Le8e régiment d'infanterie (8e RI ) est unrégiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir durégiment d'Austrasie , unrégiment français d'Ancien Régime .
insigne de béret d'infanterie du25 juillet 1791 au23 novembre 1791 : colonelJean-Marc de Chalup du20 décembre 1791 au2 février 1792 : colonel de Haack du5 février 1792 au16 mai 1792 : colonel Chalup de Fareyron de Boulon du16 mai 1792 au27 mai 1792 : colonel d'Albert du27 mai 1792 au8 mars 1793 : colonelRobon Antoine Marie Lecouturier–Darménoville du8 mars 1793 au22 mai 1794 : colonelJean-Henri Tugnot de Lanoye (*) du22 mai 1794 au29 août 1803 : Chef de brigadeJacques-Thomas Sarrut (**) du5 novembre 1803 au5 mars 1811 : colonelJean François Etienne Autié , tué à labataille de Barossa du21 juin 1811 au2 juillet 1814 : colonelJoseph Braun du2 juillet 1814 au29 mars 1815 : Colonel Charles Louis Sébastien de Staglieno[ 1] du29 mars 1815 à la dissolution : colonelLouis-Gabriel Ruelle du16 août 1815 au17 novembre 1820 : colonel Rapatel 19 août 1847 : Colonel Paul Victor Jamin1870 : colonel Haga 1901 col Micheler août - septembre 1914 : colonel René Louis Doyen[ 2] , [ 3] (†) septembre 1914 : lieutenant-colonel Rougeot[ 2] septembre - octobre 1914 : lieutenant-colonel de Clausage[ 2] octobre 1914 - mars 1915 : lieutenant-colonel Wiriot[ 2] mars 1915 - juin 1917 : lieutenant-colonel Roubert[ 2] juin -novembre 1917 : lieutenant-colonelDuffour [ 2] (**) novembre 1917 - : lieutenant-colonel Gégonne[ 2] 1939 : colonel comte Louis Pistollet de Saint Ferjeux (général de brigade) janvier - septembre 1945 : lieutenant-colonelRobert Noireau (Compagnon de la Libération ) septembre - octobre 1945 : colonel Allais 1980-1981 : colonel André Raillon 1983-1985 : colonel Michel Monier-Vinard (général de brigade) 1986-1987 : colonel de BONNIERES 1994 : colonel VOUTE 1996 : colonel MOREAU (*) Cetofficier est devenu par la suitegénéral de brigade . (**) Cetofficier est devenu par la suitegénéral de division .
Inde 1781-1785 - Belgique 1792-1797 - Allemagne 1797-1809 - Espagne 1808-1813 - France 1814 - Espagne 1823 - Morée 1828-1829 - Belgique 1831-1832 - Algérie 1847-1862 - Italie 1859 - France 1870-1871 -Tunisie 1881-1882 - Grande Guerre 1914-1918 - France 1939-1940 - Libération 1944-1945 -Afrique du Nord 1956-1962 - liban 1985 1986
Drapeaux des régiments Ponthieu et Austrasie
Drapeau de 1e bataillon en 1791 (avec de fleurs de lys royale )
Drapeau du régiment (Premier Empire)
Drapeau du régiment (avers de 1914)
Drapeau du régiment (revers de 1914)
1776 1779 1791 À sa création le régiment se compose de :
d'un colonel, un colonel en second, un lieutenant-colonel, un major, un quartier-maître trésorier, deux porte-drapeaux, un adjudant, un chirurgien-major, un armurier, un tambour-major et un aumônier, formant l'état-major ; deuxbataillons avec chacun unecompagnie de 108grenadiers , une dechasseurs et sept defusiliers , toutes à 171 hommes. de 1781 à 1785 : campagne des Indes 1805 : les troupes, autour deHanovre , devenues le1er corps d'armée dumaréchal Bernadotte , se mettent en marche vers l'Autriche , le2 septembre 1805 , parMunich , elles traversent leDanube , le15 novembre , puis laBohême jusqu'àIglau , qu'elles atteignent le25 novembre . De là, le29 novembre , elles reçoivent l'ordre de marcher surAusterlitz , où elles arrivent le1er décembre au soir. Pendant la bataille ,elles restent en réserve, mais participent à la poursuite et après lapaix de Presbourg (Bratislava ), le régiment s'installe en garnison àIglau (actuellementJihlava ). 1806 : le corps d'armée dumaréchal Bernadotte stationne enBavière jusqu'en septembre, puis il fait mouvement à travers laSaxe . Le14 octobre , il ne combat ni àIéna , ni àAuerstaedt , avant de participer aux batailles deHalle le17 octobre , le3 novembre àKriwitz et enfin participe à la prise deLubeck , le6 novembre . 1807 : il combat lesRusses àMohrungen (25 janvier ),Ostrołęka (16 février ), la prise deDantzig etFriedland . 1808 : seul le4e bataillon reste en Allemagne , le reste du régiment part pour l'Espagne , il arrive àMadrid le3 décembre . 1808 :bataille d'Espinosa 1809 : 1810 : Villaruibie (28 mars ), Montecy (14 avril ), Santa-Crux (3 mai ), l'investissement du fort Matagorda et de l'île San Luis (27 juillet ), Villalon (7 octobre ) et siège deCadix d'août à décembre. 1811 : le5 mars , le régiment est battu à labataille de Barossa , où il perd soncolonel , son drapeau et 726 hommes sur 1468. Il participe ensuite aux batailles de Fuentes-d'Onoro (5 mai ), Albuera (16 mai ), et en juin et juillet aux combats autour deCadix . 1812 : le4e bataillon est envoyé à la 30e division d’infanterie dugénéral Heudelet enPrusse orientale, puis sert de garnison àDantzig sous les ordres dugénéral Rapp, lors du siège par les Russes et les Prussiens entre le21 janvier et le29 novembre . 1813 : Ségovia (3 février ), Lignenza, Vittoria (21 juin ), Pampelune, défense des passes Maya, Brienza et Vera dans lesPyrénées , Ainhoe et St. Pierre d'Irube (13 décembre ). Le3e bataillon combat lui aussi en Allemagne et participe aux batailles de Lützen (2 mai ), de Dohny (8 septembre ) etDresde (10 novembre ). 1814 : le gros du régiment fait partie de la7e division , il combat àBar-sur-Aube (27 février ) etArcis-sur-Aube (21 mars ), le reste défend les forts deCuxhaven et Venlo. En avril1834 , ilparticipe à la répression des émeutes, qui s'étendent à Paris, qui mène aumassacre de larue Transnonain [ 5] .
Le8e régiment combat à Medole Le régiment est engagé lors de laguerre franco-prussienne de 1870 , à labataille de Sarrebruck , labataille de Forbach-Spicheren , labataille de Sedan .
Le24 novembre 1870 , durant laguerre franco-allemande , les8e compagnies des 2e et 3e bataillons du 8e régiment d'infanterie de ligne qui composaient le 29e régiment de marche furent engagés dans lescombats de Chilleurs ,Ladon ,Boiscommun ,Neuville-aux-Bois etMaizières dans leLoiret .
Enmars 1871 , le108e régiment d'infanterie de ligne , créé en 1870 sous le nom de8e régiment d'infanterie de marche, est fusionné dans le dépôt du8e régiment d'infanterie de ligne[ 6] .
Lors de laréorganisation de l'infanterie de septembre 1873 , le8e de ligne est affecté à la 4e brigade de la 2e division d’infanterie du1er corps d’armée [ 7] .
À la veille de la guerre, le régiment est en garnison àSaint-Omer ,Calais etBoulogne . Il appartient à la4e brigade - 2e division d’infanterie ,1er corps d’armée .
Tombes des trois colonels du8e RI tués en 1914 à Pontavert , de droite à gauche : lieutenant-colonel Rougeot (tué le17 septembre ), colonel Doyen (commandant par intérim la brigade, tué le17 septembre ) et lieutenant-colonel de Clausade (tué le12 octobre ). Photographie de juillet 1915. Seconde bataille de la Marne (15 juillet -31 juillet ).secteur de l'Aisne : Pont Saint-Mard en août (20 août -29 août ). secteur d'Alsace septembre - novembre. « Magnifique régiment. Engagé dans toutes les grandes actions de la campagne, ne recula jamais devant les attaques de l'ennemi ; jamais l'ennemi ne put résister au choc de ses assauts. »Poincaré , 1920.
La cravate de son drapeau reçoit la Croix de laLégion d'honneur le20 septembre 1920 [ 8] .
Soldats du8e RI quittant Mayence le30 juin 1930 . Il participe à l'occupation de la Rhénanie après la Première Guerre mondiale et est le dernier régiment à quitterMayence le30 juin 1930 [ réf. souhaitée] . Il arrive à Cherbourg en remplacement du1er régiment d'infanterie coloniale [ réf. souhaitée] .
Le8e régiment d’infanterie est un régiment d'active, commandé par le colonel Jeanzac au moment de la mobilisation , puis par le capitaine Loison à partir du14 mai 1940 . Sa devise est « Toujours en avant ».
Dans la nuit du10 mai 1940 , l'unité (environ 2 500 hommes), rattachée récemment à la5e division d'infanterie motorisée , (IIe corps d’armée ,9e armée ,groupe d'armées no 1 ), fait mouvement deGivet vers la Meuse belge en application duplan Dyle , la5e DIM devant défendre le fleuve entre Dave etAnhée .
Un train transportant des troupes du8e régiment d’infanterie est attaqué le 14 mai entre le village de Cerfontaine et deSilenrieux . 5 soldats français (Édouard Ducastel, Georges Heudron, Maurice Jean, Jean Metayer et Léon Saillard) ainsi que le conducteur de la locomotive (Abel Bourgeois) sont tués[ 9] .
Le régiment se retranche à l'Ouest et à l'Est de la
Meuse , dans les villes d'
Annevoie et
Godinne . Il inflige de lourdes pertes aux Allemands (vraisemblablement les 12 et 13 mai) qui veulent s'emparer de la passerelle enjambant la Meuse. Après deux jours de combat, le reste des éléments à l'Est, repasse la Meuse. Les 2 000 hommes tiennent la Meuse sous leur feu depuis Annevoie (14 mai 1940). Les assaillants allemands renonceront à emprunter la passerelle de Godinne (que les Français feront sauter), préférant profiter de leurs têtes de pont plus au sud (voir
bataille de Dinant ).
Se sachant en cours d'encerclement par le Sud, le plus gros de la troupe du8e RI commandé alors par un lieutenant, sans communication, ni approvisionnement, se retire, non sans constater qu'à l'arrière, l'artillerie française avait été neutralisée par les commandos ennemis. Dans leur repli, ils tombent sur un convoi de camions aux couleurs belges (vers le 15 ou 16 mai 1940 environ). En fait ces camions avaient été capturés par les Allemands. Le 8e RI est exterminé l'arme à la bretelle, victime de cette méprise, par l'infanterie et l'aviation adverse[Information douteuse] . Le lieu du massacre (un champ) n'est pas connu à ce jour. Il y aura quelques survivants jamais recherchés et dont le récit aurait pu renseigner l'histoire de la fin du régiment.
Certaines unités dispersées repliées par d'autres chemins sont capturées par l'ennemi. Le régiment est dissous le 22 mai 1940. D'autres unités en retraite dispersées sont incorporées dans le236e RI le 27 mai 1940.
Affiche de recrutement pour le8e régiment d'infanterie sous Vichy . Dissous le22 mai 1940 , le8e régiment d'infanterie est recréé dans l' Armée d'Armistice . Jusqu'à la dissolution de l'Armée après l'invasion de la zone libre , le8e RI est en garnison à Montpellier etSète .
le1er mai 1945 dans laXVIIe région militaire à partir du2e régiment d'infanterie FFI duLot [ 10] [réf. à confirmer] , [ 11] et placé sous les ordres du lieutenant-colonel Robert Noireau (d'avril àseptembre 1945 ) puis du colonel Allais (de septembre àoctobre 1945 ).
Finmai 1945 , le régiment stationne àRochefort-en-Terre avant d'être mis à disposition, le10 juin 1945 , de laXXIe région militaire àMetz . Le12 juin il rejointSarrebourg ou le3e bataillon est dissous le15 juillet et le 2e bataillon le 1er septembre. Le 1er bataillon y cantonne jusqu'au27 septembre avant de rejoindre La Châtre , le27 septembre 1945 , pour être rattaché à la19e division d'infanterie . Le1er bataillon est dissous le15 octobre 1945 , le 8e RI n'existe plus.
Les éléments restants sont affectés, aux régiments composant la29e division d'infanterie et aux unités chargées de la garde des prisonniers de l'Axe.
Le2e régiment d'infanterie FFI du Lot est formé à la caserne Niel de Toulouse enoctobre 1944 d'engagés volontaires originaires, principalement, du département duLot mais également de ceux de laDordogne , de laCorrèze et de l'Aveyron [ 12] .
Le25 octobre 1944 , le régiment est affecté aux Forces Françaises de la pointe de Grave (FFGR)[ 13] et, le15 novembre , il prend ses positions en première ligne en remplacement du bataillon d'Arcachon.
Du 14 au20 avril 1945 , devenu provisoirement154e régiment du génie, le 2e régiment est rattaché au groupement Ouest de la brigade Médoc, et participe activement à la libération de la pointe de Grave [ 10] [réf. à confirmer] .
Durant les combats contre laFestung Gironde Mündung Süd , le2e RI FFI du Lot perdra 52 tués et 120 blessés[ 11] .
Le1er mai 1945 le2e régiment d'infanterie FFI du Lot devient le 8e régiment d'infanterie.
Le8e RIM est en Algérie de 1955 à 1962. Installé à Saïda, dans le sud oranais, il fait partie intégrante de la13e Division d'Infanterie du général Ginestet en Zone Sud Oranais. Le commando Cobra du lieutenant Gaget fait partie de ses effectifs. Il encadre également en partie le commando Georges.
Au cessez-le-feu du19 mars 1962 en Algérie, le8e RI créé comme 91 autres régiments, les 114 unités de la Force Locale prévues aux accords d'Évian du18 mars 1962 .
Le I/8e RI forme une unité de la Force locale de l'ordre Algérienne, la 506e UFL-UFO composé de 10 % de militaires métropolitains et de 90 % de militaires musulmans, à la Ferme Carrafang, qui pendant la période transitoire devaient être au service de l'exécutif provisoire algérien, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie.
Drapeau en 1998 (avers)
Drapeau en 1998 (revers) Dans les années 1970, le régiment tient garnison au quartier Berniquet deNoyon (Oise), il est aussi en garnison àLandau , enRhénanie-Palatinat (1970), à deux pas de son frère jumeau, le7e RI , dont il recueille le drapeau en 1977 lorsqu'il est dissous.Régiment de la8e DI , puis régiment de laCMD de Lille, il est dissous en 1997 dans le mouvement de professionnalisation des armées. Il a été remplacé par le Régiment de marche du Tchad au quartier Berniquet de Noyon.
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[ 14] , [ 15] :
fourragère a la couleur du ruban de la légion d'honneur
Sa cravate porte lafourragère a la couleur du ruban de la Légion d'honneur décernée le4 octobre 1919 .
Il reçoit laLégion d'honneur , laCroix de guerre 1914-1918 avec six palmes puis une étoile de vermeil, laCroix de guerre 1939-1945 avec une étoile d'argent.
LaMédaille d'or de la Ville de Milan
Jules Augustin Williams Léon Battesti (1858-1914), généralJoseph Gabriel Bellarigue (1827-1882) alors lieutenant-colonelEugène Cornuel (1875-1914), poète, chroniqueur et professeur de lettres, y fait son service militaire de 1897 à 1898. Son nom est inscrit auPanthéon parmi les560 écrivains morts au combat pendant laPremière Guerre mondiale .Henri-Clotaire Descamps (1906-1942)Paul Dubrulle (1882-1917), prêtrejésuite , sous-lieutenant au régiment, tué le16 avril 1917 auchemin des Dames . Auteur deMon régiment dans la Fournaise de Verdun et dans la Bataille de la Somme . Son nom est inscrit auPanthéon parmi les560 écrivains morts pour la France .Charles Hoffbauer (1875-1957),peintre [ 16] Alphonse Magniez , capitaine adjudant-majorLouis Mairet (1894-1917), sous-lieutenant tué le 16 avril 1917 au bastion de Chevreux, à l'Est de Craonne. Son nom est inscrit auPanthéon dans laliste des 560 écrivains morts pour la France Le général de brigadeMichel Monier-Vinard (1937-2013) a été le chef de corps du 8e RI de 1983 à 1985 avec le grade de colonel. Saint-Cyrien de la promotion "Maréchal Bugeaud” (1958-60), cet officier supérieur a ensuite commandé le détachement de l'opération Daguet lors de la guerre du Golfe et assuré la réouverture de l'ambassade de France à Koweit City, en février 1991. Ayant occupé après à l'Ecole Militaire, à Paris, le poste d'adjoint au général directeur de l'enseignement militaire supérieur de l'armée de terre et commandant l'Ecole supérieure de guerre, le général Michel Monier-Vinard était commandeur de l'Ordre national du mérite, officier de la Légion d'Honneur, titulaire de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures avec citation à l’ordre de l’armée (palme), de la Croix de la valeur militaire avec deux citations, et d'autres décorations étrangères. Paul Neuville (1896-1975), résistant français, Compagnon de la Libération.Robert Noireau (1912-1999),Compagnon de la Libération , chef de corps du2e régiment d'infanterie FFI du Lot puis du8e RI.
↑ Baron Charles Louis Sébastien de Staglieno né le 20 janvier 1775 à Gênes ↑a b c d e f etg Historique 1914-1918 ,p. 9. ↑ René Louis Doyen sur Mémoire des Hommes ↑ Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151 ↑ Une lettre dePaul-François Dubois sur l'insurrection parisienne d'avril 1834 ↑ Belhomme 1902 ,p. 560. ↑ Belhomme 1902 ,p. 592. ↑ Collectivité décorées de la Légion d’honneur, 8e régiment d'infanterie de ligne - Ordre de la Légion d’honneur, France-Phaleristique.com↑ André Lépine,Cerfontaine en mai 1940 ↑a etb Dominique Lormier : Le livre d'or de la Résistance dans le Sud-Ouest page 365 ↑a etb Les volontaires du Sud-Ouest ↑ [INVENTAIRE DES ARCHIVESDE LA SÉRIE P page 44 journal de marche du2e RI du Lot] ↑ La régularisation des formations combattantes FFI engagées lors des sièges de la Pointe de Grave, de Royan et de La Rochelle en 1944-1945 ↑ Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007 ↑ Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie ↑ 2e bureau de recrutement de la Seine, classe 1895, cote D4R1 840, Numéro de matricule : 2711 Victor Belhomme,Histoire de l'infanterie en France ,t. 5, Henri Charles-Lavauzelle ,1902 (lire en ligne ) .Glorieux passé d'un régiment (1562-1899) : Champagne, Ponthieu, Austrasie, 8e régiment d'infanterie, 8e demi-brigade de ligne, 8e régiment d'infanterie de ligne, régiment de Condé, 8e d'infanterie de ligne, 8e régiment d'infanterie de ligne, 8e régiment d'infanterie, par le capitaine Jeanneney surGallica .Paul Dubrulle (préf. Henry Bordeaux ),Mon régiment dans la Fournaise de Verdun et dans la bataille de la Somme , Plon,1917 . Historique du8e régiment d'infanterie : Campagne 1914-1918 ,Paris ,Librairie Chapelot , 79 p.(lire en ligne ) .Serge Andolenko,Recueil d'historiques de l'Infanterie française , Eurimprim,1969 .Rubrique nécrologique de l'hebdomadaire Le Point[réf. non conforme] . Archives militaires du Château de Vincennes[réf. nécessaire] . Historiques des corps de troupe de l'armée française (1569-1900) , Berger-Levrault (Paris),1900 , 52 p.(lire en ligne )