Ne doit pas être confondu avecÉquipe de Hong Kong féminine de rugby à XV.
| Surnom | Dragons |
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| Entrée auBoard | 1988 |
|---|---|
| Sélectionneur | |
| Capitaine | Liam Slatem |
| Record de sélections | Nick Hewson (58) |
| Record de points | Rowan Varty (120) |
| Record d’essais | Rowan Varty (24) |
| Coupe du monde | |
|---|---|
| ·Participations | 1/11 |
| ·Meilleur résultat | néant |
L'équipe de Hong Kong de rugby à XV rassemble les meilleurs joueurs derugby à XV deHong Kong.
Au, l'équipe est classé24e auclassement World Rugby.
Le rugby est arrivé à Hong Kong dès la fin duXIXe siècle, sous l'influence du Royaume-Uni dont Hong Kong est alors une colonie[1].
LaFédération hongkongaise créée seulement en1952[2] reconnait néanmoins comme premiertest match de son équipe la rencontre de 1932 face à uneéquipe d'Australie universitaire.
Parmi les meilleurs nations asiatiques en rugby à XV, Hong Kong connait probablement sa décennie la plus riches en succès sportifs dans lesannées 1990, elle y bat notamment régulièrement leJapon, lesÉtats-Unis, leCanada et la plupart de ses autres rivaux asiatiques[3].
Le match contre le Canada du remporté par Hong Kong, constitue probablement l'une des victoires les plus significatives du rugby hongkongais, l'équipe du Canada étant alors capable de jouer au niveau de grandes équipes — battant notamment l'Argentine, laFrance, lepays de Galles, l'Italie ou l'Écosse en ces années là[4].
Cette victoire est notamment acquise grâce à un fort contingent de joueurs né horsHong Kong, dont certains joueurs qui ont par la suite fréquenté des grands clubs européens commeVaughan Going ouLuke Nabaro[5].
Néanmoins Hong Kong échouera par la suite à atteindre le dernier tour de laqualification pour la Coupe du monde 1999, mettant ainsi fin au cycle vertueux jusqu'alors initié.
En 2005, Hong Kong prend part autournoi d'Asie qualificatif pour laCoupe du monde de rugby à XV 2007 enFrance. Hong Kong se qualifie pour le tour final en compagnie de laCorée du Sud et duJapon. La sélection perd ses rencontres suivantes et termine troisième du groupe.
Dans lesannées 2010, Hong Kong semble s'affirmer à nouveau comme un candidat crédible pour la Coupe du monde, s'imposant déjà comme place forte du rugby en Asie, inférieure seulement au Japon. De fait Hong Kong devance laCorée du Sud ou encore leSri Lanka lors duTournoi asiatique des Cinq Nations 2014, obtenant ainsi sa qualification pour lesrepêchages de laCoupe du monde 2015, où il est néanmoins éliminé par l'Uruguay[6].
Mais c'est surtout dans le cycle précédant laCoupe du monde 2019, que l'équipe de Hong Kong va retrouver son ambition, avec un effectif professionnel autour de l'équipe nationale, et une ambition affichée de se qualifier pour le mondial. Lafédération emploie ainsi 30 joueurs et 5 entraineurs-préparateurs pour constituer une équipe compétitive[7],[8],[9],[10].
Alors que le Japon est passé dans une autre dimension avec lemiracle de Brighton et délaisse désormais les compétitions continentales, Hong Kong s'impose comme place forte du rugby asiatique, remportant deux années d'affilée leChampionnat d'Asie de rugby à XV, en 2018 puis 2019, devançant ainsi définitivement leursrivaux coréens[11],[12].
En 2018, les Hongkongais remportent également le barrage contre lesÎles Cook, vainqueurs de laCoupe d'Océanie, infligeant un score cumulé de 77 à 3 aux iliens et se qualifiant pour lesrepêchages qui doivent avoir lieu à la fin de l'année àMarseille, fort de son effectif professionnel quinziste, renforcé par plusieursinternationauxà sept[8],[13].
Mais malgré un statut de favori dans lacompétition — Hong Kong a alors le meilleurclassement des 4 nations qualifiées[14] et le meilleur de son histoire[15] — lesDragons perdent d'entrée contre l'Allemagne deMike Ford[16]. Victorieux contre le Kenya, il ne parviennent néanmoins pas à empêcher les Canadiens de gagner leur ticket pour la Coupe du monde, défaits 27-10 par les canucks[17].
À la suite de ce revers, et surtout à lapandémie de Covid-19, devant faire face à de lourds manques à gagner, lafédération hongkongaise doit mettre un terme à son programme professionnelà XV, concentrant ses ressources sur l'équipe de rugby à sept, avec son objectifolympique, visant un statut de semi-pro pour l'équipe à XV[10].
À partir de 2023, laFédération hongkongaise fait concourir ses équipes nationales sous le nom de « Hong Kong, Chine », se conformant aux nouvelles directives ducomité olympique d'utiliser ce titre avant[18] ; ce changement a lieu après l'incident survenu lors duchampionnat d'Asie de rugby à sept, où l'hymne révolutionnaireGloire à Hong Kong est joué par erreur par les autorités locales à la place de l'hymne national chinoisLa Marche des Volontaires[18],[19].
Hong Kong domine lechampionnat d'Asie durant les années suivantes. L'édition 2025 est leur sixième victoire d'affilée et leur permet également de se qualifier directement pour laCoupe du monde 2027[20].
Hong Kong gagne l'Emirates Airline Cup of Nations XVs Rugby Tournament en 2011
(Mise à jour au)
| Nom | Naissance, (âge) | Sélections | Club | Année de 1re sélection | |
|---|---|---|---|---|---|
| Piliers | |||||
| Daniel Barlow | (39 ans) | 11 | |||
| Adam Fullgrabe | (34 ans) | 14 | |||
| Benjamin Higgins | (33 ans) | 15 | |||
| Grant Kemp | (37 ans) | 1 | 2018 | ||
| Callum McFeat-Smith | (29 ans) | 2 | |||
| Jack Parfitt | (33 ans) | 24 | |||
| Dylan Rogers | (41 ans) | 12 | |||
| Talonneurs | |||||
| Mitch Andrews | (36 ans) | 0 | |||
| Dayne Jans | (37 ans) | 6 | |||
| Alexander Post | (30 ans) | 3 | |||
| Ben Roberts | (37 ans) | 14 | |||
| Deuxièmes ligne | |||||
| James Cunningham | (35 ans) | 23 | |||
| Jack Delaforce | (35 ans) | 23 | |||
| Fin Field | (30 ans) | 23 | |||
| Craig Lodge | (35 ans) | 0 | |||
| Michael Parfitt | (31 ans) | 8 | |||
| Troisièmes ligne aile | |||||
| Kane Boucaut | (34 ans) | 9 | |||
| Michael Coverdale | (30 ans) | 3 | |||
| Toby Fenn | (38 ans) | 21 | |||
| Nick Hewson | (41 ans) | 14 | |||
| Troisièmes ligne centre | |||||
| Thomas Lamboley | (35 ans) | 17 | |||
| Nom | Naissance | Sélections | Club | Année de 1re sélection | |
|---|---|---|---|---|---|
| Demis de mêlée | |||||
| Jamie Hood | (39 ans) | 11 | |||
| Jamie Lauder | (33 ans) | 6 | |||
| Bryn Phillips | (33 ans) | 1 | 2018 | ||
| Liam Slatem | (36 ans) | 8 | |||
| Demis d'ouverture | |||||
| Benjamin Rimene | (41 ans) | 20 | |||
| Matthew Rosslee | (38 ans) | 19 | |||
| Centres | |||||
| Ben Axten-Burrett | (33 ans) | 0 | 2017 | ||
| Tyler Spitz | (35 ans) | 22 | |||
| Lewis Warner | (34 ans) | 1 | |||
| Max Woodward | (35 ans) | 12 | |||
| Ailiers | |||||
| Max Denmark | (26 ans) | 7 | |||
| Conor Hartley | (32 ans) | 6 | |||
| Salom Yiu | (37 ans) | 15 | |||
| Arrières | |||||
| Alex McQueen | (37 ans) | 8 | |||
| Casey Stone | (40 ans) | 1 | |||
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