Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?
Le mot moyen anglaisꟑoddspelless dans l’Ormulum.
Phrase avecꟐod etꟑode dans l’Ormulum.
deux ꟑ (à gauche) et deux ᵹ (à droite) dansThe Ormulum, with the notes and glossary R.M. White 1878.
Les trois g utilisés dans l’Ormulum, ᵹ, g et ꟑ, dans Napier 1894.
Dans l’Ormulum, leg insulaire ‹ ᵹ › note la spirante palatale [j] ou fricative palatale [ʝ] et le digraphe ‹ ᵹʰ › note sans doute une fricative vélaire [ɣ] ; le g insulaire fermé ‹ ꟑ › semble noter une occlusive vélaire [ɡ] ; et le g carolingien ‹ g › semble noter une occlusive palatale [ɟ][1].Il se retrouve simplement comme dans les mots ‹ þinꟑ ›, ‹ Ꟑodd ›, ‹ ꟑast ›, ‹ ꟑætenn ›[2], ‹ biꟑinnenn › ou géminé comme dans les mots ‹ biꟑꟑenn ›[3], ‹ eꟑꟑenn ›, ‹ eꟑꟑinnꟑ › , ‹ triꟑꟑ › ou ‹ kaꟑꟑerrleᵹᵹc ›[4].
Bruce Dickins, dans « A system of transliteration for Old English runic inscriptions » publié dans le journalLeeds Studies in English and Kindred Languages en 1932, décrit la lettre comme « g à dessus plat » et utilise le g macron suscrit ‹ ḡ › pour représenter la lettre d’Orm dans son système de translittération derunes anglo-saxonnes[5].R. D. Fulk, dansAn Introduction to Middle English: Grammar and Texts publié en 2012, décrit aussi la lettre comme « g à dessus plat » et utilise aussi le g macron suscrit ‹ ḡ › pour représenter le g à dessus plat de l’Ormulum[2].
Stephen Morrison, dans un article de 1983 publié dansNeuphilologische Mitteilungen décrit la lettre comme un « g barré » et utilise le g macron suscrit ‹ ḡ › dans le texte[6].
En 1982, M. B. Parkes décrit la lettre à leductus d’une g insulaire avec un trait ajouté sous le trait de la barre horizontale supérieure. Cependant, John Anderson et Derek Britton notent qu’ayant une panse, cette lettre semble être un g carolingien avec une barre supérieure[7].
Simon Horobin et Jeremy Smith décrivent la lettre comme un « g avec une ligne suscrite »[8] mais la représente avec une g avec une barre supérieure ‹›, un g avec un macron suscrit‹ ḡ ›[9] ou un g brève‹ ğ ›[10].
G à dessus plat dans laChronique anglo-saxonne (Cotton Tiberius B I, f. 164r).
Un g à dessus plat est une des trois formes de g utilisées dans le supplément de la version C (Cotton Tiberius B I) de laChronique anglo-saxonne mais semble être accidental ou un g carolingien corrigé en g insulaire[11].