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Îles Tuamotu

18° 47′ 47″ S, 141° 35′ 02″ O
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Îles Tuamotu
Archipel des Tuamotu (mul)
Les Tuamotu (au milieu et en violet) sur la carte de la Polynésie française
Les Tuamotu (au milieu et en violet) sur la carte de laPolynésie française
Géographie
PaysDrapeau de la FranceFrance
ArchipelTuamotu
LocalisationOcéan Pacifique
Coordonnées18° 47′ 47″ S, 141° 35′ 02″ O
Superficie850 km2
Nombre d'îles76 atolls
Île(s) principale(s)Anaa,Fakarava,Hao,Makemo,Manihi,Rangiroa,Tikehau
GéologieAtoll
Administration
StatutForme undistrict

Collectivité d'outre-merPolynésie française
Démographie
Population15 510 hab. (2007[1])
Densité18,25 hab./km2
GentiléPa'umotu
Autres informations
Fuseau horaireUTC-10
Géolocalisation sur la carte :océan Pacifique
(Voir situation sur carte : océan Pacifique)
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Géolocalisation sur la carte :Polynésie française
(Voir situation sur carte : Polynésie française)
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Atolls en France
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Lesîles Tuamotu[2], aussi connues sous l'expression toponymiquearchipel des Tuamotu[3] ou justeLes Tuamotu, en graphie françaiseles Touamatou constituent unarchipel de 76atolls[4] situé dans le Nord-Ouest de l'océan Pacifique Sud et faisant partie de laPolynésie française. Ce vaste ensemble insulaire très dispersé (allant deMataiva au nord-ouest àMarutea (Sud) au sud-est) s'étend sur une longueur de 1 762 km selon une direction allant de l'ouest-nord-ouest vers l'est-sud-est.

L'archipel des Tuamotu se trouve entre lesîles Marquises aunord, lesîles australes ausud, lesîles Gambier à l'est et l'archipel de la société à l'ouest.

Les îles dépendent administrativement de la subdivision Tuamotu-Gambier.

C'est dans la partie orientale de l'archipel des Tuamotu qu'ont eu lieu 193essais nucléaires français de 1966 à 1996 (àFangataufa et àMoruroa)[5].

Tuamotu signifie entahitien « les îles au large », l'archipel se trouvant à l'est deTahiti. Leshabitants des Tuamotu sont lesPa'umotu, mot qui désigne égalementleur langue. L'archipel était appelé aussiîles Pomotou etîles Basses ou encoreArchipel Dangereux[6],[7].

Histoire

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Peuplement polynésien

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Article détaillé :Peuplement de la Polynésie.

Le peuplement des Tuamotu, consécutif à celui de la Polynésie par despopulations austranésiennes installées auxFidji vers -1500, s'est le plus probablement déroulé à partir de 300 de notre ère en provenance de l'archipel de la Société, dont les îles ont servi de base de dispersion dans les siècles qui ont suivi aux populations de navigateurs s'aventurant, d'atoll en atoll, vers l'est et s'établissant là où les conditions de vie étaient favorables, avant d'essaimer à nouveau. Le peuplement polynésien de l'essentiel de l'archipel des Tuamotu aurait été réalisé entre l'an 300 et l'an 1100[8].

Découverte par les Européens

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Première carte des Tuamotu publiée en 1768 parBougainville lors de son passage. Apparaissent Les Quatre Facardins (actuelVahitahi), l'île des Lanciers (actuelAkiaki) et l'île de la Harpe (actuelHao).

Le,Fernand de Magellan découvre San Pablo, une des deuxîles Infortunées qu'évoqueAntonio Pigafetta, selon toute vraisemblancePuka Puka, premieratoll duPacifique à être découvert par les Européens.John Byron y passe en 1765 et en 1768,Louis Antoine de Bougainville s’aventure au sein de l'archipel sur sa route pourTahiti, mais il faudra encore de nombreuses années avant que les Européens ne terminent l’exploration de ce groupe d'îles : le dernier atoll découvert futAhe, le parCharles Wilkes.

Période moderne

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Article détaillé :Renaissance culturelle polynésienne.

Ces atolls passent sous protectorat français en1844. Ils figurent sous plusieurs noms : « Touamotou » (graphie française), « Pōmotu »[9], « Pau Motu » (pau : « soumises » etmotu : « îles »[10]) en raison de leur conquête historique par lesTahitiens, et Tuamotu signifiant « îles Lointaines », nom que les députés de l'archipel à l'assemblée de Papeete font valoir entre 1850 et 1851, et qui est finalement entériné par le protectorat français en 1852[11]. Elles sont définitivement annexées par laFrance en1880.

Géographie

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Situé entre le 134° et 150° de longitude ouest et 14° et 24° de latitude sud, l'archipel mesure 1 762 km de long et en moyenne 340 km de large. Il couvre une superficie de 800 000 km2. En2007, l'archipel était peuplé de 15 510 habitants.

Position des îles Tuamotu-Gambier en Polynésie française et en Océanie.

Atolls et îles

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Certainsatolls (eux-mêmes souvent composés de plusieurs îles émergentes et ilots, récifs ou bancs) et îles isolées sont groupés géographiquement, et forment des groupes et sous-groupes. Les principaux atolls sontAnaa,Fakarava,Hao,Makemo,Manihi,Rangiroa,Tikehau etMataiva.

Sauf mention contraire, les noms cités dans les listes ci-dessous désignent des atolls et donnent souvent leur nom à leur île principale (et non des îles isolées ou des îles secondaires des atolls auxquelles elles se rattachent géologiquement).

Groupe Actéon

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Article détaillé :Groupe Actéon.

Îles Deux Groupes

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Article détaillé :Îles Deux Groupes.

Îles du Désappointement

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Article détaillé :Îles du Désappointement.

Îles du Duc de Gloucester

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Article détaillé :Îles du Duc de Gloucester.

Îles du Roi Georges

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Article détaillé :Îles du Roi Georges.

Îles Palliser

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Article détaillé :Îles Palliser.

Îles Raevski

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Article détaillé :Îles Raevski.

Autres atolls isolés des Tuamotu

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Îles Gambier

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Article détaillé :Îles Gambier.

Les îles Gambier sont désignées souvent comme un archipel séparé de celui des Tuamotu. Il s'agit en fait de deux atolls proches (ainsi qu'un atoll submergé en faible profondeur formant des récifs dangereux pour la navigation), formant la partie sud-est habitée de la commune deGambier (qui comprend aussi plusieurs atolls inhabités au sud-est des Tuamotu, listés dans la section précédente) :

  • Atoll de Gambier, qui comprend au centre du lagon (en dehors desmotus de la couronne récifale) plusieurs îles hautes (et plusieurs îlots rocheux rattachés) dont :
  • Atoll deTemoe (au sud-est de l'atoll de Gambier et souvent rattaché géographiquement à lui, les eaux territoriales des deux atolls sont limitrophes)

Ces deux atolls sont rattachés avec les îles Tuamotu dans la subdivision administrative des Tuamotu-Gambier.

Géologie

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Toutes les îles des Tuamotu (saufMakatea etTikei qui cependant se sont formées à l’origine de cette façon) sont formées d'un étroit banc de sable (partiellement émergé) recouvrant une double barrière decorail formée sur l’atoll d’un ancienvolcan, dont le cratère central s’est effondré mais dont les pentes internes et externes ont vu naître les récifs coralliens. Ces anciens volcans se sont formés au-dessus des nombreux points chauds qui bordent les fractures tout autour de la profonde mais fineplaque tectonique du Pacifique Sud[12].

Parfois, seul le massif corallien interne (de formation plus récente) a pu émerger, protégé des courants océaniques par le massif corallien externe constamment battu par les flots, alors qu’entre les deux se sont accumulés les sables, pris à ces massifs coralliens ou aux plus anciennes roches volcaniques. Progressivement, ces sables recouvrent le massif corallien interne dont le rayon va se réduire autour de la cheminée centrale de plus en plus abrupte alors que leur niveau s’élève, tandis que le massif corallien externe peut aussi voir son rayon se réduire par l’érosion des vagues amenant les sables (ou par la mort des coraux causée par l’acidification des eaux océaniques).

Souvent des passes maritimes se sont formées avec lelagon central, où peuvent subsister encore des bancs de sable ou îlots secondaires. Ces passes font souvent l’objet de puissants courants demarée (essentiels à la vie du lagon, d'une part pour les oxygéner, et d’autre part pour le fragile massif corallien intérieur, très sensible aux variations d'acidité des eaux) qui ne renouvellent cependant que partiellement les eaux (souvent profondes et acides) de l’ancienne cheminée volcanique au centre des plus grands lagons (même si subsistent aussi des fractures sous-marines plus profondes traversant les flancs externes de l’ancien cratère formé de roches volcaniques accumulées et spongieuses).

Il est même possible que le massif corallien interne ne puisse jamais parvenir à se développer si ces passes marines sont insuffisantes (ou si les émissions acides dans la cheminée effondrée remontent de façon trop importante) et le lagon ne peut subsister que si l’effondrement du volcan ne se poursuit pas avant que les flancs aient été renforcés par le massif corallien externe. De tels cas se produisent avec des atolls aujourd'hui complètement submergés presque en permanence (hormis quelques récifs) et dont ne subsistent que des bancs de sable peu profonds et instables, où parviennent difficilement à se fixer les coraux (condamnant alors l’ancien atoll à une érosion rapide et un effondrement en grande profondeur si rien ne vient les soulever par une reprise de la poussée volcanique).

Toutes les îles émergées des atolls forment aussi de précieux refuges pour de nombreux oiseaux (à cause des distances importantes qui les séparent) : elles ont ainsi vu s’accumuler des dépôts parfois importants deguano, très riches enphosphates (notamment à Makatea) qui basifient et élèvent les anciens sols acides (et mêlés des squelettes d‘autres espèces marines vivant sur les sols émergés ou dans le lagon).

En raison de la très faible altitude des terres émergées, elles sont facilement submergées partiellement par l’élévation temporaire du niveau marin (lors de tempêtes,cyclones tropicaux outsunamis d’origine tellurique), ce qui maintient une salinité importante des sols que ne submergent pas les marées, et qui peut raser certains bancs de sable ou agrandir ou déplacer les passes marines entre eux. De plus les ressources en eau douce (d’origine atmosphérique) y sont très rares car elles ne peuvent pas facilement être accumulées sur ces sols spongieux gorgés de sel.

Les anciens atolls de Makatea et Tikei (issus de volcans les plus anciens ou plus petits) ont vu leur lagon se combler (presque totalement pour Tikei) après l’élévation du corail et l’accumulation des sables puis des guanos (qui ont imperméabilisé certains sols et permis la conservation de quelques ressources en eau douce). Makatea a pu ainsi voir se développer une maigre (mais fragile) couche fertile au-dessus, couvrant presque toute l’île et propice à une vie aérienne plus dense et à l’accumulation de dépôts végétaux.

Lesîles Gambier ont une origine géologique différente.

Climat

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Le climat est chaud sur l’ensemble des îles. La température moyenne est d’environ26 °C, elle est relativement constante tout au long de l’année. Il n’y a ni source, ni rivière, ni lac ; la seule façon d’avoir de l’eau douce est de recueillir l’eau de pluie. La moyenne des précipitations est d’environ 1 400 mm an−1. Elles sont assez bien réparties dans l’année, les mois de septembre et octobre sont un peu plus pluvieux.

Environnement

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Forêts humides tropicales
des Tuamotu
Écorégion terrestre - Code OC0115
Description de cette image, également commentée ci-après
Végétation de l'atollPukarua.
Classification
Écozone :Océanien
Biome :Forêts décidues humides
tropicales et subtropicales
Global 200 :Forêts des îles du Pacifique Sud
Écologie
Espèces végétales :
140
Oiseaux:
25
Mammifères:
0
Squamates:
18
Espèces endémiques :
8
Conservation
Statut:
Critique / En danger
Espèces menacées :
11
Ressources web :

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L'archipel constitue uneécorégion terrestre dans la classification duFonds mondial pour la nature sous le nom de « forêts humides tropicales des Tuamotu ». Elle appartient aubiome desforêts de feuillus humides tropicales et subtropicales de l'écozone océanienne.

Le maigre sol des îles de corail ne favorise pas la diversité végétale et ne permet généralement qu’une agriculture de subsistance. Les cocotiers, à partir desquels est extrait lecoprah, ont une grande importance économique pour ces îles. Sur certaines d’entre elles on cultive aussi la vanille. Les principales cultures sont l’igname, letaro et l’arbre à pain ainsi que d’autresfruits tropicaux.

La feuille dupandanus est traditionnellement utilisée pour faire des chapeaux et couvrir les toits des habitations (mais elle est de plus en plus remplacée par latôle ondulée.)

La faune est essentiellement composée d’oiseaux, d’insectes et de quelques reptiles. Il n’y a que 57 espèces d’oiseaux dont dix sont endémiques et treize sont menacées. En revanche les fonds marins sont d'une exceptionnelle richesse. Les lagons grouillent de vie ; plus de 400 espèces de poissons peuplent ces lieux magiques. Cette variété a fait des Tuamotu une des plus belles destinations du monde pour la plongée sous-marine. Les eaux cristallines permettent d'y cultiver les célèbresperles noires[13], rares et uniques au monde.

Démographie

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Au recensement de 2007, il y avait 15 510 habitants aux îles Tuamotu[1] soit une densité de 18 hab/km². La population était de 14 876 en 2002 et 8 100 en 1983. En 2002, 769 habitants vivaient à moins de 400 kilomètres des îlesMoruroa etFangataufa (ancienne base d’essais nucléaires).

Langues

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La langue officielle de l'archipel est lefrançais. Cependant, la langue des Tuamotu, lepa'umotu, est reconnue comme langue régionale de la République française. Lalangue mangarévienne est parlée auxîles Gambier, tandis qu’un dialectemarquisien est utilisé àPuka Puka[réf. souhaitée].

Administration

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Drapeau des Tuamotu

Gouvernement

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L'archipel est dirigé par une principauté depuis plus de 120 ans. On raconte qu'en 1892, le roi Rangiroa, en raison de la mauvaise entente qui régnait entre la population paumotu, a fui le territoire, sans avoir décidé de sa succession. Il était du devoir de son fils de se manifester pour reprendre le contrôle des terres polynésiennes, ce qu'il a fait.

Communes

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La division des Tuamotu-Gambier (au sein de laPolynésie française) se compose de seizecommunes couvrant la plus grande partie des atolls dans l'Archipel des Tuamotu et une commune couvrant les deux atolls récents desîles Gambier (ainsi que les quatre atolls duGroupe Actéon et les trois atolls isolés deMaria Est,Marutea Sud etMorane, tous situés au sud-est des Tuamotu). Ces communes prennent souvent leur nom de l’île principale des atolls qu’elles administrent, alors que de nombreux petits atolls sont aujourd’hui inhabités de façon permanente mais convertis en espaces naturels protégés :

Vue du lagon intérieur de Fakarava depuis un ponton proche du village de Rotoava
à l’ouest
au centre
à l’est
au sud

Divisions électorales

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Les îles Tuamotu forment deux des six circonscriptions électorales de l’Assemblée de la Polynésie française. À l’est de l’archipel, la circonscription électorale des « îles Gambier et Tuamotu » compte la commune de Gambier et onze autres communes : Anaa, Fangatau, Hao, Hikueru, Makemo, Napuka, Nukutavake, Pukapuka, Reao, Tatakoto et Tureia. À l’ouest, la circonscription électorale des « îles Tuamotu ouest » compte cinq communes : Arutua, Fakarava, Manihi, Rangiroa et Takaroa.

Économie

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L'économie des Tuamotu repose sur letourisme, laperliculture, lapêche et la culture ducoprah. Leseul vignoble dePolynésie française se trouve àRangiroa.

Notes et références

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  1. a etbPopulation des subdivisions administratives de Polynésie française, 16 847 habitants pour le district des Îles Tuamotu-Gambier, dont 1 337 habitants pour Gambier
  2. [PDF]Conseil national de l'Information géographique.
  3. National Geospatial-Intelligence Agency
  4. Tuamotu sur le site de l'encyclopédie Larousse.
  5. Le Devoir, 24 octobre 2018[1]
  6. C.de Varigny, « L'océanie Moderne: Iii. Iles Pomotou, Iles Marquises, Nouvelle-Calédonie, Australie Et Nouvelle-Zélande »,Revue des Deux Mondes (1829-1971),vol. 82,no 4,‎,p. 906–933(ISSN 0035-1962,lire en ligne, consulté le)
  7. DavidAllouch, « Les Tuamotus | L’archipel dangereux », surSAIL Tahiti,(consulté le)
  8. Des séries de fouilles archéologiques ont mis au jour surReao des « fosses de culture » destinées à la production detaros remontant à l'an 1120 ± 40 ans, ce qui constitue la plus ancienne datation de ce type faite aux Tuamotu bien que Reao soit l'un des atolls les plus orientaux de l'archipel.InLes fosses de culture dans les Tuamotu parJean-Michel Chazine,Journal de la Société des océanistes,no 80, tome 41, 1985.pp. 25-32.
  9. Gilbert Cuzent, « L'Archipel de la Société (L'annexion de Tahiti à la France) »,Bulletin de la SociétéAcadémique de Brest,2e série, tome X, 1884-1885, Imprimerie Société l'Océan, Brest,pp. 101-195.
  10. « Entries for Tahitian », surpollex.shh.mpg.de(consulté le)
  11. Étienne Avalle,Notices sur les colonies françaises, éditions Challamel aîné, Paris, 1866,[lire en ligne],pp. 632-633.
  12. (en)Liste des sommets sous-marins sur le Seamount Catalog.
  13. « La culture des Perles de Tahiti en Polynésie Française », surTaaroa Bijoux(consulté le)

Annexes

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Bibliographie

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  • Alexandre Juster,L'histoire de la Polynésie française en 101 dates, les éditions de Moana, 2016,(ISBN 978-2-9556860-1-0)

Articles connexes

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Liens externes

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