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Études de journalisme en France

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Pour les études de journalisme dans le monde, voirÉcole de journalisme.

Études de journalisme en France
LieuDrapeau de la FranceFrance
ÉtablissementÉcole de journalisme,Université
Sélection
Diplômes ou concours requisNon sélectif ou sélectif selon le cursus
Niveau ou
grade requis
Baccalauréat ouLicence selon le cursus
Numerus claususNon
Diplôme
Durée de la formation1 à 3 ans
Débouchés
Professions accessiblesJournaliste avec diverses spécialisations
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EnFrance, il existe de nombreusesformations au journalisme, dont le foisonnement n'empêche pas de distinguer cellesreconnues par l'État, d'autres légitimées par desinstances professionnelles, et un grand nombre de formations de moindre qualité.

Parmi elles, quinze cursus enécoles de journalisme sont reconnus par la profession, c'est-à-dire par les patrons de presse et les syndicats de journalistes réunis au sein de laCommission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ). Ces écoles se sont réunies au sein de laConférence des écoles de journalisme (CEJ).

Les écoles dispensant ces cursus de formation au journalisme pratiquent pour la plupart une sélection à l’entrée sur épreuves écrites et orales, ainsi qu'un effectif réduit. Des classes préparatoires à ces formations existent. En revanche, il est à rappeler qu'il n'y a pas d'études types pour devenirjournaliste, qui n'est pas unmétier réglementé. Mais la voie royale pour nombre de rédactions reste lesécoles reconnues par la profession qui forment moins de 20 % des entrants dans le métier[1],[2].

Historique

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XXe siècle

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Diplôme de l'École supérieure de journalisme de l'École des hautes études sociales, alors situéerue de Rennes, et datant de 1957.

L'enseignement du journalisme apparaît en France à partir de la fin duXIXe siècle, àParis, où s'organise la création d'écoles libres ensciences sociales, distinct de l'université[3]. La romancièreDick May et le sociologueThéophile Funck-Brentano fondent leCollège libre des sciences sociales en février 1894[4]. Alors qu'elle est la première à proposer la création d'une section d'enseignement de journalisme au sein du Collège,Dick May prend ses distances et souhaite créer une « université du quatrième pouvoir ». Elle fonde ainsi sa propre institution en1899 : l'École des hautes études sociales[3]. Dès sa création, l'établissement compte trois sections, dont la sectionÉcole de journalisme, qui rencontre un succès immédiat[5]. Elle deviendra par la suite l'École supérieure de journalisme de l'École des hautes études sociales, puis l'École supérieure de journalisme de Paris lors de sa prise d'indépendance en 1986, revendiquant ainsi le titre de doyenne mondiale des écoles de journalisme[6].

L'École de journalisme de l'Université catholique de Lille était située au 1er étage de l'Hôtel académique, jusqu'à son déménagement en 1981.

Le, l'université catholique de Lille et son docteur en droit public Paul Verschave créent une section de journalisme au sein des facultés, dont le projet porté par l'épiscopat, est de former les futurs journalistes de la presse catholique, en trois ans. La création de l'école s'inscrit dans un mouvement plus général de « renaissance littéraire catholique » visant à mobiliser une « armée catholique de la plume ». Elle se tournera finalement vers la formation de journalistes pour la presse locale, dont le rôle, selon Ivan Chupin, apparaît comme « central pour la diffusion de la propagande politique de l’Église » face à la crainte d'une « offensive laïque ». Elle devient « l'École de journalisme de l'université catholique de Lille » en 1928, puis l'École supérieure de journalisme de Lille en 1934, soit dix ans après sa fondation[7],[8].

En 1929, leSyndicat national des journalistes (SNJ) crée le Centre d’études journalistiques, en association cette fois-ci avec leCollège libre des sciences sociales[7].

Le 5 juillet 1937, lafaculté de droit de l’université de Paris crée l'Institut des sciences de la presse. Il doit cependant suspendre ses activités à cause de la guerre dès1939. Il est relancé en 1945 en tant que Centre d’étude scientifique de la presse, grâce à l'action du haut fonctionnaire et spécialiste du droit de la presse, Fernand Terrou[9]. Il ferme de nouveau deux ans plus tard, mais renaît le 4 avril 1951 en tant qu'Institut français de presse (IFP). Il s'agit d'uneassociation loi de 1901, alors associée à l'Institut d’études politiques de Paris et l'UNESCO. Logé à l'IEP, il est rattaché à l'université de Paris jusqu'à son éclatement en 1969, rejoignant l'université Paris-II Panthéon-Assas nouvellement créée.

À laLibération, deux membres du groupe derésistance « Défense de la France »,Philippe Viannay et Jacques Richet[10], fondent leCentre de formation des journalistes (CFJ) le[11]. Il faut ensuite attendre près de douze ans avant de voir apparaître une nouvelle école de journalisme de France, avec la création duCentre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) par l'université de Strasbourg en1958[12]. Sa formation est reconnue par la profession en1968.

En 1967, la première formation au journalisme dispensée dans uninstitut universitaire de technologie et de niveau bac +2 voit le jour au sein de l'université Bordeaux-III, sous l'impulsion du sociologue et journalisteRobert Escarpit[13]. Le DUT est reconnu par la profession en 1975[14]. En 2007, le département de journalisme de l'IUT devient l'Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA) et remplace son DUT par un master professionnel (ex-DESS)[15].

En 1978, l'Institut pratique du journalisme (IPJ) créé par l'historienPierre Miquel et Jean Augonnet[16] vient compléter le cercle des écoles de journalisme privées, et s'installe dans le quartier parisien historique de la presse française, dans les anciennes salles d'expédition de l'hebdomadairel'Illustration. Elle ne sera reconnue par la profession qu'en 1991. Elle devient l'IPJ Dauphine lors de son intégration par décret à l'université Paris-Dauphine en 2011[17].

L'année suivante, en 1979, leCELSA,grande école rattachée à l'université Paris-IV Sorbonne et située àNeuilly-sur-Seine, crée une école de journalisme en son sein[18]. Elle est reconnue par la profession dès 1981[19]. La même année, l'Institut universitaire de technologie de Tours crée également son DUT de journalisme. En 2018, le DUT est remplacé par un master, le département de journalisme devenant l'École publique de journalisme de Tours[20].

En 1981, l'université de la Méditerranée Aix-MarseilleII et la docteure en sciences de l'information et de la communication Lucienne Cornu créent le Centre TransMéditerranéen de la Communication (CTMC)[21]. Il est reconnu par la profession en 1985[21]. Il devient l'École de journalisme et de communication de Marseille (EJCM) en 1989, puis l'École de journalisme et de communication d'Aix-Marseille (EJCAM) en 2012.

Le 12 mai 1998, la principale école de journalisme de France, leCFJ ainsi que sa maison-mère leCFPJ, annoncent déposer le bilan et leur placement en redressement judiciaire, seulement quelques mois après les difficultés financières de l'ESJ de Lille. Le CFPJ avait déjà tenté d'approcher l'État pour obtenir des financements, en vain, se confrontant également au refus des écoles de journalisme publiques d'un éventuel financement public du CFPJ. Selon le sociologue Ivan Chupin, la faillite économique de cette prestigieuse école parisienne constitue « une recomposition majeure de l'espace des écoles de journalisme en France »[22],[23].

En réaction, les écoles de journalisme publiques s'unissent. Le 22 octobre, cinq écoles rattachées à des universités et sous tutelle duministère de l'Éducation nationale se réunissent à l'occasion des quarante ans duCUEJ de Strasbourg au sein d'une association : leConseil des écoles publiques de journalisme (CEPJ)[24],[25]. L'association est domiciliée au siège duCELSA àNeuilly-sur-Seine, rattachée à l'université Paris-IV Sorbonne et dont le premier président est Alain Chanel, directeur duCUEJ[26],[27].

En 1999, le CFJ et le CFPJ sont repris par une association composée d'anciens élèves de l'école, associant des patrons de médias et des groupes de communication, dontPierre Lescure (président-directeur général deCanal+),Franz-Olivier Giesbert (alors patron duFigaro) ou encoreBernard Pivot, que le sociologue Ivan Chupin appellent « journalistes-managers ». Il décrit un abandon du « cadre paritaire » qui régissait le CFJ depuis sa création en 1946[28],[23].

XXIe siècle

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En 2003, leCFJ et leCFPJ, peinant à se restructurer, se déclarent de nouveau en cessation de paiement[29]. Un acteur extérieur au monde journalistique reprend l'école, la positionnant aux « avant-postes des transformations qui ont affecté la plupart des médias » à partir des années 2010, selon le chercheur Ivan Chupin. Il décrit un glissement vers un modèle de « business school de journalisme », qui n'est pas forcément suivi par les autres écoles de journalisme privées, préférant une « intégration renforcée » à des grandes écoles publiques : l'IPJ avecDauphine ou l'ESJ de Lille avec l'Institut d'études politiques de Lille[23].

Dans les années 2010, puis 2020, lespartenariats public-privé mis en place entre les écoles de journalisme privées et le monde universitaire s'intensifient : l'ESJ Lille rejoint l'université de Lille, tandis que leCFJ rejoint l'université Paris-Panthéon-Assas en 2022[30],[31].

Accès et concours

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Des concours « très sélectifs » et « hyper-compétitifs »

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Lesécoles reconnues par la profession mettent chacune en place un concours d'entrée très sélectif. S'il n'y a pas de concours commun[32], la plateforme commune de candidatureConcoursJournalisme.fr de laConférence des écoles de journalisme (CEJ) réunit les concours de quatre écoles : l'IPJ, l'EJCAM, l'EPJT ainsi que du CELSA[33]. Chaque candidat doit postuler séparément à chaque concours. Il existe 15 grandes écoles sur concours, toutes reconnues par l'État et leministère de l'Enseignement supérieur, ainsi que leur diplôme enregistré auRNCP.

Parmi elles, elles recrutent leurs étudiants au niveau :

Une voie royale parfois jugée « excluante » pour les étudiants les plus modestes et n'étant que peu représentative de la « diversité de la population française »[34],[35]. Selon Ivan Chupin et Aude Soubiron, chercheurs auCNRS (IRISSO - UMR 7170), les écoles reconnues sont régulièrement critiquées pour leurélitisme social et l'inéquité de leur recrutement. Les écoles de journalisme reconnues concentrent ainsi une proportion très importante d'étudiants « issus de milieux privilégiés » selon une enquête menée en 2008 par les sociologues Géraud Lafarge et Dominique Marchetti[36].

En moyenne, il peut y avoir jusqu'à 900 candidats pour 50 à 70 places pour certaines écoles. Les candidats doivent ainsi se préparer à des concours exigeants et hyper-compétitifs[réf. nécessaire]. La plupart des écoles reconnues ont en revanche supprimé les épreuves écrites de leur concours, pour les remplacer par une phase d'admissibilité sur dossier[37]. Si la plupart des écoles reconnues sont accessibles après une licence ou équivalent (bac +3), les écoles de journalisme deCannes et de Lannion dispensent une formation, unBUT, accessible directement surParcoursup après le baccalauréat.

Les concours aux écoles reconnues sont coûteux : ils peuvent s'élever à près de 300 euros. Depuis lapandémie de Covid-19, ils se déroulent principalement à distance, ce qui permet de supprimer les coûts liés aux déplacements des candidats[38].

En dehors de ces écoles reconnues, il existe des formations universitaires ou privées qui recrutent généralement sur dossier avec, pour certaines, un entretien de motivation.

Préparation aux concours

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Une étude de 2014 publiée par laConférence des écoles de journalisme (CEJ) établit qu'une majorité de candidats admis dans les écoles reconnues proviennent d'unSciences Po (IEP), d'unelicence d'histoire ou delettres ainsi que desclasses préparatoires privées[39]. En 2023, les licences pré-citées restent une porte d'entrée prisée par les candidats, en y ajoutant également les licences endroit etsciences politiques à l'université. De nouveaux profils apparaissent également, originaires d'écoles de commerce post-bac ou de filières scientifiques. L'ESJ Lille a été la première école reconnue à ouvrir une filière dédiée au journalisme scientifique en 1993.

Sciences Po et les prépas littéraires

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Jusqu'en 2008, la majeure partie des étudiants en école reconnue par la profession étaient issus deSciences Po ou d'uneclasse préparatoire littéraire. Réputés très sélectifs, ils témoignaient l'importance d'un « capital scolaire » préalable à l'admission dans ces écoles[36],[40]. Il est à noter que les prépas littéraires ne durent que deux ans, ainsi il est nécessaire de doubler sa seconde année de prépa (khûbe) ou d'intégrer une troisième année de licence pour pouvoir accéder aux concours des écoles de journalisme reconnues, à bac+3[41].

La Chance etEDC : les prépas gratuites, réservées aux boursiers

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Dès 2007, des classes préparatoires gratuites et réservées aux candidatsboursiers se sont lancées. Parmi elles, la prépaLa Chance, créée par d'anciens étudiants duCFJ, ou encore la prépaÉgalité des chances de l'ESJ Lille en partenariat avec leBondy Blog. Elles sont dédiées aux candidatsboursiers, à l'instar des prépas "Talents" pour les concours du service public[42].

En 2023, 40 % des étudiants inscrits dans les quatorze écoles reconnues sont boursiers de l'enseignement supérieur[43]. Le développement de la formation par alternance, qui permet d'être exempté des frais de scolarité, a permis d'apporter davantage de diversité dans les écoles.

Académie ESJ etÉcole W : les prépas "intégrées" de l'ESJ et du CFJ

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Entre 2014 et 2016, les deux plus prestigieuses écoles, l'École supérieure de journalisme de Lille et leCentre de formation des journalistes lancent leurs formations préparatoires post-bac, « l'Académie ESJ » pour la première, et « l'École W » pour la seconde. Elles sont similaires au modèle descycles préparatoires intégrés desécoles d'ingénieurs.

Si l'Académie ESJ se révèle être une alternative àSciences Po et se déroule en majeure partie à l'université[44], l'École W duCFJ souhaite former à la création de contenus appliqués au journalisme, à la communication ou encore au marketing, en plus de la préparation aux concours[45],[46]. L'Académie ESJ et l'École W du CFJ permettent un accès direct aux épreuves orales de leurs concours respectifs. Mais le principal frein à l'accès à ces deux préparations reste leur coût très élevé : entre 3 000 et 8 000 euros l'année pour les non-boursiers, incitant les candidats à se tourner vers desprêts étudiants[47].

Les autres prépas publiques et privées

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Accessibles aux non-boursiers et souvent gratuites, les universités proposent également des préparations aux concours des écoles reconnues, telles que l'université Panthéon-Sorbonne, l'université de Strasbourg ou encore celle deTours[37]. L'université Paul-Valéry-Montpellier propose également une préparation aux concours, délivrant également undiplôme d'université (DU)[48]. Son coût ne dépasse pas 500 euros l'année[49].

Sur un an, en temps plein, à temps partiel ou à distance, de nombreux établissements privés tels que Synergie Prépa, ISTH ou encoreIpésup proposent des préparations aux concours des écoles de journalisme reconnues. Toutefois, elles ne sont que des préparations et ne délivrent aucun diplôme ou certificat. Leur coût est conséquent, il évolue entre 3 000 et 8 000 euros l'année de préparation mais elles revendiquent un taux de réussite important[48].

Liste des préparations aux concours

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Différences entre les cursus de préparation aux concours
ÉtablissementCursus / PrépaType, duréeLieuxAccèsStageCoûtDébouchés
LycéesClasse préparatoire littéraireCPGE, 2 ansDifférents lycées en Francebac+0Sur dossier[50]Optionnel170 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues après une année L3.
Sciences PoCollège universitaireBachelor, 3 ans[51]Dijon, Le Havre, Menton, Nancy, Paris, Poitiers et Reimsbac+0Sur dossier et entretienObligatoirejusqu'à 14 720 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues, dont l'École de journalisme de Sciences Po.
ESJ Lille

Université de Lille

Académie ESJLicence, 3 ansLillebac+0Sur dossierOptionneljusqu'à 4 500 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues.Passerelle pour l'ESJ Lille.
Prépa Hybride ESJPrépa, 1 anLillebac+2Sur dossierAucun2 100 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues
Téléprépa ESJPrépa, 1 anÀ distancebac+2LibreAucun790 à 1 320 € / an
Prépa EDC

(boursiers)

Prépa, cours du soir, 1 an[52]Lille et Bondybac+2Sur dossier et épreuve oraleOptionnel0 € / an
CFJ

Université Paris-Panthéon-Assas

École WBachelor, 3 ans[53]Paris et Roubaixbac+0Sur dossier, épreuves et entretienObligatoirejusqu'à 7 800 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues.Passerelle pour leCFJ si moyenne minimum fixée par l'école et le CFJ[54].
Licence, 3 ans[55]Paris
PrépaW/CFJPrépa, 1 an[56],[57]Paris et Lyon, ainsi que Rennes, Aix et Nantesbac+2Sur dossier et entretien[58]Optionnel3 990 € / anUne des 15 écoles de journalisme reconnues
PrépaLa Chance

(boursiers)

Prépa, cours du soir, 1 anParis, Bordeaux, Marseille, Toulouse, Strasbourg, Rennes et Grenoblebac+2Sur dossier et épreuve oraleN/A0 € / an
Sciences Po Saint-Germain

UVSQ /CYU

PrépaPrépa, 1 an[59]Saint-Germain-en-Layebac+3Sur dossierOptionneljusqu'à 1 257 € / an
ICPPrépa JournalismePrépa, cours du soir, 1 an[60]Parisbac+3Sur dossierOptionneljusqu'à 7 020 € / an
IpesupPrépa JournalismePrépa, cours du soir, 1 anParisbac+3Sur dossierOptionnel3 400 € / an
Université Paul-Valéry-MontpellierDU Prépa JournalismePrépa, cours du soir, 1 an[61]Montpellierbac+2Sur dossierOptionneljusqu'à 984 € / an

Formation

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Cursus historiques

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La formation reconnue par la profession, d'une durée minimale de 2 ans[62], principalement après un bac + 3 (un bac + 2 ou le baccalauréat pour certaines formations) s'achève par l'obtention, en fonction des écoles :

  • d'un diplôme de journaliste ;
  • d'un master journalisme ;
  • d'un master information-communication, parcours journalisme ;
  • ou d'un BUT information-communication, parcours journalisme.

Le diplôme de journalistevisé par l'État et reconnu par la CPNEJ est principalement délivré par leCFJ, l'EJT et l'ESJ Lille, ce dernier l'agrémentant d'une reconnaissance académique supplémentaire, legrade universitaire de master. L'IPJ Dauphine-PSL ainsi queSciences Po délivrent quant à eux un diplôme degrand établissementgrade master, reconnu par la CPNEJ.

Les écoles reconnues rattachées à des universités délivrent quant à elles undiplôme national de master, soit en journalisme (CUEJ,EPJT,EJCAM,IJBA, EJDG etEJG) soit en information-communication, parcours journalisme (IFP etCELSA). Le master journalisme a la particularité d'être également délivré par l'université de Lorraine, ou encore l'université Sorbonne-Nouvelle, sans la reconnaissance de la CPNEJ[63], il en est de même pour le master information-communication, parcours journalisme, délivré par l'université Paris-Nanterre.

Enfin, lebachelor universitaire de technologie information-communication, parcours journalisme est uniquement délivré par les Instituts universitaires de technologie, et particulièrement par ceux de Lannion et deCannes, reconnus par la CPNEJ, mais également par l'IUT de Vichy.

Les écoles dispensant des formations reconnues sont regroupées dans laCommission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ) et laConférence des écoles de journalisme (CEJ). Une reconnaissance par la CPNEJ porte sur un cursus de formation et non sur un établissement ou un diplôme.« Si un diplôme peut être obtenu par différents cursus, chacun doit faire l'objet d'une reconnaissance »[62].

Un professionnel diplômé de l'une des formations reconnues par la CPNEJ accède au statut de « journaliste titulaire » deux fois plus rapidement qu'un professionnel diplômé d'une école non reconnue par laCommission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ)[64]. Un premier classement des principales écoles de journalisme est publié parStreetPress en 2011, suivi d'un second plus détaillé en 2013.Le Figaro prend le relais en 2016, puis en 2022, en publiant son classement actualisé[65].

Il est à noter que depuis la dernière décennie, de nouveauxIEP décident de dispenser une formation au journalisme de niveau master, à l'instar de l'École de journalisme deSciences Po, à Paris. À Lyon,Sciences Po Lyon dispense une formation au journalisme de données et à l'économie, en partenariat avec leCentre de formation des journalistes (CFJ). Elles sont les deux seules formations d'IEP reconnues par la CPNEJ.Sciences Po Rennes a également créé son école de journalisme, non reconnue par la CPNEJ[66]. A également suivi,Sciences Po Toulouse, ayant également créé son école de journalisme interne[67].

Cursus en alternance

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En2007, l'Institut pratique du journalisme (IPJ), est la première école de journalisme reconnue à ouvrir son cursus à l'apprentissage[68]. Ce dispositif permet aux étudiants de bénéficier des cours de leur établissement, tout en travaillant au sein d'une rédaction en tant que journaliste salarié encontrat d'apprentissage.

En une quinzaine d'années et à la suite du « boom de l'apprentissage », nombre de ces écoles prestigieuses ont ouvert leur formation débouchant sur le même diplôme reconnu par la profession[69]. Parmi elles :

  • l'IPJ, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur deux ans ;
  • leCFJ :
    • voie de concours commune àParis et àLyon, et après admission : alternance possible sur deux ans ;
    • voie de concours spécifique par parrainage d'un média àParis et àLyon : alternance obligatoire sur deux ans ;
  • l'ESJ Lille, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur un an ;
  • leCELSA, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur un an ;
  • l'EDJ de Sciences Po, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur deux ans ;
  • leCUEJ, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur deux ans ;
  • l'EJG, voie de concours commune, et après admission : alternance possible sur un an.

Critiques

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Les locaux de l'École supérieure de journalisme de Lille (ESJ Lille), installée dans le bâtiment de l'ancien Institut de Physique de Lille.

Plusieurs organismes soulignent le corporatisme de la CPNEJ, qui protège les intérêts de ses plus anciens membres (ESJ Lille et CFJ notamment). En effet, l'agrément délivré par la CPNEJ pour la reconnaissance d'une école par la profession implique des effets financiers[70], d'autant plus intéressants si le nombre d'écoles reconnues est faible.

Ainsi, les normes que la CPNEJ mobilise en vue des premières opérations de reconnaissance des écoles constituent « un simple calque du modèle de formation qui définit l’école supérieure des journalistes de Lille (ESJ) et le Centre de formation des journalistes (CFJ) »[71].

Les archives de la CPNEJ montrent d'ailleurs que « les critères de reconnaissance ont été élaborés à partir des modèles de formation déjà existants, en particulier ceux du Centre de formation des journalistes (CFJ) et de l’École supérieure de journalisme de Lille (ESJ Lille) » et que « la politique de limitation du nombre d’écoles agréées, qui vise à protéger les écoles déjà établies, est l’objet de tensions entre les différentes parties syndicales »[71].

En novembre 2010, l'entrepreneur Franck Papazian, président et propriétaire de l'Institut européen de journalisme, anciennement laFaculté libre des sciences de la communication, dénonce auprès d'AEF info, uneCommission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ) – qui délivre une reconnaissance aux écoles de journalisme en France – n'étant « que politique et du lobbying »[72].

Coût

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Si la majorité des cursus reconnus sont universitaires, et n'excédant ainsi pas plus de 250 euros l'année, quatre écoles – les plus prestigieuses – sont aussi les plus chères (hors alternance) : l'École de journalisme deSciences Po où les frais varient de 0 à 14 500 euros l'année selon les revenus, l'École supérieure de journalisme de Lille où les frais de scolarité oscillent entre 1 500 et 5 600 euros l'année, leCentre de formation des journalistes où les frais de scolarité débutent à 2 700 euros (boursiers) et s'élèvent à 6 800 euros l'année[38].

Autres exceptions, l'Institut pratique du journalisme de l'université Paris-Dauphine-PSL étant ungrand établissement, l'université applique ses propres frais de scolarité, qui varient entre 243 euros et 9 000 euros l'année. Même constat pour l'École de journalisme de Grenoble, rattachée àSciences Po Grenoble, avec des frais de scolarité entre 0 et 1 300 euros l'année[38]. ÀStrasbourg,Cannes,Marseille,Bordeaux,Tours, Lannion,Gennevilliers, ou encore auCELSA deSorbonne Université et à l'IFP de l'université Paris-Panthéon-Assas, les frais de scolarité n'excédent pas les 300 euros l'année.

Hormis les cursus reconnus, les écoles privées non reconnues par la CPNEJ, généralement très professionnalisantes mais moins sélectives, proposent des frais de scolarité très élevés, allant jusqu'à 8 000 euros l'année. Elles sont parfois une solution de secours pour les candidats ayant échoué aux concours des écoles reconnues[73],[74].

Autres formations

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À part ces quatorze formations, d'autres établissements publics et privés dispensent une formation non reconnue par la CPNEJ, moins sélectives que celles-ci, sur dossier, professionnalisantes et généralement en 1 à 3 ans d'études.

Les formations universitaires

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Une quinzaine d'universités proposent une formation de niveau licence, BUT ou master, non reconnues par la CPNEJ et généralement avec une unique spécialisation. Parmi elles, le BUT de Vichy, les masters enjournalisme numérique des universités deLorraine etPaul-Valéry-Montpellier, les masters enjournalisme culturel des universitésSorbonne-Nouvelle etParis-Nanterre, les masters enjournalisme documentaire de l'université Paris-Cité et de l'École W - Université Paris-Panthéon-Assas ou encore la licence professionnelle de l'université Paris-8[69].

D'autres, devenues « archi sélectives », sont issues de partenariats avec des écoles reconnues par la CPNEJ et permettent de préparer les concours d'entrée[75]. Elles peuvent aussi permettre à certains d'accéder au métier sans passer par l'étape des concours[76],[77].

Parmi elles, le parcours post-bac de l'Académie ESJ Lille ou encore leslicences « Journalisme de sport » et « Journalisme de proximité » de l'ESJ Lille avec l'université de Lille, ainsi que lebachelor d'établissement en « Journalisme et documentaire » ou « Journalisme sportif » et lalicence « Sciences et journalisme » de l'École W, issue duCFJ, avecSorbonne Université et l'université Paris-Panthéon-Assas[69]. Il existe également unelicence de lettres, parcours « Journalisme » de l'université catholique de Lyon dispensée en partenariat avec leCFJ[78].

Ces écoles dispensent également des masters en partenariat avec des universités, tels que lemaster « Climat et médias » de l'ESJ Lille avec l'université Paris-Saclay, ou encore lemaster « Info-com », parcours « Documentaire » de l'École W avec l'université Paris-Panthéon-Assas.

En revanche, leur coût se rapproche davantage des frais de scolarité des écoles privées que des universités, allant jusqu'à 3 500 euros l'année pour les licences de l'ESJ Lille et de l'université de Lille, 4 500 euros l'année pour l'Académie de l'ESJ Lille[79], ainsi que 7 800 euros l'année pour lebachelor d'établissement[80] et lalicence[81] de l'École W duCFJ, et jusqu'à 8 000 euros l'année pour lemaster de l'École W et de l'université Paris-Panthéon-Assas[82].

La formation continue : les cas particuliers du CFPJ et de l'ESJ Pro

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Deux organismes de formation, étant également descentres de formation d'apprentis (CFA) et non des écoles, sont spécialisés dans laformation continue en journalisme. Il s'agit duCentre de formation et de perfectionnement des journalistes (CFPJ) – à ne pas confondre avec leCFJ – ainsi que l'ESJ Pro de Montpellier, anciennement rattaché à l'ESJ Lille. S'ils ne sont pas reconnus par la CPNEJ, ils sont « régulièrement cités » par les recruteurs selonLe Figaro Étudiant[83]. Le CFPJ est une émanation duCFJ, tandis que l'ESJ Pro est une émanation de l'ESJ Lille. Ces deux formations sont accessibles uniquement en alternance, par le biais d'uncontrat de professionnalisation.

Les écoles privées à but lucratif : ESJ Paris, ISCPA, IEJ, ISFJ, etc.

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Hormis les formations universitaires, une vingtaine de formations privées existent en France parmi celles non reconnues par la CPNEJ. Elles ne sont plus intégrées au classement des écoles de journalisme du journalLe Figaro depuis 2018[84]. La plupart des écoles privées non reconnues par la profession sanctionnent leur formation par la délivrance d'un titre de « journaliste »certifié par l'État de niveau 6 (bac+3) à 7 (bac+5) aurépertoire national des certifications professionnelles (RNCP). Ce type de diplôme concerne les écoles privées non-reconnues (ESJ Paris, ISCPA, IEJ, etc.) mais également les deuxCFA non-reconnus, le CFPJ et l'ESJ Pro[83],[85].

Ces formations délivrant un titre de journaliste sont moins sélectives que les écoles reconnues et les formations universitaires. Certains établissements d'enseignement supérieur publics – tels que l'INA Sup – ne délivrent également qu'un titre certifié pour certaines de leurs formations professionnelles[86]. En parallèle des titres certifiés par l'État, certaines écoles privées délivrent desdiplômes ou certificats d'établissement (DE). Ce sont des titres délivrés uniquement sous le sceau propre de l'établissement. Le ministère chargé de l'Enseignement supérieur, ni le ministère du Travail n'interviennent dans le contrôle de ces « diplômes ».

En revanche, les frais de scolarité peuvent être très élevés avec une insertion plus compliquée dans les grands médias, tels queFrance Télévisions,TF1 ouRadio France, qui n'acceptent en général uniquement des diplômés des écoles reconnues[74],[73].

Liste des formations

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Parmi les quinze écoles sur concours

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Les 15 cursus reconnus au1er mars 2025[87] et leur rang dans le classement duFigaro (2022)[88]
Rang

Figaro

ÉtablissementFormationniv.CPNEJStatut
1École de journalisme (EDJ) –Sciences PoMaster Journalisme[89]bac+5ouiPublic
Master Journalisme et affaires internationales[90]oui
2École supérieure de journalisme de Lille (ESJ) – Université de LilleMaster généralistebac+5ouiPrivé

(asso.)

Master Journaliste de scienceoui
n.c.Académie ESJ Lillebac+3non
Licence Journalisme de proximité[91]non
Licence Journaliste de sport[92]non
3Centre de formation des journalistes (CFJ) –Université Paris-Panthéon-AssasDiplôme du CFJ (Paris et Lyon)[93]bac+5oui
Double diplôme CFJ /Sciences Po Lyon[94]oui
n.c.Diplôme de l'École Wbac+3non
Licence Sciences et journalisme (W, Sorbonne Université)non
Master Info-com, Documentaire (W, INA, IFP)[95]bac+5non
4Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) –Université de StrasbourgMaster Journalisme[96]ouiPublic
5Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA) –Université Bordeaux-MontaigneMaster Journalisme[97]oui
DU Journalisme en langue basque[98]non
6Institut pratique du journalisme (IPJ) – Université Paris-Dauphine-PSLMaster Journalisme[99]oui
n.c.Certificat Médias et journalismebac+3non
7École de journalisme de Toulouse (EJT)Diplôme de l'EJT[100]bac+5ouiPrivé

(asso.)

8École de journalisme et de communication d'Aix-Marseille (EJCAM) –Université d'Aix-MarseilleMaster Journalisme[101]ouiPublic
n.c.Master Métiers de l'information (Sciences Po Aix)[102]non
9École publique de journalisme de Tours (EPJT) – Université de ToursMaster Journalisme[103]oui
10École des hautes études en sciences de l'information et de la communication (CELSA) –Sorbonne UniversitéMaster Info-com, Journalisme[104]oui
11Institut français de presse (IFP) –Université Paris-Panthéon-AssasMaster Info-com, Journalisme[105]oui
n.c.Master Info-com, Médiasnon
Double-Licence Histoire - Médiasbac+3non
12École de journalisme de Grenoble (EJDG) – Sciences Po GrenobleMaster Journalisme[106]bac+5oui
13Département Info-com de l'IUT de Lannion –Université de RennesBUT Info-com, Journalisme[107]bac+3oui
n.c.Licence pro Journalismenon
16École de journalisme de CannesUniversité Côte d'AzurBUT Info-com, Journalisme[108]oui
n.c.Licence pro Journalismenon
n.c.École de journalisme de GennevilliersCY Cergy Paris UniversitéMaster Journalisme[109]bac+5oui

En formation continue

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Les formations des deux principaux CFA et leur rang dans le classement duFigaro (2022)[88]
Rang

Figaro

ÉtablissementIntituléniv.CPNEJStatut
14Centre de formation et de perfectionnement des journalistes (CFPJ)Formation Devenir Journalistebac+4nonCFA privé
Alternance Journaliste audiovisuel[110]non
Alternance Journaliste de presse écrite[111]non
15École supérieure de journalisme de Montpellier (ESJ Pro) – Université Paul-Valéry-MontpellierAlternance Journaliste de télévision[112]nonCFA privé
Alternance Journaliste de presse écrite[113]non
n.c.Licence Langage, Média, Journalisme[114]non

Parmi les autres écoles, privées et non-reconnues

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Les formations des principales écoles privées non-reconnues et leur rang dans le classement duFigaro (2018)[88]
Rang

Figaro

ÉtablissementIntituléniv.CPNEJStatut
17École supérieure de journalisme de Paris (ESJ Paris)Bachelor Journalisme(non certifié par l'État)[115]bac+3nonPrivé
Mastère Journalisme(non certifié par l'État)[116]bac+5nonPrivé
Institut de journalisme tous médias (ex-ESJ Paris Grand Lille)Master Journalisme tous médias avec l'université catholique de Lille[117]bac+5nonPrivé
18Institut européen de journalisme (IEJ)Bachelor Journalisme[118]bac+3nonPrivé
19Institut supérieur de la communication, de la presse et de l'audiovisuel de Lyon (ISCPA Lyon)Bachelor Journalismebac+3nonPrivé

(asso.)

Mastère Journalismebac+5non
19Institut supérieur de la communication, de la presse et de l'audiovisuel de Paris (ISCPA Paris)Bachelor Journalisme[119]bac+3nonPrivé

(asso.)

20École du journalisme (EDJ Nice)Bachelor Journalisme[120]bac+3nonPrivé
21École Narratiiv (anciennementIICP)Bachelor Journalisme(non certifié par l'État)[121]bac+3nonPrivé
22Institut supérieur de formation au journalisme (ISFJ)Bachelor Journalismebac+3nonPrivé
Mastère Journalismebac+5non
23École française de journalisme (EFJ)Bachelor Journalisme[122]bac+3nonPrivé
n.c.Studio école de FranceFormation Journaliste en expression radiophoniquebac+3nonPrivé
n.c.Institut libre de journalismeMastère Journalisme webbac+5nonPrivé

(asso.)

Liste des autres formations

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Leslicences,BUT etmasters à l'université
AcadémieÉtablissementIntituléParcoursup /MonMasterniv.CPNEJStatut
ParisInstitut de la communication et des médias – Université Sorbonne-NouvelleMaster Journalisme culturel[123]Ouibac+5nonPublic
Master Journalisme bilingue[124]OuinonPublic
ParisUniversité Paris-CitéMaster Audiovisuel, journalisme et communication scientifiques[125]OuinonPublic
RennesÉcole de journalisme –Sciences Po RennesMaster Journalisme, reportage et enquête (JRE)[126]NonnonPublic
ToulouseEcole de journalisme – Sciences Po ToulouseMaster Journalisme[67]NonnonPublic
LyonSciences Po Lyon, en partenariat avec leCFJMaster Journalisme, data et enquêteNonouiPublic
VersaillesUniversité Paris-NanterreMaster Journalisme culturel[127]OuinonPublic
BordeauxSciences Po BordeauxMaster Journalisme[128]NonnonPublic
Nancy-MetzUniversité de LorraineMaster Journalisme, parcours Journalisme et médias numériques (MJMN)[129]OuinonPublic
DijonUniversité de BourgogneMaster Journalisme[130]OuinonPublic
AmiensUniversité de Picardie Jules-VerneMaster Journalisme[131]OuinonPublic
MontpellierInstitut des technosciences de l'information et de la communication –Université Paul-Valéry-MontpellierMaster Journalisme, parcours Journalisme numérique[132]OuinonPublic
LilleUniversité polytechnique Hauts-de-FranceMaster Journalisme transmédia[133]OuinonPublic
LyonInstitut de la communication – Université Lumière Lyon 2Master Journalisme[134]OuinonPublic
Master Journalisme, parcours Journalisme international[135]OuinonPublic
LilleUniversité catholique de LilleMaster Histoire et journalisme[136]OuinonPrivé

(asso.)

Licence Métiers du journalisme[137]Ouibac+3non
MontpellierInstitut des technosciences de l'information et de la communication –Université Paul-Valéry-MontpellierLicence Langage, Média, Journalisme avec l'ESJ Pro (Montpellier)Oui[138]nonPublic
Clermont-FerrandUniversité Clermont-AuvergneLicence Info-com, parcours Journalisme[139]OuinonPublic
CréteilINA Sup – Institut national de l'audiovisuelFormation Journaliste reporter d'images[140]NonnonPublic
CréteilUniversité Paris 8Licence Métiers du journalisme[141]OuinonPublic
ToulouseUniversité de Perpignan Via DomitiaLicence Métiers de l'information[142]OuinonPublic
LyonUniversité catholique de LyonLicence Lettres, parcours Journalisme avec leCFJ[143]Oui[144]nonPrivé

(asso.)

VersaillesInstitut international de l'image et du son de Paris (3IS Paris)DESTIS Cinéma et audiovisuel, parcours Journaliste reporter d'images[145]Oui[146]nonPrivé

(asso.)

Classements

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Classement des écoles de journalisme duFigaro Étudiant
École2022[84]2018[147]2016[148]
Sciences Po, Paris≥ 13 =3
ESJ, Lille21 =1
CFJ, Paris, Lyon32 =2
CUEJ, Strasbourg≥ 466
IJBA, Bordeaux5≥ 45
IPJ Dauphine, Paris654
EJT, Toulouse≥ 7≥ 810
EJCAM, Marseille≥ 8109
EPJT, Tours97 =7
CELSA, Neuilly-sur-Seine1098
IFP, Paris11≥ 1011
EJDG, Échirolles12 =1211
IUT Infocom, Lannion13 =13 =13
CFPJ, Paris14≥ 1315
ESJ Pro, Montpellier15 =≥ 1516
EJC, Cannes16 =1613
ESJ, ParisN/A≥ 1720
IEJ, Paris, Marseille, StrasbourgN/A≥ 1820
ISCPA, Lyon, Paris, ToulouseN/A1917
EDJ,NiceN/A≥ 2022
Narratiiv (ex-IICP), ParisN/A2118
ISFJ, Paris, Lille, LyonN/A2219
EFJ, Paris, BordeauxN/A≥ 2324
EMI, ParisN/A≥ 2426

Notes et références

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  15. « Cours des médias, le niveau monte. »,20 Minutes,‎(lire en ligne, consulté le).
  16. Jean Augonnet (1949-2016) dirige ensuite l'Institut français de journalisme:Who's who: biographie de Jean Augonnet.
  17. Décret n° 2011-1128 du 19 septembre 2011 portant intégration de l'Institut pratique du journalisme à l'université de technologie en sciences des organisations et de la décision de Paris-Dauphine.
  18. (fr)« Le CELSA : 50 ans de communication », sur le site officiel du CELSA
  19. « La vraie cote des diplômes 2007 »,Le Nouvel Observateur,
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  89. Diplôme degrand établissement conférant le grade master de l'Institut d'études politiques de Paris, parcours journalisme
  90. Diplôme degrand établissement conférant le grade master de l'Institut d'études politiques de Paris, parcours journalisme
  91. Licence professionnelle et certificat d'établissement "d’aptitude aux fonctions de journaliste de la presse hebdomadaire régionale"
  92. Licence professionnelle et certificat d'établissement "d’aptitude aux fonctions de journaliste de sport"
  93. "Diplôme de Journaliste de l'École CFJ",visé par l'État niveau 7, bac +5
  94. "Diplôme de Journaliste de l'École CFJ",visé par l'État niveau 7, bac +5 et diplôme conférant grade master de l'Institut d'études politiques de Lyon
  95. Diplôme national de master
  96. Diplôme national de master
  97. Diplôme national de master
  98. « Devenez journaliste en langue basque grâce à une formation universitaire en alternance - ici », surici, le média de la vie locale,(consulté le)
  99. Diplôme degrand établissement conférant le grade de Master
  100. Diplôme visé de l'École de journalisme de Toulouse
  101. Diplôme national de master
  102. Diplôme degrand établissement conférant le grade de Master
  103. Diplôme national de master
  104. Diplôme national de master
  105. Diplôme national de master
  106. Diplôme degrand établissement conférant le grade de Master
  107. Bachelor universitaire de technologie (BUT)
  108. Bachelor universitaire de technologie (BUT)
  109. Diplôme national de master
  110. Titre certifié par l'État de niveau 6 auRNCP
  111. Titre certifié par l'État de niveau 6 auRNCP
  112. Titre certifié par l'État de niveau 6 auRNCP
  113. Titre certifié par l'État de niveau 6 auRNCP
  114. Diplôme national de licence et diplôme d'établissement de l'École supérieure de journalisme de Montpellier
  115. Diplôme d'établissement
  116. Diplôme d'établissement
  117. Diplôme national de master délivré par l'UPHF via l'université catholique de Lille
  118. Titre certifié de niveau 6 auRNCP
  119. Titre certifié de niveau 6 auRNCP
  120. Titre certifié de niveau 6 auRNCP
  121. Diplôme d'établissement
  122. Titre certifié de niveau 6 auRNCP
  123. Diplôme national de master
  124. Diplôme national de master
  125. Diplôme national de master
  126. Diplôme degrand établissement conférant le grade de Master
  127. Diplôme national de master
  128. Diplôme degrand établissement conférant le grade de Master
  129. Diplôme national de master
  130. « Master Journalisme », surUFR Lettres et Philosophie - uB Dijon(consulté le)
  131. Diplôme national de master
  132. Diplôme national de master
  133. Diplôme national de master
  134. Diplôme national de master
  135. Diplôme national de master
  136. Diplôme national de master délivré par l'université d'Artois
  137. Diplôme national de licence
  138. « Fiche formation - Université Paul Valery - Montpellier 3 (34) Licence - Sciences du langage - Parcours Langage, Média, Journalisme - partenariat ESJ Pro - Candidats », surdossier.parcoursup.fr(consulté le)
  139. Bachelor universitaire de technologie (BUT)
  140. Titre certifié de niveau 6 auRNCP
  141. Licence professionnelle
  142. Licence professionnelle
  143. Diplôme national de licence
  144. « Fiche formation - Institut Catholique de Lyon (Lyon 2e Arrondissement - 69) Licence - Lettres - Parcours Journalisme - Candidats », surdossier.parcoursup.fr(consulté le)
  145. Diplôme visé "DESTIS" contrôlé par l'État
  146. « Fiche formation - 3IS Institut International de l'Image et du Son (Elancourt - 78) Formation des écoles supérieure d'art Bac + 3 - Cinéma Audiovisuel/Son - Option Cinéma Audiovisuel - Formation des écoles supérieure d'art Bac + 3 - Cinéma Audiovisuel/Son - Option Cinéma Audiovisuel (Statut d'apprenti sur tout ou partie des années, au-delà de la première) - Candidats », surdossier.parcoursup.fr(consulté le)
  147. Sophie de Tarlé, « Classement 2018 des écoles de journalisme », surwww.lefigaro.fr(consulté le)
  148. « Le Figaro Etudiant dévoile son palmarès des écoles de journalisme - Le Figaro Étudiant », surweb.archive.org,(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Jean-Pierre Tailleur,Bévues de presse. L'Information aux yeux bandés, Le Félin, 2002.

Articles connexes

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v ·m
15 écoles reconnues par laprofession
CFA
Autres formations
en établissements privés
au sein d'universités
Référence :Le Figaro Étudiant, « Classement 2022 des écoles de journalisme »
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