19 janvier : plus de 80 personnes sont tuées dans une série d'attaques de l'Armée de libération nationale dans la région de Catatumbo[1].
20 janvier : après cinq jours d'affrontements entre l'Armée de libération nationale et duClan del Golfo dans le nord du pays autour du contrôle de champs decoca, et dans le sud entre deux factions dissidentes desFARC s'opposant sur la question de négocier la paix ou non avec le gouvernement colombien, ayant provoqué plus de100 morts et 20 000 déplacés dans plusieurs zones de laColombie, le présidentGustavo Petro déclare l'état d'urgence interne, l'état d'urgence économique, et le déploiement de 5 000 soldats dans le Catatumbo (une partie de lafrontière avec leVenezuela)[2].
30 avril : au moins quinze policiers et douze soldats colombiens sont tués lors d'attaques ciblées menées par le cartel du Clan du Golfe et d'autres groupes armés[3].
10 juin : au moins sept personnes sont tuées, dont deux policiers, et 36 autres blessées dans dix-neuf attentats à la bombe et fusillades perpétrés par desdissidents des FARC contre des postes de police, des bâtiments municipaux, et des civils àCali, dans le Valle del Cauca[6].
21 juillet : l'Armée de libération nationale déploie un drone pour attaquer un convoi militaire à Catatumbo, tuant trois soldats, et en blessant huit autres[7].
15 novembre : le gouvernement colombien signe un contrat de 3,1 milliards d’euros pour 15 avions de chasse monoplacesSaab JAS 39 Gripen E et deux avions de chasse biplaces Gripen F livrable entre 2026 et 2032 à laForce aérospatiale colombienne[11].