Ce nom lui a été donné en 1909 en l'honneur deJosé Antonio Anzoátegui, un des acteurs vénézuéliens de la lutte pour l'indépendance du pays. L'État était auparavant nomméBarcelona, du nom de sa capitale.
La ville deBarcelona, qui tire son nom de la ville éponyme espagnolBarcelone, est fondée en 1677 sous le nom deNueva Barcelona del Cerro Santo, qui s'est simplifié avec le temps enBarcelona.
Le territoire fait partie de laprovince de Cumaná jusqu'au, date à laquelle est créée laprovince de Barcelona. Ce nom perdure jusqu'en 1821, puis de 1830 à 1864. Le, la province est érigée en « État de Barcelone » (Estado Barcelona, en espagnol), nom que le territoire conserve jusqu'en 1909 quand il change de nouveau pour son nom actuel d'État d'Anzoátegui.
Selon l'Institut national de la statistique (Instituto Nacional de Estadística en espagnol), la population a augmenté de 20,25 % entre 2001 et 2011 et s'élève à 1 469 747 habitants lors de ce dernier recensement[1] :
Selon la loi de réforme de la loi de division politique territoriale de l'État d'Anzoátegui du, publié auno 200 au Journal officiel, l'État est divisé en 21municipalités[note 1] totalisant 57 divisions territoriales dont 39paroisses civiles[note 2] et 18 « capitales », ou « parroquia capital », en espagnol. En effet, dans la majorité des municipalités de l'État, la législation n'accorde pas de type de nom particulier à la division correspondant au territoire où se situe son chef-lieu ; l'Institut national de la statistique du Venezuela a créé le terme de « parroquia capital », ici traduit par le terme « capitale » à cette fin ; cette division territoriale et statistique est identifiée dans ce présent tableau par le nom en italiques suivi d'une astérisque :
Municipalité
Localisation
Chef-lieu
Nombre de divisions territoriales (paroisses civiles + « capitales »)
Anzoátegui, connu pour être un état pétrolier, produit également du gaz.Anaco, l'une de ses villes les plus importantes, est appelée « le cœur du gaz vénézuélien ».