Laprise de la Bastille en1789 et laRévolution française qui va suivre va tourner la page « suisse » du régiment. Ainsi dans un souci d'égalité et en vertu des principes de la Révolution, le régiment, à la suite du décret du, perd son appellation « de Castella », noblesse oblige, et sa dénomination de régiment « suisse », étant au service de la France et donc français. Il sera désormais nommé, comme les 104 autres régiments français, par son numéro d'ordre de création dans l'histoire de France. Il était, dans cet ordre, le « 66e régiment d'infanterie ».
Uniforme du régiment suisse « De castella » de 1776 à 1791
L’Assemblée constituante avait le projet de dissoudre la plupart des unités militaires de l'Ancien Régime et de les remplacer par des unités constituées devolontaires nationaux. Ce projet prend forme officielle le 21 juin 1791. Ces volontaires n'étant pas assez encadrés et expérimentés, l'Assemblée législative proposa et refusera leurs « amalgames » avec les membres d'anciens régiments royaux, nous sommes le 22 janvier 1792. Finalement laConvention nationale décide de renommer le 26 février 1793 lesrégiments en « demi-brigades de bataille ».
Le, le régiment est mis en garnison àMetz. Il fait alors partie de l’armée du Nord, sous les ordres dugénéral Rochambeau, il cantonne dans son intégralité le àVillers-Pol. À la suite de laprise des Tuileries en 1792 et la résistance desgardes suisses, le régiment (encore essentiellement composé de Suisses) est pour la première fois de son histoire dissous le 20 août 1792 àTroyes. Les hommes qui souhaitaient rester au service de la France furent pour l'essentiel (500 hommes) versés dans la légion deLuckner.
Après de multiples débats stériles concernant « l'amalgame » de ces volontaires avec des soldats de métier, il fut décidé, le 8 janvier 1794, que cet amalgame serait enfin possible. Aussi chacune de ces « demi-brigades de bataille » seraient désormais composées dans les proportions suivantes :
D'un bataillon composé d'anciens militaires royaux.
Cette vacance dans les numérotations sera de courte durée, en effet, le chiffre 66 est redonné dès le (13 prairial de l'anIV). À cette date une nouvelle unité d'infanterie va être numérotée « 66 » et elle est exclusivement composée de volontaires nationaux. Ce sera la « demi-brigade duFinistère » qui participait, au moment de sa nouvelle numérotation, à la premièreguerre de Vendée et qui jusqu'ici n'avait aucun numéro d'appellation. C'est donc le qu'elle fut rebaptisée réglementairement ; « 66e demi-brigade d'infanterie de deuxième formation ».
1802 à 1812 :Basse-Terre, le régiment est envoyé sous les ordres dugénéralRichepanse contre « la révolte des nègres » deLouis Delgrès. Le régiment poursuit Delgrès et ses hommes jusqu'àMatouba où il se donne la mort. Les derniers récalcitrants de l'île sont achevés au lieu-dit « Bel-Air ». La poursuite continue sur les îles avoisinantes :Îles des Saintes,Saint-Martin.
LaGuadeloupe, par leTraité de Paris étant de nouveau française, le régiment forme trois bataillons pour occuper l'île, sous les ordres du colonel Louis-Francois Vatable son ancien colonel sur l'île.
D'une part enEurope les anciens membres fidèles à Napoléon faisaient partie des premiers à suivre Napoléon de l'Île d'Elbe. Ils feront partie, pendant ce retour de Napoléon, ducorps d'observation des Pyrénées.
Rentrée en France des compagnies 3 et 4 d'Oran et 1 et 2 d'Ancône. Elles se réunissent et reforme le régiment au complet dans la ville deLyon au mois de juillet de cette année.
Intervient lors de la grève des mineurs deSaint-Étienne. ÀOutre-Furan, les tirs sans sommation délivrés par le régiment sous les ordres du général Charron coûtent la vie à 6 personnes.
Siège de Metz (1870) du 20 août au 27 octobre 1870. Lors de la capitulation le régiment part dans son intégralité en captivité. Il a perdu en tout au long de ce siège : 34 officiers et 1 333 hommes (tués et blessés).
Le régiment est créé le 11 décembre 1870 dans la ville deTours sous les ordres du lieutenant-colonel Le Corbeiller. Ce régiment combat dans le cadre de la2earmée de la Loire. Il était composé de jeunes appelés de la classe 1870 deTouraine. Il fait partie de la1rebrigade d'infanterie de laLoire, commandée par le général Ritter. Cette dernière entrait dans la composition de la1redivision d'infanterie de la Loire du général (à titre provisoire) Bardin et du19ecorps d'armée de la Loire du général Dargent.
Le 12 décembre, juste après sa création, cette nouvelle unité est envoyée àCherbourg où elle arrive le 27 décembre. Elle ne combattra quasiment pas contre lesPrussiens. Elle reculera comme toute l'armée de la Loire, dans l'extrême rigueur de l'hiver 1870 et les privations alimentaires. Toutefois on peut noter qu'elle participa, avec les hommes du88e régiment de la garde mobile, aux derniers combats de la guerre àSaint-Melaine le 18 janvier 1871. L'armistice et signé le 28 janvier 1871, il est reconduit le jusqu'au 12 mars. Letraité préliminaire de paix du 26 février 1871 est signé entre-temps.
Le régiment"de marche" rentre à Tours, le 14 mars 1871. Ce régiment est envoyé pour mater la commune deLimoges. Le 6 avril, la ville est en état de siège, les troupes rétablissent l'ordre sans un seul coup de fusil. Le1er mai, le3e bataillon est envoyé àLyon pour y rétablir l'ordre et y reste stationné jusqu'au 14 juin.
La jeuneTroisième République le fait vivre au rythme des diverses réformes de sonministère de la Guerre, avec par exemple en 1882, le retrait de son appellation « de ligne » comme tous les régiments d'infanterie en France. 1905 voit la fin dutirage au sort par la loi du 21 mars 1905, du gouvernement deMaurice Rouvier. Leservice militaire en France devient obligatoire pour une durée de deux ans : l'impôt du sang.Le régiment doit donc mettre en place leservice national à partir de 1905.
En 1913, laLoi des trois ans est finalement votée cette nouvelle loi porte à trois ans le service pour les jeunesconscrits. Ainsi, lorsque laGrande Guerre éclatera en août1914, certains jeunes hommes seront privés de leurs proches pendant 6 ans, 7 ans et dans certains cas 8 ans, quand ce n'était pas pour toujours.
Au départ du régiment l'effectif total est de 55officiers, 3356sous-officiers etsoldats du rangs et 182 chevaux[10]. Après une prise d'arme place de la gare à Tours, le régiments est transporté sur le front par trois trains différents transportant chacun un bataillon et une section de mitrailleuse[10].
8 septembre 1914, le régiment est positionné dans les boisd'Œuvy, dans laMarne au sud de laFère-Champenoise. Les positions du régiment sont découvertes au petit matin par l'armée allemande, celle-ci va positionner son artillerie sur les positions du régiment qui se trouvaient alors en tête de dispositif et donc totalement isolées. À 3 heures et demie du matin un bombardement très dense de tous calibres se déchaîne sur le régiment. Ce bombardement débouche sur une attaque massive de l'infanterie allemande dont l'objectif est d'encercler le régiment. Le colonel du régiment demande à modifier les positions pour protéger ses hommes d'une part et d'autre part réorganiser une ligne de défense, l'état-major lui répond : « L'ordre est d'être dans le bois, restez y ». En conséquence de cet ordre, le régiment reste sur place, la plupart des officiers sont tués et les hommes refluent dans le plus grand désordre. En fin de journée 1 287 hommes manquaient à l'appel.
« Des hommes se roulaient à terre, convulsés, toussant, vomissant, crachant le sang. La panique était extrême. Nous étouffions dans un brouillard de chlore. D’un bout de l’horizon à l’autre, le ciel était opaque, d’un vert étrange et sinistre. »
Lorraine-Arracourt-Parroy, août 1917 à fin 1917. Une nouvelle fois cité à l'ordre de l'armée le 17 août 1917[25] (ordreno 294 de laXe armée[26]). Cette citation ouvre aux hommes du régiment le droit au port dela fourragère aux couleurs de lacroix de guerre 14-18. Cette fourragère est attachée au drapeau du "six-six" par le général Pétain, à l'occasion d'une revue, le 12 septembre 1917 au camp deGondrecourt.
Verdun, d'août à octobre 1918. Pour les combats du 8 au 11 octobre 1918, le régiment reçoit sa dernière citation à l'ordre de l'armée le 14 octobre 1918[31] signée duGQG par Petain (Ordreno 1380 de laIIe armée[32]).
Le 19 septembre 1919 le3e Bataillon part du port deToulon versConstantinople sur le vapeur Duguay-Trouin. À son arrivée et pendant toute son occupation de Constantinople, il casernera dans la "Caserne Galliéni" (Beyazıt Devlet Kütüphanesi).
Le 7 septembre 1920 le corps d'occupation de Constantinople (C.O.C) est rendu autonome de l'armée d'orient. Le C.O.C était composé de neuf bataillons d'infanterie provenant de diverses unités de l'armée française, dont notamment le3e bataillon du66e RI.
À cette date il fut décidé que les neuf bataillons stationnés dans la ville seraient tous regroupés dans des régiments différents selon leurs origines Ethnique. Ainsi il y eut trois régiments formés pour occuper Constantinople :
10 mai : ordre d'exécution de la manœuvre générale "Dyle-Breda".
12 mai : le pont de Houx tenu par le régiment saute à 15h. 16h, arrivée de la5e Panzerdivision sur la rive opposée.
13 mai : au petit matin, laWehrmacht profite d'un brouillard épais pour traverser la Meuse avec des canots pneumatiques. "De minute en minute, le tir ennemi devenait plus gênant et plus loin nos bateaux étaient détruits par le feu flanquant des Français"[37].
14 mai : le régiment résiste tant bien que mal et recule en bon ordre au niveau deFalaën, mais la Meuse est franchie.
Vers 13h, les deuxcanons antichars du régiment sont détruits. À partir de ce moment, il faut bien garder à l'esprit que le régiment ne dispose plus de moyen de lutte contre deschars d'assaut, d'où la retraite irréversible qui suit.
18 mai : des éléments isolés du régiment se battent àCrèvecœur-sur-l'Escaut et sont faits prisonniers.
23 mai : des éléments dispersés du régiment sont regroupés àLa Bassée.
24 mai : ces éléments se battent dans le cadre de la défense du camp deSteenvoorde. Attaque des chars allemands. Là, les restes du six-six (8 officiers et 450 hommes) sont versés au110e régiment d'infanterie. Ils sont immédiatement déployés au sud-est deSaint-Amand (Pas-de-Calais). Attaque des chars allemands. Ils se battront jusqu'à l'évacuation àDunkerque des derniers rescapés de la bataille.
25 mai : les restes du régiment, éparpillés un peu partout en France, ainsi que les rapatriés d'Angleterre sont regroupés aucamp de la courtine. Là le régiment est dissous, le drapeau stocké dans le camp. Les restes formeront la première compagnie du90e régiment d'infanterie.
Au moment de sa dissolution, le régiment déplorera la perte, lors de la campagne de France et pendant la drôle de guerre, d'un total de 142 morts (10 officiers, 11 sous-officiers et 121 hommes du rang).
Cette compagnie fut transformée le 6 juin 1964 en bataillon, date de la prise effective de commandement du commandant Dauphin. À partir de cette date cette unité prit la dénomination suivante :66e bataillon d'infanterie.
Sa cravate est décorée de laCroix de guerre 1914-1918 avec cinq citations à l'ordre de l'armée, deux citations à l'ordre du corps d'armée.Une citation à l'ordre du détachement d'armée de Belgique (armée française détachée auprès de l'armée belge en 1915). Les hommes du régiment ont droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de laMédaille militaire.
Médaille militaire
Croix de guerre avec 5 Palmes et deux étoiles.
La fourragère au couleur de la médaille militaire.
La devise du régiment relève d'une anecdote non datée précisément. Ce serait au cours d'une bataille napoléonienne qu'il prit pour devise « sans tabac ». En effet, le régiment remporta seul une victoire décisive, alors que les autres éléments de sa brigade prenaient part à une distribution de tabac. Le66e régiment d'infanterie remporta donc seul cette victoire, sans tabac.
1815 : Le régiment fut lors des 100 jours le dernier à porter le drapeau et à se battre pour la cause napoléonienne enGuadeloupe. Le drapeau du régiment fut capturé par l'armée anglaise, il est actuellement conservé dans le réfectoire de l’Hôpital royal de Chelsea.
↑Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 159
↑Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
↑Alfred-Hippolyte Dumay (capitaine) (fond : Service Historique de la Défense),Historique du 66e régiment d'infanterie, 1672-1900, Tours, E. Arrault et Cie,, 30-01-00 éd., 127 p.,p. 73 / 127.
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↑Alfred-Hippolyte Dumay (capitaine) (fond : Service Historique de la Défense),Historique du 66e régiment d'infanterie, 1672-1900, Tours, E. Arrault et Cie,, 30-01-00 éd., 127 p.,p. 74 / 127.
↑Brecht (capitaine) (fond : BNF),Précis de l'historique du 66e régiment d'infanterie : depuis sa création, en 1672, jusqu'à nos jours., Tours, Impr. de Juliot., (réimpr. 1885), 46 p.,p. 25 / 46.
↑Source JMO régimentaire, recoupé pour les grades avec l'annuaire des officiers arrêté à la date de janvier 1914. Seul un nom reste illisible dans le JMO et introuvable dans l'annuaire (4e compagine:lieutenant de LEPREVRIER).
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↑Fabien Pineau (sergent) (fond : collection privée Louis Descols),Le SIX-SIX à la guerre de 1914-1918, Tours, Bardo & Gallon,, aucun éd., 63 p.(lire en ligne),p. 14 / 63.
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↑collectif (fond : BNF. Tolbiac. Cote 8- LF207- 671),Hommage des Tourangelles au Six-Six, septembre 1919. : Fêtes du retour des 66e et 266e R.I. et du 70e R.I.T. Récit des fêtes, discours, illustrations et poésies extraites du "Livre d'or", Tours,Mame,, aucun éd., 47 p.(lire en ligne),p. 17 / 47.
↑collectif (fond : BNF. Tolbiac. Cote: JO- 77912),Sans tabac. Bulletin annuel de l'Association des anciens combattants du 66e R.I. Tours, janv. 1938 (n° 16), Tours, IMP.Mariotton,, aucun éd., 24 p.(lire en ligne),p. 15-16 / 24.
↑J.DALAT (fond : collection privée Louis Descols),Les 66me et 90me R.I AU COMBAT en 1939-1940, Poitier, P.OUDIN,, 119 p.,p. 111/114.
↑Erwin Rommel (fond : collection privée Louis Descols),Erwin Rommel. La guerre sans haine : Carnets de guerre, Nouveau monde, aucun éd., 63 p.,p. 36 / 37.
↑Dauphin (commandant) (fond : Archives municipales de la ville de Tours, cote 41Z9),Présentation du 66e BI aux jeunes officiers de la 10e région militaire (Tours) : Rapport émis à la suite de l’ordre n°1181 du colonel Breil commandant la région, St Eloi, Tours, s.n.?,, 9 p., Annexe II.
↑L'arc de triomphe de l’étoile et le soldat inconnu : cote 41Z9 (fond : Archives municipales de la ville de Tours), St Eloi Tours, s.n.?,,p. 47 à 48.
↑Fonds de l'amicale des 32e et 232e régiments d'infanterie de ligne : cote 41Z9 (fond : Archives municipales de la ville de Tours), St Eloi Tours, s.n.?, entre-deux-guerres.
Série 41 Z des archives municipales de la ville de Tours. Fonds des anciens combattants des32e et66e RI. (XXe siècle).
Guerre de 1870 :
Souvenirs et observations sur la campagne de 1870 (armée du Rhin), depuis notre départ du camp de Châlons (14 juillet) jusqu'à la capitulation de Metz, travail rédigé durant ma captivité à Lübeck, d'après mes notes personnelles prises au jour le jour comme lieutenant au66e régiment d'infanterie. Appendice : Siège de Paris contre la Commune, du général Anne Albert Devaureix, H. Charles-Lavauzelle, 1909.(BNF. Tolbiac. Cote 8- LH4- 2564.)
Journal de marche du66e régiment d'infanterie en 14-18 (SHD. Vincennes. Carton 26N657/13, /14, /15, /16, numérisés voir lesliens externes en fin de l'article).
Journal de marche de la35e brigade d'infanterie (SHD. Vincennes. Carton 26N505/11, /12, /13, numérisés voir lesliens externes en fin de l'article).