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Étienne (martyr)

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Pour les articles homonymes, voirÉtienne etSaint Étienne.

Étienne
Image illustrative de l’article Étienne (martyr)
Icône de saint Étienne tenant dans la main droite unencensoir symbolisant lediaconat et de sa main gauche un voile rouge relatif aumartyre avec unepyxide[1] reposant dessus.
Protodiacre et protomartyr
Date de naissanceinconnue
Date de décèsinconnue (entre 31 et 39)
Lieu de décèsJérusalem, (Empire romain)
Autres nomsStéphanos
Vénéré parÉglise orthodoxe
Église catholique
Églises des trois conciles
Églises luthériennes
Communion anglicane
Fête26 décembre en Occident
27 décembre en Orient
AttributsDalmatique,encensoir, drap rouge,cercueil, palme du martyre, pierres de lapidation, etc.
Saint patronDiacres, pavetiers,Arte della Lana,Serbieetc.
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Étienne est unprédicateur juif duIer siècle qui apparaît dans lesActes des Apôtres (Ac), œuvre deLuc l'Évangéliste.

CommePhilippe le Diacre[2], Étienne est présenté dans le récit, au début duchapitre 6 des Actes, dans l'épisode dit de l'Institution desSept (Ac 6 1-7)[3]. Étienne et Philippe sont les deux principaux personnages des trois chapitres suivants[4]. Étienne est connu comme« Étienne le Protomartyr »[5],[6],[7],« (le) protomartyr Étienne »[8] ou« Étienne protomartyr » car il est regardé, par les chrétiens, comme le premier martyr[9]. Il fait aussi partie desseptante disciples choisis parJésus-Christ.

Anthroponymie

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Son nom vient dugrec ancien :στέφανος,stephanos, « couronne ». Il se présente sousdiverses formes dans l'histoire de la linguistique (Stéphane,Steven,Esteven,Esteban,Estienne...) ; toutes sont issues du grec latiniséStephanus[10].

Le récit des Actes des Apôtres

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Les récits relatifs à Étienne dans lesActes des Apôtres 6, 1-8 et 7 soulèvent des questions « pouvant porter la suspicion sur sonhistoricité », selon l'historienSimon Claude Mimouni[11].

Premier diacre

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Article détaillé :Judaïsme hellénistique.
Saint Étienne prêchant (détail deLa Prédication de saint Etienne à Jérusalem deCarpaccio - Louvre, Inv181).

Étienne apparaît au chapitre 6 desActes où il est présenté comme unJuif helléniste[Note 1] qui a reconnu en Jésus leMessie et a été choisi avec six autres « hommes de bonne réputation, d'Esprit Saint et de sagesse »[Note 2] pour être un desdiacres chargés d’assister lesapôtres au bénéfice de la communauté.

« En ces jours-là, comme le nombre des disciples augmentait, les Hellénistes se mirent à récriminer contre les Hébreux parce que leurs veuves étaient oubliées dans le service quotidien. Les douze convoquèrent alors l’assemblée plénière des disciples et dirent : « Il ne convient pas que nous délaissions la parole de Dieu pour le service des tables. Cherchez plutôt parmi vous, frères, sept hommes de bonne réputation, remplis d'Esprit et de sagesse, et nous les chargerons de cette fonction. Quant à nous, nous continuerons à assurer la prière et le service de la Parole. » Cette proposition fut agréée par toute l'assemblée : on choisit Étienne, un homme plein de foi et d'Esprit Saint,Philippe,Prochore,Nicanor,Timon,Parménas etNicolas, prosélyte d'Antioche ; on les présenta aux apôtres, on pria et on leur imposa les mains. »

— Actes des Apôtres[Note 3],Ac 6 1-6

Ses discours

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Selon les Actes des Apôtres, Étienne accomplit des « prodiges et des signes remarquables parmi le peuple »Ac 6 8. Érudit, il vient facilement à bout d'un débat qui se tient à la « synagogue des affranchis », lieu de culte des descendants de Juifs réduits en esclavage et déportés parPompée, puis libérés[Note 4].

Devant lesanhédrin, Étienne est confronté à des témoins qui l'accusent de quatreblasphèmes : contreDieu, contreMoïse, contre laLoi et contre leTemple de Jérusalem, lieu saint. Étienne se disculpe de ces accusations en résumant l'histoire d'Israël. Il présente d'abord une triple louange du « Dieu de gloire » ; il loue ensuite Moïse pour sa ferveur, ses miracles et pour la qualité de son accès à Dieu ; il poursuit en louant triplement la Loi, qui vient de Dieu, est transmise par Moïse et donne la vie ; enfin il loue le Temple, commandé par Dieu et construit par SalomonAc 7 2-50. Cependant Étienne, en accord avec les convictions des hellénistes[12], rappelle que

« Et pourtant le Très-Haut n'habite pas des demeures construites par la main des hommes. Comme dit le prophète: le ciel est mon trône et la terre un escabeau sous mes pieds.Ac 7 48-49 »

.

L'exécution d'Étienne

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Pour sa représentation dans l'art :La Lapidation de saint Étienne Ce lien renvoie vers une page d'homonymie

Les causes

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Paolo Uccello,La Lapidation de saint Étienne,cathédrale de Prato.

Les propos sur le temple et sur les persécutions des prophètes exaspèrent le sanhédrinAc 7 54 mais selonSimon Claude Mimouni, Étienne est condamné à la lapidation pourblasphème non pas contre le Temple, mais contreDieu, car il prononcele Nom divin, par définition imprononçable (dans la religion juive) dans l'expression suivante :« les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite deDieu »[13]. La communauté helléniste d'Étienne et sa distance vis-à-vis dutemple de Jérusalem est persécutée après son exécution, elle quitteJérusalem et ouvre àAntioche une maison ouverte aux non juifs[14].

Le procès et la mort deJacques, frère de Jésus, sont proches de ceux d'Étienne : pour l'un comme pour l'autre de ces deux martyrs, il est question deblasphème, puis d'un procès auSanhédrin, puis d'unelapidation. Les récits desActes des Apôtres pourraient avoir subi l'influence de cet événement, à moins que le récit de l'exécution de Jacques ne soit calqué sur celui des Actes des apôtres[15]. Les commentateurs soulignent également certaines ressemblances entre le récit de la mort d'Étienne et celui de la mort deJésus dans lesévangiles[15], parallélismes « qui ne relèvent pas d'un contact fortuit : le narrateur a consciencieusement modelé le procès d'Étienne sur celui de Jésus »[16], selon l'exégète et biblisteDaniel Marguerat.

Le discours d'Étienne, mettant en œuvre une rhétorique jusque-là difficile à critiquer par le Sanhédrin, change brutalement d'orientation quand il s'en prend violemment à l'assemblée du Sanhédrin. Interpellés comme des hommes au « cou raide », « incirconcis »[Note 5] dans leurs cœurs et leurs oreilles, ses juges se jettent sur Étienne, le traînent hors les murs de Jérusalem et le lapident, exécution à laquelleSaül assiste comme témoin[17]. Les Actes racontent que Saül, plus tard converti et devenu apôtre sous le nom dePaul, garde les vêtements des meurtriers et approuve alors ce meurtreAc 7 57-60.

Luc, le rédacteur desActes, fait écho ici à une tradition relative à Étienne qu'il a remaniée, dans une proportion indéterminée. La tenue d'unprocès paraissant incompatible avec une scène delynchage, certains postulent deux traditions concurrentes assemblées par le narrateur[18].

Le lieu

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Bien que le site de sa lapidation ne soit pas mentionné dans les Actes des Apôtres, les archéologues et dominicainsLouis-Hugues Vincent etFélix-Marie Abel[19] signalent une tradition ancienne qui fixe le lieu du martyre d'Étienne au site de labasilique Saint-Étienne de Jérusalem au nord de laporte de Damas (appelée par les croisés porte de Saint-Étienne, au nord de lavieille ville de Jérusalem). Ils évoquent aussi une tradition plus récente qui apparaît à partir duXIIe siècle lors de la disparition de la basilique Saint-Étienne et laprise de Jérusalem par l'armée de Saladin en 1187. La porte de Damas (point faible de l'enceinte fortifiée) étant inaccessible aux pèlerins, les guides locaux privilégient une tradition locale concurrente qui fixe le lieu du supplice dans une grotte attenante au couvent grec orthodoxe, situé en contrebas de laporte des Lions à l'Est (appelée à son tour porte de Saint-Étienne à partir duXVIe siècle)[20],[21].

La date

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La date de la mort d'Étienne est inconnue et les historiens sont partagés : certains argumentent en faveur des années 31 ou 32 ; d'autres en faveur de 36, voire de 39[22].

Légendes ultérieures

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Un thaumaturge

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Scène de l'enlèvement d'Étienne le jour de sa naissance, fresque deFra Filippo Lippi dans lacathédrale de Prato.

Les écrits postérieurs aux Actes font d’Étienne unthaumaturge. En particulier,saint Augustin, dansLa Cité de Dieu, raconte nombre de miracles accomplis par leprotomartyr, récits qu’on retrouve chez de nombreux hagiographes duMoyen Âge, notammentJacques de Voragine[23],Jean de Mailly ouVincent de Beauvais. Ainsi en est-il de fleurs qui étaient posées sur l’autel de Saint Étienne puis appliquées sur des malades, qui guérissaient miraculeusement. Ainsi en est-il aussi de dame Patronia, gravement malade, qui consulte un jour un juif qui lui remet un anneau orné d’une pierre, qu’elle doit porter. Le talisman n’améliore cependant pas son état. En désespoir de cause, Patronia se réfugie à l’église de Saint-Étienne qu’elle implore avec ferveur. L’anneau glisse à terre et elle est guérie.

Un manuscrit duMont Cassin contient un texte, laVita fabulosa sancti Stephani protomartyris (ca. 1000), rapportant qu'Étienne est le fils d'Antiochus et Perpetua, un couple stérile. Enlevé à Jérusalem le jour de sa naissance par le diable, qui lui substitue dans son berceau un petit démon, il est confié par Satan à l'évêque Julien, qui l'adopte, le nomme Nathanael et l'élève comme son fils avant de l'ordonner diacre. Devenu adulte, Étienne retourne dans son premier foyer et expulse, d'un signe de croix, le démon qui avait pris sa place[24].

Invention et translation des reliques

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Apparition deGamaliel l'Ancien au prêtre Lucien, peinture sur bois (XVe siècle).

« Des hommes pieux ensevelirent Étienne et lui firent de belles funérailles » (Ac 8:2). La figure d’Étienne prend une grande place pour les premières communautés chrétiennes et joue un rôle important dans la scission progressive avec lejudaïsme et la montée de l'antijudaïsme chrétien, d'où le développement de traditions littéraires de l'invention et de latranslation de ses reliques[25]. Ces traditions relèvent en grande partie du modèle des récits-types occidentaux, empruntant auxtopoi hagiographiques classiques[26].

Une tradition chrétienne duVe siècle évoque l'apparition deGamaliel l'Ancien au prêtre Lucien, curé deCafargamala (Kfar-Gamala, actuelleBeit Jamal) le vendredi, le rabbi indiquant où se trouvait sa relique qui aurait été alors retrouvée dans le même tombeau que celle de son fils Abibas, ainsi queNicodème[27]. Un vase de roses rouges à côté de la tête de saint Étienne permet d'identifier le corps du martyr[28].

L’évêqueJean de Jérusalem fait alors procéder solennellement à la translation du corps du martyr à l’église du Mont-Sion de Jérusalem, le, jour anniversaire de la mort d'Étienne. L’évêqueJuvénal, successeur de Jean, commence la construction à Jérusalem d’une basilique destinée à recueillir la dépouille de saint Étienne[29].

Les travaux sont repris en438 sous l’impulsion de l’impératriceEudoxie (Eudocie), épouse deThéodose II. Les restes du martyr sont transférés dans la nouvelle basilique, qui n'est d’ailleurs achevée que vingt ans plus tard, lors de la cérémonie de dédicace parsaint Cyrille, patriarche d’Alexandrie, peut-être le[30].L’actuelle basilique a été construite à l’emplacement de l’ancien ouvrage par lesdominicains à la fin duXIXe siècle.

Les restes des martyrs Étienne et Laurent dans labasilique Saint-Laurent-hors-les-Murs.

Dès 416, des reliques du martyr sont emportées àMinorque et en Afrique (notamment à Hippone) parPaul Orose[31]. Une tradition médiévale évoque la translation des reliques du martyr à Rome par le papePélageII à la fin duVIe siècle. Les restes de saint Étienne et de saintLaurent seraient enfermés dans une caisse de marbre, qu'entourent de fortes grilles de fer, dans laConfession sous le maître-autel de labasilique Saint-Laurent-hors-les-Murs[32].

Il fait partie des saints martyrs cités dans uneépigraphie gravée sur une colonne romaine réutilisée dans lachapelle des Saints Martyrs deMedina-Sidonia (province de Cadix, Andalousie) en Espagne, Selon l'inscription, des reliques de plusieurs saints, dont Étienne, y auraient été déposées[33].

La fête de l’Invention des reliques de saint Étienne, ou Saint-Étienne d’été, était célébrée le 3 août. Elle fut supprimée du calendrier romain parJean XXIII.

Des fouilles effectuées àBeit Jamal par Andrzej Strus ont mis au jour en 2003 unearchitrave ou unlinteau en pierre avec unetabula ansata sur laquelle était inscrit« DIAKONIKON STEPHANOU PROTOMARTYROS ». Undiakonikon est une petite chapelle destinée à des objets cultuels et placée sous la responsabilité d'un diacre. L'inscription atteste l'ancienneté de cette tradition[34].

Fêtes et célébrations

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Saint Étienne est fêté par l'Église catholique le 26 décembre, et par les Églises chrétiennes d'Orient le 27 décembre, et encore le 2 août (translation de ses reliques) par l'Église catholique ainsi que par les Églises chrétiennes d'Orient.

Il est considéré comme un saint également par les Églisesanglicane,luthériennes, ainsi que l'Église de l'Orient.

Sa fête, le 26 décembre, est fériée enAllemagne, enAutriche, enIrlande, enItalie, auRoyaume-Uni, auLuxembourg ainsi qu'enMoselle, enBas-Rhin, enHaut-Rhin,Catalogne et dans plusieurscantons suisses.

Lescathédrales et les églises dédiées à saint Étienne sont nombreuses dans tous les pays d'Europe. Notamment en France où le protomartyr a donné son nom à la ville deSaint-Étienne, dans laLoire, et à soixante-douze autres communes françaises, sans compter les formes occitanes telles queSaint-Estèphe Ce lien renvoie vers une page d'homonymie ouSaint-Estève[28].

Une des cloches de lacathédrale Notre-Dame de Paris porte son nom.

ÀFlorence, il a été, depuis leMoyen Âge, le saint patron de l'Arte della Lana, la « corporation de la Laine », et sa statue figure dans une des niches d'Orsanmichele.

Notes et références

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Notes

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  1. Les Juifs hellénistes étaient des Juifs vivant hors de Palestine et influencés par la culture grecque. Ils avaient à Jérusalem leurs propres synagogues où on lisait la Bible en grec.
  2. « (…)ἄνδρας ἐξ ὑµῶν µαρτυρουµένους ἑπτὰ πλήρεις πνεύµατος καὶ σοφίας. »
  3. Les extraits desActes des Apôtres proviennent de laTraduction œcuménique de la Bible (TOB), éditions Le Cerf, seconde édition, 1986. Les extraits en langue grecque proviennent du site de l'université de Colombie-Britannique,The New Testament & The Septuagint.
  4. « Alors intervinrent des gens de la synagogue dite des Affranchis, des Cyrénéens, des Alexandrins et d’autres de Cilicie et d’Asie. Ils se mirent à discuter avec Étienne, mais ils n’étaient pas de force à tenir tête à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler. »6 Ac  6  9-10
  5. « Σκληροτράχηλοι καὶ ἀπερίτµητοι (…) »

Références

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  1. Catherine Jolivet-Lévy,Les Églises byzantines de Cappadoce, Éditions du Centre national de la Recherche scientifique,,p. 153.
  2. Mimouni 2012,§ 21 et 23.
  3. Mimouni 2012,§ 21-23.
  4. Mimouni 2012,§ 21.
  5. StanislasDockx, « Date de la mort d'Étienne le Protomartyr »,Biblica,vol. 55,no 1,‎,p. 65-73(JSTOR 42609862).
  6. EnzoLucchesi, « À propos d'un enkomion copte sur Étienne le protomartyr (BHO 1093) »,Analecta Bollandiana,vol. 101,‎,p. 421-422.
  7. EnzoLucchesi, « Un fragment sahidique du premier panégyrique d'Étienne le Protomartyr par Grégoire de Nysse »,Analecta Bollandiana,vol. 124,‎,p. 11-13(résumé).
  8. BenjaminMoulet,Évêques, pouvoir et société à Byzance (VIIIe au XIe siècle) : territoires, communautés et individus dans la société provinciale byzantine (texte remanié de lathèse de doctorat en histoire préparée sous lacodirection deMichel Kaplan et Jean-Marie Sansterre etsoutenue en à l'université Paris-I – Panthéon-Sorbonne sous le titreÉvêques, pouvoirs et société à Byzance (début duVIIIe siècle-milieu duXIe siècle) : territoires, communautés et individus dans la société provinciale de l'Empire byzantin), Paris,Publications de la Sorbonne,coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 25), (réimpr. 2016),1re éd.,1 vol., 613, 24 cm(ISBN 978-2-85944-651-2,lire en ligne),p. 354 (lire en ligne) etp. 380 (lire en ligne).
  9. Entrée« protomartyr », dansÉmile Littré,Dictionnaire de la langue française,t. 3 :I – P, Paris,Hachette,, 1396 p., gr. in-4o(BNF 30824717,lire en ligne),p. 1366 (lire en ligne).
  10. (en) Fernando Lanzi et Gioia Lanzi,Saints and their symbols, Liturgical Press,(lire en ligne),p. 74.
  11. Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval 2006,p. 187.
  12. Daniel Marguerat,« Le christianisme s'installe dans la durée : Les premières générations en quête d'identité », dans Roselyne Dupont-Roc,Après Jésus : L'invention du christianisme, Paris, Albin Michel,, 703 p.(ISBN 9782226450333),p. 292
  13. Simon Claude Mimouni etPierre Maraval,Le Christianisme des origines à Constantin, Paris, PUF,, 680 p.(ISBN 9782130639008). Cette expression est donnée dans lesActes55-56.
  14. Daniel Marguerat 2020,p. 292.
  15. a etbSimon Claude Mimouni et Pierre Maraval 2006,p. 189.
  16. Daniel Marguerat,Les Actes des Apôtres, Genève,Labor et Fides,, 449 p.(lire en ligne),p. 216.
  17. Dominique Bernard etAlain Le Boulluec,Les disciples juifs de Jésus du Ier siècle à Mahomet,Éditions du Cerf,, 1232 p.(lire en ligne).
  18. Daniel Marguerat 2007,p. 217.
  19. Hugues Vincent et Félix-Marie Abel,Jérusalem : recherches de topographie, d'archéologie et d'histoire, J. Gabalda,,p. 760.
  20. (en) Hannah M. Cotton, Leah Di Segni, Werner Eck, Benjamin Isaac, Alla Kushnir-Stein, Haggai Misgav, Jonathan J. Price, Ada Yardeni,Jerusalem, Part 2 : 705-1120,Walter de Gruyter,(lire en ligne),p. 275.
  21. (en) Jerome Murphy-O'Connor,The Holy Land : An Oxford Archaeological Guide from Earliest Times to 1700, OUP Oxford,(lire en ligne),p. 21.
  22. Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval 2006,p. 188.
  23. La Légende dorée/Saint Étienne, Perrin et Cie, (Wikisource)
  24. (es) Louis Goosen,De Andrés a Zaqueo,Ediciones Akal,,p. 54.
  25. Peter Brown,Le culte des saints. Son essor et sa fonction dans la chrétienté latine, Cerf,,p. 102.
  26. Edina Bozoky,La politique des reliques de Constantin à Saint Louis,Éditions Beauchesne,(lire en ligne),p. 211.
  27. [PDF]« La Passion hagiopolite du protomartyr Étienne », Damien Labadie (2022), HAL open science.
  28. a etbLouis Réau,Iconographie de l'art chrétien,Presses universitaires de France,,p. 445.
  29. (de) J. Martin, « Die Revelatio Sancti Stephani und Verwandtes »,Historisches Jahrbuch,vol. 77,‎,p. 419-433.
  30. Jean-Marie Mayeur, Luce Pietri, André Vauchez, Marc Venard,Histoire du christianisme. Les Églises d'Orient et d'Occident (432-610), Desclée,,p. 31.
  31. Yvette Duval,Loca sanctorum Africae. Le culte des martyrs en Afrique du IVe au VIIe siècle, École française de Rome,,p. 624-628.
  32. Augustus J. Hare,Promenades à Rome, Graphics LLC Adegi,,p. 93-95.
  33. [Romero de Torres 1909](es)EnriqueRomero de Torres, « La Ermita de los Santos en Medinasidonia »,Boletín de la Real Academia de la Historia,t. 54,‎,p. 45-54 (voir p. 52)(lire en ligne[PDF] surcervantesvirtual.com, consulté en).
  34. Émile Puech,Un mausolée de saint Étienne à Khirbet Jiljil - Beit Gimal (Pl. I), Revue Biblique 113/1 (janvier 2006)p. 100-126.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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