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Abbaye Notre-Dame de Sénanque

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Pour les articles homonymes, voirAbbaye Notre-Dame.

Abbaye Notre-Dame de Sénanque
image de l'abbaye
Vue générale de l'abbaye.
Données clés
DiocèseArchidiocèse d'Avignon
Numéro d'ordre (selonJanauschek)CCLXXXIV (284)[1]
Fondation1148
Dissolution1791-1857 et 1903-1926
Abbaye-mèreAbbaye de Mazan
Abbaye de Lérins
Lignée deAbbaye de Cîteaux
Abbayes-fillesAbbaye des Chambons
Abbaye Sainte-Catherine d'Avignon
CongrégationOrdre cistercien
Période ou styleArchitecture romane
ProtectionLogo monument historique Classé MH(1921,1970)[2]
Données clés
Coordonnées43° 55′ 42″ N, 5° 11′ 13″ E[3]
PaysDrapeau de la FranceFrance
DépartementVaucluse
CommuneGordes
Sitehttp://www.senanque.fr
Géolocalisation sur la carte :Vaucluse
(Voir situation sur carte : Vaucluse)
Abbaye Notre-Dame de Sénanque
Abbaye Notre-Dame de Sénanque
Géolocalisation sur la carte :Provence-Alpes-Côte d'Azur
(Voir situation sur carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur)
Abbaye Notre-Dame de Sénanque
Abbaye Notre-Dame de Sénanque
Géolocalisation sur la carte :France
(Voir situation sur carte : France)
Abbaye Notre-Dame de Sénanque
Abbaye Notre-Dame de Sénanque

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L'abbaye Notre-Dame de Sénanque est unmonastèrecistercien en activité, et situé sur la commune deGordes, dans ledépartement français deVaucluse enrégionProvence-Alpes-Côte d'Azur.

Fondé en1148, il devientabbaye en1150. Celle-ci fait partie, avec l'abbaye de Silvacane et l'abbaye du Thoronet, des « trois sœurs provençales », qui témoignent du grand rayonnement de l’ordre cistercien en Provence.

Aujourd'huiprieuré de l'abbaye de Lérins, le monastère, situé dans le vallon où coule laSénancole, est toujours occupé par une communauté de six moines cisterciens de la congrégation cistercienne de l’Immaculée Conception.

Histoire de l'abbaye de Sénanque

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L'abbaye vue depuis le ciel par le sud.

Moyen Âge

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Le monastère est fondé sur le territoire deGordes le (9 de calendes de juillet), à l'initiative d'Alphant (ou Alsaur), évêque deCavaillon, par des moines cisterciens venant deMazan (ou Mansiade) dans l'Ardèche. Ceux-ci s'installent dans l'étroite vallée de laSénancole qui fait partie de l'apanage des seigneurs de Gordes. Au mois d'octobre1150 l'un d'eux, Guiran deSimiane, la donne à Pierre, premierabbé.

Sénanque prospère rapidement au point que, dès1152, sa communauté est assez nombreuse pour fonder une seconde abbaye dans leVivarais[Où ?]. Elle bénéficie de nombreuses donations, en particulier de lafamille de Simiane et des seigneurs deVenasque.

Le monastère ne tarde pas à installer, parfois très loin, des « granges », sortes d'annexes à la tête des exploitations qui sont mises en valeur par les frèresconvers, moines « auxiliaires » chargés des tâches agricoles. Mais l'abbaye accumule des richesses peu compatibles avec les vœux de pauvreté : auXIVe siècle, c'est la décadence. Le recrutement et la ferveur diminuent tandis que la discipline se relâche. Pourtant, peu à peu, la situation s'améliore et le monastère retrouve sa dignité en s'efforçant de respecter l'esprit des fondateurs.

Période moderne

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En1544, lors desguerres de Religion, des moines sont pendus et le monastère est incendié par lesVaudois et le bâtiment des convers détruit.

À la fin duXVIIe siècle, Sénanque ne compte plus que deux religieux. Elle est, par chance, vendue commebien national en1791 à un acquéreur qui la préserve de toute destruction et va jusqu'à la faire consolider. Rachetée par l'abbé de Lérins,Dom Barnouin, en1857, elle retrouve sa vocation d'origine : des bâtiments nouveaux viennent flanquer les anciens et 72 moines s'y installent. En1903, à la suite de l'expulsion des congrégations, les moines sont chassés de l'abbaye[4].

Période contemporaine

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LeXXe siècle : prieuré de l'abbaye de Lérins

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Ce n'est qu'en1926 que la vie conventuelle reprend à Sénanque[4], désormaisprieuré de l'abbaye de Lérins. En1969, les cinq moines qui restent ne sont pas à même de subvenir aux frais d'entretien du monastère. Ils quittent les lieux pour se retirer dans leur maison mère, dans lesîles de Lérins[5].

L'abbaye est classée au titre des monuments historiques une première fois par arrêté du 10 avril 1921 pour son église, cloitre, le bâtiment contenant au rez-de-chaussée la salle capitulaire et au premier étage le dortoir voûté, et une deuxième fois par arrêté du 27 novembre 1970 pour les ailes ouest et sud du cloître[2].

Le centre national de rencontres

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La même année, un accord de mécénat industriel est alors négocié entre l'abbé de Lérins et l'industrielPaul Berliet, qui recherche un site où établir un centre culturel. Le 24 octobre, la sociétéBerliet signe un bail de trente ans. Elle prend en charge la restauration[6] et s'engage à préserver l'aspectcultuel du site, à restaurer et à entretenir les bâtiments, et à permettre aux moines de réintégrer les lieux avant la fin du contrat. Les travaux, financés pour moitié par la société Berliet, se font dans le respect des matériaux et des techniques d'origine[5].

Paul Berliet demande au poète et écrivainEmmanuel Muheim de créer à Sénanque un « centre national de rencontres », avec l'appui du ministère de la Culture. De 1970 à 1988, le centre de rencontres de Sénanque est l'un de ces lieux d'effervescence et de retrait où historiens et poètes, spécialistes des religions, artistes et sociologues échangent sans frontières :François Cheng,Alain Touraine,Jean Tinguely,Michel Rocard,Edgar Morin,Claude Geffré,Henri Maldiney,Pierre Mendès France et d'autres y passeront[6].

L'abbaye s'ouvre aux visiteurs — ils sont près de 20 000 par an dès 1988[6] —, se dote d'une librairie, d'une hostellerie. Pendant près de vingt ans se succéderont concerts, colloques[7], séminaires, conférences, expositions (Jacques Bouffartigue en 1972 ;Robert Droulers en 1970, 1973, 1986), projections de cinéma (Tarkovsky[6]), fêtes, stages, retraites, cercles d'études, publications…

Association Incitation à la Création

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Une autre partie de l'abbaye (l'aile la plus récente au nord) héberge, de 1977 à 1985, sous la direction deClaude-Louis Renard, les expositions de l'association Incitation à la Création[8], ainsi que le musée du Sahara à l'étage et une boutique de souvenir en rez-de-jardin, qui abrite aussi une librairie religieuse.

Reprise de la vie monacale

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Une nouvelle petite communauté de moines cisterciens vient de Lérins en1988[9]. En2012, ils sont dix à résider à Sénanque, le monastère demeurant une dépendance de l'abbaye de Lérins. En 2022, ils ne sont plus que six.

Liste des abbés

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Abbés

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  • 1150-1184 : Pierre I
  • 1184-1198 : Guigues
  • 1198-1208 : Guillaume I Dalmace
  • 1208-1212 : Pierre II
  • 1212-1216 : Dolicien I
  • 1216-1222 : Boniface
  • 1222-1230 : Pierre III d’Albèges
  • 1230-1231 : Dolicien II
  • 1231-1235 : Gautier
  • 1235-1242 : Gérard I
  • 1242-1251 : Guillaume II
  • 1251-1255 : Pierre IV d’Orange
  • 1255-1260 : Bertrand I Ithier
  • 1260-1272 : Durand
  • 1272-1274 : Pierre V Evrard
  • 1274-1276 : Guillaume III Pélissier
  • 1276-1285 : Bertrand II de Nérée
  • 1285-1290 : Guillaume IV d’Urnois
  • 1290-1328 : Bernard IClément de Mez d’Argentan
  • 1328-1349 : Pierre VIClément de Mez d’Argentan
  • 1349-1356 : Bertrand III
  • 1356-1368 : Bernard II
  • 1368-1391 : Rican Raimbaud
  • 1391-1440 : Jean I
  • 1440-1445 : Gaspard I Négrel ou Nigrelly[10]
  • 1445-1450 : Béranger Borgarelli
  • 1450-1475 : Jean II de Ferrières
  • 1475-1509 : Jean III de Casalet
  • 1509-1529 :François d'Estaing
  • 1533-1540 :Pierre VII de Forli
  • 1540-1548 :César Trivulce
  • 1566-1597 :Élzéar de Rastel
  • 1597-1600 : Antoine de Michaëlis
  • 1600-1630 :Gaspard du Laurens
  • 1632-1650 : Josephde Berton des Balbes de Crillon
  • 1650-1679 : Philippe-Guillaume d’Ancézune-Cadart de Tournon de Caderousse
  • 1679-1683 : Toussaint Rose
  • 1683-1715 : Armandde Béthune-Sully d’Orval(quitte les ordres à la mort du5e duc de Sully en 1729, puis se marie la même année)
  • 1715-1739 : Christophe de Pajot du Pont
  • 1739-1781 : Paul-Alexandre-Louisde Pins-Roquefort
  • 1781-1787 :Vacance
  • 1787-1791 :Jean-François de Demandolx
  • 1791-1857 :Suppression
  • 1857-1873 : Marie-Bernard III Léon Barnouin, abbé de Lérins
  • 1873-1880 : Marie-Gérard II Germont
  • 1880-1898 :Vacance
  • 1898-1904 : Marie-Léonce Granet
  • 1904-1926 :Vacance

Prieurs

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  • 1926-1932 : Marie-Augustin
  • 1932-1969 : Marie-Maurice Soc
  • 1969-1988 : Marie-Bernard IV de Terris, abbé de Lérins
  • 1988-1997 : Pierre VIII Villette
  • 1997-présent : Jean-Marie Gervais

Architecture

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Architecture extérieure

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L'abbatiale, d'un style roman très sobre, est édifiée en calcaire[11], taillé et assemblé en grandappareil régulier. Les toitures sont couvertes delauzes. Elle présente une orientation peu fréquente : le conodine étant orienté au nord-est et la façade principale au sud-ouest. Habituellement symbolique, elle a été ici déterminée par le sens de la vallée.

  • L'abbaye et son champ de lavandin fleuri, depuis le nord.
    L'abbaye et son champ delavandin fleuri,
    depuis le nord.
  • Vue latérale sur le chevet.
    Vue latérale sur le chevet.

Le chevet et le clocher

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Lechevet est composé d'uneabside semi-circulaire unique. Cette abside est couronnée d'une corniche moulurée et est percée de trois baies enplein cintre à simpleébrasement surmontées chacune d'unearcade en forme de sourcil. Elle s'appuie sur lacroisée du transept qui présente des pans coupés, destrous de boulin (trous laissés par les échafaudages) et une corniche saillante soutenue par descorbeaux géométriques.

La croisée du transept est surmontée par un petit clocher carré percé lui aussi de trous de boulin et couronné par un toit enpierre de taille terminé par une croix de pierre. Ce clocher est typique de l'architecture romane cistercienne, qui prône la sobriété.

  • Le chevet.
    Le chevet.
  • Le chevet.
    Le chevet.
  • Le clocher.
    Le clocher.

La façade latérale

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La façade latérale est rythmée par cinq puissants contreforts situés au-dessus du collatéral et est surmontée d'une corniche saillante auxcorbeaux géométriques, similaire à celle de la croisée.

La façade principale

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La façade principale, soutenue par deux puissants contreforts, est percée de deux étroites fenêtres à doubleembrasure et àvoussure enplein cintre surmontées d'un grandoculus orné de douze lobes. Elle aussi est percée de trous de boulin.

Le cloître

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L'abbaye possède également un cloître roman dont les galeries sont rythmées par desarcs de décharge abritant des triplets d'arcades enplein cintre supportées par des colonnes surmontées de chapiteaux àfeuilles d'eau[12].

  • La façade principale.
    La façade principale.
  • Cloître de l'abbaye Notre-Dame de Senanque
    Cloître de l'abbaye Notre-Dame de Senanque
  • Chapiteaux à feuilles d'eau.
    Chapiteaux àfeuilles d'eau.

Architecture intérieure

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  • Tête de diable de l'abbaye.
    Tête de diable de l'abbaye.
  • Anciens dortoirs des moines cisterciens de l'abbaye Notre-Dame de Sénanque.
    Anciens dortoirs des moines cisterciens de l'abbaye Notre-Dame de Sénanque.

L'abbaye aujourd'hui

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Une partie de l'abbaye se visite, comme ledortoir des moines de chœur, l'abbatiale, lecloître ou encore lasalle capitulaire. Les moines se réunissaient dans cette dernière, assis sur des gradins, pour lire et commenter lesÉcritures, recevoir les vœux des novices, veiller les défunts et prendre d'importantes décisions.

Vie monastique

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Le mouvementcistercien prônait un idéal ascétique et larègle bénédictine primitive était observée dans les établissements avec une extrême rigueur : isolement, pauvreté, simplicité, seules voies pouvant mener à la béatitude.

Les conditions de vie des cisterciens sont donc encore aujourd'hui très dures : les offices, la prière, les lectures pieuses alternent avec les travaux manuels, le temps de repos ne dépassant pas sept heures (le premier office a lieu à quatre heures et demie[13] du matin, le second à l'aube) ; les repas, pris en silence, sont frugaux. Autrefois les moines couchaient tout habillés dans un dortoir commun dépourvu du moindre confort. Aujourd'hui ils dorment chacun dans une chambre individuelle que l'on appelle une cellule[14].

Activités

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Les principales ressources des moines sont :

  • la visite de l'abbaye ;
  • la librairie religieuse ;
  • la culture dulavande ;
  • la vente de miel et d'essence de lavande ;
  • la vente de divers produits originaires d'autres abbayes.

Retraites spirituelles

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La communauté des moines cisterciens de Notre-Dame de Sénanque dispose d'une hôtellerie et reçoit des personnes désirant partager la vie de prière de la communauté dans le silence et le recueillement.

Sauvegarde de l'abbaye

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Travaux de sauvegarde en 2020.

Fin, les moines de la communauté lancent un appel aux dons pour la sauvegarde de l'abbaye. La nef de l'église duXIIe siècle menace de s'effondrer, le collatéral s'affaisse, il faut fermer l'édifice d'urgence avant d'entamer des travaux de consolidation et de rénovation, estimés à 2,2 millions d'euros[15]. Mais l'État et les collectivités ne peuvent pas tout assumer et il faut trouver au moins 800 000 euros de dons. Les moines mettent en place une grande campagne de communication et font appel à plusieurs célébrités, dont l'humoristeÉlie Semoun, qui relaie l'appel aux dons sur son compte Instagram[16].Stéphane Bern prend ensuite le relais, au nom de la défense du patrimoine. Notre-Dame de Sénanque fait partie des 18 sites français sélectionnés pour leLoto du Patrimoine de 2019[17].

Le financement des travaux est aujourd'hui assuré, grâce à un afflux massif de dons et à la prévision de ce que pourrait rapporter le Loto du patrimoine. Les travaux sont en cours et devraient s'achever au printemps 2024[18] .

Autour de l'abbaye

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L'abbaye a servi de lieu de tournage au filmLes Moinions dans lequel les enfants de l'école deGordes ont joué.[réf. nécessaire]

Le départ des moines en 1969 a été romancé par Patrick Drevet, dansLes gardiens des pierres, Gallimard, 1982.

Accès

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On accède à l'abbaye par laroute départementale 177A, courte extension de la route départementale 177.

Notes et références

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  1. (la)LeopoldJanauschek,Originum Cisterciensium : in quo, praemissis congregationum domiciliis adjectisque tabulis chronologico-genealogicis, veterum abbatiarum a monachis habitatarum fundationes ad fidem antiquissimorum fontium primus descripsit,t. I,Vienne, Puthod,, 491 p.(lire en ligne),p. 205.
  2. a etb« Abbaye de Sénanque », noticeno PA00082041, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  3. « Sénanque »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surcistercensi.info,Ordre cistercien(consulté le).
  4. a etb« Abbaye Notre-Dame de Sénanque », suredelo.net.
  5. a etbPatrick Parodi,« Histoire de l’abbaye de Sénanque », surlyc-joliotcurie.ac-aix-marseille.fr, 17 mai 2010.
  6. abc etdVoir surlemonde.fr du 4 juillet 2002.
  7. « Psychodrame à Senanque » surlemonde.fr du 30 novembre 1978.
  8. Association de laRégie Renault pour la promotion de l'art contemporain.
  9. « Chronologie », surmonumentshistoriques.free.fr.
  10. Élu également le, abbé de l'abbaye Notre-Dame de Valsaintes, il semble, d'après les dates, être resté à partir de 1445 à Valsaintes. Il meurt en 1461 et il est nommé à cette date un nouvel abbé.
    Hugues Du Tems,Le Clergé de France ou tableau historique et chronologique des archevêques, …, chez Delalain, Paris, 1774,p. 56.
  11. Yves Combeau,« Sénanque, les pierres et la vie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surparoisse-marne-bocage.blogspot.fr, Paroisse Saint Jean Apôtre de Marne et Bocage,(consulté le).
  12. Colonne de la Vierge à l'abbaye de Sénanque.
  13. La journée d'un moine à l'abbaye Notre-Dame de Sénanque
  14. exemple de vie monastique cistercienne auXXIe siècle.
  15. « Les travaux de l'abbaye de Sénanque financés grâce à un afflux de dons », surFrance Bleu,(consulté le).
  16. MarcFourny, « Élie Semoun veut sauver l'abbaye de Sénanque », surLe Point,(consulté le).
  17. « Loto du Patrimoine : l'abbaye retenue pour la prochaine édition ! », surAbbaye de Sénanque,(consulté le).
  18. Actualités de l'abbaye de Sénanque sur le site de la Fondation du patrimoine.

Voir aussi

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Bibliographie

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Collection de guides

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  • Suivez le guide, Conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur ; office régional de la culture ; dir. publ.Michel Pezet, Marseille, Office régional de la culture, 1984(ISSN 0997-8518)

Articles connexes

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Liens externes

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Ordres et congrégations
Caractéristiques
Abbayes et autres édifices
Personnalités
Voir aussi
v ·m
Sites en péril prioritaires duLoto du patrimoine en 2019
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