Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

67e régiment d'infanterie (France)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

67e régiment d’infanterie
Image illustrative de l’article 67e régiment d'infanterie (France)
Insigne régimentaire du67e RI

Création1672
Dissolution1998
PaysDrapeau de la FranceFrance
BrancheArmée de terre
TypeRégiment d'infanterie
RôleInfanterie
GarnisonSoissons
DeviseBec et ongles
Inscriptions sur l’emblèmeHondschoote 1793
Neuwied 1797
Wagram 1809
Lützen 1813
Verdun 1916
L'Aisne 1917
Villemontoire 1918
L'Escaut 1918
Stonne 1940
AnniversaireSaint-Maurice
GuerresPremière Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie (Évènements d'Algérie)
Batailles1916 -Bataille de Verdun
1917 -Chemin des Dames
FourragèresAux couleurs du ruban de laMédaille militaire
DécorationsCroix de guerre 1914-1918
quatre palmes
modifier 

Le67e régiment d'infanterie (67e RI) est unrégiment d'infanterie de l'Armée de terre françaisecréé sous la Révolution à partir durégiment de Languedoc, unrégiment français d'Ancien Régime.

Création et différentes dénominations

[modifier |modifier le code]

Colonels/chef-de-brigade

[modifier |modifier le code]
  • 1880-1883 : colonel Fradin de Linière ;
  • 1939 : colonel Sallant ;
  •  : lieutenant-colonel Dupret ;
  • ...
  • ...
  • 1957-1959 : colonel Roudière
  • 1968-1970 : colonel de Montferrand
  • 1970-1972 : colonel Jacques Lemaire
  • 1972-1974 : colonel Lombard
  • 1974-1976: colonel Perchet
  • 1976-1978 : colonel Yves Puget
  • 1978-1980 : colonel J. Bérenger
  • 1980-1982 : lieutenant-colonel J. Appolinaire
  • 1982-1984 : colonel D. de Bégon de Larouzière de Montlosier
  • 1984-1986 : colonel Richez
  • 1986-1988 : colonel J Baptiste Charpentier
  • 1988-1990 : colonelAndré Bach
  • 1990-1992 : colonel Richou
  • 1992-1993 : lieutenant-colonel Saliard
  • 1994-1998 : colonel Marc Bréhon

Historique des garnisons, combats et bataille du67e RI

[modifier |modifier le code]

Ancien régime

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Régiment de Languedoc.

67e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Languedoc (1791-1793)

[modifier |modifier le code]

L'ordonnance du1er janvier 1791 fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le termeci-devant, comme67e régiment d'infanterie ci-devant Languedoc.
Chaque régiment n'eut plus qu'un drapeau aux couleurs rouge, blanc et bleu, ayant d'un côté cette inscription :Obéissance à la Loi et de l'autre le numéro du régiment et les noms des actions éclatantes où il s'était trouvé.

Guerres de la Révolution

[modifier |modifier le code]

67e demi-brigade de première formation (1793-1796)

[modifier |modifier le code]

En 1793, lors dupremier amalgame la67e demi-brigade de première formation est formée avec les :

Guerres de la Révolution

[modifier |modifier le code]

Lors dusecond amalgame, la67e demi-brigade de première formation est incorporée dans la58e demi-brigade dedeuxième formation.

67e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)

[modifier |modifier le code]

La67e demi-brigade de deuxième formation est formée le16floréalanIV () par l'amalgame des :

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier |modifier le code]

67e régiment d'infanterie de ligne (1803-1815)

[modifier |modifier le code]
Hautboïste du67e régiment d'infanterie de ligne en 1809-1810, encadré par deux tambours du30e régiment.

Par décret du1ervendémiaireanXII (), lePremier Consul prescrit unenouvelle réorganisation de l'armée française. Il est essentiel de faire remarquer, pour faire comprendre comment, souvent le même régiment avait en même temps des bataillons enAllemagne, enEspagne et enPortugal, ou dans d'autres pays de l'Europe, que, depuis 1808, quelques régiments comptaient jusqu'à 6 bataillons disséminés, par un ou par deux, dans des garnisons lointaines et dans les diverses armées mises sur pied depuis cette date jusqu'en 1815.
Ainsi, le67e régiment d'infanterie de ligne est formé à 3 bataillons avec la1er,2e et3e bataillons de la67e demi-brigade de deuxième formation.

Guerres de l'Empire

[modifier |modifier le code]
Lützen
Bautzen
16-19 octobre :Bataille de Leipzig
batailles de Mâcon
Lyon


Colonels tués ou blessés en commandant le régiment pendant cette période
  • chef de brigade Bontemps blessé le
  • colonel Petit blessé le

Officiers blessés ou tués en servant au67eR.I. entre1804 et1815 :

  • Officiers tués: 22
  • Officiers morts de leurs blessures: 10
  • Officiers blessés: 124

Après la seconde abdication de l'Empereur,Louis XVIIIréorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire duPremier Empire.
A cet effet une ordonnance du licencie l'ensemble des unités militaires françaises.

Le régiment n'est pas recréé, le numéro devient vacant.

67e régiment d'infanterie de ligne (1831-1882)

[modifier |modifier le code]

De 1831 à 1852

[modifier |modifier le code]

Le67e régiment d'infanterie de ligne est formé àAlger par ordonnance du, des volontaires parisiens durégiment de la Charte[1].

Rattaché à l'armée d'Afrique, le67e de ligneparticipe aux campagnes de 1831 à 1835 de laconquête de l'Algérie par la France. En 1831, le régiment s'illustre durant l'expédition de Médéa, lecombat sur le plateau d'Ouara, le, lecombat de Bouffarick, le, l'affaire du défilé de Bouffarick, les 3 et, les combats sous les murs deBougie, les 5 et et l'expédition contre lesHadjoutes en janvier1835.

En mars1846 il intervient lors de la grève des mineurs àSaint-Étienne.

En 1848 et 1849, il est affecté à l'armée des Alpes.

Second Empire

[modifier |modifier le code]

1859 : un bataillon est engarnison à Reims[2]


Article détaillé :Régiment de marche.

De 1871 à 1914

[modifier |modifier le code]

Le, le67e régiment d'infanterie de ligne fusionne avec le67e régiment d'infanterie de marche, formé en décembre 1870.

En 1873, le "six-sept" prend pour la première fois garnison àSoissons.

Intérieur de la caserne Charpentier, le67e rentrant de marche Soissons.

Lors de laréorganisation des corps d'infanterie de1887, le1er bataillon forme le146e régiment d'infanterie.

67e régiment d'infanterie

[modifier |modifier le code]

Première Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]
1914
[modifier |modifier le code]

En1914 le67e régiment d’infanterie part deSoissons dans le cadre de la23e brigade d’infanterie de la12e division d'infanterie.

Du 2 au, la130e brigade (65e DI) est à la disposition de la12e DI.

1915
[modifier |modifier le code]

Du 17 au, violents combatsaux Éparges. Sur ordre dugénéral Dubail, l'attaque commence le. Quatre mines de 1 500 kg sautent ; l'attaque française est lancée par les sapes de l’Ouest que l'on a fait exploser. Après une importante préparation d'artillerie, les éléments de la12e division d’infanterie s’engagent. En riposte, l'état-major allemand décide de reprendre les positions concédées. Entre le 18 et le, attaques et contre-attaques se succèdent sous un bombardement permanent et d'une violence inouïe.

Le au matin, un bataillon du106e régiment d'infanterie (à droite), un bataillon du67e (au centre), et un bataillon du132e (à gauche), après une très rapide préparation d'artillerie, s'élançaient sur les tranchées allemandes et s'en emparaient. Au centre, le67e dépassait même la fameuse crête et dévalait sur les pentes qui descendent versCombres. Les Allemands qui, pendant la nuit, avaient massé dans cette région des forces importantes, se lancèrent aussitôt à la contre-attaque et rejetèrent nos troupes sur leurs positions de départ. Le67e, descendant vers Combres, est pris entre des barrages et, décimé, se replie ; seul le bataillon du132e put se maintenir, pendant quelques heures, dans un petit bois qu'il avait réussi à conquérir.

Au cours de ces rudes journées du 17 au, nos troupes n'avaient pu s'emparer de leurs objectifs. Les Bavarois ont perdu 2 000 hommes tués, blessés ou prisonniers, maisvon Strantz a décidé de tenir coûte que coûte; il fait creuser des abris-cavernes ainsi que des galeries boisées, à 8 mètres sous terre[4],[5].Extrait de l'ordre généralno 137 de la1re arméeno 5 106 du.17 au — cite à l’ordre de l’armée, unités ou fractions d'unités : Les mérites du106e Régiment d'Infanterie, du1er bataillon du67e R.I, de la compagnie 14/15 du4e régiment du génie et de la4e pièce de la9e batterie du25e régiment d'artillerie de campagne sont consacrés par les textes qui suivent :1er bataillon du67e régiment d'infanterie : Sous un feu d’une extrême violence, s’est élancé à l’assaut d’une crête transformée par l’ennemi en véritable forteresse et s’en est rendu maître.

– Engagé sur place dans la1re bataille de laWoëvre :

Au Point C, crête des Eparges

En date du : la12e D.I est aux ordres du Gal PaulinierObjectif primaire : s’emparer de l’éperon Est afin d’avoir des vues directes sur les secondes lignes allemandes.Objectif secondaire : s’emparer du bastion Ouest et de la courtine reliant les deux bastions

En date du : Ordre à la12e D.I : Objectif : Partant de la base B, Sape 11, N et O, atteindre le mamelon C et la crête D – X où ils s’installeront. Ces régiments auront en outre à assurer la garde des tranchées de première ligne.Limite droite : boyau T et le point K zéro, Limite Gauche : Corne Sud-est du bois.Limite de l’attaque : au-delà de la dernière tranchée jusqu’à la crête militaire, afin de battre les pentes sur Combres.

Unités concernées :24e brigade (106e et132e R.I ). Aux ordres du Gal Cdt la12e D.I : les deux bataillons restants du67e R.I (tranchée de Calonnes) et le25e B.C.P (Rupt en Woëvre)

Appui : La24e brigade sera renforcée d’un bataillon du67e R.I, en réserve à Montgirmont, du groupe d’artillerie de campagne du46e R.A de la côte des Hures, et des Cies du Génie 6/4, 6/4 bis, 6/5 et 4/13.

Articulation: 106e R.I à droite, formation triangle pointe en avant, de B et Sape 11, ayant pour objectif du Mamelon C au Point D, crête militaire incluse.132e R.I à gauche, même formation, à partir de la ligne N, i et O’, ayant pour objectif les points E’, K et X (point X en deuxième objectif).Pivot des 106 et132e R.I : point D2.

En date du :h 0 : les11e et12e Cies du67e RI renforcées à gauche par la7eCie du132e RI s’appuyant sur le1er bataillon du 132 (Cdt Rayer), traversent les positions tenues et partent à l’assaut des Points X et I. Les6e et8e Cies (132e RI) attaquent sur I, E et D. L’attaque est clouée par des tirs de mitrailleuse allemandes venant des Points X et K.Les deux compagnies du67e RI qui attaquèrent le point X le àh 0 faisaient partie du3e Bataillon (Bn Arth).La compagnie de droite (Cie Thil =12eCie) marche vers les points S.F La compagnie de gauche (Cie Duval = ?Cie, certainement11e) progresse vers la tranchée alpha.

h 30 : Les unités françaises étant maintenues sur leurs lignes, violente contre-attaque allemande sur le Mamelon C et le Point D2 (jonction des106e et132e R.I). Le rapport de force étant trop inégal, les Allemands, au combat au corps à corps, reprennent le Mamelon C.15 h 0 : violents tirs de barrage de l’artillerie française sur les points C, D, E.16 h 0 : contre-attaque française. Le106e RI reprend le Mamelon C, le132e RI (renforcé du1er bataillon (Cdt Duffié) du67e R.I reprend la ligne D, E, puis la ligne I, S. L’ennemi recule, le132e R.I avance jusqu’à D2. Le bataillon Rayer et les6e et8e Cies du132e atteignent le versant Sud. Le1er bataillon du67e (Bn Duffie) marche à16 h 0 sur X.I. puis sur XK appuyé par les 2 Cies du Bn Arth.

Insigne de bras gauche du grade de caporal du67e R.I

En date du :h 15 : Violente contre-attaque allemande. Les deux R.I ne peuvent plus bénéficier de l’appui de l’artillerie française (les lignes de front sont trop imbriquées).h 0 : Les Unités françaises sont contraintes au repli.h 10 : ordre est donné au25e BCP de monter en ligne.13 h 15 : tirs de barrage de l’artillerie allemande suivi, dans la foulée, d’une contre-attaque allemande face au106e et132e RI. Débordé, le106e RI perd à nouveau le Mamelon C. Mais la contre-attaque est enrayée.15 h 30 : les 106 et132e R.I reçoivent l’ordre de repartir à l’assaut appuyés par le25e BCP plus toutes les réserves des106e, 132e et67e RI.16 h 30 : le L-cl Barjonnet, commandant le106e RI est blessé au combat.16 h 45 : l’heure de l’assaut est reportée.17 h 15 : le Cdt Rayer est blessé au combat.17 h 30 : l’assaut est définitivement reporté au lendemain.19 h 0 : les Français, le, ont été presque ramenés sur leurs bases du.23 h 0 : le106e RI tente des contre-attaques, sans succès[6].Le5 avril, par un temps exécrable, la12e DI dugénéral Paulinier, sans relève envisagée, poursuit la mission de reprise des Éparges, entamée depuis le. La24e brigade ducolonel Gramat se lance à l’assaut de la crête. Le106e RI doit s’emparer du mamelon C à droite, et le132e RI du point X à gauche. Trois bataillons ont été placés en réserve surRupt-en-Woëvre et latranchée de Calonne. Malgré la boue, les Français s’emparent du point C mais n’empêchent pas les renforts ennemis d’arriver au point X. En soirée, les Français tiennent la crête, mais le au matin, les Allemands les submergent et reprennent le point C. Avec l’aide de l’artillerie, les Français sont de retour sur le point C en fin de journée avec d’importantes pertes de part et d’autre. Le mauvais temps ayant empêché les réglages d’artillerie, la plaine de la Woëvre transformée en marécage, force est de constater qu’au soir du, « la manœuvre en tenaille » a échoué. Les Éparges restent donc le seul point d’ancrage de l’effort destiné à briser le front ennemi.

    • Le, enlèvement de la crête des Éparges.

La tâche, si ardue, se termine dans la période du 5 au, par l’encerclement du point X., clef de la position de cette crête des Éparges d’où chacun veut dominer et arrêter son adversaire. L’honneur de l’enlèvement de cette position revient à 4 compagnies du132e et à 2 compagnies du67e. C’est le qu’une fraction de la7e compagnie (compagnie de gauche) du132e a atteint, au prix d’efforts inouïs, le but de sa mission et s’est jetée sur les derrières de la défense ennemie du point X., prenant pied dans les boyaux de communication menant à Saulx à leur intersection avec le boyau de Combres. Ces braves étaient au nombre de 40[7].

    • – Mouvement vers le camp de Noblette. Engagé, du 25 au, vers Souain, dans la2e bataille de Champagne (3).

Du au, la6e brigade (3e D.I.) est à la disposition de la12e D.I.
Du au, la
48e brigade (24e D.I.) est à la disposition de la12e D.I.
Le, la
2e brigade coloniale (15e D.I.C.) est à la disposition de la12e D.I. )

1916
[modifier |modifier le code]

1er - – Retrait du front ; repos au nord de Châlons-sur-Marne.À partir du 10, transport par V.F. dans la région deLaheycourt.Repos vers Vaubécourt.

Engagé, à partir du, vers la ferme de Bois-l'Abbé, dans labataille de la Somme : Attaques françaises des, 7 et.

1917
[modifier |modifier le code]

À partir du 16 avril, il est engagé dans la2e Bataille de l'Aisne : progression, en2e ligne, à l'ouest deCraonne.

1918
[modifier |modifier le code]

– transport par VF dans la région de Montdidier.Engagé, vers Braches, à partir du 26, dans la bataille de l'Avre (2e bataille de Picardie).À la fin d'août, Engagé dans la poussée vers la ligne Hindenburg :À partir du, Engagé dans la bataille de la Lys et de l'Escaut (2e bataille de BELGIQUE) : Combats et progression jusque dans la région d'Eyne.

Entre-deux-guerres

[modifier |modifier le code]

Dans l'entre-deux-guerres, le régiment reste en garnison àSoissons, avec un bataillon (3e) àCompiègne (aucamp de Royallieu). Ce dernier participe à l'occupation de la Ruhr de 1923 à 1925[8].

Seconde Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]
Drôle de guerre
[modifier |modifier le code]
Article connexe :drôle de guerre.

Le67e régiment d'infanterie est l'un des trois régiments d'infanterie de la3e division d'infanterie motorisée, cette division est placée en réserve de la2e armée[9] qui doit en premier lieu protéger laligne Maginot d'une manœuvre de contournement.

Bataille de France
[modifier |modifier le code]
Articles connexes :bataille de France etbataille de Stonne.

Le67e se bat avec les soldats des51e et91e RI en notamment surStonne (le« Verdun de 1940 ») etle Mont-Dieu. Les dernières unités combattantes sont capturées le, après de violents combats et une retraite difficile.
Son chef de corps, le lieutenant-colonel Dupret, est lui aussi capturé.
Le régiment est dissous lors de l'armistice et ses éléments d'active sont versés au150e R.I.

De1945 à nos jours

[modifier |modifier le code]

Drapeau

[modifier |modifier le code]
Fourragère aux couleurs de la Médaille militaire
Fourragère aux couleurs de la Médaille militaire

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[10] :

Décorations

[modifier |modifier le code]

Sa cravate est décorée de laCroix de guerre 1914-1918avec quatre citations à l'ordre de l'armée.

Il a le droit au port de lafourragère aux couleurs du ruban de lamédaille militaire décernée le.

Personnalités

[modifier |modifier le code]

Devise

[modifier |modifier le code]

Bec et ongle

Sources et bibliographie

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Mémoire au roi, présenté par les officiers du1er régiment de la charte.
  2. Jacques Pernet et Michel Hubert,La Garnison de Reims 1852-1939, Saint-Cyr-sur-Loire, éditions Alan Sutton,, 94 p.(ISBN 978-2-84910-210-7 et2-84910-210-5)
    Collection Mémoire en Images
  3. Opération du13e corps et de la3e armée durant leSiège de Paris (1870) par legénéral Vinoy, pages 7 et 15
  4. Histoire illustrée de la guerre 1914,Gabriel Hanotaux de l’Académie française. Édition française illustrée, Paris. 1922 vol 13.p. 212-213.
  5. Le calvaire des Eparges, H. Raymondaud, in "Almanach du Combattant", 1970. Souvenirs février – avril 1915.
  6. de Fériet (commandant R.),La Crête des Éparges, 1914-1918, Payot, Paris, 1939, 210 pages
  7. Les grandes heures de 1915 – la guerre des tranchées, Général Mordacq, PLON, 1939
  8. Michel Dichard, « Compiègne, ville de garnison (1871-1975) »,Annales historiques compiégnoises,‎,p. 13-24(lire en ligne)
  9. Jean-YvesMary,Le corridor des Panzers : Par delà la Meuse 10 - 15 mai 1940,t. I, Bayeux,Heimdal,, 462 p.(ISBN 978-2-84048-270-3 et2-84048-270-3),p. 443.
  10. Décisionno 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées,no 27, 9 novembre 2007
  11. selon la citation de saCroix de guerre.
  12. «  : le jour le plus meurtrier de l'histoire de l'armée française »,L'Obs,‎(lire en ligne)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Historique etréorganisations del'infanterieInsigne de béret de l'infanterie
Régiment d'infanterie d'active
(Infanterie de ligne)
Régiment d'infanterie de réserve
(Infanterie de ligne)
Régiment d'infanteriede marche
(Infanterie de ligne)
Régiment d'infanterie provisoire
Demi-brigades d'infanterie de ligne
Régiments d’infanterie territoriaux
Régiments d'infanterie légère
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=67e_régiment_d%27infanterie_(France)&oldid=229318917 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp