2C-T-7 | |
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Identification | |
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Nom UICPA | 2-[2,5-diméthoxy-4-(propylthio)phényl]éthanamine |
No CAS | 207740-26-9 |
Apparence | poudre blanche |
Propriétés chimiques | |
Formule | C13H21NO2S [Isomères] |
Masse molaire[1] | 255,376 ± 0,018 g/mol C 61,14 %, H 8,29 %, N 5,48 %, O 12,53 %, S 12,56 %, |
Caractère psychotrope | |
Catégorie | Hallucinogène psychédélique |
Mode de consommation | Ingestion |
Autres dénominations |
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Risque de dépendance | nulle |
Unités duSI etCNTP, sauf indication contraire. | |
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Le2C-T-7 est unpsychotrope aux propriétésstimulantes ethallucinogènes de la famille desphényléthylamines[2].
Il est inventé parAlexander Shulgin au début desannées 1980.
Le 2C-T-7 n'étant pas un produit très répandu, peu de recherches ont été effectuées. On ne connaît que peu satoxicité et sapharmacologie.Ses effets sont relativement semblables à ceux du2C-B mais d'une durée beaucoup plus longue (8 à 15 heures) et présentent des particularités[3].
Il induit un état hallucinogène puissant proche de ceux de lamescaline[3].Les effets physiques peuvent comporter desnausées et desvomissements[3].
Comme tout produit psychédélique, son usage peut générer desbad trips.
Plusieurs morts sont vraisemblablement liées à la prise de fortes quantités de 2C-T-7 par voie intranasale[4],[5].
Comme pour la plupart des « drogues de synthèse », la production s'effectue près des lieux de consommation grâce à la mise en œuvre de laboratoires clandestins mobiles[3].À l'instar du2C-T-2, cette molécule a été disponible en vente libre dans les smartshops suédois et hollandais au début des années 2000 sous le nom deBlue Mystic.
Le 2C-T-7 a été en France classé comme stupéfiant en 2003[6].