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501e régiment de chars de combat

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501e régiment de chars de combat
Image illustrative de l’article 501e régiment de chars de combat
Insigne régimentaire du 501e RCC

Création1918
PaysDrapeau de la FranceFrance
BrancheArmée de terre
TypeArme blindée cavalerie
RôleRégiment dechars de combat
Fait partie de2e brigade blindée de la3e division
GarnisonMourmelon-le-Grand (Marne)
Devise"En tuer !" et "501, France libre !"
Inscriptions sur l’emblèmeL'Aisne 1918
Soissonnais 1918
Champagne 1918
Belgique 1918
El-Alamein 1942
Paris 1944
Strasbourg 1944
AnniversaireSaint Georges (23 avril) et Berry-au-Bac (16 avril)
GuerresPremière Guerre mondiale
Guerre civile russe
Deuxième Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Fourragères- Aux couleurs du ruban de laCroix de guerre 1914-1918
avec olive aux couleurs du ruban de laCroix de guerre 1914-1918 et olive aux couleurs du ruban de laCroix de guerre 1939-1945
- Aux couleurs du ruban de laCroix de la Libération
Décorations-Croix de guerre 1914-1918
trois palmes et une étoile de vermeil au titre du 1er bataillon de chars légers

-Croix de guerre 1939-1945
deux palmes
-Croix de la Libération
-Presidential Unit Citation
-Croix de la valeur militaire avec étoile de vermeil (2022 au titre de l'opération Sangaris) et étoile de bronze (2024 au titre de l'opération Barkhane 2016-2022).

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Le501e régiment de chars de combat est une unité dechars, créée le pendant laPremière Guerre mondiale.

Premier des régiments de l'artillerie spéciale puis deschars de combat, il est dissous au début de laSeconde Guerre mondiale. Recréé en 1943 à partir des unités de chars de laFrance libre, il participe notamment à lalibération de la France au sein de la2e division blindée du généralLeclerc.

Amalgamé un temps au503e RCC avec lequel il forme le501e-503e régiment de chars de combat, le régiment, stationné àMourmelon, a repris son nom le.

Création et différentes dénominations

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Chefs de corps

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  • 1918 : Chef d'escadron puis Lt-colonel Velpry
  • 1939 : Colonel Salvagnac
  • 08.08.1944/02.09.1944 : Colonel Warabiot
  • 02.09.1944/25.03.1945 : Colonel Cantarel*****
  • 25.03.1945/.......... : Lt-colonel Delepierre
  • 01.03.1947/23.04.1950 : Colonel Georges Lesage
  • 1951 Colonel Henry d'Anglejan
  • 1958 : Lt-colonel François de Torquat
  • 1961 : Lalo
  • 1963 : Fournier
  • 1965 : Y. Michaut
  • 1968 : Philiponnat
  • 1970 : Lewin
  • 1972 : Colonel de la Rochette de Rochegonde
  • 1974 : Colonel Courtois
  • 1976 : Colonel Espieux
  • 1978 : Colonel Arnold ***
  • 1980 : Colonel Bouchet
  • 1982 : Colonel Genest
  • 1984 : Colonel Guinard
  • 1986 : Colonel Roux
  • 1988 : Colonel de Fontaine
  • 1990 : Colonel Aumonier **
  • 1992 : ColonelCuche *****
  • 1994 : Colonel Vauvillier
  • 1996 : Colonel Proust
  • 1998 : Colonel de Castelbajac
  • 2000 : Colonel Maguin **
  • 2002 : Colonel Temporel
  • 2004 : Colonel Pesqueur
  • 2006 : Colonel Bossion
  • 2008 : Colonel Gelfi
  • 2009 : Colonel Nimser ***
  • 2010 : Colonel Reichert
  • 2012 : Colonel Charpy ***
  • 2014 : Colonel Mary
  • 2016 : Colonel Dufilhol **
  • 2018 : Colonel Colombani
  • 2020 : Colonel Oldra
  • 2022 : Colonel Leroy
  • 2024 : Colonel Clément

Historique des garnisons, campagnes et batailles

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Première Guerre mondiale

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Char Schneider du groupementAS I en mai 1918

Le, sous les ordres du chef d'escadron Bossut, 132 chars Schneider attaquent àBerry-au-Bac. À partir de ce premier groupement de chars, est créé le[1], le501e régiment d'artillerie d'assaut (501e RAS).

Il était composé initialement du groupement I constitué de chars Schneider et des1er et2e bataillons de chars légers (1er et2e BCL), créés respectivement les et au camp deChamplieu, et équipés de charsRenault FT. Le3e bataillon de chars légers, formé le à Champlieu, est initialement affecté au508e RAS puis est transféré au501e à compter du[2].

Chaque bataillon de chars légers comprenait trois compagnies numérotées à partir de 301[3]. La composition du régiment est donc la suivante fin[4] :

  • Commandant : chef de bataillon Velpry

Entre-deux-guerres

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Fin 1918, le régiment, maintenant constitué d'une compagnie hors-rang, de trois bataillons de chars légers (type FT) et d'un groupement de chars lourdsMark V, est regroupé dans la région deVerberie etSenlis[4].

Chars FT du501e RAS (AS 303) àOdessa en 1919.

La compagnie AS 303, arrivée àSalonique en octobre 1918[4], est engagée au sein de l'armée de l'Orient enCrimée où elle contient larévolution bolchévique jusqu'en. Elle perd six de sa vingtaine de chars FT lors des combats en février-mars 1919[5]. Le reste du1er bataillon de chars légers rejoint l'armée du Danube en juin[4].

Les2e et3e bataillons de chars légers s'installent àTours en juillet 1919, tandis que le groupement de chars lourds va àChâteaudun. Le1er bataillon de chars légers, après avoir cédé son matériel à l'Armée roumaine arrive à Tours en novembre 1919. Seule la compagnie AS 303 reste à l'armée d'Orient dans la région deConstantinople et est rattachée à ladivision de marche d'Orient puis aucorps d'occupation de Constantinople[6]. Elle rejoint leLevant français en 1922[7] et devient la40e compagnie du61e bataillon de chars légers[4].

Char FT enHaute-Silésie début 1921.

Par décision du, le régiment prend le nom de501e régiment de chars blindés car les chars cessent d'être rattachés à l'artillerie mais passent sous la direction de l'infanterie[8]. Fin 1920, la compagnie AS 304 est envoyée enSilésie à l'approche duplébiscite de Haute-Silésie (elle rentrera en juillet 1922)[4].

En avril 1922, le groupement lourd et ses Mark V passent au508e régiment de chars deChâlons-sur-Marne. En juillet, les bataillons perdent leur appellation propre puis les compagnies sont renumérotées de 1 à 9[4].

Le régiment prend son nom définitif,501e régiment de chars de combat, en 1923[8]. Le, les7e à9e compagnies (IIIe bataillon) rejoignent le516e RCC créé àLunéville[4].

Le régiment conserve ses chars FT jusqu'à leur remplacement par desRenault R35 en 1937[4].

Seconde Guerre mondiale

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Dissolution du régiment

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Lorsque laSeconde Guerre mondiale éclate, le501e RCC est dissous et forme quatre bataillons de chars : les1er et2e BCC, respectivement issus des1er et2e bataillons du501e RCC et comprenant chacun 45 charsRenault R35, et les30e et31e BCC formés à partir deréservistes et équipés de 63 chars FT provenant de stocks de réserve. Tandis que les1er,2e et31e BCC rejoignent administrativement legroupe de bataillons de chars (GBC) 501 et sont affectés à la5e armée, le30e BCC rejoint le GBC 520 de la3e armée.

Compagnies de chars de la France libre

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La1re compagnie de chars de combat de la France libre durant lacampagne du Gabon.

À partir de la342e compagnie autonome de chars de combat deretour de Narvik, dont une quinzaine de volontaires rejoignent laFrance libre, va être donné naissance à la1re compagnie autonome de chars de la France libre et participe à lacampagne du Gabon. En 1941, elle est engagée dans lescombats de Syrie avec ses charsH39 d'origine puis sert en 1942 dans les rangs de laVIII armée Britannique qui opérait à partir de l'Égypte. Équipée du char de combat BritanniqueCrusader, la compagnie appartient alors à la "colonne volante" avec les spahis du1er RMSM et participe à lagrande bataille d'El Alamein. En 1943, elle participe à labataille de Medenine.

Nouvelle formation

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Le général Leclerc discute avec des soldats du501e RCC en 1944.

Les2e et3e compagnies de chars des FFL, créées en 1941, fusionnent le avec la1re compagnie pour reconstituer le régiment àSabratha enTripolitaine (le régiment s'articule alors en quatre compagnies de combat)[9].

Le char Arcis-sur-Aube[10] et son équipage (campagne d'Alsace, décembre 1944).

Après avoir rejoint l'Angleterre avec la2e DB, en[11], le501e débarque le, aux Bancs de Grand Vey, sur la côte nord-est deCarentan. Il entreprend alors une marche victorieuse jalonnée par lalibération de Paris les 24 et, puiscelle de Strasbourg.

Le régiment finit la campagne en pénétrant, le, dansBerchtesgaden où il s'empare duBerghof, demeure préférée deHitler[9]. En 10 mois de campagne, le régiment a infligé aux troupes de l'Axe les pertes suivantes : 78 chars, 90 canons, 150 véhicules et fait plus de 6 000 prisonniers, dont le généralvon Choltitz, qui commandait les troupes allemandes àParis.
Il reçoit du commandement américain la « Presidential Unit Citation ».
À la fin de la campagne, legénéral Leclerc dira « Jamais le501e ne m'a déçu »[12]. 25 hommes ayant appartenu aux compagnies de chars de la France libre et au501e RCC ont été nomméscompagnon de la Libération[9].

De 1945 à nos jours

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Une compagnie de marche, constituée le avec des volontaires du501e RCC mais aussi des12e cuirassiers et12e chasseurs d'Afrique, embarque pour l'Indochine avec leGroupement de marche de la2e division blindée. Formée de trois sections de sixchars légers M5A1, elle opère enCochinchine puis auTonkin. La compagnie est dissoute dès novembre 1946, en même temps que le reste du groupement[13],[14],[15].

Le régiment lui-même s'installe àAlençon en novembre 1945 puis àRambouillet en mai1946. Il est engagé en Centre Europe (Guerre Froide),Sénégal (1982),Liban (1984),République centrafricaine (depuis 1985), etYougoslavie (à partir de 1992?).

Le, un détachement du régiment est présent àColombey les Deux Églises pour prendre part aux obsèques dugénéral de Gaulle, honneur partagé avec deux autres unités de l'armée seulement : le1er régiment de fusiliers marins (Lorient) et lerégiment de chasse 2/30 Normandie-Niémen (Reims)[16].

Le, le chef d'état-major de l'armée de terre décidait de créer à titre expérimental, à partir du4e régiment de dragons et du503e régiment de chars de combat, un régiment de chars de 80 charsLeclerc comprenant deux groupes d'escadrons (GE).

Le, le501e régiment de chars de combat est dissous àRambouillet. Simultanément, le groupe d'escadron4e RD prenait l'appellation de groupe d'escadrons 501. Cette évolution faisait apparaître dans l'ordre de bataille de l'Armée de terre le501e-503e régiment de chars de combat.

Le, le503e GE est dissous et forme un quatrième escadron de combat au sein du501e qui redevient le501e RCC. Le régiment appartient dès lors à la2e brigade blindée dont l'état-major est situé àStrasbourg depuis l'été 2010.

Le régiment aujourd'hui

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Garde à l'étendard du501e régiment de chars de combat (501e RCC) audéfilé du 14 juillet 2013 sur lesChamps-Élysées à Paris.

Subordinations

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Le501e RCC est actuellement subordonné à la2e brigade blindée de la3e division.

Composition

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[Quand ?]Le régiment compte actuellement 48 chars Leclerc, 500 blindés et véhicules divers et 820 hommes répartis dans 6 escadrons dont un escadron de réserve :

  • 1 compagnie de commandement et de logistique appelée Compagnie Hors Rang(CHR) ;

Missions

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Matériels

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En 2017, un Leclerc lors duStrong Europe Tank Challenge.

Traditions

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Devise

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« En tuer ! » ainsi que « 501, France libre ! »

Haka régimentaire : instauré par le chef d'escadron Bossut pour les tout premiers équipages de l'artillerie d'assaut, ce cri est une reprise d'un haka importé duPacifique car Bossut pratiquait lerugby, àRoubaix, au début de l'année 1900.

Le Rique de Rick, le cri du 501

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Ordre collectif : Garde à vous !

Question : « Attention pour le Rick !
Réponse collective : Prêt !

Question : Rick !
Réponse collective : Rick !

Question : Rick !
Réponse collective : Rick !

Question : Rique de Rick !
Réponse collective : Rique de rick !

Question : Houp la, houp la, hé !
Réponse collective : Houp la, houp la, hé !

Question : Aki, aka !
Réponse collective : Aki, aka !

Question : Kahi, kaha !
Réponse collective : Kahi, kaha !

Chant collectif : ha ! Ha ! Ha !

Question : Et par Saint-Georges !
Réponse collective : Vive la cavalerie !

Question : Et par le général Estienne !
Réponse collective : Vive les chars de combat ! »

Insignes

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Insigne régimentaire, de 1935.

Le premier insigne, réalisé en 1935, reprend les armes de la ville deTours (trois tours), avec les symboles des chars de combat : heaume et canons croisés etsalamandre[8].

Le second insigne est dessiné fin 1943 àTémara et fabriqué par un artisan d'Alger début 1944[17]. L'insigne (homologué H.297 en 1947) est ensuite produit en France par les entreprisesArthus Bertrand,Drago, Courtois et Mardini. Dans unécu (symbole du blindage), un chevalier cuirassé tient une épée en forme decroix de Lorraine, référence à la France libre. La lame de l'épée porte la devise« En tuer », qui disparait sur certaines fabrications d'après-guerre[11].

Étendard

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Il porte, peintes en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[18] :

  • Dessin de l'avers du drapeau du 501e RCC.
    Dessin de l'avers du drapeau du501e RCC.
  • Dessin du revers du drapeau, portant le nom des batailles.
    Dessin du revers du drapeau, portant le nom des batailles.

Citation

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« Unité d'élite toujours prête à s'acquitter avec entrain des missions les plus difficiles, se reconstituant rapidement après le combat pour être prête à de nouveaux efforts. »

— NN, 1918 - AS 301, 302, 303.

« Glorieux régiment qui grâce à l'enthousiasme de ses engagés de France et à la valeur de ses vétérans des campagnes de 1940 de Norvège, du Moyen-Orient et de Tunisie, a réalisé de multiples faits d'armes. »

— Général de Gaulle, 1945.

Décorations

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Sa cravate est décorée :

Le régiment est en droit de porter laFourragère aux couleurs de laCroix de guerre 1914-1918 avec olive de laCroix de guerre 1939-1945 et de celle aux couleurs de laCroix de la Libération. Voir laliste des compagnons de la Libération.

  • Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945.
    Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 avec olive aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1939-1945.
  • Fourragère aux couleurs du ruban de l'Ordre de la Libération.
    Fourragère aux couleurs du ruban de l'Ordre de la Libération.

Dans l'entre-deux-guerre, les unités suivantes portaient la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre 1914-1918 :

  • AS 301 : trois palmes ;
  • AS 302 : trois palmes ;
  • AS 303 : trois palmes ;
  • AS 304 : deux palmes ;
  • AS 305 : deux palmes ;
  • AS 306 : deux palmes.

Les compagnies 307, 308 et 309 du3e bataillon du501e RAS ont obtenu la fourragère à l'ordre de lamédaille militaire pour quatre citations à l'ordre de l'armée obtenues pour leur conduite devant l'ennemi[19].

Chant

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Dans le vent, la pluie et l'orage
Chevaux de fer monstres d'aciers canons pointés
Meilleur des chars toujours avec courage
Marche au combat sous les rafales avec fierté

(Premier refrain bis)
Au 501 soyons toujours fidèles
De la DB les cœurs plus valeureux
Faisant flotter cette devise belle
Nous resterons toujours fiers et heureux

Prends garde aussi devant sa lunette
Un jour tu passe il restera trois secondes
Pour qu'a jamais ta propre vie s'arrête
Le béret noir t'envoie dans l'autre monde

(Deuxième refrain bis)
L'éternité te sera moins pénible
Tu te diras ce n'est pas le hasard
C'est sans retour si l'on devient la cible
Du 501 toujours premier des chars

Au baroud après la bagarre
Si tu reviens avant de partir au pays
Tête levée pense à ton étendard
Car son serment d'Afrique n'a plus jamais trahi

(Dernier refrain bis)
Pense à celui qui reste sur la piste
Dans la fournaise le cœur dans sa tourelle
S'en est allé la haut vers les tankistes
Pour que la vie soit ici moins cruelle

« Cinq cent un, le premier de tous les chars. »

Personnalités ayant servi au sein du régiment

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Unité faitecompagnon de la Libération, le501e RCC a compté dans ses rangs 18 officiers, sous-officiers et hommes de troupe[20] faitsCompagnons de la Libération à titre individuel parmi lesquels 3 sontmorts pour la France

Compagnons morts pour la France

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Autres compagnons

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Autres personnalités

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  • Jean Marais[21](1913-1998)
  • Benoît Mollaret, aspirant au 501 RCC en 1984 (1959 - )

Notes et références

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  1. Ordre généralno 52 du GQG AS du 18 mai 1918 - Cf. JMO du régiment sur le site Mémoires des hommes.
  2. Ordre généralno 54 du GQG AS du 28 mai 1918 - Cf. JMO du régiment sur le site Mémoires des hommes.
  3. Histoires vraies, Louis Vergne. Anovi, 2002 (D'après Éric Labayle)
  4. abcdefgh etiStéphane Bonnaud, « De l'artillerie spéciale aux chars de combat, le501e RCC, mai 1918 - août 1937 »,Militaria Magazine,no 276,‎,p. 26-33
  5. David Bullock et Alexander Deryabin,Armored Units of the Russian Civil War,Osprey Publishing,coll. « New Vanguard » (no 83),(ISBN 9781841765440),p. 13-14.
  6. Jean Bernachot,Les Armées français en Orient après l'armistice de 1918,vol. 2 :L'armée du Danube, l'armée française d'Orient ( -), Paris,Imprimerie nationale,, 445 p.(BNF 35120723),p. 294, 303, 347, 350, 358 & 369
  7. Jacques Sicard, « Les unités de chars au Levant, 1920-1946 »,Militaria Magazine,nos 59-60,‎,p. 78-82
  8. ab etcJacques Sicard, « Les régiments de chars de combat en France, 1919-1939 »,Militaria Magazine,no 8,‎,p. 49-52
  9. ab etc« Armée de terre | L'Ordre de la Libération et son Musée », surwww.ordredelaliberation.fr(consulté le)
  10. « ARCIS SUR AUBE 501RCC », surwww.chars-francais.net(consulté le)
  11. a etbJacques Sicard, « La2e division blindée et ses insignes »,Militaria Magazine,no 62,‎,p. 45-52
  12. Cf. site d'Olivier Froissant,Historique du501e RCC
  13. MichelBodin, « La cavalerie en Indochine, 1945-1954 »,Guerres mondiales et conflits contemporains,vol. 225,no 1,‎,p. 63-79(ISSN 0984-2292 et2101-0137,DOI 10.3917/gmcc.225.0063,lire en ligne)
  14. M.P. Robinson et Thomas Seignon,Division Leclerc : the Leclerc Column and Free French 2nd Armored Division, 1940-1946,Osprey Publishing,(ISBN 978-1-4728-3006-7 et1-4728-3006-7,OCLC 1057692629),p. 59
  15. Simon Dunstan,French Armour in Vietnam 1945-54,Osprey Publishing,(ISBN 978-1-4728-3202-3 et1-4728-3202-7,OCLC 1080076791),p. 4-5, 22
  16. Unités qui, toutes les trois, étaientcompagnon de la Libération. D'après « Aux obsèques du général de Gaulle », article paru dans :Jean-Pierre Calka et Frédéric Lafarge,BA 112 de Reims, côté coulisses, Toulouse, Éditions Dominique Guéniot,, 176 p.(ISBN 978-2-7089-9233-7,présentation en ligne).
  17. Bernard Le Marec,Les Français libres et leurs emblèmes, Lavauzelle,(ISBN 978-2-7025-0367-6,lire en ligne),p. 58
  18. Décisionno 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées,no 27, 9 novembre 2007
  19. Ordreno 14733 D du GQG du 21 mars 1919 ; Ordre de laXe Arméeno 342 du 11 octobre 1918 ; Ordreno 22126 du Maréchal Commandant en Chef du 13 janvier 1919 et Ordre généralno 150 F - source : historique du501e RAS édité par la Maison Alfred Mane et fils, imprimeurs à Tours).
  20. Liste détaillée sur le site de l'Ordre de la Libération,[1]
  21. Dans son autobiographie, l'acteurJean Marais raconte avec détails et beaucoup d’humour son engagement tardif dans la2e division blindée (France) et sacroix de guerre qu’il n’osa jamais porter, par respect pour les vrais héros qui l’ont bien méritée :Histoires de ma vie, Éditions Albin Michel, 1975, pages 169 à 171 -(ISBN 2226001530).

Voir aussi

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Sources et bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Historique etréorganisations
Automitrailleuses
Carabiniers
Chars de combat
Chasseurs à cheval
Chasseurs d’Afrique
Chevau-légers lanciers (puislanciers)
Cuirassiers
Cavalerie lourde
Dragons
Hussards
Légion étrangère
Spahis
v ·m
État-major
Services
Divisions
Brigades
Écoles
Infanterie
Cavalerie
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Matériel
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