6050-3050av. J.-C. : altithermal, ouoptimum climatique holocène. Climat aride en Amérique du Nord mais plus humide en Europe avec des températures moyennes de 1° supérieures aux actuelles[1].
6000/5500-2000av. J.-C. : nouvelle phase humide à l’Holocène moyen en Afrique occidentale. Lelac Tchad est à sa plus grande extension entre 6500 et 4300av. J.-C.[2].
5500-4950av. J.-C. : premières traces de bœuf domestique à Bouh Behl en Algérie, au sud de lasebkha d'Ouargla[3].
5500-4250av. J.-C. : néolithique final enHaute-Égypte (Nabta Playa). Maximum de l’aridité de l’Holocène moyen. Poterie à lèvre noire réduite originaire de la vallée du Nil. Importantes constructions mégalithiques : alignements de menhirs, cercle de pierres, monolithes enterrés, sépultures de bovidés sous tumulus, etc.[7].
5500av. J.-C. :néolithique du Fayoum en Égypte. Une période semi-aride entre 6000 et 4500av. J.-C. transforme les steppes en désert et rend habitable la vallée duNil[8]. Les chasseurs des steppes descendent vers le fleuve, se fixent sur les terres cultivables et s’unissent aux pasteurs et aux pêcheurs. Agriculture (blé, orge, lin), élevage, sédentarisation. Premiers villages auFayoum et enHaute-Égypte : huttes rondes aux murs de terre argileuse mêlée de morceaux de calcaires et revêtus de roseaux ou de paille. Poterie de grès, pierre polie. Sépultures : corps inhumés en position fœtale, offrandes (céréales, œufs d’autruches, poissons, perles, plumes, fleurs). Les fosses sont recouvertes de pierres calcaires formant un léger tertre. Petits objets de cuivre martelé et poteries découvertes à Badari, en Haute-Égypte. Dans la nécropole du village, à côté des restes humains, reposent des chacals, des gazelles, des taureaux et des béliers enveloppés dans des étoffes ou des nattes, témoignage d’un culte d’animaux sacrés[9].
5400–5000av. J.-C. : en Égypte, les premiers habitats structurés repérables apparaissent en bordure du delta et de la vallée duNil dans la dernière partie du VIe et au début du Ve millénaire. Le plus ancien site-témoin d’une réelle sédentarisation estMérimdé Beni Salamé (5400,), au sud-ouest du delta[8].
Peinture rupestre des montagnes duTassili n'Ajjer, période bovidienne.
5210-4720av. J.-C. : présence de bétail pleinement domestique attestée dans l’abri de Wa-n-Muhjâj dans l’Akukas, au Sahara[10]. Début de la civilisation néolithique de pasteurs de Bovidés dans leTibesti et l’Ennedi (Tchad) et de pêcheurs au sud duTibesti (harpons en os de l'Azawad). Les pasteurs seraient venus de l’est. Ils avancent en suivant les grands lacs, puis les zones alors humides du lac Tchad et de la boucle du Niger. Début probable de la représentation de bétail domestique sur lesfresques rupestres du Sahara (école du « bovidien ancien »). L’agriculture apparaît à une date indéterminée : lemil à l'ouest du lac Tchad, lesorgho plus à l’est. Elle se généralise après 2000av. J.-C.[11].
tumulus deL'Anse Amour, appartenant à la culturearchaïque maritime, est le plus vieux monument funéraire d'Amérique du Nord[15]. Premiers signes de présence humaine sur l’île deTerre-Neuve et au Labrador. Des têtes de harpons en os de caribou datées 7530 ± 140 avant le présent attestent de la chasse aux cétacés[16].
peintures rupestres de la cueva San Borjita enBasse Californie auMexique (Baja California), datées de 7 500 ansavant le présent[17]. De nombreusespeintures rupestres au style original y ont été mises au jour à partir des années 1950, témoignant d’une culture organisée, pratiquant peut-être l’agriculture et l’élevage, vivant dans des villages et maîtrisant l’art de la fresque (« El Gran Mural », la culture de la grande peinture murale).
Vers 5500-5000av. J.-C. : présence de céramique dans les sites dePedra Pintada et de Taperinha près deSantarém au Brésil[18]. Ce sont des bols et des jarres utilisés par des sociétés semi-nomades pour la cuissons et la consommation des coquillages et des poissons récoltés le long des cours d'eau[19].
Vers 5470av. J.-C. : l'élevage ducobaye (cuy) dans des clapiers ou des enclos est attesté dans la région d'Ayacucho dans les Andes centrales (grotte de Puente)[20].
5200-3400 ansav. J.-C. : complexe culturel précéramiqueCoxcatlan de lavallée de Tehuacán, auMexique.Chasse et cueillette. Au cours des siècles, une part croissante de l’alimentation provient de plantes cultivées : maïs, courge, piment, haricot, amarante[21].
culture néolithique acéramique deHissar sur les piémonts duTadjikistan méridional (sites de Tutkaul, de Saj-Sajëd et de Kangurttut) ; elle poursuit les traditionslithiques deschasseurs-cueilleurs mésolithiques, mais commence à pratiquer l’élevage (ovins, caprins, bovins) et probablement une agriculture sèche (broyeurs et meules). L’habitat est organisé autour de grandes structures circulaires pavées de galets fracturés ou brûlés et de fosses de dépotoirs ou de stockage[25].
culture d’Atbasar dans le nord et le centre duKazakhstan, dominée par la prédation des chevaux sauvages(equus ferus), pratique qui évolue vers une économie pastorale incluant des bovins, des moutons et des chèvres ; les cultures chalcolithiques deBotaï et de Tersek lui succèdent à partir de[26]
5500-4800av. J.-C. : période néolithique céramique deMehrgarh II auPakistan[29]. Les communautés de la plaine de Kachi auBaloutchistan prospèrent. les villages sont construits de briques crues, les artisans fabriquent des microlithes, des haches polies, des meules et des outils en os. Les premiers signes de développement de la céramique remontent au début du millénaire. Il s’agit d’abord de récipients produits en faible quantités, dans une argile mêlée de paille, façonnés à l’aide de paniers servant d’armature. Cette poterie remplace les paniers enduits de bitumes dont on a retrouvé de nombreuses traces dans les tombes. L’économie agricole se développe. La partie centrale se couvre de bâtiments-silo en brique crue, divisés en caissons ou en compartiments symétriques. Certains ont été conservés sur plus de trois mètres de hauteur. Les installations domestiques et artisanales occupent de vastes espaces ouverts autour des silos et ne s’organisent pas encore en unité d’habitation familiale, ce qui suggère une organisation sociale collective. Apparition des premières figurines en argile crue de taureaux portant une bosse sur le dos, associées à des statuettes féminines stylisées présentes dès le début du néolithique de Mehrgarh. Des routes commerciales existent avec les territoires de l'Iran actuel et duBadakhshan au Nord-Est de l’Afghanistan actuel, d’où sont importés deslapis-lazuli, descoquillages marins et desturquoises.
Obeid 2 ou culture d’Hajji Mohammed enMésopotamie méridionale[8]. La céramique s’enrichit de formes nouvelles (jarres plus grandes, vases-tortue). Les formes matérielles de cette culture se répandent dans trois directions : le long des rives du golfe jusqu’auQatar, dans leKhouzistan voisin et vers le nord dans le Hamrin (région deMandali) et àTépé Gawa où l’on voit dans les niveaux anciens des particularités d’El-Obeïd se mélanger à celles deTell Halaf ou deSamarra. Culture de céréales et légumineuses. Élevage de moutons, chèvres, ânes, porcs, bovins et chiens. La poterie est importée ou copiée de l’Anatolie orientale à la Méditerranée, jusqu’en Iran occidental et en Transcaucasie[8].
Halaf récent : la civilisation paysanne de Tell Halaf enSyrie du Nord (périodes 5 à 8), s’étend d’Alep à la futureAssyrie. Cette culture n’est pas originaire de Mésopotamie (sûrement liée avec l’Anatolie) et se distingue par la qualité de sa céramique et une grande importance de l’obsidienne dans l’outillage. Rues pavées, maisons rectangulaires ou rondes (tholoi), souvent de petite taille. Amulettes de terre cuites (têtes de taureau, doubles haches), figurines de femmes assises ou de colombes. Très belle céramique vitrifiée, aux parois fines, aux formes variés et aux motifs rouges, puis polychromes (noir, rouge, blanc) : triangles, carrés, damiers, croix, festons, cercles, fleurs, oiseaux, gazelles couchées, guépards. Usage funéraire de crânes conservés dans des vases aux côtés de l’inhumation classique. Apparition de la métallurgie du cuivre et du plomb[8]. Civilisation paysanne àTell Arpachiyah, près de Mossoul (province de Ninive,Irak) pendant les époques d’Halaf et d’Obeïd.
5400-5000av. J.-C. : des jarres, découvertes sur le site de Hajji Firuz Tepe, au nord-ouest desmonts Zagros, en Iran, contenaient un mélange d'acide tartrique et de résine de térébinthe. Ce serait levin et le procédé de vinificationles plus anciennement attestés[35].
Lacivilisation d’El Obeid (près de Ur) se répand de là jusqu’à laHaute Mésopotamie et laMéditerranée (Ras Shamra) de 5600 à El Obeid : pêche, élevage (bovidés). Commerce avec le nord de laMésopotamie (obsidienne, or, bois et pierre contre les surplus de céréales, de laine et de peaux) et l’Inde (amazonite). Systèmes complexes de drainage et d’assainissement des sols marécageux de basse Mésopotamie[8].
5400-3500av. J.-C. :âge du cuivre (ouchalcolithique) enAnatolie. Des agglomérations apparaissent dans lavallée du Méandre (Beycesultan) et sur les rives duBosphore. Le plateau central anatolien commence à se peupler. EnCilicie, la céramique brune et noire, faite à la main, est en partie remplacée par des céramiques peintes inspirées des poteries deHalaf et d’El Obeid[36].
La colonisation néolithique de l’Europe s’opère progressivement d’est en ouest entre 6500 et, par deux routes : par les Balkans, le bassin du Danube et l’Europe tempérée, de la mer Noire à l’Atlantique (culture rubanée) ; par les rives de la Méditerranée, également jusqu’à l’Atlantique, par la péninsule Ibérique et la vallée de la Garonne (complexeimpresso-cardial)[28].
6000-5500av. J.-C. :néolithique moyen dans la péninsule balkanique, représenté par le site deSésklo enThessalie. Le village est constitué de maisons rectangulaires en briques crues de deux pièces à piliers centraux et mur en pisés à base de pierre, groupés sur une acropole autour d’un bâtiment principal en « mégaron ». Culture du blé et de l'orge, élevage de moutons et de chèvres, présence de bétail, de porcs et de chiens. La céramique se diversifie (écuelles, bouteilles, cylindres) et la facture s'améliore (anses). Les décors peints en rouge sur fond blanc (zigzags, flammes, chevrons) rappellent les céramiques anatoliennes contemporaines (Hacilar(en)). Présence de figurines féminines assises, de statuettes masculines et des représentations de maisons en terre cuite[39].
6000-5000av. J.-C. :culture de Starčevo, du nom d'unsite archéologique de Serbie près de Belgrade, première culture néolithique véritable en Europe centrale, associée avec celles de Körös-Criş en Hongrie et en Roumanie et deKaranovo en Bulgarie. Des maisons rectangulaires en bois, argile et plâtre sont installées en sur des « tells » dans un environnement humide et forestier. Élevage de la chèvre, du mouton, des bœufs et des porcs. Culture de l’engrain et du millet. Chasse et pêche. Céramique peinte blanc sur rouge, puis foncé sur clair, de motifs linéaires, spirale, hachures, parfois incisée ou décorée à labarbotine (coupes hémisphériques à pied cylindrique, vases cylindriques). Lames de faucilles, grattoirs, herminettes et meules en pierre. Obsidienne deMélos puis des Carpates, parures despondyles de lamer Égée, cachet en relief, figurines féminines en terre cuite, vases anthopomorphes[39].
6000-4000av. J.-C. : néolithique ancien enSardaigne. Sites de Su Carroppu dans le Sud,Filiestru, grotte verte d’Alghero dans le Nord.Céramique cardiale et outillage lithique en silex et en obsidienne[43]. En Corse le début du néolithique ancien est à situer vers 5900-5800av. J.-C.[44]. Basi, dans la vallée duTaravo livre une abondante céramique cardiale datée de La nourriture carnée est issue presque exclusivement de l’élevage[6].
Vers 5960av. J.-C. : pirogue mésolithique deNoyen-sur-Seine, monoxyle fabriqué dans un tronc de pin long de 4,05 mètres et large de 55 centimètres, daté au radiocarbone de 7 960 ± 100 ansavant le présent. Le site detourbières a révélé une importante série de vanneries, dont des nasses de pêche[47].
5500-4500av. J.-C. :néolithique récent dans la péninsule balkanique, représenté par le site deDimíni enThessalie. Le village est installé sur une acropole fortifiée autour d'un mégaron. Les soubassements des habitations sont en pierre et les murs en briques crues. Le commerce se développe et l'agriculture devient plus intensive et structurée. La céramique à décor noir sur fond rouge comprend des vases-support et des bouteilles carénées. Une poterie monochrome évoque celle deVinča, en Serbie. Présence de figurines féminines assises portant un enfant[39].
Céramique linéaire, vers
5500-4900av. J.-C. : la civilisation néolithique dite de la « céramique linéaire ou rubanée » née enHongrie et enSlovaquie se propage en quelques siècles en suivant le cours duDanube de lamer Noire à l’est à l’Atlantique à l’ouest (), desAlpes au sud à laBaltique au nord[54]. Les peuples du rubané s’installent exclusivement sur leslœss (limons éoliens très fertiles déposés par les vents lors de la dernière glaciation). Ils occupent des villages constitués de longues maisons qui servent d’habitation, d’étable et de greniers.Agriculture sur brûlis des céréales (engrain, amidonnier, orge) et des légumes (lentilles et pois).Élevage porcin et du gros bétail. Les hommes de cette civilisation côtoient les derniers chasseurs duMésolithique[39].
Vers 5500-3300av. J.-C. : phasecamunienne desgravures rupestres duVal Camonica, dans laprovince de Brescia, dans le Nord de l'Italie (périodes I et II). Le style des pétroglyphes change radicalement avec l’arrivée d’une population néolithique d’agriculteur et d’éleveurs. Les sujets principaux des représentations ne sont plus les animaux sauvages des chasseurs du mésolithiques, mais des représentations humaines stylisées, des animaux domestiques (chiens, bœufs et chèvres), des charrues dans les dernières phases de la période II[56].
Vers 5400-5200av. J.-C. :colonisation de l'archipel de Malte par des agriculteurs de laculture de Stentinello, en Sicile. Phase deGħar Dalam (5200-4500av. J.-C.)[59]. Culture des céréales, élevage de bovins, chèvres, moutons et porc. Habitat dans des grottes (Għar Dalam) ou des maisons de pierre (gros mur et reste d'une cabane ovale àSkorba). Silex importé de Sicile, obsidienne dePantelleria ou deLipari. Poterie retrouvée très fragmentée, ornée de figures géométriques (bandes horizontales, chevrons, zigzags, guirlandes), anses de vases surmontées de têtes de bovins[60].
5350-3150av. J.-C. : concheiros de Muge ;amas coquilliersmésolithiques auPortugal, datés entre 7350 et 5150avant le présent. Le site livre une industrie microlithique, des galets de quartzite, des meules, pointes en os et haches de bois de cerf, et 230 sépultures individuelles[61].
5300-4000av. J.-C. :civilisation néolithique de Vinča du nom d'unsite archéologique de Serbie, hériter de laculture de Starčevo, dans l'ouest et le nord des Balkans. Les villages sont construits sur des « tells » formés par les occupations successives, dominant des terres fertilles. Les maisons sont quadrangulaires en argile, torchis et enduit mural. Les différences sociales sont plus accusées, d'après les tailles variées des maisons dont certaines sont nanties d'un porche. L'agriculture domine (blé, pois, lentilles). L'élevage est centré sur les bovidés, la pêche est importante alors que la chasse est devenue secondaire. La céramique, de teinte lustrée noire, à fonds plats, avec pieds ou sur trépied à décor incisé (chevrons, damiers, spirales, méandres, cannelures, zigzags), rappelle les productions anatoliennes de Can Hasan, près deKonya. L’art fournit de très belles statuettes féminines en céramiques. La découverte destablettes d'argile cuite de Tărtăria, en Roumanie, gravées de signes, suggère l'existence d'une proto-écriture. Les sépultures sont aménagées en fosses collectives. Les morts sont enterrés en position fœtale. Nombreux objets de parures (coquillages, amulettes, perles en faïence importées). Un culte institué apparait : autels,bucranes, statuettes de divinités du temple de Parta, en Roumanie[39].
5300-4950av. J.-C. : le site archéologique d’Herxheim, dans le sud de la Rhénanie-Palatinat, en Allemagne, appartenant à laculture rubanée, livre les traces de pratiques rituelles cannibales. Dans les fosses entourant le village sont enterrés les fragments osseux humains portant des traces de découpe et de fracturation des os (environ 400 à 450 individus), des ossements d’animaux, des poteries, des outils d'os ou de pierre et de rares objets de parures. Un millier de personnes de tous âges et pour certaines venant de régions éloignées de plusieurs centaines de kilomètres auraient été inhumées sur le site en moins d’un demi-siècle à la suite de rituels codifiés. Il pourrait s’agir deraids guerriers qui auraient ramené des prisonniers pour les exécuter et les consommer, ou de personnes se rendant volontairement à Herxheim pour participer à ces cérémonies, y compris à leurs dépens[62].
5300-3950av. J.-C. :civilisation d’Ertebøle sur les côtes danoises, en Suède et dans le nord de l'Allemagne[63]. Le grand gibier a été décimé. L’homme se nourrit de baies sauvages, de pêche et de coquillages (kokkenmodding : débris de cuisine) et produit des céramiques. Elle fait partie du mésolithique tardif, comme laculture de Swifterbant(en) aux Pays-Bas, la culture de Zedmar dans le Nord-Est de la Pologne, laculture de Narva dans les Pays baltes, qui se développent entre 5300 et alors que progressent les agriculteurs éleveurs durubané[64].
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↑Sylvain Ozainne,Un néolithique ouest-africain : cadre chrono-culturel, économique et environnemental de l'Holocène récent en pays dogon (Mali), Francfort-sur-le-Main, Africa Magna Verlag,, 259 p.(ISBN978-3-937248-33-2,présentation en ligne)
↑Claire Arnold,Écologie de la vigne sauvage, Vitis vinifera L. ssp. sylvestris (Gmelin) Hegi, dans les forêts alluviales et colluviales d'Europe, vdf Hochschulverlag AG,, 289 p.(ISBN978-3-7281-2890-4,présentation en ligne)
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↑Xavier Delestre,Cent ans d'archéologie en Provence-Alpes-Côte d'Azur, Paris/Aix-en-Provence, Editions du patrimoine Centre des monuments nationaux,, 199 p.(ISBN978-2-7449-0779-1,présentation en ligne)
↑François Briois, Claire Manen, Bernard Gratuze, « Nouveaux résultats sur l’origine des obsidiennes de Peiro Signado à Portiragnes (Hérault) »,Bulletin de la Société préhistorique française,vol. 106,no 4,,p. 809-811(présentation en ligne,lire en ligne)
↑Christian Jeunesse, « Les anneaux-disques irréguliers du Sud de la plaine du Rhin supérieur et la question des bracelets en pierre du Néolithique danubien »,Cahiers alsaciens d’archéologie d’art et d’histoire, Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace,vol. XXXVIII,, .5-34(présentation en ligne)
↑Ferran Antolín,Local, intensive and diverse? : Early farmers and plant economy in the North-East of the Iberian Peninsula (5500-2300 cal BC), Barkhuis,(ISBN978-94-92444-31-8,présentation en ligne)