outre lescélébrations ettraditions de chandeleurs religieusespaïennes et chrétiennes (purification de la Vierge Marie et de son nouveau-né) non datées plus loinin fine.
1653 : ladite localité deLa Nouvelle-Amsterdam reçoit sa charte urbaine et son autonomie administrative devenant dès lors une véritableville.
1969 : visite du général président françaisCharles de Gaulle àQuimper enBretagne, après un passage par la préfecture Martenot deRennes quelques jours auparavant fin janvier en voiture présidentielle[8].
2013 : abrogation officielle d'une loi française consulaire de 1800 qui n'autorisait chaque Parisienne à porter le pantalon et « s'habiller en homme » que sur autorisation préfectorale[9].
Mythologie lettone (Lettonie voire autres États balteslato sensu) :vēja diena ou « jour du vent » avec des rituels empreints de chamanisme destinés à calmer les ardeurs du vent lors de « l'été » à venir.
Fêtes religieuses romaines : second jour(defebruarius) desSementivae(en),Feriae Sementivae,Sementina dies ouPaganalia, jours et fêtes annuellesde semences en l'honneur de ladéesse de l'agricultureCérès équivalente de laDéméter grecque (après le premier entre le24 et le26ianuarius ayant honoré la déesse de laTerre Mère, Mère Terre (ou)Tellus équivalente de laGaïa hellène).Heureux hérisson observé et célébré enTraditionsci-après in fine.
Tchéquie :Hromnice ou « jour de la tempête » là aussi, similarités avec le « jour de la marmotte » d'Amérique du Nord ou du hérisson romain antique (infra) etc.
Hémisphère boréal terrestre dans maints pays : fête de laChandeleur c'est-à-dire « des chandelles » (festa candelarum) et fêtes similaires d'origines païennes comme la celteImbolc, liées à la lumière toujours plus "renaissante" depuis le solstice d'hiver ou "Yule" « Noël », entre ses « inverses »Samain &Halloween fin octobre début novembre et les « épiphanies » tout janvier ; puis les "cendres" liées aussi à l'invocation contre les « mauvais esprits » de l'hiver voire contre ceux plus dionysiens de Carnaval, et cendres « engrais fertilisant » pour de bonnes récoltes agricoles lors de la « belle saison » à venir(voir aussiTraditions ci-après, avant mercredi des Cendres christianisé(es), saint-Valentin des amoureux sortant de l'hiver mi-février vers « parades nuptiales » puis enfantements).
Religions yorubas mâtinées de christianisme comme ci-après, ayant traversé l'Atlantique en même temps que le commerce triangulaire et la christianisation :
comme àSalvador (de Bahia) par exemple, offrandes à cette "mère de l'eau" pour réclamer une pêche abondante, par syncrétisme candomblé entre christianismes (mariaux) et traditions africaines parfois « vaudoues » voire amérindiennes, rites métissés liés à la nature, aux saisons, aux besoins et ressources fondamentales issues de la terre et de la mer.
fête de la"purification" (sens étymologique latin du mot "février") de laVierge Marie mère dudit enfant Jésus tout juste circoncis à la synagogue juive en présence de son père terrestre ou nourricier Joseph, des vieillards Siméon et Anne (cette dernière elle-même traditionnellement considérée comme mère de Marie), quarante jours après l'accouchement et la naissance du Christ, selon les rites hébraïques bibliques les plus pieux et immémoriaux(voir dispositions de la Tora(h) ou Pentateuque sur « le pur et l'impur » féminins) ;
double fête déclinée suivant les cultures et traditions des différents pays et contrées concerné.e.s :
Et auxThéophane et ses variantes ou dérivés :Théophanée,Théophania,Théophanie, etc. ou leurs dérivés composés :Jean-Théophane, etc. (puisque la présentaton de Jésus à la synagogue est considérée par la chrétienté au moins orthodoxe comme une autreépiphanie outhéophanie, environ un mois après les plus connues début janvier -voir aussi les Tifanny, Tifenn, Tiphaine, etc.-, son incarnation de Noël, voire comme le baptême du Seigneur Jésus-Christ en janvier aussi, la Transfiguration des6 août, etc.).
Traditions et superstitions
Anciens Romains : tradition similaire à la fête de la marmotte nord-américaine modernesupra avec la sortie duhérisson de son terrier (préalable aux nourrissage et reprise de forces de cesbêtes engourdies avant leurs parades nuptiales comme les oiseaux via leurs chants plus nombreux vers la mi-février notre saint-Valentin des amoureux sortant de l'hiver, etc.).
Autres traditions voire légendes du jour liées àl'(homme-)ours sortant le 2 février de son hivernation en « pétant » par un bouchon anal les âmes des morts (jonction en cours entre monde souterrain des terriers, tanières ou autres nids et monde en surface).
Outre les pratiques multiséculaires ci-avant d'observation voire d'offrandes ou de « purifications » liées au présent jour du vent, de la tempête, de la mer et de l'eau avec Iemanja, du hérisson, de la marmotte et d'autres animaux hivernants voire hibernants tentant de sortir de leurs abris et torpeur hivernales,
bénédiction decierges (les fameuseschandelles à l'origine du motChandeleur), d'abord « pré-chrétiennement » puis depuis au moins leXe siècle liturgiquement, tels ceux de la fête juive deHanouka ou la lumière en fin d'automne vers le décembre « grégorien » avant Noël ;
Crêpe de froment garnie notamment de confitures et de crème chantilly.
« fête (et dégustation) des crêpes » dont la forme ronde rappellerait le disque de l'astre solaire victorieux sur les éléments hivernaux ténébreux, à l'instar de la rontondité similaire des boules et autres « pommes » voire oranges fruits de « sapins » et arbres de Noël, puis des galettes des rois dès le début de Carnaval début janvier un mois plus tôt (voire des œufs de Pâques également symboles de fertilité, etc. ;photographie ci-contre).
Dictons
« À la Chandeleur l'hiver meurt ou reprend vigueur. »[Cosson 1]
« À la Chandeleur l'hiver quitte ou reprend vigueur. »[14]
« À la Chandeleur les jours croissent de plus d'une heure et le froid pique avec douleur. »[15]
« À la Chandeleur verdure, à Pâques neige forte et dure. »[Cosson 2]
« À la sainte-Luc(i)e les jours croissent du saut d'une puce; à la Noël du pas d'un baudet; au Nouvel An du pas d'un sergent; aux Rois on s'en aperçoit ; à la Chandeleur, du pas d'un voleur. »[16]
« Beau temps le jour de la Chandeleur, autant d'hiver à passer que passé. »[17]
Les noms de plusieurs voies, places, sites ou édifices de pays ou provinces francophones contiennent cette date dans leur nom avec diverses graphies : voirDeux-Février.
Notes et références
↑ChristopheKoch,Histoire abrégée des traités de paix entre les puissances de l'Europe depuis la paix de Westphalie,Meline, Cans et Compagnie,(lire en ligne)
↑Association interuniversitaire de l'Est,Provinces et États dans la France de l'Est : Le rattachement de la Franche-Comté à la France. Espaces régionaux et espaces nationaux. Colloque de Besançon, 3 et 4 oct. 1977, Presses univ. Franche-Comté, 1979.