Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Île

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuisÎle continentale)
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirÎle (homonymie).

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet articlene cite pas suffisamment ses sources().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant lesréférences utiles à savérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique :Quelles sources sont attendues ?Comment ajouter mes sources ?
Photo satellite de l'île de Man.

Uneîle (ouile dans l'orthographe de 1990[1]) est une surface de terre entourée d'eau[2] de manière permanente ou parfois de manière temporaire en fonction desmarées[3]. Les îles peuvent être baignées par leseaux d'unocéan[4], d'uncours d'eau[5], d'unlac[6],...

Les îles peuvent être temporaires (banc de sable,volcans, etc.) ou permanentes.

Elles peuvent être isolées ou groupées avec d'autres îles et peuvent alors former unarchipel.

Une petite île est parfois désignée sous les termes d'îlot ou d'îlet.

Les îles peuvent être reliées à d'autres îles ou à uncontinent par unechaussée[7], unpont ou untunnel ;leurcaractère insulaire ne disparaît pas pour autant[réf. nécessaire]à l'inverse d'une île reliée de manière naturelle ou non à une autre île ou à un continent par unisthme, untombolo, unedigue ou parisostasie[pas clair].

Une île peut être continentale lorsque c'est le niveau de la mer qui isole un point haut du reste des terres ou que la dérive continentale détache l'île du reste des terres,volcanique,sédimentaire (alluvions,corallienne, précipitation chimique, etc),tectonique (émersion du plancher marin) ouartificielle. Elle peut prendre l'aspect d'un véritable continent comme l'Australie ou bien être réduite au simple aspect d'unécueil ou d'unrécif.

Définitions

[modifier |modifier le code]

LaConvention des Nations unies sur le droit de la mer de 1982 définit ainsi une île :« Une île est une étendue naturelle de terre entourée d'eau qui reste découverte à marée haute »[8] qui reprenait la définition qu'en donnait, dans son article 10, laConvention sur la mer territoriale et la zone contiguë[9], signée àGenève en 1958. S'il existe une limite pour distinguer une île d'uncontinent, généralement, elle est fixée à l'Australie. Mais la question de savoir si l'Australie est l'un ou l'autre reste ouverte. Certaines terres océaniques ne sont entourées d'eau que lors desgrandes marées ; il est abusif de les qualifier d'îles.

Une très petite île est unîlot[10]. Un simple rocher, impropre à l'activité humaine ou à une vie économique propre, n'a pas dezone économique exclusive ni deplateau continental[8].

Plusieurs îles proches les unes des autres forment unarchipel.

Certaines îles sontaccessibles à marée basse, perdant temporairement leur caractère insulaire. Là encore, il est possible de les considérer ou non comme des îles à part entière. On continue à parler d'île, même si l'insularité n'est effective que quelques jours par an, durant les grandes marées (cas notamment duMont Saint-Michel depuis 2012)[11]. On les qualifie detidal islands, terme anglais équivalant à "île accessible à marée basse" ou "île de marée" ou "îleintertidale"[12].

La superficie d'une île est sa surface en vue de haut ; si elle est soumise à des marées, c'est sontrait de côte (rivage à marée haute), qui figure sur les cartes et qui définit sa surface.

Étymologie

[modifier |modifier le code]

Sonétymologielatine,insula, a donné l'adjectif « insulaire » ; on dit aussi « îlien ». Au pluriel, le terme « îles » désigne couramment les îles des mers chaudes comme lesAntilles ou des archipels d'Océanie. L'ancienne orthographe étaitisle[13]) Par extension, le substantif « des îles » désigne quelqu'un ou quelque chose originaire des Antilles[14], bien que l'utilisation de ce terme n'ait aucune cohérence géographique.

Les toponymes peuvent conserver la trace d'une ancienne île, commeLille enFrance, ou procéder par analogie, telle la région française d'Île-de-France, extension de l'ancien domaine royal desCapétiens, qui n'est pas une île et dont les habitants sont appelés les « Franciliens ».

Lesrectifications orthographiques de 1990 rendent facultatif cet accent circonflexe, on peut donc écrireile.« Si l’accent circonflexe placé sur les lettres a, o et e peut indiquer utilement des distinctions de timbre [...] placé sur i et u il est d’une utilité nettement plus restreinte », toutefois,« aucune modification n’est apportée aux noms propres »[15]. AinsiBelle-Île-en-Mer n'est pas modifié, ni ses habitants lesBellîlois[16]

Formation

[modifier |modifier le code]

Par la montée des eaux

[modifier |modifier le code]

Les îles continentales sont appelées ainsi car elles sont situées sur le mêmeplateau continental que lecontinent qui leur est proche. Il s'agit donc en fait d'une partie du même continent : c'est la hauteur du niveau de la mer qui fait qu'il s'agit d'une île (c'est le cas de laGrande-Bretagne qui lors de la dernièreglaciation n'était pas une île). Certaines îles ne le sont d'ailleurs qu'àmarée haute (lemont Saint-Michel ou l'île de Noirmoutier par exemple). Dans ces cas-là, la profondeur de la mer autour d'elles est (relativement) faible.(Voir à ce sujet l'articleÎle accessible à marée basse.)

Par la dérive continentale

[modifier |modifier le code]
L'île deMadagascar, dans l'océan Indien.

L'Australie était, il y a des centaines de millions d'années, rattachée à l'Antarctique.Madagascar était rattachée à l'Afrique. Dans ces deux cas, uneplaque tectonique s'est déchirée pour en donner deux qui ont divergé progressivement sur la surface du globe à une vitesse de quelques centimètres par an (1 cm par an pendant 100 millions d'années = 1 000 km). C'est aussi le cas de laCorse et de laSardaigne qui étaient liées au continent européen, il y a plusieurs millions d'années[17].

Par accrétion volcanique

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Île volcanique.

Là, ce sont les laves accumulées par un ou plusieursvolcans qui émergent, par l'accumulation deproduits volcaniques, formant l'île. La profondeur de la mer aux alentours peut alors être très grande (plusieurs milliers de mètres). Les exemples au milieu de l'océan ne font partiegéologiquement d'aucun continent.

Par accrétion sédimentaire

[modifier |modifier le code]

Îles coralliennes

[modifier |modifier le code]
L'atoll de Bikini.

Unatoll est une île formée à partir d'unrécif corallien qui s'est construit sur une île volcanique érodée et submergée. Par l'accumulation de coraux et polypes sur plusieurs centaines de mètres de hauteur, le récif émerge à la surface de l'eau et forme une nouvelle île. Les atolls ont souvent la forme d'un anneau avec unlagon central et peu profond. Des exemples sont lesMaldives dans l'océan Indien etRangiroa dans le Pacifique.

Îles fluviales

[modifier |modifier le code]

Lesîles fluviales apparaissent dans lesdeltas et dans lescours d'eau. Elles se forment par le dépôt desédiments à des endroits où le courant perd une partie de son intensité. Certaines sont éphémères et peuvent disparaître lorsque le volume d'eau ou la vitesse du cours d'eau changent tandis que d'autres sont stables et d'une grande longévité.

Par accrétion tectonique

[modifier |modifier le code]
Les îles à l'ouest deSumatra sont unprisme d'accrétion qui émerge. Si les mouvements continuent ces îles vont s'agrandir et augmenter la surface de Sumatra.

Au niveau des zones de subduction où deux plaques tectoniques convergent, des failles inverses et des plis se forment, ce qui épaissit la croûte terrestre et fait remonter le fond de la mer. Ainsi, l'île de laBarbade dans lesAntilles est unprisme d'accrétion qui émerge. C'est la même chose pour les îles à l'ouest deSumatra :Simeulue,Nias… Pour l'île deNias, leséisme de 2005 à Sumatra a soulevé une partie de l'île, augmentant encore un peu plus sa surface.

Par remontée de la lithosphère

[modifier |modifier le code]

Au niveau de lamer Baltique et desfjords, la fonte, il y a 10 000 ans, d'unglacier qui la recouvrait, a fait remonter la lithosphère (rebond isostatique) faisant émerger de nouvelles terres et des îles commeBornholm.

Par intervention humaine

[modifier |modifier le code]
L'aéroport de Kobe, au Japon, a été construit sur une île artificielle.

Lesîles artificielles sont construites par remblayage ou par construction de digues. Elles utilisent parfois un ou plusieurs îlots déjà existants.

L'île René-Levasseur au Québec, dont la forme arrondie est due à l'impact d'une météorite, s'est formée par la construction dubarrage Daniel-Johnson.

Les lacs de retenue générés par des barrages contiennent parfois des îles.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Insularité

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Insularité.

La définition de l'île comme une étendue de terre entourée d'eau conduit à rassembler dans la même catégorie des terres très dissemblables, de l'îlot au continent, dont le degré d'insularité est très variable. Ce degré d'insularité est difficile à définir et s'apprécie différemment selon qu'on s'intéresse à lagéographie physique ou humaine, à l'économie et auxtransports, ou à labiologie ou à l'écologie.

Sous l'angle de la géographie physique, un auteur,François Doumenge, a défini des critères mesurables pour apprécier le degré d'insularité :

Cet auteur définit aussi un « indice d'endémisme » qui est le rapport du nombre total detaxons (genres, espèces et sous-espèces) du peuplement insulaire par le nombre des taxons endémiques. Cet indice donne une idée de l'importance de l'endémismevégétal etanimal, c'est-à-dire de l'isolement biologique, qui caractérise une île donnée.

L'indice d'isolement duProgramme des Nations unies pour l'environnement (PNUE, 1998), est plus complexe. Il consiste à additionner la racine carrée de la distance de l'île de taille équivalente ou supérieure la plus proche, la racine carrée de la distance de l'archipel le plus proche et laracine carrée de la distance du pays continental le plus proche. Cet indice est le plus élevé (149) pour l'île de Pâques. Il est de 102 pourTahiti et de 23 pour laCorse.

Ces indices ne tiennent pas compte des activités humaines, de l'importance de la population et de l'accessibilité (par exemple présence d'un aéroport international).

On peut aussi s'interroger sur la pertinence de l'île en tant qu'objet géographique spécifique. Un chercheur,François Taglioni, a conduit une étude sur les petits espaces insulaires[18] dans le monde afin de revisiter les concepts qui touchent aux îles et aux dynamiques territoriales que cette catégorie d'espaces entretiennent entre eux.

Taille

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Liste d'îles par superficie.
L'Australie dans le monde : île ou continent ?

Si on suppose que l'île d'Australie est un continent à lui seul, les trois plus grandes îles sont leGroenland (également plus grande île de l'Amérique du Nord), laNouvelle-Guinée (plus grande île d'Océanie) etBornéo (plus grande île d'Asie).

Madagascar est la plus grande île de l’Afrique (4e du monde) ; laGrande-Bretagne est la plus grande de l’Europe (9e du monde) ; la plus grande île d'Amérique du Sud est lagrande île de la Terre de Feu (29e du monde) ; celle d'Antarctique est l'île Alexandre-Ier (30e du monde).

La superficie des îles maritimes se mesure à partir de leurtrait de côte, en excluant l'estran.

Nombre

[modifier |modifier le code]

Le nombre d'îles dans le monde serait évalué à près de 300 000 en prenant en compte leur variabilité de taille allant de celle d'un continent, comme l'Australie, à quelques kilomètres carrés comme les îlots coralliens.

Écologie

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Écologie des îles.

L'étude des îles a influencéCharles Darwin et beaucoup d'écologues et a fondé certaines théories d'écologie du paysage, dont celle de l'insularisation écologique.

Écologie des îles

[modifier |modifier le code]

Les îles vraies ne peuvent abriter que peu d'espèces quand elles sont petites. À partir d'une certaine étendue, des facteurs importants debiodiversité, notamment par l'endémisme, peuvent permettre d'abriter une multitude d'espèces.

Dans unréseau écologique, elles peuvent servir de « gué » pour les espèces qui savent voler ou qui ont de bonnes capacités colonisatrices sur l'eau ou dans l'air. Les espèces qui y vivent y sont souvent plus petites - des éléphants nains vivaient par exemple enCorse et enSardaigne jusqu'à ce que ces îles soient colonisées par l'Homme.

À titre d'exemple, dans le vaste domaine biogéographique qu'est leBassin méditerranéen (trois millions de km2 environ[19]), les îles et îlots ne sont que 4 % (103 000 km2) environ des surfaces émergées[20], avec 4 000 îlots de moins de 10 km2 et 162 îles de 10 km2 et plus, répartis d'une manière non homogènes, où la biodiversité a particulièrement régressé mais constitue encore un réservoir remarquable.

Le concept d'île est également utilisé pourmétaphoriquement décrire tout « isolatbiogéographique » dans lequel des populations d'êtres vivants se trouvent isolés, formant des îles au sens biologique du terme. Quand ce processus est en cours dans un contexte defragmentation écologique, on parle d'« insularisation écologique ».

Un partenariat international a été initié pour aider les îles à échanger et se faire entendre en matière d'environnement, dans le cadre de laconvention mondiale sur la biodiversité (Rio, juin 1991), dit « Global Island Partnership » (ouGLISPA)[21].

Vulnérabilité

[modifier |modifier le code]

Les systèmes écologiques insulaires ou insularisés (îles vraies ou prises au sens de l'écologie du paysage) sont souvent simplifiés, et donc plus vulnérables aux perturbations, notamment anthropiques[22]. En particulier les introductions d'espèces (volontaires ou involontaires) y sont souvent cause d'invasion biologique perturbant gravement les équilibres écologiques insulaires[23] ce qui a entraîné la disparition de nombreuses espèces depuis quelques siècles. Höner et Greuter ont montré en 1988 que ces invasions n'affectent pas que les îlots, mais aussi les grandes îles comme Madagascar[24], la Nouvelle-Zélande[25] ou l'Australie.

Dans l'histoire

[modifier |modifier le code]

Colonisation humaine

[modifier |modifier le code]

De nombreuses îles étaient « désertes » (non habitées par l'homme) au moment de leur découverte par les Européens.C'est le cas deMadère, desAçores, de l'île Maurice, deLa Réunion, desSeychelles, deSainte-Hélène

D'autres étaient habitées, mais leurs premiers occupants furent exterminés ou assimilés par les colonisateurs : c'est le cas desGuanches auxîles Canaries, desIndiens caraïbes dans lesAntilles ou enJamaïque, desIndiens Onas de laTerre de Feu, desaborigènes enTasmanie.

En Europe de l'Ouest, vers 3000av. J.-C., des agriculteurs ont colonisé la plupart des petites îles du nord-ouest de l'Europe. Ils ont dû transporter par mer leurs graines, plants et animaux domestiques et l'ont parfois fait sur de longues distances. Ils ont adapté aux îles et à l'environnement marin certaines techniques d'élevage[26]. Au Mésolithique, beaucoup des îles européennes étaient déjà cultivées ou exploitées par des éleveurs, de manière très différente selon les cas[26]. Des analyses isotopiques zooarchéologiques laissent penser que l'alimentation humaine a d'abord été fortement tributaire d'aliments d'origine marine (poissons, fruits de mer (des amas coquillers le montrent), mammifères marins...), puis auNéolithique les cas sont plus contrastés (des amas de coquillages sont encore trouvés, de même que des restes de poissons, oiseaux et mammifères marins, mais des preuves isotopiques montrent qu'ils n'étaient plus qu'une contribution mineure à l'alimentation, soit que les progrès de l'agriculture aient permis des reports vers les fruits, légumes et viandes d'élevage, soit que les ressources marines les plus faciles à atteindre aient déjà été surexploitées[26]. Les bovins, ovins et porcins sont les plus présents parmi les animaux élevés. À la fin du Néolithique, même les îles les plus périphériques du nord-ouest de l'Europe ont été exploitées, et elles l'ont principalement été pour leurs ressources terrestres, plus que marines[26]. Ce document présente des données à partir de sites sélectionnés dans l'ouest de la France et dans les Orcades et tente ensuite de donner quelques explications possibles pour les modèles observés d'utilisation de petites îles à l'époque néolithique[26].

Utilité pour l'isolement

[modifier |modifier le code]

L'isolement, terme dont l'étymologie est rattachée à « île » par l'intermédiaire de l'italienisola, et la solitude sont souvent recherchés dans les îles, que ce soit volontaire ou non :

Des établissements pénitentiaires ont été installés dans des îles pour limiter les possibilités d'évasion[27] :

L'île et la culture

[modifier |modifier le code]

L'île paradisiaque

[modifier |modifier le code]
Une plage « paradisiaque » dans les îlesBermudes.
Article détaillé :Île paradisiaque.

L'île paradisiaque est un concept très ancien. Dans lescivilisations antiques, comme chez lesGrecs ou chez lesCeltes (île d'Avalon), si les dieux vivent dans une île, c'est bien qu'il s'agit d'un lieu privilégié. L'île est ainsi devenue le support duParadis. AuMoyen Âge, on situe lejardin d’Éden sur une île et on part à la recherche du Paradis sur Terre. Sa recherche est le cadre de nombreuses légendes et histoires. AuXVIe siècle, l'être humain se sert du cadre de l'île afin d'y décrire une société idéale, l'Utopie. Ultérieurement, les romanciers utiliseront l'île comme cadre de leurs romans pour que leurRobinson Crusoé y aborde et y vive en retrait de la société durant une certaine période. Ce concept desrobinsonades a été repris de nos jours par letourisme, pour en faire le lieu privilégié pour nosvacances qui font de nous de nouveaux Robinsons modernes. L'île support du rêve est ainsi devenue un des thèmes récurrents despublicités.

L'île dans la littérature

[modifier |modifier le code]

L'île au cinéma

[modifier |modifier le code]

L'île à la télévision

[modifier |modifier le code]

L'île dans le jeu vidéo

[modifier |modifier le code]

Adaptations musicales de récits littéraires

[modifier |modifier le code]

Sources historiques

[modifier |modifier le code]

Plans, profils, cartes manuscrites et imprimées sont conservés audépartement des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Académiefrançaise, « île | Dictionnaire de l’Académie française | 9e édition », surwww.dictionnaire-academie.fr(consulté le)
  2. Île, insularité, îléitéGéoconfluences
  3. Carte des îles accessibles à marée basse Tidal-Island
  4. [PDF]Les îles océaniques
  5. AnnieDumont,« Les îles : un espace fluvial à part ? », dans Annie Dumont,Les passages à gué de la Grande Saône : Approche archéologique et historique d’un espace fluvial (de Verdun-sur-le-Doubs à Lyon), Dijon, ARTEHIS Éditions,coll. « Suppléments à la Revue archéologique de l’Est » (no 17),(ISBN 978-2-915544-58-9 et978-2-9510239-3-2,DOI 10.4000/books.artehis.17548,lire en ligne),p. 210-211
  6. « 9 îles incroyables situées sur des lacs », surwww.lonelyplanet.fr,(consulté le)
  7. Chaussée submersible ou présentant un ou plusieurs ponts (en généraltournants oubasculants) pour permettre lanavigation maritime.
  8. a etb[PDF]Convention des Nations unies sur le droit de la mer Partie VIII Article 121 Régime des îlesp. 46
  9. Convention sur la mer territoriale et la zone contiguë
  10. Îlot (dictionnaire de l'Académie française,8e édition).
  11. Par Frédéric Mouchon Le 2 mai 2022à 15h53, « Il y a dix ans, le Mont-Saint-Michel redevenait une île », surleparisien.fr,(consulté le)
  12. « Presqu'îles ou péninsules, comment les reconnaître ? », surwww.sur-la-plage.com(consulté le)
  13. Frédéric Godefroy, entrée « isle »,Complément du dictionnaire de l'ancienne langue française et de tous ses dialectes duIXe au XVe siècle, 1895-1902.
  14. Informationslexicographiques etétymologiques de « Île » dans leTrésor de la langue française informatisé, sur le site duCentre national de ressources textuelles et lexicales.
  15. Les rectfications de l'orthographeConseil supérieur de la langue française,Journal officiel de la République française,no 100, 1990, p. 11 et 13.
  16. « Belle-Île ou Belle-Île-en-Mer », Larousse.
  17. « La Corse n’a pas toujours été une île ! », surFrancetv.fr(consulté le).
  18. taglioni.net
  19. Blondel, 1991
  20. Kolodny, 1974 cité dans Brigand, 1991
  21. Global Island Partnership
  22. Lodge, 1993
  23. Atkinson, 1985
  24. Goodman, 1995
  25. Towns et Ballantine, 1993
  26. abcd eteSchulting, Rick; Tresset, Anne; Dupont, Catherine (2004),From Harvesting the Sea to Stock Rearing Along the Atlantic Façade of North-West Europe; Environmental Archaeology, Volume 9, Number 2, Oct. 2004,p. 143-154(12)résumé ; DOI:https://dx.doi.org/10.1179/146141004790734478
  27. Éric Fougère,Île-prison, bagne et déportation : les murs de la mer, éloigner et punir,éd. l'Harmattan,, 248 p.(ISBN 2-7475-3552-5).

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Reliefs etmodelés naturels de laTerre
Reliefs structuraux
demontagne
(orographique)
deplaine
deplateau
Modelés
Hydrographique
(cours d'eau)
Éolien
Glaciaire
Karstique
Littoral
Maritime /
Océanique
Volcanique
Concepts généraux
Critères
descriptifs
Sciences
LaTerre :structure interne ·Hydrosphère ·Relief ·Atmosphère ;Liste de termes de géomorphologie
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Île&oldid=229961530#Par_la_montée_des_eaux ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp