou 1864) et Dimitrie (né en 1865)[4].

Révolution de 1848

[modifier |modifier le code]

Alexandre Jean participe à laRévolution roumaine de 1848, connue comme le « Printemps des peuples européens », mais il y joue un rôle secondaire[4]. En Moldavie le calme est rapidement rétabli, mais en Valachie, les révolutionnaires prennent le pouvoir, proclament laRépublique et gouvernent pendant tout l'été 1848.Mihail Sturdza, dirigeant de Moldavie, met immédiatement fin à toute tentative de mouvement révolutionnaire en arrêtant la plupart des conspirateurs. Bien qu'il ait été prévu que certains d'entre eux, dont Cuza, soient envoyés dans l'Empire ottoman, avec l'aide du consul britannique àBrăila, ils réussissent à atteindre laTransylvanie, puis laBucovine, où Alexandre est témoin des événements révolutionnaires. Cuza passe un an en exil, àVienne,Paris etConstantinople, rentrant au pays lors de la nomination deGrigore V Ghica, nouveausouverain en Moldavie en octobre 1849[4].

Fonctions judiciaires et militaires

[modifier |modifier le code]

Il est reconduit dans ses fonctions de président du tribunal de Covorlui à deux reprises (1849-1851 et 1855-1856), puis devient directeur du ministère de l'Intérieur (1851), recevant pendant cette période le grade de vornic. Le 6 juin 1856, il est nommé pârcălab (burgrave) deGalaţi, mais immédiatement après la fin de mandat de Grigore V Ghica en juillet 1856, il est renvoyé par lecaïmacanTeodor Balș qui meurt subitement en mars 1857. Cuza est directement réintégré dans l'armée par le nouveau caïmacan,Nicolas Vogoridès en 1857[4].

Règne

[modifier |modifier le code]

Après une carrière militaire dans l'armée moldave où il obtient le grade de colonel et pendant laquelle il rejoint laFranc-maçonnerie, il devient ministre de la guerre en 1858, et représente lejudeț deGalați à l'Assemblée deIași. À ce titre, il œuvre, sous la garantie des puissances européennes instaurée à l'issue de laguerre de Crimée, à élire un souverain progressiste au trône de Moldavie (dans lesPrincipautés roumaines, la monarchie était élective, les nobles désignant leur souverain). Cuza, brillant orateur dans les débats et défendant fermement l'union des principautés, est élu lui-même prince deMoldavie le (le ducalendrier julien) et prince deValachie le (le julien) suivant.

C'est ainsi que le colonel Alexandre Jean Cuza réalisede facto l'union (personnelle) des deux principautés. Les puissances européennes, initialement réticentes, finissent par la valider.NapoléonIII étant son ardent défenseur[5], alors que les ministresautrichien etrusse désapprouvent cette union au congrès de Paris () ; en partie parce que l'autorité de Cuza n'était pas reconnue par le sultanottoman, suzerain en titre des principautés roumaines, qui finit cependant par céder le.

L'Union est formellement déclarée trois ans plus tard, le (le julien), et le nouveau pays reçoit le nom deRoumanie, avecBucarest comme capitale.

Alexandre ne se révèle pas un bon diplomate politiquement et manque d'ascendant, préférant consulter qu'imposer et évitant les confrontations, mais il sait choisir des ministres progressistes commeVasile Alecsandri,Carol Davila ouMihail Kogălniceanu et obtient facilement l'accord du sultan pour l'unification du parlement, duquel il reçoit le trône à vie, en reconnaissance de la complexité de la tâche. Il devient dès lors la représentation politique d'uneRoumanie désormais unie et décidée à sortir des cadres hérités du Moyen Âge pour entrer dans la modernité.

Réformes

[modifier |modifier le code]

Assisté par son Premier ministreMihail Kogălniceanu, un chef intellectuel de larévolution de 1848, Cuza entreprend une série de réformes qui contribuent à la modernisation de la société et des structures de l'État roumain :

  • lasécularisation des immenses domaines ecclésiastiques en 1863 (près d'un quart de la superficie agricole utile appartenait aux orthodoxes non imposables, qui dépendaient de laRépublique monastique du Mont-Athos à laquelle ils envoyaient une quantité substantielle de leurs énormes revenus fonciers[6]). Alexandre reçoit l'accord du Parlement pour exproprier ces terres et les distribuer aux paysans. Il offre une compensation financière à l'Église orthodoxe, mais le patriarche Nifon Rusailă refuse de négocier. C'est une erreur, car après quelques années, le gouvernement roumain retire son offre, et la somme n'est jamais payée. L'État récolte de nouveaux revenus fonciers sans augmenter ni ajouter d'impôts.
  • laréforme agraire, qui libère les paysans des dernières corvées féodales, et leur accorde la liberté de mouvement, en plus de la redistribution des terres sécularisées (1864). Mais, si Cuza espère ainsi s'assurer un soutien solide parmi la paysannerie, il exaspère ainsi l'opposition desboyards conservateurs qui rallient à eux une partie des « centristes ». Une loi libérale, qui garantit aux paysans la propriété de la terre sur laquelle ils travaillent, ne passa pas au Parlement. En revanche, les conservateurs réagissent par une nouvelle loi qui avalise la fin aux corvées et aux dîmes des paysans, mais donne aux boyards l'exclusivité du droit de propriété foncière dans tout le pays. Alexandre y met son veto et organise un plébiscite pour changer la Constitution, à la manière deNapoléon III. Son plan pour établir le suffrage universel pour les hommes, doublé du pouvoir pour le prince de gouverner par décret, est approuvé par 682 621 voix contre 1307. Muni de ses nouveaux pleins pouvoirs, Alexandre promulgue alors la loi agraire de 1863 : les paysans reçoivent la pleine propriété des deux tiers des terres qu'ils exploitent, tandis que les boyards en conservent le tiers restant. Les terres confisquées aux monastères et non encore distribuées aux paysans doivent être utilisées comme compensation pour les boyards. Les paysans ne sont pas satisfaits de cette répartition et les boyards manœuvrent pour garder les meilleures terres. Ils utilisent les fonds compensatoires comme capital pour investir et la classe desboyards retrouve du pouvoir dans les débuts de la société capitaliste, avec le commerce, le développement de la flotte et les premiers chemins de fer.
  • l'instauration en 1864 d'un nouveau code civil et d'un code pénal dans lequel lapeine de mort est abolie.
  • l'instauration la même année d'un enseignement public primaire gratuit et obligatoire[6].
  • la fondation de nouvelles universités publiques, celles deIași en 1860 et deBucarest en 1864.
  • le développement d'unearmée roumaine moderne et européenne, en relation opérationnelle avec laFrance.
  • l'émancipation desRoms, délivrés de la servitude appelée « robie » (qui n'était pas un esclavage, comme ce terme est souvent traduit par erreur, mais plutôt un servage qui liait les Roms à une famille de boyards ou à un monastère).

Les réformes importantes qu'il impose pour faire entrer la Roumanie de plain-pied dans leXIXe siècle touchent toutes les classes sociales et lui aliènent les boyards, le clergé et les grands bourgeois conservateurs, ainsi ses sujets les plus influençables, tandis que les plus radicaux les trouvent largement insuffisantes et lui reprochent sa propension à composer avec les classes dominantes.

Déposition

[modifier |modifier le code]

Alexandre échoue dans ses efforts pour créer une alliance entre des paysans prospères et un prince fort et libéral, qui gouvernerait comme un despote bienveillant à la manière de Napoléon III. Une dépression financière due à la spéculation sur les blés, un scandale monté en épingle par le clergé au sujet de sa maîtresse, et le mécontentement populaire dû à l'insuffisance, mais aussi à l'incompréhension de ses réformes, aboutit à ce que les humanistes roumains ont appeléla « Monstrueuse Coalition » entre conservateurs et libéraux radicaux. Le à quatre heures du matin, une bande de conspirateurs entre dans le palais, et enjoint au prince de signer son abdication. Ils le conduisent le lendemain directement à la frontière du pays.

Exil et fin de vie

[modifier |modifier le code]

Le premier successeur de Cuza est leprince Philippe, frère deLéopold II, roi des Belges, nommé par le parlement prince régnant le lendemain de sa déposition (le 23 février), mais il décline cette offre dans les jours qui suivent[7]. C'est le prince Charles deHohenzollern-Sigmaringen, proclamé prince de Roumanie sous le nom deCarolIer le qui accepte de régner sur les principautés roumaines où il arrive le 22 mai suivant[N 2]. Ironiquement, un prince étranger non lié à la classe des boyards roumains, garant de l'indépendance du gouvernement, constituait l'objectif des libéraux de larévolution de 1848.

Le prince Alexandre Cuza passe le reste de sa vie en exil àParis[8],Vienne etWiesbaden. Il meurt à 53 ans, le àHeidelberg, enAllemagne, d'une fluxion de poitrine, alors qu'il s'était rendu dans cette ville pour y inscrire ses deux fils dans un pensionnat[9].

Il est inhumé dans la résidence de sa famille àRuginoasa. Après laSeconde Guerre mondiale, ses restes sont transférés au monastère des Trois Hiérarques à Iași.

Dans la culture populaire

[modifier |modifier le code]

DansLe Sceptre d'Ottokar, huitième album desAventures de Tintin, dessiné parHergé en 1939, parmi divers modèles de souverains réels, Alexandre Cuza aurait inspiré le personnage du roi deSyldavieMuskar XII[10].

Ascendance

[modifier |modifier le code]

Les ascendants d'Alexandre Jean Cuza sont[11],[12] :

Ascendance d'Alexandre Jean Cuza
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
16. Miron Cuza (v. 1680-1742)
 
 
 
 
 
 
 
8.Ioniță Cuza (en) (v. 1715-1778)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
17. Ilinca Costin
 
 
 
 
 
 
 
4. Nicolae Cuza (1755-1806)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
18. Toader Râșcanu
 
 
 
 
 
 
 
9. Tudosica Râșcanu
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
19. Maria Mazarachi
 
 
 
 
 
 
 
2. Ioan Cuza (1783-1848)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
20.
 
 
 
 
 
 
 
10. Vasile Luca Ziloti
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
21.
 
 
 
 
 
 
 
5. Nastasia Ziloti
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
22. Gavril Borcea
postelnic,hatman,
puismare logofăt (grandlogothète)
 
 
 
 
 
 
 
11. Safta Borcea
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
23. Bălașa Moreanu
 
 
 
 
 
 
 
1.Alexandre Jean Cuza
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
24.
 
 
 
 
 
 
 
12.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
25.
 
 
 
 
 
 
 
6. Grigore Cozadini
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
26.
 
 
 
 
 
 
 
13.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
27.
 
 
 
 
 
 
 
3. Sultana Cozadini (v. 1795-1865)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
28.
 
 
 
 
 
 
 
14.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
29.
 
 
 
 
 
 
 
7. Smaranda Scanavi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
30.
 
 
 
 
 
 
 
15.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
31.
 
 
 
 
 
 
 

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Cette classe des boyards se divise principalement en conservateurs (attachés à l'ordre social traditionnel, à l'Église et à l'équilibre politique hérité du passé, où l'influence des empires voisins (autrichien,russe etottoman) est prépondérante) et libéraux, influencés par l'esprit desLumières et les idées de larévolution française. Les premiers envoient leurs fils étudier àVienne,Saint-Pétersbourg ouConstantinople et s'opposent à toute tentative de réforme ; les seconds préfèrentParis. Depuis leXVIe siècle, c'est à ces derniers que l'on doit la fondation d'académies (en 1561 à Cotnari en Moldavie, en 1603 àTârgoviște et en 1688 àBucarest enValachie, en 1707 àIași en Moldavie et en 1795 àAlba Iulia enTransylvanie)[1], mais aussi des réformes juridiques et fiscales et surtout la promulgation en Valachie d'uneConstitution (« Marele Hrisov ») en 1741, ainsi que l'abolition duservage en 1746-49 en Valachie et en Moldavie par lehospodarConstantin Mavrocordato. Le « Marele Hrisov » est d'ailleurs publiéin extenso dans leMercure de France de. En 1780, la « Pravilniceasca Condică », code de lois rédigé par le hospodarAlexandre Ypsilántis (ancêtre d'un autreAlexandre Ypsilántis célèbre en 1821) instaure la notion de citoyenneté. Ainsi, lesprincipautés roumaines sont dotées de Constitutions, pourvues de facultés et libérées du servage près d'un siècle avant les grands Empires absolutistes voisins[1].
  2. CarolIer devient le beau-frère du prince Philippe de Belgique (1837-1905), lorsque ce dernier épouse le sa sœur, la princesseMarie de Hohenzollern-Sigmaringen.

Références

[modifier |modifier le code]
  1. a etb(ro) Andrei Oțetea,Istoria lumii în Date, Bucarest, Ed. Enciclopedică,.
  2. (ro) Ștefan S. Gorovei, « Cronici de familii: Cuzeștii »,Magazin Istoric,‎,p. 10-14.
  3. Giurescu 2000,p. 62.
  4. abcd ete(ro) « Alexandru Ioan Cuza », surEnciclopedia Romăniei(consulté le).
  5. Jacques-Alain de Sédouy,Le Concert européen, Fayard,,p. 330.
  6. a etb(en) VasileStoica,The Roumanian Question : The Roumanians and their Lands, Pittsburgh, Pittsburgh Printing Company,(lire en ligne),p. 69-70.
  7. Damien Bilteryst,Philippe Comte de Flandre : Frère de Léopold II, Bruxelles,Éditions Racine,, 336 p.(ISBN 978-2-87386-894-9,lire en ligne),p. 157.
  8. Jean-Philippe Namont,« Roumains », dansDictionnaire des étrangers et des immigrés qui ont fait la France, Bouquins/Robert Laffont,,p. 727.
  9. « Nécrologie »,L'Écho du Parlement,no 140,‎,p. 2(lire en ligne, consulté le).
  10. Hveghi Moltus, « La controverse de Lavau », sur7soleils.org, Association Les 7 Soleils,(consulté le).
  11. (ro) Gheorghe G. Bezviconi,Boierimea Moldovei dintre Prut și Nistru : Boierimea Moldovei dintre Prut și Nistru,vol. I, Bucarest, Editura Fundațiilor Regele Carol I,,p. 49.
  12. Mona et Florian Budu-Ghyka, « Arbre généalogique de la famille Cuza », surghyka.net(consulté le).

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
les premiers
Maison Basarab
Famille des Dănești
Famille des Drăculea
Craiovescu
Famille des Mușatini
Famille Movilă
Famille Ghica
Famille Duca
Dinastia Cantacuzino
Famille Mavrocordato
Racoviță
Rosetti
Ipsilanti
Familia Caradja
Soutzo
Moruzi
Hangerli
Maison Callimachi
Bibescu
Autres
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Alexandre_Jean_Cuza&oldid=227996767 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp