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Abu Yazid

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Abu Yazid
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
أبو يزيد مخلد بن كيرادVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Enfant
Autres informations
Conflit

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Abu Yazid (enberbère : ⴰⴱⵓ ⵢⴰⵣⵉⴷ, enarabe :أبو يزيد), également orthographiéAbou Yazid ouAbû Yazîd, de son nom completAbu Yazid Mukhallad ibn Kayrâd (ⴰⴱⵓ ⵢⴰⵣⵉⴷ ⵎⵉⵅⵍⴰⴷ ⴱⵏ ⴿⴰⵢⵔⴰⴷ,أبو يزيد مخلد بن كيراد) est surnommé « l'homme à l'âne », né en873 et mort le, est un théologienberbèrezénète de la tribu desBanou Ifren[1],[2],[3]. Il est notamment connu pour larévolte qu'il a mené contre les fatimide

Abu Yazid naît chez les Banou Wargu — les Banou Wargu et les Merendjissa appartiennent à la confédération des Banou Ifren — selon les propos rapportés d'Ibn Hazm par Ibn Khaldoun[3]. Mais d'autres sources indiquent qu'il serait né àGao (Mali)[4]. Le révolutionnaire suivit ledogme dukharidjisme ; il était un théologienibadite[5] et devint le chef de la plus importante rébellion menée contre lesFatimides au milieu duXe siècle.

Biographie

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Jeunesse

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Abu Muhammed Ayub, le fils d'Abu Yazid, rapporte que son grand-père se nommait Makhled[6] et sa grand-mère Sabika, native de Kaokao au Soudan[7]. Makhled se rendait souvent au Soudan pour commercer. Abu Yazid était boiteux et avait un signe dans sa langue[7].

Abu Yazid vivait en deux endroits àTozeur (actuelleTunisie) et Takyus (Tagious) dans le Sud tunisien dans l'ancien Bilad el Garid[8],[9]. Durant ses études, il apprend leCoran ainsi que la littérature classique. Abu Yazid, érudit lié au kharidjisme, part àTahert — capitale desRostémides et principal centre kharidjite àtendance ibadite — où il commence son enseignement et se rapproche de lasecte nekkarite. Son maître Ubayda sera emprisonné àSijilmassa pour son opinion. Dépourvu d'argent après la mort de son père, il reçoit des dons et la charité des habitants de la ville de Guiton[10] et, en contrepartie, enseigne lui-même le Coran[9].

Prise du pouvoir par les Fatimides

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Article détaillé :Prise de Tahert (909).

En909, le propagandisteismaélienAbû `Abd Allâh ach-Chî`î, à la tête destribus kutama qui sont venues à bout desAghlabides, part vers Sijilmassa pour y rencontrer enfin sonimam,`Ubayd Allâh al-Mahdî, qu'il n'a jamais vu. Au passage, il détruit le royaume rostémide de Tahert ([11]).

Le, `Ubayd Allâh al-Mahdî arrive triomphalement àRaqqâda vêtu desoie noire tandis que son fils porte un costume semblable de soie orange. Tous les notables arabes ou non sont là pour le recevoir et lui prêter serment d'allégeance. La loi islamique est promulguée et tous les interdits renforcés. Le, il prend le titre decalife et de « commandeur des croyants » malgré l'existence du califeabbasside. C'est la première fois que deux califes règnent au même moment.

Revenu à Tozeur, Abu Yazid cherche à soulever les habitants en prônant le renversement du fatimide `Ubayd Allâh al-Mahdî. Accusé d'avoir donné son opinion, il est déclaré hors-la-loi par la justice locale. En922, il quitte la province et décide d'accomplir lepèlerinage àLa Mecque. Toutefois, il constate en cours de route qu'il est poursuivi ; il quitte alors laTripolitaine et retourne à Takyus. Après la mort d'Al-Mahdî, son successeur ordonne à toutes ses troupes d'arrêter Abu Yazid qui part en campagne, avec sa femme et ses quatre fils, à la tête des tribus zénètes etHouaras desAurèschaouis (Banou Zendek, Banou Berzal,Maghraouas et Azzaba)[12]. Il propose uneforme de gouvernement formé d'un conseil decheikhs en remplacement du califat fatimide. En934, il lance sa rébellion à partir desAurès mais cherche d'abord de l'aide auprès desOmeyyades d'Andalousie. Il réussit à amalgamer toutes les oppositions auchiisme des Fatimides et obtient le soutien dessunnitesmalikites deKairouan mais fait face à l'indifférence ducalife de Cordoue`Abd al-Rahman.

Abu Yazid s'enfuit alors en Orient et accomplit son pèlerinage à La Mecque entre936 et937[9]. Revenu à Tozeur, déguisé pour ne pas être reconnu, il est toutefois vite découvert et se retrouve en prison. À cette nouvelle, Ammar Abdelhamid, chef de la secte nekkarite, mobilise un groupe deZénètes qui entrent à Tozeur pour demander au gouverneur de le relâcher[9]. Fadl et Yazid, les deux fils d'Abu Yazid, rejoignent le groupe et se chargent rapidement d'organiser l'évasion de leur père qui part pourOuargla car un important groupe des Banou Ifren habitent la ville. Pendant son séjour, il visite lesAurès, et plus particulièrement les tribus des Banou Zendek, Ben Maghraoua et les Berzel deM'Sila. Il rassemble tous les Azzaba et fait le serment de combattre lesFatimides en942[9].

Il profite alors de l'absence du gouverneur deBaghaï[13] pour venir, à la tête de ses partisans, ravager les environs de cette place forte. Il s'empare sans coup férir deTébessa et de Medjana[14]. Mermajenna, cité dont la localisation n'a pu être déterminée, est prise et Abu Yazid y reçoit en présent unâne gris dont il fait sa monture. C'est pourquoi on le désigna ensuite sous le sobriquet de « l'homme à l'âne[15]. ». Il prend ensuiteLaribus[16] qu'il livre au pillage.

Règne d'Al Qa'im

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Al-Qâ'im bi-Amr Allah succède à son père comme imam ismaélien et calife fatimide. Abu Yazid se dirige alors versBéja qu'il prend après une brève bataille contre les troupes fatimides. La ville est incendiée, les habitants hommes et enfants massacrés et les femmes réduites à l'esclavage. Cette nouvelle provoque de nombreux ralliements à la cause d'Abu Yazid : autant pour échapper à ses coups que dans l'espoir de participer au butin.

Abu Yazid prendTunis avec l'aide des habitants et attend des renforts au bord de laMedjerda. Il subit un premier revers en approchant deSousse, 4 000 de ses partisans étant tués au cours d'une bataille. Il prend néanmoins la direction de Raqqâda que les troupes fatimides abandonnent à son approche pour se réfugier àKairouan. Khalîl Ben Ishâq qui a la charge de défendre Kairouan essaie de traiter avec Abu Yazid plutôt que de le combattre. Il va commettre l'imprudence de se rendre dans le camp de son adversaire. Abu Yazid le fait arrêter et le met à mort. La ville privée de chef ne tarde pas à se rendre (octobre944). Comme à l'habitude et malgré les ambassades des notables de la ville, celle-ci est mise à sac.

La légende veut que leMahdî avait prévu une révolte inspirée par lekharidjisme et qu'elle viendrait se briser sur les murs deMahdia, aussi Al-Qâ'im attend-il le moment où laprophétie va se réaliser[17]. Abu Yazid fait le siège de Mahdia (944). Une colonne de secours menée par un chefsanhadja,Ziri ibn Menad, permit aux assiégés de tenir. En janvier945, il est à l'emplacement prévu par la prophétie et entreprend lesiège de la ville. Lafamine s'installe dans les deux camps. Abu Yazid expulse les non combattants que ses troupes massacrent. Les troupes disparates d'Abu Yazid se dispersent d'autant qu'il n'y a plus rien à piller. La foule enthousiaste du début commence à se sentir flouée. Al-Qâ'im profite de l'affaiblissement de ses adversaires pour effectuer une sortie de la ville assiégée. En, Abu Yazid prend la fuite en abandonnant ses troupes. Al-Qâ'im reprend rapidement Tunis, Sousse et Kairouan tandis qu'Abu Yazid reconstitue son armée.

Les chefs des tribus kutama et sanhadja rassemblent une armée pour secourir les Fatimides. Aux abords deBéja, ils doivent affronter Ayûb, l'un des fils d'Abu Yazid, qui les prend par surprise et les disperse. Ayûb, encouragé par cette facile victoire, se dirige vers Tunis qu'il reprend aux Fatimides. En janvier946, Ayûb part à la conquête de Sousse. Il s'ensuit un siège acharné. Le, pendant ce siège, le calife Al-Qâ'im meurt. Le combat reprend avecIsmâ`il Al-Mansûr qui succède à son père.

Règne d'Al-Mansûr

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Ismâ`il al-Mansûr succède à son père comme imam ismaélien et calife de la dynastie fatimide alors sur le point d'être vaincue. Il commence par tenir secrète la mort de son père pour laisser l'impression qu'il n'y a rien de changé. Il envoie uneflotte apporter du soutien et des vivres aux habitants de Sousse. Ces renforts permettent de desserrer le siège de la ville. Abu Yazid se replie surKairouan où se trouvent ses femmes et ses enfants. Les habitants de la ville lui refusent l'entrée et ferment les portes à son approche. Il se retire alors àSbiba.

Le calife Ismâ`îl fait son entrée à Kairouan fin. Il accorde une amnistie générale aux habitants de cette ville. Les femmes et les enfants d'Abu Yazid sont respectés. Ismâ`îl fait pourvoir à leurs besoins. Abu Yazid mène des raids pour couper les routes menant de Kairouan à Mahdia et Sousse. Ismâ`îl offre à son adversaire de lui rendre ses femmes et ses enfants contre son départ définitif. Abu Yazid fait mine d'accepter mais à peine a-t-il retrouvé ses épouses qu'il reprend le combat. Ismâ`îl réunit donc une armée nombreuse pour en finir avec cet adversaire déloyal. Une bataille s'engage avec l'armée régulière au centre et sur l'aile droite des troupes deBerbères kutama. Abu Yazid attaque cette aile droite et vient se heurter aux troupes régulières plus aguerries. C'est une déroute pour les kharidjites : on aurait envoyé à Kairouan 10 000 têtes d'ennemis[18].

Commence alors une chasse à l'homme : Abu Yazid fuit à travers les montagnes et passe àBelezma[19] en pensant pouvoir résister dans la place forte deTobna[20] mais doit fuir à nouveau. Le gouverneur deM'Sila se met alors au service du calife dans sa chasse à l'homme. Il lui amène un jeune chef de partisans qui se disait le Mahdî et qu'on avait fait prisonnier dans lesAurès à la tête d'une bande. Le calife ordonna de l'écorcher vif : « Ainsi faisait-il de tous ceux qu'il prenait ». D'autres prisonniers eurent les mains et les pieds coupés[18]. Abu Yazid envoie son fils Ayûb chercher du secours enAndalousie tandis que lui-même se réfugie dans les montagnes auprès de tribus berbères qui lui sont restées favorables.

Les armées du calife délogent Abu Yazid qui part vers le désert. Le calife perd alors la trace de son adversaire mais, à la fin janvier947, il apprend qu'Abu Yazid se prépare à faire le siège de M'Sila. Il fait aussitôt demi-tour, poussant Abu Yazid, qui n'a plus d'autre solution, que de se réfugier chez les Berzal (tribu des Maghraoua) dans la montagne Salat. Le calife fatimide propose en conséquence vingt charges d'or à qui le dénonce[21]. Abu Yazid prend aussitôt la fuite vers les montagnes de Kiyana[22]. En, le siège de la montagne où s'est réfugié l'homme à l'âne se termine avec sa capture alors qu'il est presque mort des suites de ses blessures. Le calife le fait donc soigner pour pouvoir l'exhiber lors de son retour en triomphe mais Abu Yazid finit par mourir. Son cadavre est alors empaillé pour être rapporté à Mahdia comme preuve de la victoire du calife qui se donne, après cette victoire, le surnom d'Al-Mansûr (منصور soit « Le Vainqueur »). Le mouvement de rébellion est totalement désorganisé même si des tribus zénètes hostiles continuent de menacer l'empire. Elles seront un peu plus tard repoussées duMaghreb central (actuelleAlgérie) par Ziri alors nommé gouverneur de la province par lesFatimides. Cet évènement marque l'avènement de la dynastie desZirides sur l'est du Maghreb alors que l'ouest duMaghreb est sous le contrôle de la dynasite desBanou Ifren et desMaghraouas, en général desZénètes, jusqu'à l'arrivée desAlmoravides auXIe siècle[23].

Abu Muhammed Ayub

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Ayub, fils d'Abu Yazid, esthistorien etgénéalogisteberbère de l'Afrique subsaharienne ayant communiqué son savoir àYoucef Ibn Al Warraq. En secondant son père, Il est chef de la révolte berbère desZénèteskharidjites contre le pouvoirfatimide au milieu duXe siècle, enIfriqiya.

Après la victoire d'Al Qaym sur les Nekarites àMahdia. Abu Yazid donne l'ordre de détruire de plusieurs villes et ordonne à Ayub de camper à Baja et d'attendre les renforts Berbères qui devaient venir. Ayub su que Ali. b. Hamdun Al Andalousi et seigneur deM'Sila venait avec une grande armée composée deKetamas et deZouaoua (Zwawas). Ali b. Hamdun Al Andalousi passa àConstantine, àLaribus etSicca-Veneria pour prendre d'autres hommes. Ayub attaqua une partie de la garnison dans une embuscade pendant la nuit, une des troupes d'Al Qaym est défaite et leur chef trouve la mort.Ayub se dirige versTunis pour combattre le reste des troupes d'Ali ibn Hamdun al-Andalusi (en). Ayub sort vainqueur de cette guerre. Ali. b. Hamdun s'échappe et se réfugie chez les Kutama.

Après la mort du père d'Abu Yazid,Al Fadl, le frère d'Ayub etMâbed b. Khazer rassemblent tout le reste des Nekarites pour attaquerAl Mansour, maisZiri ibn Menad les guette dans une embuscade. Mâbed se réfugie au désert et Fadl met son siège dans lesAurès àBaghaï en948. B. Yala, un des compagnons de Al Fadl, le trahit et le tue. Il envoie sa tête à Al Mansour.Après cet évènement, Ayub est tué par Abdellah b. Bekkar chef desMaghraouas. Et sa tête fut envoyée à Al Mansour[24].

Le conteur principal et autochtone de l'histoire des Berbères et de l'Afrique subsaharienne

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Après l'assassinat d'Abou Yazid, Ayub se réfugie àCordoue avec un nombre de Nakarites, selonRhazès (Al Razi). Toute l'histoire et la généalogie desBerbères, de l'Afrique subsaharienne et duMaghreb repose sur les informations livrées par le fils d'Abu Yazid àYoucef Ibn Al Warraq[25].Al-Bakri s'est inspiré du géographe Al Warraq.Ibn Khaldoun aussi a répété le contenu d'Al Warraq. Et comme Al Razi le souligne, Al Warraq a pris toute l'information de fils d'Abu Yazid sur l'histoire du Maghreb et de l'Afrique subsaharienne. L'œuvre d'Al Warraq a été perdue[25].

Postérité

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Plusieurs pièces de monnaie en or, retrouvées dans le sol du Maghreb, portent le nom d'Abu Yazid, ce qui indique que cet homme disposait d'une administration bien organisée et qu'il ne s'agissait pas d'un simple agitateur[26].

Dans son article[27], W.K.R. Hallam indique que le hérosBayajidda de la culture desHaoussas représente une personnification folklorique de partisans d'Abu Yazid qui auraient fui l'Afrique du Nord après leur défaite.

Notes et références

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  1. Louis Piesse,Itinéraire historique et descriptif de l'Algérie comprenant le Tell et le Sahara, éd. Hachette, Paris, 1862
  2. (en)Martijn Theodoor Houtsma,E.J. Brill's First Encyclopaedia of Islam. 1913-1936, éd. Brill Academic Publishers, Leiden, 1993
  3. a etbIbn Khaldoun,Histoire des Berbères, traduction de William Mac Guckin de Slane, éd. Berti, Alger, 2003, p. 849
  4. Robert Brown,The History and Description of Africa and of the Notable Things Therein Contained, vol. III, éd. BiblioBazaar, Charleston, 2009, p. 845
  5. Mohamed-Sahnoun Djaffar,Les chi'ites : contribution à l'étude de l'histoire du chi'isme des origines, éd. Publibook, Paris, 2006,p. 322
  6. Il est dit fils de Kaydad, fils de Sâddallah, fils Mughith, fils de Kerman, fils de d'Othman, fils d'Urimt, fils de Djunfer, fils de Samiran, fils d'Ifren, etc.
  7. a etbRecueil des notices et mémoires de la Société archéologique, historique et géographique du département de Constantine, éd. Société archéologique, historique, et géographique du Département de Constantine, Constantine, 1872, vol. 15-16, p. 64
  8. Revue des études orientales, éd. Éditions scientifiques de l'État, Varsovie, vol. 13-15, 1971-1974, pp. 185 et 280
  9. abcd eteIbn Khaldoun,Histoire des Berbères, pp. 849-852
  10. Il s'agit d'un campzénète du territoire desNefzaouas rattaché à l'ancienne province de Castiba (environs de l'actuelleTozeur), selon la note de la table géographique de l'ouvrageHistoire des Berbères d'Ibn Khaldoun.
  11. Charles-André Julien,Histoire de l'Afrique du Nord, des origines à 1830, éd. Payot, Paris, 1994, p. 393(ISBN 9782228887892)
  12. Ibn Khaldoun,Histoire des Berbères, p. 852
  13. Baghaï est une ancienne ville romaine dans lawilayaalgérienne deKhenchela (35° 31′ 19″ N, 7° 06′ 52″ E).
  14. Medjana est une ville de lawilayaalgérienne deBordj-Bou-Arreridj (36° 07′ 49″ N, 4° 39′ 55″ E).
  15. Partie I de la « révolte d'Abou Yézid, l'homme à l'âne » (Tunisie d'antan)
  16. El Orbos connue aussi sous le nom de Laribus est une ancienne ville romaine située près de la ville tunisienne deDahmani dans legouvernorat du Kef[Où ?].
  17. Ibn Khaldûn,Le livre des exemples. Volume I, éd. Gallimard, coll. La Pléiade, Paris, p. 688(ISBN 2070114252)
  18. a etbPartie III de la « révolte d'Abou Yézid, l'homme à l'âne » (Tunisie d'antan)
  19. Ksar Bellezma est une ville de lawilayaalgérienne deBatna (35° 40′ 34″ N, 5° 54′ 08″ E).
  20. Tobna (Tubunae en latin) est une place forte antique en ruine au sud deBarika dans lawilayaalgérienne deBatna (35° 21′ N, 5° 21′ E).
  21. Youssef Nacib,Cultures oasiennes. Essai d'histoire sociale de l'oasis de Bou-Saâda, éd. Publisud, Paris, 1986
  22. Les montagnes de Kiyana sont un lieu mal identifié près deBichara dans lawilaya deBordj Bou Arreridj et près de ce qui deviendra plus tard laKalâa des Béni Hammad. D'autres sources indiquent qu'il s'agit de la montagne d'Aiad.
  23. Ibn Khaldoun,Histoire des Berbères, p. 858
  24. Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères, p 857. éd Berti, Alger 2003(ISBN 9961-69-027-7) édité erroné
  25. a etbTerrains et engagements de Claude Meillassoux: hommages précédés d'un essai de Claude Meillassoux "Du bon usage des classes sociales". Bernard Schlemmer, Claude Meillassoux.Page 132. KARTHALA Editions, 1998.(ISBN 978-2-86537-836-4)
  26. Arthur Pellegrin,Histoire de la Tunisie depuis les origines jusqu'à nos jours, éd. La Rapide, Tunis, 1944, p. 101
  27. W.K.R. Hallam, « The Bayajidda legend in Hausa folklore »,The Journal of African History, vol. VII, n°1, 1966

Bibliographie

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Voir aussi

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v ·m
Sunnites
Écoles dejurisprudence
Écoles théologiques
Soufisme
Mouvements et nouveaux courants
Chiites
Mouvements et courants
Écoles théologiques
Kharidjites
Écoles dejurisprudence
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