Le99e régiment d'infanterie (99e RI ) est unrégiment d'infanterie de l'Armée de terre française , àdouble héritage ,créé sous la Révolution à partir durégiment Royal-Deux-Ponts , et du24e régiment d'infanterie légère créé à partir de la24e demi-brigade légère de deuxième formation .
Il est dissous en 1997. Son drapeau a été confié au groupement de recrutement et de sélection Sud-Est (GRS SE).
Le99e régiment d’infanterie a la particularité, comme tous les régiments d’infanterie portant un numéro entre le 76e et le 99e , d’être l’héritier des traditions de deux régiments : le 99e et le24e d'infanterie légère .
Insigne de béret d'infanterie. 25 juillet 1791 : colonel Louis Amable de Prez[ Note 1] 12 octobre 1792 : colonelJean Christophe Wisch (**) ;1793 : colonelJean François Leval (**) ; 1793 : chef de brigadeÉlie Lafont (*) ; 1796 : chef de brigadePierre Joseph Petit ; De1803 à1854 , le 99e régiment d'infanterie n'est pas formé. 1855 : Augustin Nicolas Victor Gondallier de Tugny[ 2] 1859 : Edmond Aimable L'Hériller 1863 : Louis Albert Chagrin de Saint-Hilaire ; 1870 : Eugène François Gouzil ; 1878 : Michel Marie Edmond Swiney (**) 1879 : Alfred de Corn 1887 : Colonel Blanchet 1888 : François Ernest Malapert (*) 1893 : Plunkett 1898 : Charles Alfred Anglade ; 1905 :Joseph Louis Alphonse Baret ; 1907 : colonel Branlière 1911 : Charles Léon Marie Hamon 6 août 1914 : lieutenant-colonel Claude Symphorien Jean Baptiste Martinet (tué à l'ennemi le 24 août 1914 àSchirmeck )[ 3] 25 août 1914 : lieutenant-colonel Isidore Auguste Arbey (tué à l'ennemi le 25 septembre 1914 àHerleville )[ 4] ; 26 septembre 1914 : lieutenant-colonel Pierre Joseph Raoul Marty (**) ;21 janvier 1915 : lieutenant-colonel Henri André Marcel Rousselon (grièvement blessé) ;5 mai 1916 : Jean François Victor Borne ;10 avril 1923 : Marie Vincent Joseph Émile Ruillier; 19 septembre 1927 : Joseph Fortuné Revol (*) 1929 : Jean-Pierre Guiliani 1931 : colonel Masson 1934 : colonel Delafosse 1936 : Henri Charles Alfred Roux 1938 :Albert Lacaze ; Du 31 juillet 1940 à décembre 1944 le régiment est dissous. 16 décembre 1944 : Lieutenant-colonel Alphonse Hubert de Sury d'Aspremont 31 octobre 1945 le régiment est dissous 1967: Adjudant-chef Louis Metraux 1977-1978 : colonel Leproust 1978-1980 : colonel Roland Vincent (*) 1980-1982 : colonel Roux 1982-1984 : colonel Jean-Claude Delabit (*) (*) Officiers étant devenus généraux de brigade par la suite (**) Officiers étant devenus généraux de division par la suite
Colonels tués et blessés en commandant le99e régiment d'infanterie :
Colonel Wisch : blessé le2 mars 1792 bataille de Jemmapes Bataille de Blaton Bataille de Neerwinden 16 avril : combat de Ponte-di-Nova26 mai : combat de Sotta21 septembre : combat de la Rochetta22 novembre 1795 :bataille de Loano 1799 : batailles deLa Trébie ,Bassignana ,Novi ,Fossano et deMondovi 1800 : batailles duVar et dupassage du Mincio . Le décret du24 octobre 1854 réorganise les régiments d'infanterie légère les corps de l'armée française . À cet effet le24e régiment d'infanterie légère prend le numéro 99 et devient le99e régiment d'infanterie de ligne .
Garnisons :Saint-Malo ,Laval etSaint-Brieuc .
Garnison à Vienne (1865-1870)
6 août :bataille de Frœschwiller septembre 1870 :siège de Sedan Le24 novembre 1870 , 3 compagnies du99e régiment d'infanterie de ligne qui composaient le 44e régiment de marche furent engagés dans lescombats de Chilleurs ,Ladon ,Boiscommun ,Neuville-aux-Bois etMaizières dans leLoiret . Le9 janvier 1871 , 3 compagnies du34e régiment d'infanterie de ligne qui composaient le 44e régiment de marche furent engagés dans la bataille de Villersexel . Garnisons :
1871-1873 :Nîmes 1873 :Gap , Embrun, Briançon 1874 :Montélimar 1875-1885 : Vienne,Lyon 1885-1889 : Lyon, Romans 1889-1893 : Lyon 1893-1896 : Gap,Mont-Dauphin 1896-1902 : Lyon, Bourgoin 1902-1905 : Gap, Mont-Dauphin, Ubaye et Queyras 1905-1914 : Vienne, Lyon Plaque en mémoire du départ du régiment au début de la guerre, auparc Sergent Blandan (anciennecaserne ). Reconstitution de l'uniforme porté par le99e RI vers 1917 (à droite). En 1914 casernement :Vienne ,55e brigade d'infanterie ; 28e division d'infanterie ;14e corps d'armée .
2 -7 août : mobilisation, transport par VF deLyon etVienne le6 août pour atteindreÉpinal le7 août . 8 -12 août : concentration, puis mouvement sur la frontière des Vosges avec l'Empire allemand[ 5] . 13 -21 août : progression du régiment, versSainte-Croix-aux-Mines etSainte-Marie-aux-Mines , villages atteints le16 août . Le19 août , violents combats aucol de la Perheux , versBellefosse etBelmont , repli versFouday . Le21 août combat deRothau . 21 -27 août : mouvement de repli par Saint-Blaise etSaulxures le23 août en direction deSaales . Poursuite du repli, la frontière est à nouveau franchi, les Allemands entrent en France et occupeSaint-Dié le27 août . Engagé à partir du25 août dans labataille de la Mortagne . 27 août -12 septembre : le régiment est replié au-delà de laMeurthe et s'arrête àLa Bolle . La position est échangée jusqu'au12 septembre .12 -19 septembre : repli allemand, le régiment progresse en direction deSaint-Jean-d'Ormont . À partir du13 septembre , retrait de la ligne de front, concentration et transport par VF à partir du18 septembre dans la Somme. 19 -26 septembre : progression sur la rive droite de la Somme, en direction deHerleville . Engagé dans la bataille de Picardie, nombreuses tentatives de percées versFoucaucourt-en-Santerre ,Dompierre-Becquincourt ,Fontaine-lès-Cappy avec de lourdes pertes. 27 septembre 1914 -1er août : en ligne dans le secteur de Dompierre-Becquincourt. au cours du mois de mars le dépôt du99e RI forme deux compagnies du 414e régiment d'infanterie . Soldats du99e RI coiffés du nouveau casque Adrian dans une ville de Champagne, octobre 1915. 15 janvier -2 avril : transport par VF dans la Somme, occupation et organisation d'un secteur versMarquivillers . À partir du17 mars , poursuite des troupes allemandes lors de leur repli stratégique (opération Alberich ) en direction deSaint-Quentin contact avec les troupes allemandes àHappencourt , combats violents et prises des villages deSeraucourt-le-Grand ,Fontaine-lès-Clercs ,Castres etContescourt . À partir du19 mars , occupation et organisation des positions conquises.2 -24 avril : retrait du front, repos dans la région deGuiscard , travaux dans les environs d'Artemps . 24 avril -22 juin : mouvement vers le front, occupation d'un secteur du front versCerny-en-Laonnois , puis à partir du16 mai versContescourt et à La Bovelle.violents combats le 20 -21 mai , attaques allemandes repoussées au prix de pertes importantes. juin : occupation d'un secteur vers Cerny-en-Laonnois. 22 juin -15 juillet : retrait du front, repos dans la région deLassigny .16 juillet -13 août : mouvement vers le front, occupation d'un secteur le long de l'Oise face àLa Fère .13 -23 août : retrait du front, repos. 23 août -7 novembre : mouvement versChavigny , préparatifs d'offensive. En ligne à partir du17 septembre , versLaffaux . Du 23 au25 octobre , engagé dans labataille de la Malmaison dans les environs d'Allemant , puis progression jusqu'aux berges de l'Ailette .8 novembre -15 décembre : retrait du front. Remise de la fourragère au drapeau à Soissons le10 novembre , à la suite de la seconde citation du régiment. Repos dans la région deSaint-Pierre-Aigle .15 décembre 1917 -13 janvier 1918 : mouvement, repos et instruction àMailly-le-Camp .13 janvier -9 avril : transport en Haute Alsace, occupation d'un secteur du front versFulleren , secteur calme ponctué de tir de projector provoquant des pertes sensibles.10 -24 avril : transport par VF dans les Flandres, engagée dans labataille de la Lys , occupation d'un secteur sur les pentes dumont Kemmel où le régiment est en première ligne. 24 -26 avril : le régiment est en seconde ligne et subit l'attaque du25 avril avec une préparation d'artillerie plus violente qu'à Verdun et combiné avec de nombreux obus aux gaz. Repli devant la pression allemande et défense surLa Clytte et lemont Aigu . 27 avril -30 mai : retrait du front, transport par VF dans la région deChâlons-en-Champagne ,La Cheppe , repos et reconstitution avec des hommes issus de régiments dissous.30 mai -12 juin : mouvement dans lamontagne de Reims , dans labataille de l'Aisne dans le secteur de Clairdet et de la cote 240. Le3e bataillon du régiment repousse plusieurs attaques allemandes. 12 juin -20 septembre : retrait du front, repos puis occupation d'un secteur du front en Lorraine versEmberménil .20 septembre -7 octobre : mouvement vers le front de Champagne, engagé dans labataille de Champagne et d'Argonne . Placé en réserve de corps d'armée ; le30 septembre le régiment attaqueSainte-Marie-à-Py frontalement puis par contournement avec de lourdes pertes. Du 2 au4 octobre , retrait du front et repos en seconde ligne. Du 5 au7 octobre , le régiment monte en ligne pour suivre le retrait allemand, progression en direction du village deSelles .7 -19 octobre : retrait du front, repos. 19 octobre -3 novembre : engagé dans labataille de la Serre dans le secteur deGomont , progression et prise d'une partie de la Hunding stellung.3 -11 novembre : retrait du front, repos dans la région d'Épernay . Soldats du99e RIA en pause lors des manœuvres de Haute-Maurienne le31 août 1930 . Après la guerre le régiment rejoint ses casernes de Lyon etSathonay-Camp [ 6] , [ 7] .
En 1927, le99e RI devient le 99e régiment d'infanterie alpine (RIA) et comprend 3 Section d'Eclaireurs Skieurs(SES) et 3 pelotons d'élite de scout-ski.[ 6] [ 8] .
En mars 1939, sous les ordres du colonelAlbert Lacaze , le99e RIA fait partie de la 28e DIA (division d'infanterie alpine), en couverture face à l’Italie [ 6] . Il rejoint laMaurienne le 13 avril 1939, où lessections d'éclaireurs-skieurs du régiment étaient déjà présentes[ 9] , [ 7] .
À la mobilisation, les réservistes du centre mobilisateur 142 rejoignent le régiment enSavoie [ 10] . Durant lacampagne de France , le régiment n'est guère engagé enAlsace , dans l'Aisne et dans lesAlpes [ 11] .
Il se trouve enAlsace du Nord denovembre 1939 à débutavril 1940 [ 12] , puis au repos dans la région dePoligny (Jura)[ 13] , avant d'être envoyé sur leChemin des Dames à partir du18 mai 1940 , vingt-trois ans après ses anciens[ 14] .
Le régiment est dissous le 31 juillet 1940, après l'armistice . Les personnels d'active rejoignent le153e régiment d'infanterie alpine de l'armée d'armistice [ 15] [ 16] .Une autre partie du99e RIA intègre la résistance où leur expérience sera très importante et d'autres hommes rejoignent lesForces françaises libres [ 17] .
Le1er octobre 1944 , lesrésistants de l'Ain, du Haut-Jura , de laLoire et duRhône , composés de la5e demi-brigade FFI avec des militaires issus du 99e RIA, dont les départements sont libérés, rejoignent une nouvelle unité, la 1re division d'infanterie alpine FFI créée après la libération de Lyon et affectée au front des Alpes est rattachée[ 18] à la 27e division d'infanterie alpine [ 19] ).
D'autres volontaires rejoignent l'unité qui est finalement formée du1er bataillon AS de l'Ain , du4e bataillon FTP de l'Ain, du1er bataillon AS de la Loire, du 2e bataillon AS de l'Ain (renforcé de la« compagnie Narval » ) et du 2e bataillon FTP du Rhône (renforcé par le 4e bataillon FTP de la Loire)[ 19] . Cette demi-brigade est renommée 99e RIA le16 décembre [ 20] . C'est pourquoi l'inscription« Résistance Ain-Jura » est inscrite sur le drapeau du régiment[ 21] . Le régiment est engagé dans les Alpes, à Briançon , Les Thures, Les Gondrans,Montgenèvre ,Ubayette ,fort de Roche-la-Croix ... et participe à la reconquête ducol de Larche (22-26 avril 1945 )[ 22] .
Le régiment est dissous le31 octobre 1945 àMontélimar .
Une remorque portant encore le marquage du99e régiment d'infanterie en 2013 au quartier Général-Sabatier . De 1945 à 1968, son existence est pleine d’incertitudes : tantôt régiment, tantôt bataillon.
Le 1er janvier1946 , le99e RIA est reconstitué à Lyon et il donne naissance, cette même année aux[ 8] :
•108e demi-brigade d'infanterie alpine
il fournit enjuin 1954 l’essentiel des effectifs du25e BCP , nouvellement créé pour la campagne deTunisie . Ennovembre 1954 , il met sur pied unbataillon de marche , le99e bataillon de marche d'infanterie alpine 99e BMIA , qui part aussitôt enAlgérie .
En août etseptembre 1955 , ce dernier effectue un court séjour auMaroc . Le1er octobre, il prend l'appellation 15e BCA . Cette dernière date marque la fin de la présence duno 99 en Afrique du Nord . Dès lors, le « neuf-neuf » de métropole voit son activité réduite à l’instruction des recrues pour l'Algérie et au soutien de laVIIIe région militaire .
Le1er octobre 1968 , il change une dernière fois de nom pour redevenir le99e régiment d’infanterie (99e RI). Il perd son rattachement aux troupes de montagne .
Le régiment est composé de 7 compagnies :
4 compagnies de combat surVAB 1 compagnie d'éclairage et d'appui 1 compagnie de commandement et de service 1 compagnie d'instruction. De 1982 à 1992, il fournit plusieurs détachements pour leLiban .
D'août à décembre 1988, la2e compagnie est envoyée en Nouvelle-Calédonie [ 23] .
En 1992-93, et en 93-94 constitue son dernier théâtre d’opérations.La Bosnie , .
Le régiment est dissous fin mai1997 , àSathonay-Camp dans leRhône , dans le cadre de la réduction du format de l’armée de terre et de la professionnalisation de l'armée de terre. Le31 mai 1997 , le99e RI, appelé « neufneuf », ou encore « régiment de Lyon », disparaissait de l’ordre de bataille d’armée de terre, après 240 années d’existence. De la royauté à la cinquième république, du Royal-Deux-Ponts au 99e RI, il avait combattu en Europe , auxÉtats-Unis , enAfrique du Nord , auMexique , participé aux deux guerres mondiales et assuré des missions de sécurité auLiban et enNouvelle-Calédonie . Basé à Lyon pendant une longue période, il a inclus dans sa Musique militaire un gros pourcentage de bons musiciens issus des Ecoles et Conservatoires régionaux, dans la coutume des musiques de la Flotte, de la Garde Républicaine, ou de l'Air. Il a envoyé sa "Musique du 99"" lors de nombreux évènements culturels ou sportifs quand on lui a demandé sa présence sonore, tout comme pour les prises d'armes anniversaires annuelles, avec les Officiels et Anciens combattants.
Au cours de l'été2019 , le groupement de recrutement et de sélection Sud-Est (GRS SE) prend l'appellation de groupement de recrutement et de sélection Sud-Est -99e régiment d'infanterie[ 24] .
Le1er juillet 2025, doubles appellations sont supprimées. Le GRS SE - 99e RI reprend l'appellation de groupement de recrutement et de sélection Sud-Est. Il conserve la garde de l'emblème du 99e régiment d'infanterie[ 25] .
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[ 26] :
Fourragère aux couleurs du ruban de lacroix de guerre 1914-1918 .
Marc Boasson (1886-1918), écrivain français y fait son service militaire de 1905 à 1906. Son nom est inscrit auPanthéon dans laliste des 560 écrivains morts pour la France .René Desmaison (1930-2007),guide de haute montagne , alpiniste de haut niveau[ 27] CapitaineFélix Fontan (1880-1914), commandant la12e compagnie du 99e RI, enoctobre 1914 . Il permet de mettre fin aux activités de Jules Bonnot etde ses complices . Général Marie Théodule Leschères (1836-1906), alors chef de bataillon[ 28] Paul Joseph Hyacinthe Mignot (1865-1949) alors lieutenant-colonelCapitaineJacques Lazare Olchanski (1891-1918). LieutenantAugustin Pons (1774-1854) (24e demi-brigade légère de deuxième formation puis24e régiment d'infanterie légère) en tant que caporal ,sergent ,sergent-major ,adjudant ,sous-lieutenant puislieutenant . Sa cravate est décorée de laCroix de la Légion d’honneur en1862 pour la prise d'un étendard ennemi au combat d'Aculcingo, au Mexique[ 29] , [ 30] , puis de laCroix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'armée(Deux palmes).
Lafourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.
Ne Pas Subir 2e Compagnie de Recherche et d'Intervention : "Pour ne bien voir, il n'y a que l'œil du maître" Devise du capitaine Philippe EPAUD, commandant la 2Cie CRI de 1993 à 1995.Le fanion de cette compagnie, récupéré lors de la campagne de France par un officier allemand sur le corps de son gardien sous-officier mort pour la France, a été remis au régiment par les descendants de la famille en 1977. Ce geste de grande noblesse prouve qu'au-delà des combats, les symboles d'appartenance à la famille des combattants demeurent.
Au vieux 99, au vieux 99, tire au cul tu seras bien vu, tire au flanc tu seras content.
↑ Louis Amable de Prez est nommé major au corps le 4 avril1780 et lieutenant-colonel le 15 avril1784 . ↑ Le GRS SE devient le 99e RI sur le site de l'Armée de terre le13 décembre 2019 .↑ 99e R.I., Les grands engagements, Second Empire 1852-1870 ↑ Claude Symphorien Jean Baptiste Martinet sur memoiredeshommes ↑ Isidore Auguste Arbey sur memoiredeshommes ↑ Les Vosges comme frontière de l'Alsace (1871-1914) ↑a b etc Mudler et Lacaze 2004 ,p. 20. ↑a etb 99e R.I., Les grands engagements, L'entre-deux-guerres 1919-1939 ↑a etb French 99th infantry regiment ↑ Mudler et Lacaze 2004 ,p. 47. ↑ Mudler Lacaze ,p. 50. ↑ 1939-1940 Campagne de France ↑ Mudler Lacaze ,p. 59. ↑ Mudler Lacaze ,p. 77. ↑ Mudler Lacaze ,p. 80. ↑ Mudler Lacaze ,p. 21. ↑ 1940-1945 de l'Armistice à la Résistance ↑ Mudler Lacaze ,p. 162. ↑ Mudler Lacaze ,p. 165. ↑a etb Mudler Lacaze ,p. 174. ↑ Mudler Lacaze ,p. 175. ↑ Mudler Lacaze ,p. 238. ↑ Mudler Lacaze ,p. 191-194. ↑ Le 99e R.I. de 1978 à 1997, 1988-1990 colonel Pouillard ↑ « De l’importance du patrimoine » , sur le site de l'Armée de terre, le1er juillet 2019. ↑ DÉCISION N° 504493/ARM/EMAT/SCPS/BORGportant changement d'appellation des groupements de recrutement et de sélection. Du 11 juin 2025. ↑ Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007 ↑ René Desmaison :La montagne à mains nues , page 51↑ Marie Théodule Leschères sur military-photos.com ↑ En 1859, lors de la bataille de Magenta,Napoléon III décide que les régiments ayant pris un drapeau à l'ennemi pourront être décorés de laLégion d'honneur . Le2e zouaves est ainsi le premier à recevoir la Légion d'honneur le4 juin 1859 . Suivront les51e ,57e ,76e et99e de ligne, le 3e zouaves , le3e RTA , le1er chasseurs d'Afrique et ledrapeau des chasseurs (unique pour l'ensemble des bataillons). ↑ Histoire de l'armée française ,Pierre Montagnon , éditions Pygmalion, 1997.