Des géologues de la société diamantifèreNamdeb ont découvert, sur la côte sud de laNamibie, l'épave d'un bateau d'environ 500 ans renfermant des centaines de pièces d'or espagnoles et portugaises, des canons en bronze, plusieurs tonnes de cuivre et 50 défenses d'éléphants.
Les résultats de l'étude sur l'ADN mitochondrial deÖtzi, l'homme des glaces trouvé sur la ligne de crête du Similaun, sur l'actuelle frontière italo-autrichienne, semble montrer qu'aucune lignée actuelle —haplogroupe — ne correspond à la sienne et qu'il serait donc mort sans descendance aucune[1].
Les restes découverts en 2005 dans la cathédrale deFrombork (Nord de la Pologne) sont avec certitude ceux de l'astronomeNicolas Copernic, mort en1543[3].
Un trésor de 30 000 à 40 000 pièces en cuivre datant duIIIe siècle est découvert dans le jardin d'un particulier àSaint-Germain-lès-Arpajon (Essonne) à l'occasion de travaux de terrassement. Il s'agit d'un des plus gros trésor jamais trouvé en France et pesant près de 100 kg, probablement enterré en pleine nature entre les années280 et283. Les trois quarts des monnaies représentent les derniers empereurs de l'empire gaulois (Victorien et TétricusIer,269-274), un quart des monnaies représentent les empereurs régnant à Rome (Gallien et Claude II) et quelques autres enfin sont des imitations de Divo et Claudio.
Des archéologues israéliens ont découvert un trésor de 264 pièces d'or datant duVIIe siècle lors de fouilles organisées près de la Vieille ville de Jérusalem, dans une niche secrète dissimulée dans un mur. Ces pièces en or pur 24 carats portent l'effigie de l'empereur byzantinHéraclius, qui a régné de 610 à 641. Ce trésor a été découvert lors de fouilles effectuées dans la « cité de David », un site antique de Jérusalem situé dans la partie orientale de la ville.
Selon une étude publiée dans la revue scientifique en lignePLoS One, l'homme de Néandertal aurait été évincé parHomo sapiens peu après l'arrivée de celui-ci en Europe il y a 40 000 ans et n'aurait pas disparu à la suite d'un changement climatique[4]. L'équipe se base sur une modélisation des effets du climat sur labiodiversité pour parvenir à cette conclusion. Les chercheurs ont reconstitué le climat de l'époque et analysé la dispersion des sites occupés par les derniers néandertaliens et les premiers hommes modernes avec un algorithme appelé GARP.
↑Banks, W. E., d'Errico, F., Peterson, A. T., Kageyama, M., Sima, A. et Sánchez-Goñi, M.-F. (2008) - « Neanderthal Extinction by Competitive Exclusion »,PLoS One, 3, 12, pp. e3972.