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3e régiment de dragons (France)

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3e régiment de dragons
Image illustrative de l’article 3e régiment de dragons (France)
Insigne 3e Dragons (1992 à dissolution)

Création
Dissolution
PaysDrapeau de la FranceFrance
BrancheArmée de terre
TypeRégiment deDragons
RôleCavalerie
Ancienne dénomination"Bourbon Dragons"
Devise"Ardet et Audet"
(Il brûle et il ose)
Inscriptions sur l’emblèmeValmy 1792
Arcole 1796
Austerlitz 1805
Iéna 1806
Friedland 1807
L'Yser 1914
Soissonnais 1918
Champagne 1918
AnniversaireSaint-Georges
GuerresCampagne d'Italie (1796-1797)
Guerres napoléoniennes
Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
BataillesBataille du pont d'Arcole
Bataille d'Austerlitz
Bataille d'Iéna
Bataille de Friedland
FourragèresCroix de guerre 1914-1918
DécorationsCroix de guerre 1914-1918
2 palmes
4 étoiles de vermeil
Croix de guerre 1939-1945
1 palme
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Le3e régiment dedragons (ou3e RD), est uneunité de cavalerie de l'armée française,créé sous la Révolution à partir durégiment de Bourbon dragons, unrégiment de cavalerie français d'Ancien Régime.

Sa devise est « Ardet et Audet » (il brûle et il ose) depuis 1761 à la suite de l'incorporation du régiment de Noé (exClermont-Tonnerre).

Créations, dissolutions et différentes dénominations

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Historique des garnisons

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Chefs de corps

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Enghien Cavalerie
  • 1649-1650:Henri Jules de Bourbon-Condé,duc d'Enghien
  • 1651-1651 : Jean de Coligny, comte de Saligny
  • 1659-1659 : Comte de Romainville
  • 1659-1665 : Hérard Bouton, marquis de Chamilly[2]
  • 1665-1671 : Gaspard de Champagne, comte de La Suze
  • 1671-1681 : Marquis de Lanmary
  • 1681-1686 : Comte de Xaintrailles
Bourbon Cavalerie
  • 1686-1690 : Comte de Xaintrailles
  • 1690-1692 : Comte de la Chapelle-Balon
  • 1692-1702 : N. de Choiseul, marquis de Lanques
  • 1702-1719 : N. de Royer, comte de Saint-Micaud
  • 1719-1730 : N. de Crussol d'Uzès, marquis de Montausier
  • 1730-1744 : François Emmanuel de Crussol d'Uzès, marquis de Crussol des Salles[3]
  • 1744-1761 : Louis Joseph Nicolas, marquis de Cambis[4]
  • 1761-1762 : Gabriel Augustin de Franquetot, comte de Coigny
  • 1762-1770 : Louis, vicomte de Noé
  • 1770-1776 : Amable Charles, marquis de La Guiche
Bourbon Dragons
  • 1776-1788 : Amable Charles, marquis de La Guiche
  • 1788-1789 : Jean François Léonor, baron d'Hunolstein
  • 1789-1791 : Anne Michel Louis, vicomte de Roncherolles
3e Régiment de Dragons
Dragons de la Garonne
  • 1814-1815 : colonelJean Baptiste Dubessy
  • 1815-1816 : colonel Lignyville
  • 1816-1822 : colonel Pusy
  • 1822-1825 : colonel de Bergeret
3e Régiment de Dragons
3e Bataillon de Dragons Portés
3e Régiment de Dragons Portés
3e Régiment de Dragons Portés (Armée d'armistice)
3e Régiment de Dragons (Résistance)
3e Régiment de Dragons (Libération de la France)
3e Régiment de Dragons

Historique des combats et batailles

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Ancien Régime

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Article détaillé :Régiment de Bourbon dragons.
Régiment d'Enghien-Cavalerie
Régiment de Bourbon-Cavalerie
Régiment de Bourbon-Dragons
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Régiment de Clermont-Tonnerre

Lors de l'ordonnance royale du quiréorganise les corps de cavalerie de l'armée française le3e régiment de dragons est formé durégiment de Bourbon dragons.

Révolution et Empire

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Le3e régiment de dragons a fait les campagnes de1792 à l’armée du Nord et participe auxbatailles de Valmy et deJemappes.

En1794 toujours rattaché à l'armée du Nord, il assista aucombat de Sprimont, le2jour complémentaireanII ()2 complémentairean II().

Fin juin1795, les1er et3e bataillons la38e demi-brigade, le3e bataillon de la128e demi-brigade, les2e et3e bataillons de la176e demi-brigade, le7e bataillon de volontaires de l'Yonne, le3e régiment de dragons, le21e régiment de chasseurs à cheval, la27e division de gendarmerie et des détachements des2e,3e et6e régiments d'artillerie sontcamp de Marly sous le ordres dugénéralBaraguey d'Hilliers commandant de l'armée de Paris[6].

Il fait les campagnes de l'an V(1796) à l’armée d’Italie et participe à labataille du pont d'Arcole

Il a fait les campagnes de l'an VI(1797) aux armées d'Italie et d'Orient.

Il a fait les campagnes desans VII etVIII(1798-1799) aux armées d'Orient et d'Italie. Il se distingue à labataille d’Aboukir, le7 thermidoran VII (

Il a fait les campagnes de l'an IX(1800) à l'armée d'Italie et celles de l'an XIII au2e corps de réserve de la cavalerie.

En1805 il est au1er corps de cavalerie de laGrande Armée et participe le2 décembre à labataille d'Austerlitz.

En1806 rattaché au6e corps de réserve de cavalerie il fait lacampagne de Prusse et de Pologne et participe le14 octobre à labataille d'Iéna.

En1807 il participe le8 février à labataille d'Eylau puis à celle deFriedland avant de rejoindre lecorps d'observation de la Gironde.

En1808 rattaché à l'armée de Portugal il participe à laGuerre d'indépendance espagnole.

En1809 il est à l'armée d'Espagne, en1810 aux armées d'Espagne et de Portugal et en1811 à l'armée de réserve de Portugal.

Le18 juin 1811 le3e régiment de dragon devient le2e régiment de chevau-légers lanciers et leno 3 devient vacant.

Article détaillé :2e régiment de chevau-légers lanciers.

1815 à 1852

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Brigadier-fourrier du3e régiment de dragons sous laMonarchie de Juillet.

En 1848, desinsurgés de Paris mirent le feu aupont du chemin de fer de Chatou et dévastèrent lastation de Chatou. Ils furent repoussés par lagarde mobile et des cavaliers du3e régiment de dragons[7].

Second Empire

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De 1871 à 1914

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Première Guerre mondiale

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Article connexe :Cavalerie française pendant la Première Guerre mondiale.

Ordre de bataille initial

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Article détaillé :Ordre de bataille de l'armée française en août 1914.

Le 3e régiment de dragon est membre, avec le1er régiment de dragons, de la 9e brigade de dragons commandée par le général de Sailly.

La 9e brigade de dragons fait partie de la9e division de cavalerie (4e armée) sous les ordres du général de Lespée.

9e division de cavalerie
5e régiment de cuirassiers (Tours)
8e régiment de cuirassiers (Tours)
1er régiment de dragons (Luçon)
3e régiment de dragons (Nantes)
24e régiment de dragons (Rennes)
25e régiment de dragons (Angers)
 
Ordre de bataille du régiment

Etat-major :

  • Colonel Schmidt, commandant le régiment.
  • Lieutenant-colonel Martin, commandant en second.
  • capitaine Alaret, adjudant-major.
  • capitaine Baugnies, adjudant-major.
  • capitaine Gizard, officier instructeur.
  • Vétérinaire-major Gabeau.
  • Médecin-major Chanal.
  • Médecin aide-major Bousseau.
  • Lieutenant Pallu, officier payeur.
  • Lieutenant Camus, porte-étendard
  • Vétérinaire aide-major Marchal.

1er demi-régiment

  • Chef d'escadrons de la Teillais, commandant le 1er demi-régiment
  • 1er escadron
    • Capitaine de Montillet, commandant l'escadron
    • Lieutenant de la Chapelle-Nougarède, chef de peloton
    • Lieutenant de Boisgelin, chef de peloton
    • Sous-lieutenant Nussard, chef de peloton
    • Sous-lieutenant Azire, chef de peloton
  • 2e escadron
    • Capitaine Ricour, commandant l'escadron
    • Lieutenant de Montergon, chef de peloton
    • Lieutenant des Loges, chef de peloton
    • Lieutenant de Quénétain, chef de peloton
    • Sous-lieutenant Ruby, chef de peloton

2e demi-régiment

  • Chef d'escadrons Meyer, commandant le 2e demi-régiment
  • 3e escadron
    • Capitaine Chabert, commandant l'escadron
    • Lieutenant Briois, chef de peloton
    • Lieutenant de Boisfleury, chef de peloton
    • Lieutenant Le Cour-Grandmaison, chef de peloton
    • Lieutenant Chrétien, chef de peloton
  • 4e escadron
    • Capitaine Cothereau, commandant l'escadron
    • Lieutenant Léonard-Arthus, chef de peloton
    • Lieutenant Despierres, chef de peloton
    • Lieutenant d'Arexy, chef de peloton
    • Lieutenant Christiani de Ravaran, chef de peloton
 

1914

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août
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Articles connexes :Bataille des Frontières etBataille des Ardennes (1914).

Le3e régiment de dragons est en garnison au quartier Richemond àNantes lorsque l'ordre de mobilisation est reçu à 16h le 31 juillet. Les opérations de mobilisations se déroulent dans la calme et l'ordre jusqu'au 3 août où dans la soirée le régiment s'embarque pourLongeville-en-Barrois etTronville-en-Barrois. Cette préparation suscite l'admiration du généralEydoux commandant le11e corps d'armée face à l'ordre et à la discipline des cavaliers du régiment.Après deux nuits et un jour de voyage, le régiment débarque dans la région meusienne et part cantonner àNaives-devant-Bar.

Le 7 août, la 9e division de cavalerie se déplace dans la région deDombasle. Le lendemain, le régiment avec sa division se positionne sur la Meuse, dans la région deConsenvoye entre les2e et4e corps d'armée. La 9e D.C. progresse en direction deDamvillers, avec le déploiement de détachements de reconnaissance. Le 3e Régiment de Dragons détache, dans ce cadre, le 2e escadron versMangiennes, viaAzannes, tandis que le gros du régiment se dirige surMerles.

Le 10 août, le régiment envoie depuis Merle, 1er escadron effectue des patrouilles de reconnaissance versSaint-Laurent-sur-Othain,Sorbey etPillon. La 9e brigade de dragons reçoit l'ordre de se rassembler àMarville, en réponse à la présence signalée d'une division de cavalerie ennemie près dePetit-Xivry. La 9e D.C. se prépare à l'engagement, et le 3e Régiment de Dragons engage initialement le 3e et le 4e escadrons (et le peloton du Lieutenant de Montergon) dans cette action, les 1er et 2e escadrons les rejoignant vers la fin des combats. Cette manœuvre permet le retrait rapide de la division allemande au delà de la Chiers qui préfère éviter un affrontement direct.

Du 13 au 16 août, le 3e escadron effectue des missions de reconnaissance au niveau deVirton. Dans ce cadre, le lieutenant Le Cour-Grandmaison en reconnaissance avec son peloton au niveau de Bellefontaine rencontre une patrouille allemande qui lui infligent quelques pertes. Le 16 août le 1er escadron et le peloton du lieutenant Léonard (4e escadron) sont envoyés en reconnaissance surArlon etLonguyon. Après ces explorations, la 9e division de cavalerie reçoit l'ordre de se diriger versNeufchâteau.

Le 20, à 6h30, l'avant-garde du 3e régiment de dragons se positionne sur la ligneNolinfaing -Grapfontaine. Le régiment reçoit l'ordre de se porter au-delà de Neufchâteau pour assurer la couverture du rassemblement de la division à l'est de la ville appuyé par un bataillon du87e régiment d'infanterie. À 8 heures, la pointe d'avant-garde est stoppée par des tirs provenant de la direction d'Offaing. Elle dépasse néanmoinsLonglier et le peloton du lieutenant Boisfleury engage le combat à pied aux côtés de cyclistes, d'un escadron du 1er régiment de dragons et d'une section de mitrailleuses. L'ennemi, retranché à la lisière des bois, résiste à l'attaque et initie un mouvement sur sa droite. Pour contrer le mouvement allemand, le 2e escadron met pied à terre et combat le long de la voie ferrée. L'artillerie divisionnaire ouvre le feu sur l'infanterie allemande, qui se replie en désordre. À 11h30, toutefois, l'avant-garde, puis l'ensemble de la division, soumise à un feu intense d'artillerie et d'infanterie, doit se replier sur Longlier puis Neufchâteau. Le régiment reçoit ensuite l'ordre de se diriger vers la route deBertrix, pour porter secours à la 16e brigade de dragons, fortement engagée. Le régiment se déplace alors vers le terrain au nord de Varnifontaine, lui permettant de se replier en bon ordre. Le soir, après une longue journée de combat le régiment bivouaque àChiny, et le lendemain àPaliseul. Une escouade du peloton du lieutenant d'Arexy qui assure la couverture de l'installation essuie des tirs depuisFramont, et une autre escouade depuis le bois de Géronde.

Le 22 août, le lieutenant d'Aréxy part en reconnaissance surMessein etLibin le jour suivant. La bataille de Messein se déroule sur la droite du dispositif. Le11e corps d'armée, confronté à des forces supérieures, est contraint de se replier sur Paliseul.  

A partir du 23 août, commence le début de laGrande Retraite. La division se porte d'abord au sud deMézières et le régiment cantonne deux jours àFagnon. Le 27, la présence d'une troupe allemande est signalée versRocroy, obligeant le9e C.A. à lui faire face, couvert sur son flanc par la 9e Division de cavalerie. Le régiment envoie le 3e escadron en reconnaissance versRenwez et le 4e versMonthermé. Quelques accrochages ont lieu. Les deux autres escadrons assurent des missions de sûreté. Le 9e C.A continue de se replier versSigny-l'Abbaye, et la division se conforme à ce mouvement. Le maréchal des logis de Butler, à la tête d'une patrouille, charge un peloton de uhlans et blesse plusieurs cavaliers. Le régiment se reforme près deJandun, où il passe la nuit.  

Le 28 août, une colonne de cavalerie ennemie est signalée versFagnon. Le 1er régiment de dragons et un escadron du régiment doivent la contenir par le feu, tandis que les trois autres escadrons se préparent à la charge. Le colonel Schmidt effectue une reconnaissance du terrain, mais l'opportunité de la charge ne se présente pas. À 14 heures, l'ensemble de la 9e D.C. se déplace versSemois, puis versNovion-Porcien pour y cantonner. Le régiment est en tête de la division. Vers 22 heures, à l'approche de Novion-Porcien, des coups de feu sont échangés. Novion-Porcien est en flammes. L'ordre est donné de se replier légèrement en arrière, versFaissault, et de bivouaquer sur la route principale.  

Le lendemain la retraite continue par étapes en direction de l'Aisne. Le 30, la division appuie le mouvement du 9e C.A qui se porte au nord deRethel. Dès 7h30, le lieutenant Le Cour-Grandmaison part en reconnaissance sur Novion-Porcien. La brigade du général Sailly, en tête de la division, tente de traverser l'Aisne àChâteau-Porcien. L'avant-garde, constituée du 1er demi-régiment du 3e Dragons (commandant Meyer), se dirige surNanteuil-sur-Aisne, puis surThuisy. Toutefois, les tentatives des patrouilles effectuées par le régiment pour forcer le passage de l'Aisne échouent, démontrant l'impossibilité de le franchir sans appui d'artillerie. Le régiment, ayant subi quelques pertes, reçoit l'ordre de cantonner àSaint-Remy-le-Petit.  

Finalement, le 31 août, le mouvement de retraite continue et la division participe au mouvement général, assurant la liaison entre les armées et ayant pour mission de retarder l'avance ennemie en appuyant son artillerie. Cette retraite est une période éprouvante pour les hommes du régiment où les cantonnements n'offrent que de courtes haltes nocturnes et où les chevaux, souffrant du manque d'eau et de la chaleur, s'affaiblissent rapidement[8].

septembre
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Articles connexes :Grande Retraite etBataille de la Marne (1914).

Le régiment continue sa retraite vers le sud, il est aux environs deReims le 3 septembre et arrive le jour même auCamp de Châlons. Les colonnes ennemies atteignentMourmelon. Le 3e escadron cherche à porter secours, sans succès, à des aviateurs français ayant atterrit près des lignes ennemies L'artillerie de la division ouvre le feu sur les colonnes ennemies qui débouchent de Mourmelon et la division se prépare à l'attaque. Le 3e régiment de dragons est en bataille, le sabre à la main. Cependant, à nouveau, la division doit se replier en direction deChâlons-sur-Marne.

Le 7 septembre, le régiment se trouve devantSoudé-Sainte-Croix, appuyant l'artillerie de la division. Le lieutenant d'Aréxy est envoyé en reconnaissance vers le village et y subit un accrochage qui lui vaut la perte d'un cavalier. Face à la présence importante de troupes allemandes il est contraint de se replier. Le soir de ce même jour, un violent combat oppose les forces ennemies, tentant de sortir deSommesous, et le 11e corps d'Armée. L'artillerie de la 9e division de cavalerie pilonne le village. La 9e brigade de dragons du général Sailly, à pied, se trouve à droite de la route deMailly-Sommesous, en avant du passage à niveau. Le 11e C.A. appuie son aile droite sur la route. Sommesous est en flammes et le combat se poursuit jusqu'à la nuit. Le lendemain, le régiment est toujours positionné à Mailly et effectue un certain nombre de reconnaissances. Cela lui vaut, à nouveau, quelques engagements notamment à l'est deMontépreux.

Le 10, le 4e escadron réavance jusqu'à la route Sommesous-Soudé-Sainte-Croix et le lendemain le mouvement en avant est entrepris dans la soirée. Le régiment bivouaque sous la pluie àCoupetz. Le 12 septembre, les quatre escadrons partent en reconnaissance au-delà de la Marne où l'ennemi est partout en retraite. Le 3e escadron rencontre des arrière-gardes allemandes et prendCourtisols avec l'appui d'un escadron de cavalerie légère, faisant prisonniers une partie des défenseurs. Le peloton du lieutenant Briois a un engagement assez vif avec l'ennemi à l'entrée de l'Épine. Le 4e escadron, sous le commandement du lieutenant Léonard-Arthus, traverse la Marne àMairy sur un pont établi par le génie et progresse versCourtisols, capturant des traînards et combattant des détachements ennemis, dont certains se rendent. À Courtisols, il rejoint le 3e escadron et participe avec lui à des combats à pied. La continue sa remontée vers le nord en direction de Reoms.

Le 13 septembre, le régiment se regroupe dans la soirée àSuippes. À la suite de ces différents combats, le régiment est mis en repos àÉcueil. En effet, les chevaux sont très fatigués et les effectifs du régiment sont considérablement réduits. Il y reste jusqu'au 8 octobre. Durant cette période, le régiment fournit des détachements de liaison auprès du généralHumbert, commandant legroupe de la défense mobile de Reims. Dans le cadre de ces opérations, le lieutenant Le Cour-Grandmaison est blessé par un éclat d'obus le 24 septembre[9].

octobre
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Articles connexes :Course à la mer etBataille de l'Yser.

Le 8 octobre, le 3e régiment de dragons et sa division se dirige versCompiègne où il arrive le 11 octobre. Le 20, après une courte escale à Estrées-Saint-Denis, il se met en direction du nord par une série d'étapes. En effet, dans le contexte de la «Course à la mer», les forces disponibles sont jetées vers le nord, incluant des territoriaux, lecorps de cavalerie du généralMitry et lesfusiliers marins. de Dixmude.

Le régiment rejoint ces forces par de longues étapes, dont l'une atteint 58 kilomètres et atteint la frontière belge le 25 octobre. Le 31, à 12h30, la division est alertée et reçoit l'ordre de se porter surWytschaete, puis, en cours de route, surVoormezele, pour soutenir les troupes anglaises duBEF. La brigade du général de Sailly avance jusqu'àSaint-Éloi, où elle laisse ses chevaux, et s'engage à pied, avec le 3e Dragons en tête, sur la route du château d'Hollebeke, où les forces allemandes sont fortement installées. Elle longue les tranchées, occupées par des lanciers anglais, et fait halte près de la ferme d'Heikhof. Les escadrons prennent position dans les fossés de la route. Une compagnie du53e régiment d'infanterie est positionnée derrière la haie, avec une section de mitrailleuses au portail de la ferme, et une patrouille au tournant de la route près du mur du parc. Le général et le colonel établissent leur poste de commandement à la ferme, gardée par quelques indiens de laForce A. Un bataillon du80e régiment d'infanterie territoriale arrive pour prolonger le dispositif du 53e R.I. Le 1er régiment de dragons se positionne sur la route, en arrière de la tranchée. A minuit, l'ennemi engage le combat sur la ferme à l'aide de deux colonnes[10].

novembre
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Article connexe :Première bataille d'Ypres.

L'offensive permet aux Allemands de s'emparer de la ferme dans la nuit et oblige l'ensemble du dispositif à se replier derrière la ferme. Les combats restent intenses jusqu'au levée du jour pour les 3 et 4e escadron du régiment qui subissent d'importantes pertes. A 4 heures, la ferme est reprise par un bataillon du 80e régiment d'infanterie territoriale à l'aide des forces indiennes britanniques.

Dans ce contexte, le 1er demi-régiment du 3e régiment de dragons réoccupe les tranchées à gauche de cette ferme, et le 2e demi-régiment, prolongé par le 1er régiment de dragons, occupent les tranchées à gauche de celles du 1er demi-régiment, face au parc. La matinée est consacrée à améliorer les tranchées existantes qui sont parfois à 50 mètres des tranchées allemandes. Un demi-régiment de la 16e brigade de dragons vient renforcer la ligne entre le 1er et le 3e régiment de dragons. Le colonel de Voillemont, commandant le secteur, donne l'ordre de résister à tout prix et annonce, à 9h45, que Wytschaete a été repris par les Anglais et une brigade du secteur sud. La brigade doit donc préparer l'offensive sur le château d'Hollebeke mais une contre-attaque ennemie à 16h30, appuyée par de l'artillerie lourde, oblige le régiment à se replier progressivement dans la journée à mi-chemin entre Saint-Eloi et Hollebeke. En fin de journée, la 9e brigade est relevée par la 16e brigade de dragons et part pour Voormezele où elle bivouaque le soir.

Le lendemain, le régiment apprend que la division doit se porter de l'autre côté du canal de l'Yser pour le tenir à tout prix. Le régiment, laissant ses chevaux à Lizerne, prend position vers minuit dans les tranchées face àBixschoote à l'aide d'une cinquantaine de cavaliers commandées par le commandant de la Teillais appuyé par le capitaine de Montillet. Le régiment tient la position jusqu'au 7 novembre, jour où le colonel Schmidt prend le commandement du secteur deSteenstrate. Le 3e régiment de dragons est relevé finalement à 22h et part cantonner àProven.

Le 8 novembre le régiment part pourBoezinge où il est positionné en deuxième ligne derrière les tranchées tenues par la42e division d'infanterie, le corps de cavalerie du général Mitry et une division d'infanterie territoriale. Le 9 et le 10, les forces allemandes concentrent leur attaque sur ce secteur, le régiment envoie un renfort de 200 hommes commandé par le commandant de La Teillais pour soutenir la défense de la ligne de front. Le détachement est occupé pendant la nuit à creuser des tranchés ce qui stoppe l'avancée de l'ennemie. Les combats restent toutefois intenses et obligent le commandant de La Teillais à se replier avec ses hommes sous les bombardements ennemies au niveau des fermes plus en retrait. Le 16, le détachement est relevé par un autre détachement du régiment équivalent. Le lendemain, le service des tranchées du régiment prend fin et ce dernier part en cantonnement àHoutkerque puis àZeggers-Cappel où il reste jusqu'au 5 décembre[11].

décembre
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Le 5 décembre le régiment part se reconstituer dans la région deSaint-Pol-sur-Ternoise qu'il atteint le lendemain pour prendre son cantonnement àHumières. Il y reste près de six semaines. Un détachement du régiment est fourni le 31 décembre aux tranchées deBully-Grenay[12].

1915

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1916

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1917

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1918

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Entre-deux-guerres

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De 1921 jusqu'à, le3e régiment de dragons est affecté à l'occupation de laSarre[13]. Il est dissous en 1928[14].

Cyclistes du3e BDP lors desgrandes manœuvres deLorraine en 1931.

Il est recréé en 1929 àLunéville sous le nom de3e bataillon dedragons portés à partir du groupe de chasseurs cyclistes de la3e division de cavalerie[14]. En 1930, il passe à la2e division de cavalerie, créée par renumérotation de la3e division de cavalerie[15].

Le bataillon stationne au quartier Stanislas à Lunéville jusqu'en 1939.

Seconde Guerre mondiale

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Drôle de guerre

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Articles connexes :mobilisation française de 1939,drôle de guerre etplan Dyle.

En novembre 1939, la cavalerie est réorganisée après les dissolutions desbrigades de dragons portés de réserve générale. Les huit bataillons de dragons rendus disponibles permettent de porter le3e BDP au statut de régiment en lui adjoignant un second bataillon[16] ainsi que quatre pelotons d'automitrailleuses de reconnaissance modèle 1933 venus du2e régiment d'automitrailleuses[17].

Le régiment prend le nom de3e régiment de dragons portés le1er décembre 1939[17] et constitue à partir de février la12e brigade légère mécanique (12e BLM) avec le2e régiment d'automitrailleuses, la12e BLM faisant partie de la nouvelle2e division légère de cavalerie. Encas d'intervention en Belgique, cette division doit participer à lamanœuvre retardatrice en Ardenne en avant de la2e armée dont elle dépend, en direction de lafrontière belgo-luxembourgeoise au sud deMartelange[18]. Elle forme deux groupements ; la12e BLM fait partie du groupement est[18].

Campagne de France

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Stèle à 21 soldats du3e RDP tués dans une attaque aérienne le àBoult-aux-Bois.
Articles connexes :bataille de France,traversée des Ardennes etpercée de Sedan.

Il reçoit le 19 décembre 1940 lacitation à l'ordre de l'armée suivante[19] :

« magnifique régiment qui, sous les ordres de M. le lieutenant-colonel de Reboul, a témoigné pendant cinq semaines ininterrompues de combats, d'autant d'esprit offensif que de stoïque ténacité. Après s'être signalé en Belgique, puis dans la défense acharnée d'une zone boisée à l'Ouest de la Meuse a, le 27 mai 1940, réalisé au Sud de la Somme, une audacieuse progression. Le 5 juin, s'est sacrifié en défendant opiniâtrement des passages de la Somme, tous les éléments au contact résistant après encerclement jus qu'au dernier homme, certains tenant pendant quarante-huit heures. Le 7 juin, continuant avec ténacité le combat et au cours d'une contre-attaque locale commandée parM. le capitaine Le Masson, fait 50 prisonniers. Le 12 juin, réduits à une poignée de combattants, les débris du régiment, submergés par un adversaire auquel il arrachait un témoignage d'admiration, se défendaient autour de leur chef de corps jusqu'à épuisement des munitions. »

Armée d'Armistice

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Le régiment est reconstitué àCastres le, comme régiment de cavalerie attaché à la16e division militaire de l'Armée de Vichy[14]. Il regroupe deux escadrons montés, deux escadrons à cheval, trois escadrons cyclistes (équipés notamment de mitrailleuses et demortiers de 81) et d'un escadron d'AMD Panhard 178 privées de canon antichar[20].

Lors de l’invasion allemande de la zone libre en novembre 1942, il reçoit du généralde Lattre de Tassigny l'ordre de faire face aux Allemands mais refuse. Il est donc démobilisé le 27 novembre, sans avoir combattu[14].

Les cadres du régiment participent au sein desForces françaises de l'intérieur à la constitution duCorps franc Bayard, qui prend le nom de3e régiment de dragons FFI le. En souvenir du refus d'obéissance du3e dragons en 1942, le général de Lattre, devenu commandant de la1re armée française, ordonne au régiment de changer de numéro et le régularise sous le nom de12e régiment de dragons[21].

De 1976 à 1997

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Le3e Régiment de Dragons renaît le1er janvier 1976 par transformation du5e Hussards stationnant au camp du Heuberg à Stetten-Am-Kalten-Markt (Allemagne de l’Ouest) depuis l’été 1975 (décision ministérielle du).

Il se compose alors d’un escadron d’instruction, un escadron de commandement et service et de trois escadrons de combat pour un effectif de 793 militaires et sera équipé de 41 AMX30B, 14 AMX10P et 10 AMX13 VTT.

Le5e escadron porté sera créée le (dissous le1er juillet 1984), ainsi que l'Escadron d'Eclairage Divisionnaire de la3e division blindée le1er septembre et qui sera rattaché au3e Dragons.

Le, le3e Dragons est jumelé avec le294e Panzerbataillon (bataillon de chars de combat Allemand stationnant également au Heuberg).

Le tricentenaire de Bourbon-Dragons sera célébré les 13 et au cours d'unejournée portes ouvertes.

Il défilera sur les Champs-Élysées à Paris le.

Le3e Régiment de Dragons sera dissous le.

L'amicale du3e Dragons et de l'EED3 sera créée en 2009.

Étendards à 1791

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  • Condé cavalerie à 1740 (avers)
    Condé cavalerie à 1740 (avers)
  • Condé cavalerie à 1740 (revers)
    Condé cavalerie à 1740 (revers)
  • Condé cavalerie 1740 à 1776 (avers)
    Condé cavalerie 1740 à 1776 (avers)
  • Condé cavalerie 1740 à 1776 (revers)
    Condé cavalerie 1740 à 1776 (revers)
  • Condé dragons à 1791 (avers)
    Condé dragons à 1791 (avers)
  • Condé dragons à 1791 (revers)
    Condé dragons à 1791 (revers)

Étendard

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Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[22] :

  • Étendard à 1997
  • avers
    avers
  • revers
    revers

Décorations

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Sa cravate est décorée :

  • Croix de guerre 1914-1918 avec 2 palmes et 4 étoiles de vermeil
    Croix de guerre 1914-1918 avec 2 palmes et 4 étoiles de vermeil
  • Croix de guerre 1939-1945 avec 1 palme
    Croix de guerre 1939-1945 avec 1 palme
  • Fourragère
    Fourragère

Traditions et uniformes

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  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1757 à 1762
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1757 à 1762
  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1762 à 1767
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1762 à 1767
  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1767 à 1776
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Cavalerie de 1767 à 1776
  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1776 à 1779
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1776 à 1779
  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1779 à 1786
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1779 à 1786
  • l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1786 à 1791
    l' uniforme du Régiment Bourbon-Dragons de 1786 à 1791
  • l' uniforme du 3e régiment de dragons ex Bourbon-Dragons de 1791

Insignes

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Le premier insigne fait référence aux dragons portés (étoile) et à la Lorraine où le régiment est en garnison (croix de Lorraine). La couleur jaune est une référence aux chasseurs cyclistes[23].

L'insigne de l'Armée d'armistice est un écu français moderne écartelé aux armesde Bourbon (référence à l'origine du régiment) et de Lorraine (dont le régiment conserve les traditions). Au cœur, brochant sur le tout, un carreau d'argent portant le chiffre 3 surmonté de deux chevrons[14].

Devise

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Ardet et Audet

(Il brûle et il ose)

Personnalités ayant servi au3e régiment de dragons

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Notes et références

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  1. fiche LEONORE de Jules Brunet
  2. Hérard Bouton, marquis de Chamilly étaitmaréchal de camp le 9 janvier 1660,lieutenant général des armées du roi le 18 avril 1672, commandant d'armée le 6 mai 1672, † 1673
  3. François Emmanuel de Crussol d'Uzès, marquis de Crussol des Salles puis comte d’Ons-en-Bray vers 1754, brigadier le, maréchal de camp le 13 août 1744, déclaré lieutenant général des armées du roi en décembre 1748 par pouvoir du 10 mai, † 8 avril 1761
  4. Louis Joseph Nicolas, marquis de Cambis, brigadier le 10 mai 1748, maréchal de camp le 20 février 1761
  5. sit LEONORE
  6. Capitaine Raymond d'Izarny-Gargas :38e régiment d'infanterie : historique des corps qui ont porté le numéro 38
  7. Monographie communale de Chatou
  8. Historique du3e dragons pendant la campagne 1914-1918, Paris, H. Charles Lavauzelle,, p. 3-7
  9. Historique du3e dragons pendant la campagne 1914-1918, Paris, H. Charles Lavauzelle,, p. 8-10
  10. Historique du3e dragons pendant la campagne 1914-1918, Paris, H. Charles Lavauzelle,, p. 10-11
  11. Historique du3e dragons pendant la campagne 1914-1918, Paris, H. Charles Lavauzelle,, p. 11-15
  12. Historique du3e dragons pendant la campagne 1914-1918, Paris, H. Charles Lavauzelle,, p. 16
  13. EmmanuelPénicaut, « L’armée française en Sarre, 1918-1930 »,Revue historique des armées,no 254,‎,p. 20–28(ISSN 0035-3299,lire en ligne, consulté le)
  14. abcd eteJacques Sicard, « La cavalerie de l'armée d'armistice et ses insignes, 1940-1942 »,Militaria Magazine,no 101,‎,p. 53-59
  15. Jacques Sicard, « Les divisions de cavalerie et leurs insignes, 1939-1940 »,Armes Militaria Magazine,no 87,‎,p. 62-67
  16. François Vauvillier, « Le régiment de dragons portés de division légère de cavalerie (DLC) »,Guerre, blindés et matériel,no Hors-Série 1,‎,p. 22-23
  17. a etbFrançois Vauvillier,Les automitrailleuses de reconnaissance,t. 1 :L'AMR 33 Renault : ses précurseurs, ses concurrentes et ses dérivés, Paris,Histoire & Collections,coll. « Les matériels de l'armée française »,, 65 p.(ISBN 2-915239-67-3),p. 61
  18. a etbJean-YvesMary,Le corridor des Panzers : Par delà la Meuse 10 - 15 mai 1940,t. I, Bayeux,Heimdal,, 462 p.(ISBN 978-2-84048-270-3 et2-84048-270-3),p. 34 à 38.
  19. « Ministère de la Guerre : Citations à l'ordre de l'armée »,Journal officiel de la République française,vol. 72,no 328,‎,p. 6174(lire en ligne)
  20. (en) Ian Summer et François Vauvillier,The French Army, 1939-45 (1), Osprey Military,coll. « Men-at-arms » (no 315),(ISBN 1-85532-666-3,978-1-85532-666-8 et1-85532-707-4,OCLC 49674512,présentation en ligne),p. 37-38
  21. Jacques Sicard, « La14e division d'infanterie et ses insignes, 1945-1946 »,Militaria Magazine,Histoire & Collections,no 178,‎,p. 49-56
  22. Décisionno 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées,no 27, 9 novembre 2007
  23. Jean de Lassalle, « Les insignes des cuirassiers et dragons 1939-1940 »,Militaria Magazine,no 3,‎,p. 8-12

Source et bibliographie

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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