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États pontificaux

42° 49′ 16″ N, 12° 36′ 10″ E
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États pontificaux
Stato della Chiesa

754 – 1870

Disparitions provisoires :

Drapeau
Drapeau des États pontificaux
Blason
Armoiries des États pontificaux
Description de cette image, également commentée ci-après
Carte des États pontificaux (vert) en1789, incluant les enclaves deBénévent etPontecorvo ainsi que leComtat Venaissin etAvignon.
Informations générales
StatutMonarchie absolue, dedroit divin etélective
CapitaleRome
Langue(s)Latin,italien
ReligionÉglise catholique
MonnaieScudo des États pontificaux(jusqu'à 1866)
Lire des États pontificaux(1866–1870)
Démographie
Population3 124 668 en 1853[1]
GentiléPontifical, Pontificale
Superficie
Superficie44 000 km2 en 1649
Histoire et événements
754Création (donation de Pépin)
Disparition (rattachement auroyaume d'Italie)

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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LesÉtats pontificaux,États de l'Église,États papaux,États du Pape ouÉtat ecclésiastique (enitalien :Stato Pontificio ouStato della Chiesa; enlatin :Status Pontificius ouStatus Ecclesiasticus) désigne l'ensemble des possessions dont lespapes ont été les princes souverains entre le milieu duVIIIe siècle et l'aboutissement de l'unification italienne de1870.

Formant l'assise territoriale de la souverainetétemporelle de l'évêque de Rome, les États pontificaux puisent leurs origines dans lePatrimonium Sancti Petri, un vaste ensemble de biens fonciers constitué de propriétés dont les revenus servent dès leIVe siècle à financer les activités de l’Église romaine. Avec la fin de ladomination byzantine en Italie au début duVIIIe siècle, les évêques de Rome exercent des droits souverains concrets sur leduché englobant la ville de Rome et ses environs. En754, le roi francPépin le Brefaccorde à l’Église romaine la souveraineté sur des territoires conquis sur lesLombards, un accord confirmé par son filsCharlemagne, qui permet l'établissement du noyau primitif des États pontificaux.

S'accroissant tant par la diplomatie que par les armes, les États pontificaux s'étendent progressivement tandis qu'une forgerie appeléeDonation de Constantin est utilisée pour renforcer leur légitimité. Bien que leur cohésion géographique soit sujette à des variations au fil des siècles, l'essentiel des possessions qui les constituent forment à partir duXIVe siècle une large bande au centre de la péninsule italienne, ouverte sur l'Adriatique à l’est et lamer Tyrrhénienne à l'ouest.

Ils atteignent leur extension géographique maximale dans la première moitié duXVIIe siècle. À la suite des campagnes napoléoniennes en Italie, les États pontificaux passent sous domination française puis, après une brève restauration en 1815, sont largement démembrés à l'issue de ladeuxième guerre d'indépendance italienne. Ils cessent d'exister le 2 octobre 1870 avec le rattachement de la Ville éternelle et du Latium auroyaume d'Italie.

On considère que la continuité des États pontificaux se retrouve aujourd'hui dans l'État de la Cité du Vatican issu desaccords du Latran signés en 1929.

Histoire

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Prémices

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Dès la fin de l’Antiquité, l’Église de Rome dispose d’un vaste ensemble de biens fonciers, lePatrimonium Sancti Petri (« Patrimoine de saint Pierre ») constitué de propriétés dispersées dans la péninsule italienne mais aussi en Sicile, en Afrique et parfois en Syrie voire en Égypte[2]. Les revenus de celles-ci servent à financer les activités de l’Église, comme l’entretien ou l'éclairage desbasiliques romaines ou le secours aux pauvres[2]. À partir de la fin duIVe siècle, la gestion de ces patrimoines est centralisée, leur administration confiée à desvicaires sous l’autorité des évêques de Rome[2]. Bien qu’elles soient relativement importantes, l'administration de ces propriétés reste essentiellement d'ordre religieux et économiques, sans dimension politique[2].

À partir duVIIe siècle, les rapports entre l’Église romaine et l’Empire byzantin commencent à se dégrader et les décretsiconoclastes de l'empereur byzantinLéon III l'Isaurien provoquent la rupture avec Rome, entraînant la confiscation par Byzance des patrimoines de l’Église romaine en Sicile et en Calabre, ce qui l'ampute d'une partie considérable de ses revenus[3]. La domination de l'évêque de Rome ne s'exerce plus alors que sur leduché de Rome, territoire byzantin englobant la ville de Rome et ses environs, qui se trouve alors de plus en plus isolé[2].

La conquête définitive de l'exarchat de Ravenne par lesLombards en 750, qui met fin à la présence byzantine en Italie centrale, accélère le processus d’autonomie[2] : à l'instar desducs locaux qui remplacent les gouverneurs impériauxà Naples ouen Vénétie, les évêques romains assument désormais directement la gouvernance du duché de Rome, exerçant dès lors, au-delà de leur autorité religieuse, des droits souverains concrets[2] sur un territoire qui s'étend « d'Acquapendente àCeprano »[4]. Ainsi, à partir duVIIIe siècle, lePatrimonium Sancti Petri commence à désigner non seulement des biens fonciers dispersés, mais aussi un embryon d’État territorial, le futur domaine temporel des papes[2].

Origine

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Ladonation de Pépin (ou traité de Quierzy) au papeÉtienne II (754).

Au milieu duVIIIe siècle, cette transition vers une autonomie politique se trouve consolidée par l’alliance entre les papes et lesCarolingiens[2].

Menacée par leroi lombardAistolf, l’Église romaine fait appel aux souverains francs etPépin le Bref s'engage à intervenir militairement pour chasser les Lombards et à transférer à la papauté l'ensemble des biens d'Italie relevant de la juridiction impériale, présentés pour la première fois comme appartenant au pape[5] : c'est ladonation de Pépin.

Par ce texte promulgué en754 devant l'assemblée deQuierzy,Pépin, redevable au papeZacharie d'avoir légitimé le renversement desMérovingiens, s'engage à céder àÉtienne II — successeur de Zacharie en752 — un territoire à conquérir sur lesLombards et correspondant à l'ancienexarchat de Ravenne. Il s'agit essentiellement de terres pauvres (incluant notamment lesmarais pontins), où se pratique depuis des siècles l'agriculture. L'échec dusiège de Rome en 756 parAistulf[6] marque le déclin du royaume lombard qui doit céder les terres convoitées par la papauté[7]. La donation est confirmée en774 àRome et renégociée en781 parCharlemagne[4], fils de Pépin, qui promet d’étendre le contrôle pontifical à d’autres régions[2]. Le diplôme deLouis le Pieux, daté de 817 mais probablement interpolé, réduit les concessions territoriales mais reconnaît pour la première fois à l'évêque romain une autorité publique sans partage (jus principatus, « droit de principat»), cependant vite remise en question par ses successeurs[4].

Un faux appeléDonation de Constantin est utilisé par la suite pour renforcer la légitimité des États pontificaux[8]. Selon ce document composé auVIIIe ouIXe siècle[9] et intégré dans lesDécrétales pseudo-isodoriennes[10], l'empereurConstantinIer aurait cédé en335 toutes les provinces de l'Occident au papeSylvestreIer. Le document prétend reproduire une lettre de Constantin à Sylvestre par laquelle l'empereur partage avec l'évêque de Rome la souveraineté temporelle sur Rome et l'Italie, ainsi qu'elle confère à ce dernier la primauté spirituelle sur l'ensemble des patriarcats ecclésiastiques[9]. LaDonation sert par exemple au papeAdrien Ier pour faire reconnaître àCharlemagne les prérogatives de l'évêque romain sur certaines villes[10]. L'autorité de laDonation, reconnue même des adversaires de la papauté, fonde ainsi juridiquement le pouvoir temporel du pape pendant tout le Moyen Âge avant que la falsification soit démasquée auXVe siècle parLaurent Valla[9]. Il faut néanmoins attendre la Renaissance pour que la critique écarte définitivement laDonation[11].

Du Moyen Âge à l'Époque moderne

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Ces États s'accroissent en1115 par l'héritage de la princesseMathilde de Canossa qui est disséminé entre laToscane, l'Apennin tosco-émilien et laplaine du Pô de l'Émilie audelta[12].

En réponse aux luttes fratricides entreguelfes (partisans du pape) etgibelins (partisans de l’empereur), lapaix de Venise de1177 consacre l'indépendance des États du pape vis-à-vis duSaint-Empire.

Au milieu duXIVe siècle, leTrecento, les États pontificaux se sont largement développés et lesConstitutions égidiennes établissent en1357 sept provinces dans le centre de l'Italie :Rome, les provinces deCampagne et Maritime (entre Rome,Ostie, vallée duLiri etTerracina), lepatrimoine de saint Pierre enToscane, laSabine, lamarche d'Ancône et leduché de Spolète : l'essentiel des possessions des États pontificaux constituent ainsi une large bande au centre de la péninsule italienne, ouverte sur l'Adriatique à l’est et lamer Tyrrhénienne à l'ouest[13], auxquels il faut ajouter les enclaves deBénévent et dePontecorvo dans leroyaume de Naples, ainsi qu'Avignon et leComtat Venaissin[14].

Pendant lesguerres d'Italie, le papeJules II prend possession des villes queCésar Borgia avait conquises enRomagne et dans lesMarches.Léon X y ajoute les villes d'Émilie que sontPlaisance,Parme,Reggio,Modène etBologne. Leduché de Parme et Plaisance est toutefois détaché en1545 par le papePaul III au profit de lamaison Farnèse, à laquelle il appartient.

En1598,Clément VIII annexeFerrare, ainsi queComacchio, à la suite de la mort du dernier duc de lamaison d'Este puis, en 1625, récupèreUrbino avant même la mort du dogeFrancesco Maria Della Rovere six ans plus tard[15]. Enfin, l'enclave deCastro etRonciglione est annexée en1649, au terme d'une guerre économique et militaire de près de dix années[15]. Avec cette dernière annexion, les États pontificaux atteignent alors leur extension maximale[13] dans des frontières à peu près définitives qui connaissent une stabilité jusqu'à la fin duXVIIIe siècle[15].

Durant la Révolution française

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Les États pontificaux en 1849.

En1796, leDirectoire envoie le généralBonaparte accompagné deGaspard Monge pour lacampagne d'Italie. Le, les troupes françaises envahissent Rome. LeDirectoire avait demandé au pape d'abandonner ses pouvoirs temporels, tout en gardant ses pouvoirs spirituels. Le, pensant qu'il n'est pas possible de séparer les deux pouvoirs, les émissaires duDirectoire demandent àPie VI de quitter Rome dans les deux jours. Celui-ci quitte la ville dans la nuit du 19 au. LaRépublique romaine est proclamée.

Pie VI trouve refuge dans lachartreuse de Florence. Il est fait prisonnier et emmené par les troupes françaises àBologne, puis àParme,Turin,Grenoble, et enfinValence où, épuisé, il meurt le.

En, les troupes napolitaines reprennent Rome,Pie VII, élu depuis peu, y rentre et les États pontificaux sont restaurés en. Ils sont de nouveau envahis par les Français en 1808. Le, par un décret pris àSchönbrunn, Napoléon décide d'annexer les États pontificaux à l'Empire français pour former les départements duTibre et deTrasimène. En 1809-1810, une commission, laConsulta straordinaria, présidée par le généralde Miollis, qui commande les troupes françaises à Rome, et comprenant quatre juristes et hauts fonctionnaires (Cesare Balbo,Ferdinando Dal Pozzo,Joseph-Marie de Gérando, Jeannet), gère la cité et prend plus de 5 000 décrets qui introduisent la législation de l'Empire dans les anciens États pontificaux et réalisent une modernisation complète de l'administration qui survivra largement à l'occupation française[16].

En 1815, grâce aux puissances réunies aucongrès de Vienne,Pie VII rétablit les États pontificaux, qui prennent brièvement uneforme républicaine en 1849.Avignon et leComtat Venaissin, annexés par la France en1791[17] et cédés officiellement par letraité de Tolentino de 1797, restent cependant français.

Fin des États pontificaux

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Article détaillé :Question romaine.

À l'issue de ladeuxième guerre d'indépendance italienne en 1859, leslégations, l’Ombrie, lesMarches et laRomagne, ainsi que ladélégation d'Orvieto, sont intégrées auxProvinces-Unies d'Italie centrale,État satellite duroyaume de Sardaigne, laissantRome et leLatium au souverain pontife. Un an plus tard, lePiémont annexe ces territoires. Ainsi, lors de laproclamation du royaume d'Italie en 1861, les territoires pontificaux sont réduits à l'antiquePatrimoine de Saint-Pierre, correspondantgrosso modo à un large Latium, passant d'une surface de 44 000 à 12 000 km2 et d'une population de plus de 3 000 000 d'habitants à moins de 700 000[17].

En1870, après l'évacuation des troupes françaises résultant de l'effondrement du second Empire,Rome est envahie par les troupes italiennes le 20 septembre : l'État de Rome, au terme d'un plébiscite très largement favorable, cesse d'exister le 2 octobre avec le rattachement de la Ville éternelle et du Latium auroyaume d'Italie[18]. Après un vote de la Chambre italienne le 23 décembre, Rome devient alors la capitale du Royaume et il ne reste des États du pape que les44 hectares duVatican[18].

Le pape reste désormais enfermé dans sonpalais apostolique et refuse la « loi des Garanties » votée par le Parlement italien en 1871 qui entend garantir certaines prérogatives du pape — sans lui reconnaitre aucune souveraineté sur le territoire laissé à sa disposition[19] —, mais aussi établir le statut du Vatican et organiser les relations entre celui-ci et l'État italien[17]. Ce refus ouvre la « question romaine »[17].

Bien qu'une partie de la Curie espère encore une restauration du pouvoir temporel[17], le papeLéon XIII signe la dissolution officielle des États pontificaux le[20]. La question romaine ne trouve une issue que le par la signature desaccords du Latran avecMussolini, accords qui sanctionnent la création de l'État de la Cité du Vatican[17]. Ce dernier est reconnu par cet ensemble de traités internationaux comme « État souverain de droit public international, distinct duSaint-Siège ».

Notes et références

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  1. (it)Statistica della popolazione dello Stato pontificio dell'anno 1853, Ministero del commercio e lavori pubblici,(lire en ligne[archive du]),p. XXII
  2. abcdefghi etjArnaldi et Cadili 2013.
  3. LaurentFeller,Église et société en Occident :VIIe – XIe siècle, Armand Colin,(ISBN 978-2-200-24398-2),p. 109
  4. ab etcGuyotjeannin 1994,p. 625.
  5. LaurentFeller,Église et société en Occident :VIIe – XIe siècle, Armand Colin,(ISBN 978-2-200-24398-2),p. 112
  6. Jan T.Hallenbeck, « Pavia and Rome: The Lombard Monarchy and the Papacy in the Eighth Century »,Transactions of the American Philosophical Society,vol. 72,no 4,‎,p. 64-83(ISSN 0065-9746)
  7. (en)PaoloDelogu,« Lombard and Carolingian Italy », dans Rosamond McKitterick (dir.),The New Cambridge Medieval History,vol. II :c.700- c.900, Cambridge University Press,(ISBN 978-0-521-36292-4),p. 300
  8. LorenzoValla (trad. Jean-Baptiste Giard),Sur la donation de Constantin, à lui faussement attribuée et mensongère [« De falso credita et ementita Constantini donatione libri duo »], Lyon,éd. des Belles Lettres,coll. « La roue à livres », (1re éd. 1547), XXI + 151, 13,5 × 21 cm broché(ISBN 978-2-251-33920-7,présentation en ligne).
  9. ab etcJohn Norman DavidsonKelly (trad. de l'anglais par Colette Friedlander),Dictionnaire des Papes [« The Oxford Dictionary of Popes »], Paris,Brepols,coll. « Petits dictionnaires bleus »,, 727 p.(ISBN 2-503-50377-2),p. 49-52
  10. a etbÉlisabeth Paoli,« Silvestre Ier », dans Philippe Levillain (dir.),Dictionnaire historique de la Papauté, Fayard,(ISBN 9782213025377),p. 1578-1580
  11. BertrandLançon et TiphaineMoreau,Constantin : Un Auguste chrétien,Armand Colin,, 256 p.(ISBN 978-2-200-25786-6,lire en ligne), pt99
  12. Guyotjeannin 1994,p. 626.
  13. a etbÉricSuire,Pouvoir et religion en Europe :XVIe – XVIIIe siècle, Armand Colin,(ISBN 978-2-200-62392-0),p. 101
  14. ÉricSuire,Pouvoir et religion en Europe :XVIe – XVIIIe siècle, Armand Colin,(ISBN 978-2-200-62392-0),p. 102
  15. ab etcUginet 1994,p. 629.
  16. Carla Nardi,Napoleone e Roma. La politica della consulta romana (« Collection de l'École française de Rome », 115), Rome, École française de Rome, 1989.
  17. abcde etfFrançoisJankowiak,« États pontificaux (géographie des) », dans Christophe Dickès (dir.),Dictionnaire du Vatican et du Saint-Siège, Paris, Robert Laffont,coll. « Bouquins »,(ISBN 978-2-221-11654-8),p. 441-443
  18. a etbGillesFerragu,« États pontificaux (fin des) », dans Christophe Dickès (dir.),Dictionnaire du Vatican et du Saint-Siège, Paris, Robert Laffont,coll. « Bouquins »,(ISBN 978-2-221-11654-8),p. 438-441
  19. Uginet 1994,p. 632.
  20. JoachimGimenez,Vatican II : Une fenêtre toujours ouverte: Introduction à la lecture des principaux documents conciliaires, Editions Edilivre,(ISBN 978-2-334-03098-4,lire en ligne),p. 25

Bibliographie

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Voir aussi

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