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Évette-Salbert

47° 40′ 33″ nord, 6° 47′ 56″ est
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Évette-Salbert
Évette-Salbert
Paysage d'Évette-Salbert.
Blason de Évette-Salbert
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionBourgogne-Franche-Comté
DépartementTerritoire de Belfort
ArrondissementBelfort
IntercommunalitéGrand Belfort
Maire
Mandat
Laurent Demesy
2021-2026
Code postal90350
Code commune90042
Démographie
GentiléÉvalbertois
Population
municipale
2 022 hab.(2022en évolution de −2,08 % par rapport à 2016)
Densité221 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 40′ 33″ nord, 6° 47′ 56″ est
AltitudeMin. 382 m
Max. 474 
m
Superficie9,16 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbaineBelfort
(banlieue)
Aire d'attractionBelfort
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Valdoie
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Évette-Salbert
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Évette-Salbert
Géolocalisation sur la carte :Territoire de Belfort
Voir sur la carte topographique du Territoire de Belfort
Évette-Salbert
Géolocalisation sur la carte :Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Évette-Salbert
Liens
Site webevettesalbert.fr
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Évette-Salbert est unecommune française située dans ledépartement duTerritoire de Belfort, la région culturelle et historique deFranche-Comté et larégion administrativeBourgogne-Franche-Comté.

Les habitants sont les Évalbertois.

Géographie

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Description

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Évette-Salbert, née en 1972 de la fusion des trois villages d'Évette, de Bas-Évette et de Salbert, est une commune péri-urbaine située au nord-ouest de Belfort. Elle constitue un élément de l'agglomération belfortaine dont elle est la quatrième commune la plus étendue après Belfort, Bourogne et Vézelois. Elle compte une trentaine de kilomètres de voirie communale qui relie de nombreux hameaux ou lieux-dits (le Thiamont, Bas-Évette, la Forêt…). Elle est située dans la deuxième couronne de la communauté d'agglomération belfortaine et a conservé un caractère semi-rural.

Le village présente un paysage diversifié où l'on passe du sud au nord, du pied du massif du Salbert (460 m) à une plaine d'environ 400 mètres d'altitude s'étendant aulac du Malsaucy (55 ha) qui offre la possibilité de pratiquer les sports nautiques et un hébergement pour les groupes.

Le territoire communal repose sur lebassin houiller stéphanien sous-vosgien recouvert par unPermien épais[1]

Sous l'action prolongée des intempéries, le grès permien se désagrège pour donner une terre sableuse, rougeâtre, contenant une assez grande quantité d'argile. Ces sols peu drainants forment deszones humides, où de nombreuxétangs ont été aménagés. C'est dans ce Permien que se trouve le lac du Malsaucy.

Le principal cours d'eau de la commune est le ruisseau le Verboté, affluent de laSavoureuse.

C'est une des 189 communes duParc naturel régional des Ballons des Vosges[2].

Communes limitrophes

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Rose des ventsErrevet
(Haute-Saône)
Lachapelle-sous-ChauxSermamagnyRose des vents
Frahier-et-Chatebier
(Haute-Saône)
NValdoie
O   Évette-Salbert   E
S
Châlonvillars
(Haute-Saône)
EssertBelfort

Toponymie

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  • Évette : Weites (1347), Wette (1394), Esvette (1655), Wettes et Wette (1427), Évette (1793).
  • Salbert : Salebert (1472), Desoubz Saleberg (1474), Le Salbert (1793).

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Bourgogne-Franche-Comté etClimat du Territoire de Belfort.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat de montagne, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Giromagny_sapc », sur la commune deGiromagny à 8 km àvol d'oiseau[5], est de10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 636,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de37,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de−18,9 °C, atteinte le[Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Évette-Salbert est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant16 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (63,4 %), zones urbanisées (22,4 %), forêts (9,3 %), eaux continentales[Note 5] (5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Gentilé

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Le nom de la commune, formé par la juxtaposition du nom des deux communes originelles, rendait difficile la désignation des habitants, qui ne disposaient donc pas d'ungentilé.Depuis, après une sélection faite par le conseil municipal des jeunes aidé par l'équipe municipale, un choix de noms a été proposé à la population qui s'est prononcée en faveur de : Évalbertois, Évalbertoise.

Histoire

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La localité consistait en 1304 en quelques habitations disséminées sur un terrain marécageux (dont le Malsaucy déjà connu), formant des hameaux. Elle devint une grande Mairie dont dépendaient : Valdoie, Eloye, Forchelon (disparu depuis), Essert. On y cultivait l'avoine, le seigle, le sarrazin, la navette et le colza. (Forchelon existait encore en 1347. On retrouvait en 1913 des vestiges entre Essert et Cravanche).

À la succession de Renaud de Bourgogne, un partage eut lieu en 1347 au château d'Altkirch. Dame Jeanne de Montbéliard, fille aînée de Renaud défunt, partage son héritage (3 ans avant sa mort) entre ses quatre filles, Jeanne (dite Jeannette pour la distinguer de sa mère), Ursule, Alix et Marguerite.

  • Le Rosemont (cité pour la première fois comme division territoriale) échoit à Jeanne de Ferrette, duchesse d'Autriche épouse d'Albert II d'Autriche. Évette et Salbert passent sous l'emprise des Autrichiens pendant plus de deux siècles.
  • Le, Louis de Champagne, comte de la Suze prend Belfort et sa région aux Autrichiens. Il profite peu de sa victoire, devenu seigneur de Belfort, il mourut le de la même année à Montbéliard.
  • À son fils Gaspard de Champagne, qui avait combattu avec son père, Louis XIII donne la seigneurie de Belfort et du Rosemont. En 1545, il épouse Henriette de Coligny, poétesse à ses heures composant à la source de Bermont. Le traité de Wesphalie en 1648 prévoit le rachat des droits seigneuriaux de la maison d'Autriche par le roi de France.
  • En, Louis XIV, par lettres patentes datées de Toulouse, donne à son cher cousin, Le cardinal de Mazarin, Belfort et le Rosemont. Celui-ci devint seigneur de Belfort et de Rosemont, donc possesseur d'Évette, de Salbert et du Malsaucy (Malsaussé). Il met en valeur l'étang et le fit communiquer avec l'étang des Forges à Belfort. La forge a été installée en 1643 par le comte de la Suze. On y fabriquait pour la région des ustensiles de ménage, serrurerie, du matériel agricole, etc. Ceci était justifié par l'arrêt des approvisionnements autrichiens, spécialistes surtout en matériels agricoles (faux de Styrie). En période sécheresse le Malsaucy alimentait l'étang de la forge par le Verboté, la Savoureuse et le canal du Martinet, d'où le droit d'eau au cours des siècles en faveur des usines, de l'armée et encore en usage de nos jours.
  • En 1983, en période sèche, l'usine SAMICA de Valdoie pompait à la jonction du Verboté et de la Savoureuse et refoulait l'eau à son usine. L'opinion a prévalu que le Malsaucy était implanté sur un terrain marécageux, ce n'est pas rigoureusement exact. À sa partie nord, ne voyait-on pas il y a quelques années, en période de sécheresse et au moment de la pêche, des vestiges d'une voie romaine. Serait-il trop hasardeux de faire un rapprochement avec la bataille de César et Arioviste (58 avant Jésus-Christ) et le camp romain qui se trouvait à la place du fort de Giromagny ? Le cardinal de Mazarin ne reste pas longtemps possesseur du Malsaucy puisqu'il meurt le.
  • À la mort du cardinal Mazarin, sa nièce Hortense Mancini, épouse du duc de Meilleraye, son héritière et ses descendants en resteront possesseurs jusqu'à la Révolution.
  • Les derniers furent les Grimaldi de Monaco par le mariage en 1777 de la duchesse Louise Félicité, Victoire d'Aumont Mazarin avec Honoré II Grimaldi, duc de Valentinois, prince de Monaco (donation annulée le de Louis XIV à Mazarin).
  • La Restauration rétablit les Grimaldi dans leurs biens et non leurs titres jusqu'en 1830.
  • Le Malsaucy eut comme propriétaires d'abord la famille Royer (magistrats) de Belfort jusqu'en 1912, puis la famille Feltin Pierre (le cardinal) qui le vendit au département en 1974.
  • Paroisse - Évette ne constitua une paroisse qu'en 1781 à la construction de l'église dédiée à saint Claude (patron du village). Auparavant, Évette dépendait de la paroisse Saint-Vincent de Lachapelle-sous-Chaux.

Faits historiques

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La commune est née le de la fusion des anciennes communes d'Évette et deSalbert.

  • Évette

Le nom d'Évette est cité pour la première fois en 1024. D'après J. Liblin, ce toponyme viendrait de l'allemandWeide signifiantpâturages. Dès leMoyen Âge,Évette fut le chef-lieu d'une mairie dépendant ducomté de Montbéliard. Elle fut réunie à laseigneurie du Rosemont en1347[16].

La gare a été construite àBas-Évette en1880, date à laquelle fut posée la voie ferrée reliantGiromagny à la ligneBelfort-Paris.

La population d'Évette était de 354 habitants en1803.

  • Salbert

Le village deSalbert doit son nom au mont auquel il est adossé. CommeÉvette, son habitat est dispersé en plusieurs hameaux dontla Forêt isolé à plus de 2 km en direction deChâlonvillars, dans le département de laHaute-Saône.

Salbert regroupait 185 habitants en1803.

Un ensemble defortifications et d'ouvrages furent réalisés après la guerre de 1870 pour assurer la défense de laTrouée de Belfort.

Politique et administration

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Intercommunalité

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La commune est notamment membre de deux structures intercommunales :

Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 dans le Territoire de Belfort.
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Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
La mairie d'Évette-Salbert.
Liste des maires successifs d'Évette puis d'Évette-Salbert
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
?1971Adrien Grisey  
19711972Eugène Voisinet Agriculteur
1972 : fusion d'Évette, Bas-Évette et Salbert
1972mars 1983Eugène Voisinet[17] Agriculteur
Réélu en 1977
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1993mars 2001Patrick RoyerDVDVice-président de laCAB
mars 2001avril 2010
(décès)
Alain Simon Cadre retraité
juin 2010mars 2014Francis NanséDVG 
mars 201425 mai 2020Bernard GuillemetDVDCadre
mai 2020mars 2021Michèle JeannenotSECheffe d’entreprise retraitée
3 avril 2021en coursLaurent Demesy[18]SEInfirmier libéral, ancien adjoint
Élu lors d'uneélection municipale partielle

Budget et fiscalité 2015

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En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2022, la commune comptait 2 022 habitants[Note 6], en évolution de −2,08 % par rapport à 2016 (Territoire de Belfort : −2,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
317325376463461456503506513
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
495516543489494566555545565
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
574675702625588552561561572
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
5725801 3891 7812 0932 1552 0422 0132 080
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
2 0732 0212 022------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puisInsee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Santé

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L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé entre Belfort et Montbéliard, àTrévenans[24],[25].

Économie

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Le développement de la commune a permis l'implantation progressives de quelques artisans, commerces et entreprises tels que pharmacie, menuiserie-ébénisterie,auberge, discothèque, boulangerie-pâtisserie-salon de thé, médecin, infirmières...

Un bureau de poste, unegare ferroviaire, unebase nautique et de loisirs (gérée par leConseil départemental du Territoire de Belfort), un centre équestre et des installations sportives sont également disponibles.

Culture locale et patrimoine

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Plage du lac du Malsaucy en juin.

Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Claude[26] et sa cloche de 1779[27].
  • LeLac du Malsaucy de 55 ha, créé au XVe siècle par Gaspard de Morimont, baron de Morimont, à des fins piscicoles, est pour partie sur le territoire communal.
  • Une extrémité dusentier de grande randonnée 533 se situe sur la commune.
  • Monuments commémoratifs[28].
  • L'église Saint-Claude, côté sud.
    L'église Saint-Claude, côté sud.
  • L'église Saint-Claude, côté nord-ouest.
    L'église Saint-Claude, côté nord-ouest.
  • Croix de chemin.
    Croix de chemin.
  • Frères Jardot.
    Frères Jardot.
  • Borne entre Belfort et Evette-Salbert.
    Borne entre Belfort et Evette-Salbert.

Personnalités liées à la commune

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Traditions

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Tous les premiers dimanches d'avril, l'ensemble des associations du village organise la fête dupochon d'avri, fête traditionnelle retrouvée récemment - plus d'informations sur le site de la mairie.

Gastronomie

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Évalbertoise.

Un pain spécial a été créé pour la commune par le boulanger local, pour rendre hommage au nouveau nom des habitants, labaguette évalbertoise, cuite au feu de bois.

Héraldique

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Article détaillé :Armorial des communes du Territoire de Belfort.
Armes de Évette-Salbert

Les armes peuvent seblasonner ainsi : Coupé par une divise d'argent : au premier d'or au mont de trois coupeaux de sinople mouvant des flancs et de la partition, au second d'azur aux trois canettes d'argent nageant sur une onde du même.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Belfort comprend une ville-centre et15 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « Montbéliard : carte géologique », surac-besancon.fr.
  2. « Liste des 189 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3ème Charte 2012 - 2024 »[PDF].
  3. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  5. « Orthodromie entre Évette-Salbert et Giromagny », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche climatologique - période 1991-2020. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », surdrias-climat.fr(consulté le).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.com,(consulté le).
  10. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  11. « Unité urbaine 2020 de Belfort », surle site de l'Insee(consulté le).
  12. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », surle site de l'Insee(consulté le).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  16. Histoire et patrimoine Evette et Salber
  17. « Disparition d’Eugène Voisinet »,L'Est républicain,‎(lire en ligne).
  18. Élu par le conseil municipal le 3 avril 2021 à la suite de l'élection municipale partielle du 28 mars 2021.
  19. Les comptes de la commune
  20. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  24. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  25. Site officiel de l'HNFC.
  26. L'église Saint-Claude
  27. Noticeno PM90000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture Cloche de l'église Saint-Claude
  28. Monument aux Morts commun à Évette et Salbert, Plaque commémorative 1914-1918 de l'église Saint-Claude, Monument commémoratif 1939-1945 Évette-Salbert, Plaque commémorative
v ·m
Communes duGrand Belfort
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Plus de 10 000 habitants
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