9 septembre : la retraite des Allemands est générale. Le régiment poursuit l’ennemi en direction du nord, traverse laMarne àCondé-sur-Marne.
14 septembre : le régiment arrive à arrive àSept-Saulx, sur laVesle. L’ennemi maintenant arrêté, s’organise défensivement entre l’Oise et laMeuse. De violents combats se livrent sur ce front. Chaque parti consolide ses points d’appui, approfondit ses tranchées, multiplie ses défenses.
20 septembre : de violents combats se livrent au nord et à l’est afin d’expulser les envahisseurs desforts à partir desquels ils lancent leurs projectiles.
12 juin le régiment est relevé et installé à la caserne Anthouard àVerdun. Entre le 4 et le12 juin, en8 jours, le régiment perd375 hommes soit 17 % de ses effectifs.
À partir du, il est occupé à des travaux à l’ouest dufort de Souville, sous des bombardements incessants.
En octobre la neige fait son apparition dans lesVosges et la température baisse brusquement.
Novembre
Vers la mi-novembre, les Allemands écrasent les tranchées detorpilles malgré le froid intense. On enregistre -32°C auBallon de Guebwiller, -30°C auSudel, le vin gèle dans les tonneaux.
Les7,8 et9 mai les Allemands avec un nombre considérable d’engin de tranchées, exécutent des tirs systématiques de destruction.
Le à 1 heure du matin, l’ennemi attaque. À l’Hilsenfirtz, les guetteurs français alertent l’artillerie qui déclenche un tir de barrage, faisant refluer en désordre l’assaillant. SurMetzeral, l’attaque a surpris les soldats occupés à réparer les défenses, mais la situation se rétabliet vite et les Allemands battent également en retraite.
Juin
Les5 et6 juin, le régiment relève le348e RI dans le secteur sud.
21 juillet : le régiment enlève le village deBonnes à labaïonnette, et continue sa progression, en combattant sur les fermes des Vallées, la crête de Plaisance, les bois du Roi et du Châtelet et arrive en fin de journée à 200 mètres de la cote 211 et de La Couarderie. Le320e RI a progressé de6 kilomètres et s’y maintient.
22 juillet : le régiment est replacé entreLe Charmel et la route deChâteau-Thierry, avec pour mission d’attaquer le bois du Châtelet. Les Allemands contre-attaquent, mais sont refoulés. Au soir les positions n’ont guère changé.
23 juillet : le combat continue pour la conquête du bois, plus de 200 Allemands y seront tués, mais les positions bougent à peine. Les Allemands évacuent le bois dans la nuit.
24 juillet : le régiment progresse dans la direction deLa Grange aux Bois à Beaumé et réussit à s’infiltrer dans le bois de la Tournelle avançant de 5,5 kilomètres dans la journée.
25 juillet la progression en direction de la ferme Préau est très limitée.
Du15 au19 octobre le régiment travaille à la réfection des routes, et se réorganise.
19 octobre : le régiment franchit la routePontavert-Corbeny-Sissonne et bivouaque dans les bois à l’ouest de la ferme de Remiécourt, sous une pluie battante.
26 octobre : l’ennemi se replie et le régiment occupe les carrières deLa Selve où ils sont immédiatement pris à partie par l'artillerie et lesminenwerfers ennemis.
27 octobre : le régiment organise ses positions en vue de la stabilisation du front.
28 octobre : l’ennemi tente, par deux fois, de reprendre les carrières, sans succès.
29 octobre : le régiment repousse un nouvel assaut
Les30 et31 octobre, les Allemands bombardent les positions avec des obus de gros calibres et des obus toxiques.
3 et4 novembre : l’artillerie ennemie est toujours très active.
5 novembre : les Allemands amorcent un mouvement de repli. Ils sont immédiatement poursuivis, et le régiment passeLa Selve, la ferme deMontigny-la-Cour et s’empare deDizy-le-Gros. Le régiment a progressé de8 kilomètres, et est soutenu par les unités italiennes se trouvant surle Hurtaut etle Thuel