Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

4e régiment de cuirassiers (France)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir4e régiment.

Cet article est uneébauche concernant uneunité ou formation militairefrançaise.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations desprojets correspondants.

Consultez la liste destâches à accomplir enpage de discussion.

4e régiment de cuirassiers
4e régiment de cavalerie
Image illustrative de l’article 4e régiment de cuirassiers (France)
Insigne régimentaire du4e Régiment de Cuirassiers.

Création1643
Dissolution
PaysDrapeau de la FranceFrance
Branchearmée de terre
TypeRégiment deCuirassiers
RôleCavalerie
Fait partie de1re division blindée
DeviseIn gemino certamine
Au combat il en vaut deux
Inscriptions sur l’emblèmeValmy 1792
Fleurus 1794
Heilsberg 1807
Wagram 1809
Dresde 1813
l'Aisne 1917-1918
Champagne 1918
Argonne 1918
AnniversaireSaint Georges
DécorationsCroix de guerre 1914-1918
Deux palmes.
Croix de guerre 1939-1945
Une palme
modifier 

Le4erégiment decuirassiers (ou4e RC) est unrégiment de cavalerie de l'Armée de terre françaisecréé sous la Révolution à partir durégiment de La Reine cavalerie, unrégiment de cavalerie français d'Ancien Régime, sous le nom de4e régiment de cavalerie avant de prendre sous lePremier Empire sa dénomination actuelle.

Création et différentes dénominations

[modifier |modifier le code]

Chefs de corps

[modifier |modifier le code]
  •  : Mestre de camp-lieutenant - François-René Hervé de Carbonnel, vicomte de Canisy
  •  : Mestre de camp-lieutenant - Charles-Ignace chevalier de Raincourt
  •  : Mestre de camp-lieutenant -Pierre Roux-Fazillac,
  •  : Mestre de camp-lieutenant - François-Louis de la Goublaye
  •  : Chef de brigade - Joseph d'Aban
  •  : Chef de brigade - Dominique Martin la Meuse
  •  : Chef de brigade - Jean-Baptiste-Antoine Laplanche
  •  : Colonel -Fulgent Herbault
  •  : Colonel -Francesco, prince Aldobrandini Borghèse
  •  : Colonel - Michel Menou Dujon
  •  : Colonel - Jean-Baptiste-Nicolas Habert
  • 1816 : Marquis de Rochedragon
  • 1823 : de Burgraff
  • 1823-1829 : ColonelAthanase de Charette, baron de La Contrie
  • 1830 : BaronSchneit
  • 1832 : Colonel - Jacques Guillaume Frédéric de Labachelerie
  • 1835: Groüt de Saint-Paër
  • 1843 : de Hody
  • 1850 : Favas
  • 1851 : Colonel - Jean-Simon de Hody
  • 1858 : Vicomte Pajol
  • 1861 : Colonel -Achille Deban-Laborde (1808-?)
  • 1870 : ColonelAuguste Billet (1817-1871)
  • 1892 : Général de brigade Octave Rozat de Mandres (1840-1899)
  • 1907 : Colonel - Huguet
  • 1940 : Poupel
  • 1961 : Perrin
  • 1963 : Paris
  • 1965 : Boyer
  • 1967 : Spaeth
  • 1969 : Colonel Paul Brossollet (1920-1999)
  • 1971 : Colonel Michel Pommeret (1923-2014), grand-père deCharlotte d'Ornellas
  • 1973 : Général de corps d'armée Jean Gossot (1929-2015)
  • 1975 : Bourgogne
  • 1977 : Leblanc
  • 1977 : Général de brigade Henri Boulard de Gatellier
  • 1981 : Général de division Arnaud Imbert de Balorre (1935-2016)
  • 1983 : Général de brigade Jean-Pierre Hintzy (1938-2024)
  • 1985 : Général de brigade Michel Nielly
  • 1987 : Général de brigade Eric Britsch
  • 1989 : Colonel Robert Ponroy (1945-2020)
  • 1992 : Général de brigade Michel Perrodon
  • 1994 : Général de division Bertrand Le Porquier de Vaux
  • 1996 : Général de brigade Dominique Trinquand

Historique

[modifier |modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire

[modifier |modifier le code]
Cette section présente des problèmes à corriger.

De 1815 à 1852

[modifier |modifier le code]

Dissous à nouveau en tant que4e de Cuirassiers, il devient alors Régiment de Cuirassiers de Berryno 4.

En 1830, à la chute deCharles X, il reprend le nom de4e Régiment de Cuirassiers.

Second Empire

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

En1870, sous les ordres ducolonel Billet, le régiment se sacrifie par des charges désespérées et entre dans la légende des "Cuirassiers deReichshoffen".
Du-, le régiment est à ladéfense de Toul.

De 1871 à 1914

[modifier |modifier le code]
  • Cuirassier du régiment vers 1889.
    Cuirassier du régiment vers 1889.

Durantla Commune de Paris en 1871, le régiment participe avec l'armée versaillaise à lasemaine sanglante.

En 1889-1890, le régiment est utilisé pour réprimer lagrève des couverturiers deCours-la-Ville.

Première Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Cavalerie française pendant la Première Guerre mondiale.

1914

[modifier |modifier le code]

En garnison àCambrai, le4e Cuir formait avec le9e, en 1914, la4e Brigade de cuirassiers - Général Gouzil - appartenant à la3e Division de Cavalerie - Général Dor de Lastours. Il est composé de :

4 escadrons à 4 pelotons
1 escadron hors rang comprenant 1 peloton de mitrailleuses à 2 pièces
30 officiers, 650 sous-officiers trompettes et cuirassiers

Le4e Cuir a reçu l'ordre de quitter temporairement les cuirasses en, à la demande du chef de corps car elles gênaient le combat à pied. Unescadron entièrement à pied a alors été formé, compte tenu également des pertes en chevaux ; puis les cuirasses ont été reperçues (hiver 1914-1915), puis ont été définitivement abandonnées ainsi que les chevaux.

1915

[modifier |modifier le code]

1916

[modifier |modifier le code]

Le, le4e Cuir, démonté, forme le4e régiment de cuirassiers à pied[1].

1917

[modifier |modifier le code]

Enavril 1917, le4e régiment de cuirassiers à pied est rattaché, avec les9e et11e régiments de cuirassiers à pied, à la1re division de cavalerie à pied sous les ordres dugénéral Brécart.

Il sert à pied et se distingue au moulin deLaffaux (Aisne),

1918

[modifier |modifier le code]

Le4e régiment de cuirassiers à pied est engagé dans laquatrième bataille de Champagne, laseconde bataille de la Somme, l'offensive Meuse-Argonne.

Deuxcitations à l'ordre de l'armée le récompensent ainsi que lafourragère aux couleurs de laCroix de Guerre.

Entre-deux-guerres

[modifier |modifier le code]

Régiment à cheval, 1919-1927

[modifier |modifier le code]

Début février 1919, le régiment repasse à cheval et est réorganisé avec quatre escadrons de cavalerie[2]. Il est rattaché à la1re brigade de cuirassiers de la6e division de cavalerie (puis6e division légère) deLyon[3],.

Le, le régiment est dissous dans le cadre des mesures de réorganisation de l'Armée[4].

Groupe d'automitrailleuses, 1933-1936

[modifier |modifier le code]

Recréé àReims, quartier Jeanne d'Arc, le, comme4e groupe d'automitrailleuses (4e GAM), à partir du4e groupe d'escadrons d'automitrailleuses de cavalerie (13e escadron de Reims et14e escadron deMetz)[5]. La nouvelle unité, destiné à la reconnaissance et au combat, est formée de deux escadrons de quinzeautomitrailleuses de reconnaissance (AMR)Citroën-Kégresse P28 et trois escadrons d'automitrailleuses de combatAMC Schneider P 16. En 1934, l'unité reçoit quinzeAMR 33 en remplacement des P28. En prévision de la création de la1re division légère mécanique, dont le4e GAM et le18e régiment de dragons forment la brigade de combat sous blindage, le4e GAM est réorganisé le1er mai 1934 avec un groupe d'escadrons AMR (1er escadron mixte et2e escadron d'AMR) et un groupe d'escadrons AMC (3e et4e escadrons d'AMC)[5],[6].

Régiment de combat motorisé, 1936-1939

[modifier |modifier le code]

Transformé le en4e régiment de cuirassiers, il réorganisé comme régiment d'automitrailleuses de combat, remplaçant son ancien matériel en 1937[5],[6]. Il fait alors partie de la1re division légère mécanique et forme avec le18e régiment de dragons la1re brigade légère mécanique[5].

Seconde Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]

Drôle de guerre et bataille de France

[modifier |modifier le code]
Cette section présente des problèmes à corriger.
  • mars1939, le Régiment reçoit l'appoint des « disponibles ».
  • , mise sur pied de l'échelon A, départ successif des escadrons dans la régionBerruNogent-l'Abbesse.
  • samedi 26, le rappel des réservistes aux fascicules 1, 3, 6, amène au quartier Jeanne-d'Arc deReims un afflux énorme, en même temps que la réquisition des véhicules autos et motos jouait à plein.
  • 1er septembre, l'échelon B rejoint le Régiment,
  • , le4e Cuirassiers au grand complet quitte les coteaux champenois et, sous une pluie fine et incessante, atteint, parSuippes,Sainte-Ménéhould etClermont-en-Argonne, le village deSouilly, Le Régiment n'y stationne guère, et dès le lendemain repart vers les Hauts de Meuse. Le séjour enWoëvre dure peu,
  • , le Régiment entier s'établit àSommedieue, dans la Meuse. Dans ce bourg important, deux mois se passent
  • , le Régiment, alerté dans la matinée, s'ébranle vers 13 heures dans la direction de la frontière belge. Les chars embarquent àDugny ; les éléments légers forment une colonne ; celle-ci cantonne àMesnil-Annelles, non loin deRethel, et le lendemain à l'aube, repart. la colonne atteint sans incidentSaint-Amand, où elle retrouve les chars débarqués àSaultain.
  • le 12, pourtant la situation se détend ; le Régiment se dirige, le vers le sud deCambrai où il prend ses quartiers d'hiver.
  • Sa magnifique attitude durant les Campagnes de Belgique et de France, en 1940, lui vaut une troisième citation à l'ordre de l'Armée :

    « Sous les ordres du Lieutenant-colonel Poupel a pris part du 12 au aux opérations deBelgique et desFlandres sans un moment de répit. A fait preuve des plus belles qualités de bravoure et d'entrain, s'engageant à fond, à chaque demande du commandement ; s'est notamment dépensé dans la région du Quesnoy (17 et) et sur laLys (27 et) ; est sorti de la bataille le dans un ordre parfait donnant un splendide exemple de tenue. A confirmé sa valeur combative dans les opérations de l'ouest de la France en »

    Première formation en Afrique du Nord

    [modifier |modifier le code]

    Le4e régiment de cuirassiers est recréé le enAlgérie, par dédoublement du5e régiment de chasseurs d'Afrique (il porte quelques jours le nom de5e RCAbis). Affecté à la3e division blindée, il reçoit quelques chars américains mais est réduit au statut d'unité cadre car les Américains refusent la création de cette division non prévue dans les accords franco-américains[9].

    Le régiment est dissous le sans avoir été opérationnel[9].

    Nouvelle formation à la Libération

    [modifier |modifier le code]

    Il est recréé àReims avec des volontaires desForces françaises de l'intérieur (FFI) sous le nom de4e bataillon de cuirassiers FFI le[10] (formation effectuée fin septembre)[11]. Cette unité à pied est régularisée le sous le nom de4e régiment de cuirassiers, après renforcement par une partie du9e régiment de dragons FFI[11].

    Il reçoit en mars 1945 son matériel, des charsCentaur VII livrés par les Britanniques[9],[11] et sera affecté à la3e division blindée[12].

    De 1945 à nos jours

    [modifier |modifier le code]
    Cette section présente des problèmes à corriger.

    En septembre 1945, la3e DB et le4e cuirassiers partent enoccupation en Allemagne. La3e DB est dissoute le et le4e cuirassiers revient en France avec legroupement blindé no 3[9].

    Le régiment est en garnison àMourmelon de 1946 à 1948 puis àReims jusqu'en 1951, année de son transfert avec la1re division blindée enAllemagne de l'Ouest àWittlich où il reste jusqu'en 1968. Il rentre en France en 1968 pour la garnison de Bitche où il reste jusqu'à sa dissolution.

    En Allemagne, le régiment entre dans la composition de la3e brigade blindée (1re division type 59) avec 3 escadrons de chars de bataille et un escadron de charsAMX 13 SS 11. Le régiment rassemble 37 officiers, 154 sous-officiers et 679 soldats du rang.

    Le transfert du régiment en France en 1968 s'inscrit dans la réorganisation de l'Armée de terre avec la division 67. Le régiment de chars est alors organisé en trois escadrons de chars de bataille et un escadron porté. Le régiment dépend alors de la16e brigade mécanisée de la4e division.

    La réorganisation suivante de l'Armée de terre rattache le régiment équipé d'AMX-30 à la6e division blindée, division 77[9]. La puissance de feu du régiment s'accroît avec un escadron de chars supplémentaire.L'année 1984 voit encore un nouveau modèle divisionnaire avec la division blindée 84. Le4e régiment de cuirassiers est alors affecté à la5e division blindée. Le régiment perd l'escadron porté ainsi qu'un escadron de chars. Toutefois, le nombre de chars par escadrons passe de treize à dix-sept ce qui maintient le nombre de chars dotation théorique de cinquante-trois AMX-30 avec les deux engins de commandement régimentaire[13].En 1996, le4e régiment de cuirassiers relève de la1re division blindée, unique Grande Unité encore en Allemagne, participation française au Corps européen.

    Le4e cuirassiers est jumelé avec le3e Lanciers en.

    Le régiment est dissous lors de la professionnalisation. Le à 11 heures, le lieutenant-colonel Trinquand a réuni ses hommes. Tous savaient déjà ce qu’il allait leur annoncer : « Notre régiment fait partie de ceux qui doivent être dissous dès 1997. » Le4e Régiment de Cuirassiers, trois siècles et demi après sa création, vit donc sa dernière année d’existence. Ses 850 hommes - dont 200 officiers et sous-officiers -, quitterontBitche. Le, après 354 années d'existence, le4e Cuirassiers est dissous. C'est le capitaine Pinon qui a enroulé son étendard.

    Étendard

    [modifier |modifier le code]
    Étendard du4e cuirassiers le 14 juillet 1880.

    Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[14] :

    Décorations

    [modifier |modifier le code]
    Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
    Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918

    Sa cravate est décorée :

    Il a le droit au port de lafourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918.

    Devise

    [modifier |modifier le code]
    In gemino certamine
    ("Au combat il en vaut deux")

    Insignes

    [modifier |modifier le code]

    Uniformes d'Ancien Régime

    [modifier |modifier le code]
    • l' uniforme du régiment de 1757 à 1762
      l' uniforme du régiment de 1757 à 1762
    • l' uniforme du régiment de 1762 à 1767
      l' uniforme du régiment de 1762 à 1767
    • l' uniforme du régiment de 1767 à 1776
      l' uniforme du régiment de 1767 à 1776

    Uniformes sous la Révolution et le Premier Empire

    [modifier |modifier le code]
    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

    Personnalités ayant servi au sein du régiment

    [modifier |modifier le code]

    Notes et références

    [modifier |modifier le code]
    1. [PDF]Les Cuirassiers de France 1665-2009
    2. JMO 26 N 876/14,p. 7.
    3. François Vauvillier, « La division de cavalerie : Vingt-cinq ans pour une mue définitive »,Guerre, blindés et matériel,no Hors-Série 5 « Cavalerie à cheval 1919-1940, les derniers centaures de l'armée française »,‎,p. 10-23
    4. Auguste Hirschauer,« Annexe 2 : Notice Historique », dansRapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions duSénat (no 263),(lire en ligne),p. 212-213
    5. abc etdbarbanson 2021,p. 8-9.
    6. ab etcFrançois Vauvillier,Les automitrailleuses de reconnaissance,t. 1 :L'AMR 33 Renault : ses précurseurs, ses concurrentes et ses dérivés, Paris,Histoire & Collections,coll. « Les matériels de l'armée française »,, 65 p.(ISBN 2-915239-67-3),p. 13, 42-43, 46
    7. JOURNAL DE MARCHE DU4e REGIMENT DE CUIRASSIERS- CAMPAGNE CONTRE L'ALLEMAGNE
    8. François Vauvillier, « Notre cavalerie mécanique en 1940 »,Guerre, blindés et matériel,‎,p. 46-47
    9. abcd eteJacques Sicard, « La3e division blindée et ses insignes »,Militaria Magazine,no 65,‎,p. 47-51
    10. Inventaire des archives de la Guerre : Sous-série 12P,Petites unités, Château de Vincennes,Service historique de l'Armée de terre,(lire en ligne),p. 103
    11. ab etcStephaneWeiss,"Le jour d'après" : organisations et projets militaires dans la France libérée : août 1944 - mars 1946,Université Lumière-Lyon-II,(HAL tel-01419407),p. 253 & 578-585
    12. Stéphane Weiss,Le réarmement français de 1944-1945 : Faire flèche de tout bois,Presses universitaires de Rennes, 230 p.(ISBN 978-2753583641,lire en ligne),p. 190.
    13. « Les divisions blindées », surwifeo.com(consulté le).
    14. Décisionno 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées,no 27, 9 novembre 2007

    Voir aussi

    [modifier |modifier le code]

    Sources et bibliographie

    [modifier |modifier le code]

    Articles connexes

    [modifier |modifier le code]
    v ·m
    Historique etréorganisations
    Automitrailleuses
    Carabiniers
    Chars de combat
    Chasseurs à cheval
    Chasseurs d’Afrique
    Chevau-légers lanciers (puislanciers)
    Cuirassiers
    Cavalerie lourde
    Dragons
    Hussards
    Légion étrangère
    Spahis
    Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=4e_régiment_de_cuirassiers_(France)&oldid=226959241 ».
    Catégories :
    Catégories cachées :

    [8]ページ先頭

    ©2009-2025 Movatter.jp