| Surnom | Les Lelos |
|---|---|
| Stade | Stade Mikheil-Meskhi (27 223 places) |
|
| ||||||||||||||||||||||||
| Entrée auBoard | 1992 |
|---|---|
| Sélectionneur | |
| Capitaine | Merab Sharikadze |
| Record de sélections | David Kacharava Alexander Todua (122) |
| Record de points | Merab Kvirikashvili (840) |
| Record d’essais | Akaki Tabutsadze (50) |
| Coupe du monde | |
|---|---|
| ·Participations | 6/10 |
| ·Meilleur résultat | 3e de poule (2015) |
L'équipe de Géorgie derugby à XV rassemble les meilleurs joueurs deGéorgie. Les Géorgiens jouent en maillot bleu et bordeaux, short bleu, bas bleu. Leur symbole est unbordjgali traditionnel. L'équipe est surnomée lesLelos.
Bien que le rugby existe en Géorgie depuis 1964, les joueurs représentaient l'ex-URSS jusqu'au premier match officiel de la Géorgie en 1989.
Au classement World Rugby du, la Géorgie est quatorzième.
Plusieurs tentatives infructueuses d'introduire lerugby à XV ont eu lieu en Géorgie, la plus ancienne connue étant celle de 1928, avec des tentatives ultérieures en 1940 et en 1948. Le rugby a été introduit en Géorgie parJacques Haspekian, unArménien deMarseille (France) qui a enseigné le jeu à des étudiants à la fin des années 1950 et jusqu'au milieu des années 1960, bien qu'il soit ensuite retourné en France[a]. La première véritable séance de rugby a eu lieu le à l'hippodrome deTbilissi, devant une vingtaine de personnes. Le premier club géorgien créé est le GPI (Georgian Polytechnical Institute), aujourd'hui connu sous le nom de « Qochebi ».
La popularité du rugby à XV en Géorgie peut s'expliquer par sa ressemblance avec le jeu traditionnel géorgien appeléLelo ouLelo Burti (qui signifie « balle au champ »). Ce jeu a été pratiqué en Géorgie dans les temps anciens et est encore occasionnellement joué dans les zones rurales. Un champ (lelo) est choisi entre deux ruisseaux, ce qui représente un terrain de jeu sur lequel deux équipes, généralement composées de la population masculine des villages voisins, s'affrontent. Le nombre de joueurs de chaque côté n'est pas fixé, mais comprend tous les hommes capables que chaque village pouvait convoquer. Un grand ballon lourd est placé au milieu du terrain et le but du jeu est de le faire passer par-dessus la rivière du camp adverse.
Les premières équipes sont apparues en 1959. Lafédération géorgienne de rugby à XV est fondée en 1964, mais jusqu'à la fin des années 1980, elle faisait partie de lafédération soviétique de rugby. Les liens entre la France et la Géorgie sont établis par le puissantParti communiste français de l'époque et de nombreuses autres organisations de gauche. Au départ, la Géorgie n'a pas d'équipe propre et ses meilleurs joueurs jouent pour l'équipe de l'URSS.
En 1988, la Géorgie crée sa premièreéquipe nationale à sept, alors qu'elle est encore une république soviétique.
En, la Géorgie s'associe à d'autres pays de laFIRA pour accueillir une tournée derugby à XV duZimbabwe. Le premier match du Zimbabwe dans le cadre de cette tournée est disputé contre la Géorgie àKutaisi, à l'ouest de Tbilissi ; la Géorgie remporte ainsi le premier match de son histoire sur le score de16 à 3. L'année suivante, la Géorgie se rend au Zimbabwe où elle dispute deux tests, perdant le premier àBulawayo et gagnant le second26-10 àHarare.
Le, la Géorgie déclare son indépendance de l'Union soviétique lors de ladislocation de l'URSS. La Géorgie est désormais une nation de rugby à XV, mais il n'est pas facile d'obtenir des matches : l'équipe de la Communauté des États indépendants, à laquelle la Géorgie n'a pas adhéré, est l'équipe qui succède à l'Union soviétique et joue des matches en 1992. Jusqu'à ce qu'elle devienne membre de lafédération mondiale de rugby (IRB) en 1992, la Géorgie n'a pu disputer que quelques matches contre l'Ukraine.
L'entraîneur françaisClaude Saurel arrive pour la première fois en Géorgie en 1997 avec pour mission d'évaluer le niveau du rugby à XV ; lui et son équipe de développement contribuent à donner un élan au sport. Saurel travaille ensuite avec l'équipe nationale de rugby à sept de Géorgie, jusqu'à ce qu'il soit nommé entraîneur national à l'été 1999.
La défaite de la Géorgie en 1998 contre laRoumanie l'oblige à disputer un barrage de repêchage en deux manches contre lesTonga pour se qualifier pour laCoupe du monde 1999. À cette occasion, la Géorgie perd le match aller 37-6 àNuku'alofa avant de s'imposer 28-27 à Tbilissi. Cela ne suffit pas et la Géorgie ne parvient pas à se qualifier pour la première fois à un Mondial.
Après le retrait de laFrance et de l'Italie — laquelle intègre leTournoi des Six Nations — duChampionnat européen des nations, la Géorgie devient un acteur majeur du tournoi. En 2000, la Géorgie termine deuxième de la compétition, derrière la Roumanie. Le rugby prend son essor dans le pays, les voyages et les possibilités de décrocher des contrats lucratifs dans les championnats français font du rugby une activité en vogue en Géorgie. La Géorgie se classe de nouveaudeuxième du tournoi en 2002. Lorsque la Géorgie joué contre laRussie, 65 000 spectateurs s'entassent dans le stade national de Tbilissi.
Les Géorgiens se font remarquer pour la première fois au rugby à sept en terminant à une honorable10e place lors de laCoupe du monde 2001 enArgentine.
En, la Géorgie affronte la Russie dans ce qui était à l'époque l'un des affrontements les plus importants entre les deux équipes nationales. La nation victorieuse est qualifiée pour laCoupe du monde de rugby à XV 2003, tandis que la perdante doit passer par une phase de repêchage. Aucune des deux nations n'a jusque là jamais participé à une Coupe du monde. 50 000 spectateurs se rendent pour cet événement au stade national[1]. Après plusieurs pénalités des deux côtés, la Russie puis la Géorgie marquent chacune un essai avant la mi-temps, qui se conclut sur le score de 14-13. La Géorgie tient bon et s'impose finalement 17-13, une victoire qui déclenche des célébrations dans toute la capitale[2].
Les rugbymen géorgiens se qualifient pour leur première Coupe du monde en2003, mais doivent concéder quatre lourdes défaites en autant de matchs. Il faut dire que leur poule est particulièrement relevée. Humiliés par le futur vainqueur de l'épreuve, l'Angleterre (6-84), les Géorgiens ne parviendront qu'à limiter les dégâts contre lesSamoa (9-46) et l'Afrique du Sud (19-46), match au cours duquel ils inscrivent leur premier essai dans une phase finale de Coupe du monde, œuvre du talonneurDavid Dadunashvili. La dernière rencontre, contre l'Uruguay, ne leur permet pas d'éviter la cuillère de bois du groupe (12-24).

Qualifiée pour le mondial 2007 en France en tant que deuxième du Championnat européen des nations 2005-2006, la Géorgie hérite encore d'un groupe pour le moins difficile avec laFrance (pays organisateur, l'un des favoris), l'Irlande, l'Argentine et laNamibie.
Après une défaite honorable lors de son premier match contre l'Argentine (3-33), lesLelos réalisent un véritable exploit en tenant tête à l'Irlande (défaite 10-14) et, par le biais d'une défaite de moins de huit points, obtiennent leur premier point dans un Mondial. Ce match reste, à la fin des années 2010, la meilleure performance des Géorgiens contre une nation duTier 1[3].
Onze jours plus tard, ils remportent leur premier succès contre les Namibiens (30-0) et s'imposent parmi les équipes respectables du continent européen. L'ultime défaite concédée contre le XV de France (7-64) n'est qu'anecdotique, mais reste pour les27 joueurs géorgiens évoluant dans l'Hexagone un souvenir impérissable.
En remportant 9 matchs sur 10, la Géorgie obtient son premier titre lors duChampionnat européen des nations 2006-2008 devant la Russie.
Après cette victoire, la Géorgie demeure invaincue dans ce tournoi de la « deuxième division du rugby européen », en remportant les éditions biannuelles2010-2012,2013-2014 et2014-2016, puis les éditions annuelles duChampionnat international d'Europe 2016-2017,2017-2018,2018-2019,2019-2020,2020-2021,2021-2022 et2022-2023.

Lors de laCoupe du monde 2011, la Géorgie joue dans le "groupe de la mort" avec l'Angleterre, l’Écosse, l'Argentine et la Roumanie. Lors de son premier match face à l'Écosse, la Géorgie se montre résistante et ne laisse aucune occasion au XV du Chardon de marquer un seul essai. Elle s'incline 15 à 6. Le deuxième match face aux Anglais est une défaite plutôt honorable (41-10) : menée seulement 10-17 à la pause, la Géorgie craque après la première mi-temps. S'imposant face à la Roumanie (25-9), les Géorgiens signent leur deuxième victoire en Coupe du monde. Finalement, c'est avec une défaite honorable contre l'Argentine sur le score de 25 à 7 que la Géorgie quitte la compétition, elle qui pourtant menait étonnamment 7 à 5 à la pause.
En2012, les Géorgiens remportent leChampionnat européen des nations de rugby à XV 2010-2012 avec neuf victoires pour une défaite. C'est leur troisième victoire consécutive dans cette compétition. En, ils jouent deux tests en Amérique du Nord, ils s'inclinent contre lesÉtats-Unis (36-20) et leCanada (31-12).
Le XV de Géorgie entame leChampionnat européen des nations de rugby à XV 2012-2014 par un match laborieux contre le promu belge et s'impose dans la douleur 17 à 13, après avoir été mené (10-3) à la pause. LesLelos sont moins en difficulté face au Portugal (25-12), en Russie (23-9) et surtout face à l'Espagne (61-18). Ils clôturent la phase aller par un match nul en Roumanie (9-9).
La Géorgie, à la suite d'une tournée d'automne très convaincante, montre qu'elle est une nation parfaitement respectable dans le rugby européen. LesLelos s'imposent 19 à 15 contre le Canada, ne s'inclinent que de deux points face aux États-Unis (23-25) et arrachent un succès contre les Samoa (16-15).
La Géorgie entame la phase retour duChampionnat européen des nations de rugby à XV 2012-2014 sur les chapeaux de roue face à une équipe de Belgique impuissante (35-0). Après deux autres larges victoires au Portugal (9-34) et contre la Russie (36-10), la Géorgie valide d'ores et déjà son billet pour laCoupe du monde de rugby à XV en Angleterre. Dans la foulée, lesLelos gagnent 24 à 17 en Espagne. Le, à la suite de la victoire au match de clôture contre la Roumanie (22-9), la Géorgie remporte leChampionnat européen des nations de rugby à XV pour la quatrième fois consécutive et obtient sa place dans le groupe C de la Coupe du monde, avec laNouvelle-Zélande, l'Argentine, lesTonga et le vainqueur de la zone Afrique.
En février et en, la Géorgie excelle encore et toujours dans la phase aller du Championnat européen des nations de rugby à XV. Elle s'offre cinq victoires en autant de matchs (64-8 en Allemagne, 20-15 contre le Portugal, 26-13 en Espagne, 33-0 contre la Russie, 15-6 en Roumanie).
En septembre et en, lesLelos participent à la phase finale de laCoupe du monde 2015 dans la poule C. Lors de son premier match, la Géorgie bat les Tonga (10-17), créant la première surprise de la compétition[4]. Elle rencontre ensuite l'Argentine, contre laquelle elle concède une large défaite (54-9), en dépit d'une belle résistance en première mi-temps (14-9). Le troisième match est un baptême du feu pour les Géorgiens, face à la légendaire équipe deNouvelle-Zélande. En toute logique, ils s'inclinent, mais sans vivre de véritable débâcle. La défaite 43 à 10 reste parfaitement honorable,Beka Tsiklauri inscrit un essai et le capitaineMamuka Gorgodze est désigné homme du match. La bonne impression donnée par l'équipe de Géorgie incite son sélectionneur à demander son entrée dans le Tournoi des Six Nations. Lors de son dernier match face à la modeste équipe deNamibie, la Géorgie se retrouve cependant mal en point. Elle ne parvient pas à inscrire de points en première période, elle est menée 6-0 à la mi-temps. La situation se débloque en seconde période avec deux essais. LesLelos s'imposent finalement par la plus petite des marges (16-17). Ce succès étriqué et peu glorieux n'empêche toutefois pas la Géorgie de se classer troisième de sa poule, synonyme de qualification directe pour laCoupe du monde de 2019[5].

Le remplacement de l'équipe d'Italie par l'équipe de Géorgie dans leTournoi des Six Nations est souvent évoqué, voire souhaité par les commentateurs sportifs, bien que les organisateurs du tournoi refusent cette éventualité. Il est en effet remarqué que les performances de la Géorgie enchampionnat d'Europe[b] sont louées, comparées aux résultats médiocres de laSquadra Azzurra[6],[7],[8].
La Géorgie aborde laCoupe du monde 2019 en confiance, elle vient de gagner trois des quatreChampionnat européen des nations et possède un effectif qui mêle jeunesse (Abzhandadze,Kveseladze) et expérience (Mamukashvili,Chilachava,Bregvadze). La fédération géorgienne à pour ambition de reproduire la même performance que de2015 en terminant troisième de la poule. Cependant la Géorgie hérite d'unepoule relevée composée de l'Australie, du pays de Galles, des Fidji et de l'Uruguay. Le 23 septembre, lesLelos commencent la compétition en affrontant le pays de Galles avec un 43-14 pour les Britanniques. Six jours plus tard, c'est une Uruguay[9] qui affronte les Géorgiens, quatre jours après que les Sud-américains ont créé l'exploit en battant les Fidjiens 30-27. Score final pour lesLelos 33-7. La Géorgie rencontre ensuite les Fidji, leur rival pour la troisième place synonyme de qualification automatique pour2023 lors d'un match 10-45 pour les îliens où on verra les 3/4 géorgiens[10]. La Géorgie finit par une défaite honorable 27-8 face à des Australiens déjà qualifiés. Le bilan est décevant pour les Géorgiens. L'équipe termine quatrième derrière les Fidji et devra passer par la case qualification pour 2023. Pendant cette Coupe, la Géorgie a montré des progrès mais manque encore d'organisation au point de vue offensif, de qualité individuelle et collectif pour les trois-quarts et craque souvent à l'heure de jeu au niveau physique[11].[réf. nécessaire]
Pour cette année post coupe du monde. La Géorgie doit faire face à deux changements : Milton Haig est parti après un bilan positif et son adjoint Levan Maisashvili l'a remplacé, l'effectif doit se renouveler après la retraite de nombreux cadres (Mamukashvili,Begadze,Malaguradze). Le 1er février, la Géorgie affronte son rival roumain dans le cadre duChampionnat européen des nations 2020, conclu par un 41-13 pour lesLelos. Puis un 10-23 pour chez les Espagnols, une large victoire 78-6 contre les Belges et un 24-39 contre le Portugal. Bien que lesLelos soient en bonne voie pour remporter la compétition, cette dernière est interrompue par laPandémie de Covid-19[3],[12]. En octobre la fédération géorgienne reçoit une invitation à participer à laCoupe d'automne des nations, rassemblant les six équipes du Tournoi des Six Nations, les Fidji, et donc la Géorgie. Cette dernière se retrouve dans la poule des Anglais, Irlandais et Gallois. Les Géorgiens terminent dernier de la compétition, après un match de classement concédé contre les Fidji[13].[réf. nécessaire]

En juillet 2022, àdomicile, les « Lelos » remporte leur première victoire contre une nation duTier 1, l'Italie[14].
Lors de laTournée d'automne (en), l'équipe de Géorgie réalise sa meilleure performance de son histoire en allant s'imposer àCardiff contre lasélection du Pays de Galles[15].
En cinq participations à la phase finale de la Coupe du monde, la Géorgie a remporté cinq victoires :
Résultats de la Géorgie :
| Adversaire | Matchs | Victoires | Nuls | Défaites | Pts marqués | Pts encaissés | % victoires |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | 0 | 0 | 1 | 19 | 46 | 0,0 % | |
| 6 | 6 | 0 | 0 | 302 | 32 | 100,0 % | |
| 2 | 0 | 0 | 2 | 16 | 125 | 0,0 % | |
| 4 | 0 | 0 | 4 | 37 | 141 | 0,0 % | |
| 3 | 3 | 0 | 0 | 83 | 19 | 100,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 70 | 8 | 100,0 % | |
| 5 | 2 | 0 | 3 | 78 | 119 | 40,0 % | |
| 2 | 1 | 0 | 1 | 53 | 36 | 50,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 29 | 15 | 100,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 19 | 8 | 100,0 % | |
| 2 | 0 | 0 | 2 | 22 | 58 | 0,0 % | |
| 17 | 13 | 1 | 3 | 547 | 260 | 79,4 % | |
| 4 | 1 | 0 | 3 | 75 | 109 | 25,0 % | |
| 2 | 1 | 0 | 1 | 33 | 27 | 50,0 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | 7 | 64 | 0,0 % | |
| 4 | 0 | 0 | 4 | 31 | 196 | 0,0 % | |
| 2 | 0 | 0 | 2 | 29 | 82 | 0,0 % | |
| 5 | 1 | 0 | 4 | 96 | 122 | 20,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 17 | 5 | 100,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 28 | 3 | 100,0 % | |
| 1 | 0 | 1 | 0 | 10 | 10 | 50,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 20 | 10 | 100,0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 47 | 5 | 100,0 % | |
| 5 | 4 | 0 | 1 | 112 | 73 | 80,0 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | 10 | 43 | 0,0 % | |
| 4 | 3 | 0 | 1 | 164 | 64 | 75,0 % | |
| 2 | 0 | 0 | 2 | 29 | 52 | 0,0 % | |
| 20 | 14 | 2 | 4 | 469 | 268 | 75,0 % | |
| 8 | 8 | 0 | 0 | 310 | 58 | 100,0 % | |
| 20 | 11 | 1 | 8 | 385 | 348 | 57,5 % | |
| 20 | 18 | 1 | 1 | 500 | 231 | 92,5 % | |
| 4 | 2 | 1 | 1 | 64 | 96 | 62,5 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 22 | 21 | 100,0 % | |
| 5 | 3 | 0 | 2 | 83 | 117 | 60,0 % | |
| 9 | 9 | 0 | 0 | 281 | 66 | 100,0 % | |
| 5 | 3 | 0 | 2 | 85 | 72 | 60,0 % | |
| 3 | 2 | 0 | 1 | 58 | 35 | 66,7 % | |
| Totaux | 175 | 113 | 7 | 55 | 4 240 | 3 041 | 66,6 % |
Le,Levan Maisashvili dévoile son groupe de 33 sélectionnés pour laCoupe du monde[18].
Le,Otar Giorgadze est convoqué pour remplacerBeka Gorgadze blessé[19]. Plus tard le même jour,Luka Japaridze est lui aussi forfait, il est remplacé parIrakli Aptsiauri[20].
Le, trois joueurs déclarent eux aussi forfait,Lasha Jaiani,Mirian Modebadze etTengiz Zamtaradze, ils sont respectivement remplacés parMikheil Babunashvili,Otar Lashkhi etVano Karkadze[21].
| Nom | Naissance | Sélections | Club | Année de |
|---|---|---|---|---|
| Demis de mêlée | ||||
| Gela Aprasidze | (27 ans) | 53 (26) | 2017 | |
| Vasil Lobzhanidze | (29 ans) | 76 (73) | 2015 | |
| Tengiz Peranidze | (27 ans) | 4 (5) | 2022 | |
| Demis d'ouverture | ||||
| Tedo Abzhandadze | (26 ans) | 56 (325) | 2018 | |
| Luka Matkava | (24 ans) | 26 (165) | 2022 | |
| Centres | ||||
| Tornike Kakhoidze | (22 ans) | 9 (0) | 2022 | |
| Giorgi Kveseladze | (28 ans) | 62 (40) | 2017 | |
| Merab Sharikadze | (32 ans) | 122 (130) | 2012 | |
| Demur Tapladze | (25 ans) | 43 (20) | 2020 | |
| Ailiers | ||||
| Otar Lashkhi | (25 ans) | 2 (5) | 2023 | |
| Akaki Tabutsadze | (28 ans) | 45 (205) | 2020 | |
| Alexander Todua | (38 ans) | 112 (100) | 2008 | |
| Arrières | ||||
| Lasha Khmaladze | (37 ans) | 2008 | ||
| Davit Niniashvili | (23 ans) | 34 (63) | 2020 | |
La plupart des internationaux géorgiens évoluent dans les différents championnats français.
| Entraîneur | Période d’activité |
|---|---|
| David Kilasonia | 1989-1990 |
| Temur Bendiashvili | 1991-1993 |
| Guram Modebadze | 1994-1996 |
| 1997 | |
| 1997-2003 | |
| Malkhaz Cheishvili | 2004-2007 |
| 2008-2009 | |
| 2010-2011 | |
| 2012-2019 | |
| Levan Maisashvili | 2020-2023 |
| 2024- |
Le Néo-zélandais Ross Meurant est le premier entraîneur étranger de la selection géorgienne[22].
L'entraîneur françaisClaude Saurel développe le rugby en Géorgie et parvient en quelques années à qualifier la Géorgie à sa première coupe du monde en2003[23].
Le Géorgien Malkhaz Cheishvili prend sa succession[24].
L'AustralienTim Lane entraine également avant d'être remplacé par l'écossais Richie Dixon[25].
Le Néo-zélandais Milton Haig entraîne la Géorgie pendant sept ans avant de passer la main à son adjoint géorgien Levan Maisashvili[26].
L'AnglaisRichard Cockerill est l'actuel entraîneur depuis 2024[27].

Les sections suivantes ne présentent pas de référence exhaustive et peuvent donc contenir untravail inédit ou des déclarationsnon vérifiées().
Records de sélections
| # | Joueur | Poste | Période | Matchs | Titulaire | Remplaçant | Victoire | Défaite | Nul | % |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Davit Kacharava[28] | Centre | 2006–2020 | 122 | 104 | 18 | 79 | 40 | 3 | 65.98 |
| 2 | Merab Kvirikashvili | Arrière | 2003–2018 | 115 | 94 | 21 | 72 | 40 | 3 | 63.91 |
| 3 | Alexander Todua | Ailier | 2008– | 114 | 101 | 13 | 72 | 39 | 3 | 61.82 |
| 4 | Shalva Mamukashvili | Talonneur | 2011-2023 | 103 | 64 | 39 | 65 | 35 | 3 | 64.45 |
| Merab Sharikadze | Centre | 2012-2024 | 101 | 2 | 65 | 33 | 5 | 62.82 | ||
| 6 | Giorgi Chkhaidze | Troisième ligne | 2002–2017 | 100 | 78 | 22 | 65 | 32 | 3 | 66.50 |
| Lasha Malaguradze | Demi d'ouverture | 2008–2023 | 52 | 48 | 68 | 30 | 2 | 68.68 | ||
| 8 | Lasha Khmaladze | Centre | 2008-2023 | 97 | 73 | 24 | 63 | 30 | 3 | 66.66 |
| 9 | Giorgi Nemsadze | Deuxième ligne | 2005–2019 | 95 | 71 | 24 | 62 | 32 | 1 | 65.78 |
| 10 | Konstantin Mikautadze | Deuxième ligne | 2010-2023 | 88 | 77 | 11 | 47 | 38 | 3 | 62.94 |
Records d'essais
| # | Joueur | Poste | Période | Matchs | Titulaire | Remplaçant | Points | Essais |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Akaki Tabutsadze | Ailier | 2020– | 43 | 43 | 0 | 195 | 39 |
| 2 | Mamuka Gorgodze | Troisième ligne | 2003–2019 | 75 | 69 | 6 | 135 | 27 |
| 3 | Davit Kacharava | Centre | 2006–2020 | 122 | 104 | 18 | 125 | 25 |
| 4 | Irakli Machkhaneli | Ailier | 2002–2014 | 73 | 68 | 5 | 115 | 23 |
| Tedo Zibzibadze | Centre | 2000–2014 | 77 | 65 | 12 | 115 | ||
| 6 | Merab Sharikadze | Centre | 2012-2024 | 103 | 101 | 2 | 95 | 19 |
| 7 | Alexander Todua | Ailier | 2008– | 114 | 101 | 13 | 90 | 18 |
| 8 | Merab Kvirikashvili | Arrière | 2003–2018 | 115 | 94 | 21 | 840 | 17 |
| Malkhaz Urjukashvili | Ailier | 1997–2011 | 70 | 66 | 4 | 320 | ||
| 10 | Bessik Khamashuridze | Arrière | 1998–2011 | 61 | 51 | 10 | 75 | 15 |
| Giorgi Nemsadze | Deuxième ligne | 2005–2019 | 95 | 71 | 24 | 75 |
Records de points
| # | Joueur | Poste | Période | Matchs | Points | Essais | Transformations | Pénalités | Drops |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Merab Kvirikashvili | Arrière | 2003–2018 | 115 | 840 | 17 | 148 | 150 | 3 |
| 2 | Tedo Abzhandadze | Demi d'ouverture | 2018– | 54 | 334 | 6 | 77 | 50 | 0 |
| 3 | Pavle Jimsheladze | Demi d'ouverture | 1995–2007 | 57 | 320 | 9 | 61 | 48 | 3 |
| Malkhaz Urjukashvili | Ailier | 1997–2011 | 70 | 17 | 47 | 46 | 1 | ||
| 5 | Akaki Tabutsadze | Ailier | 2020- | 43 | 195 | 39 | 0 | 0 | 0 |
| 6 | Lasha Malaguradze | Demi d'ouverture | 2008–2020 | 99 | 190 | 6 | 38 | 25 | 3 |
| 7 | Soso Matiashvili | Arrière | 2017–2021 | 32 | 159 | 8 | 25 | 23 | 0 |
| 8 | Luka Matkava | Demi d'ouverture | 2022- | 22 | 145 | 2 | 39 | 19 | 0 |
| 9 | Mamuka Gorgodze | Troisième ligne | 2003–2019 | 75 | 135 | 27 | 0 | 0 | 0 |
| 10 | Davit Kacharava | Centre | 2006–2020 | 122 | 125 | 25 | 0 | 0 | 0 |
Records de matchs en tant que capitaine
| # | Joueur | Poste | Période | Matchs | Victoire | Défaite | Nul | % | Points | Essais |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Merab Sharikadze | Centre | 2014–2024 | 52 | 32 | 17 | 3 | 57.14 | 50 | 10 |
| 2 | Irakli Abuseridze | Demi de mêlée | 2007–2012 | 36 | 25 | 10 | 1 | 70.83 | 15 | 3 |
| 3 | Ilia Zedguinidze | Deuxième ligne | 2002–2011 | 35 | 19 | 14 | 2 | 57.14 | 30 | 6 |
| 4 | Irakli Machkhaneli | Ailier | 2013–2014 | 14 | 10 | 3 | 1 | 75.00 | 10 | 2 |
| Shalva Sutiashvili | Troisième ligne | 2014–2016 | 14 | 13 | 0 | 1 | 96.42 | 5 | 1 | |
| 6 | Mamuka Gorgodze | Troisième ligne | 2013–2017 | 13 | 5 | 8 | 0 | 38.46 | 10 | 2 |
| 7 | Zurab Mtchedlishvili | Deuxième ligne | 1997–2007 | 12 | 7 | 5 | 0 | 58.33 | 10 | 2 |
| Levan Tsabadze | Pilier | 2001–2002 | 12 | 9 | 2 | 1 | 79.16 | 15 | 3 | |
| 9 | Giorgi Nemsadze | Deuxième ligne | 2018–2019 | 11 | 9 | 2 | 0 | 81.81 | 0 | 0 |
| Dimitri Oboladze | Troisième ligne | 1993–1998 | 11 | 6 | 4 | 1 | 59.09 | 5 | 1 |
Records de points dans un match
| # | Joueur | Poste | Points | Essais | Transformations | Pénalités | Drops | Adversaire | Lieu | Date |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Soso Matiashvili | Arrière | 34 | 2 | 6 | 4 | 0 | 11/10/2017 | ||
| 2 | Merab Kvirikashvili | Arrière | 32 | 2 | 11 | 0 | 0 | 06/02/2010 | ||
| 3 | Luka Matkava | Demi d'ouverture | 25 | 1 | 10 | 0 | 0 | 05/02/2023 | ||
| 4 | Merab Kvirikashvili | Arrière | 24 | 1 | 2 | 5 | 0 | 08/02/2014 | ||
| 5 | Pavle Jimsheladze | Demi d'ouverture | 23 | 1 | 0 | 6 | 0 | 09/03/2003 | ||
| Merab Kvirikashvili | Demi d'ouverture | 23 | 1 | 9 | 0 | 0 | 07/04/2007 | |||
| 7 | Merab Kvirikashvili | Demi d'ouverture | 22 | 1 | 1 | 5 | 0 | 17/11/2012 | ||
| 8 | Malkhaz Urjukashvili | Demi d'ouverture | 20 | 0 | 7 | 2 | 0 | 12/06/2005 | ||
| Lasha Malaguradze | Demi d'ouverture | 20 | 1 | 6 | 1 | 0 | 28/02/2009 | |||
| Akaki Tabutsadze | Ailier | 20 | 4 | 0 | 0 | 0 | 22/02/2020 | |||
| Tedo Abzhandadze | Demi d'ouverture | 20 | 2 | 2 | 2 | 0 | 10/07/2022 |
Records d'essais dans un match
| # | Joueur | Poste | Points | Essais | Transformations | Pénalités | Drops | Adversaire | Lieu | Date |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Akaki Tabutsadze | Ailier | 20 | 4 | 0 | 0 | 0 | 22/02/2020 | ||
| 2 | Pavle Jimsheladze | Ailier | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 23/03/1995 | ||
| Archil Kavtarahvili | Ailier | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 23/03/1995 | |||
| Mamuka Gorgodze | Troisième ligne centre | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 12/06/2005 | |||
| David Dadunashvili | Talonneur | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 07/04/2007 | |||
| Malkhaz Urjukashvili | Centre | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 07/04/2007 | |||
| Mamuka Gorgodze | Troisième ligne centre | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 26/04/2008 | |||
| Zurab Zhvania | Talonneur | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 07/02/2015 | |||
| Giorgi Kveseladze | Centre | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 17/02/2018 | |||
| Davit Niniashvili | Arrière | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 26/06/2021 | |||
| Otar Giorgadze | Troisième ligne | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 12/02/2022 | |||
| Beka Gorgadze | Troisième ligne | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 06/11/2022 | |||
| Aka Tabutsadze | Ailier | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 05/02/2023 | |||
| Giorgi Tsutskiridze | Troisième ligne | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 05/02/2023 | |||
| Aka Tabutsadze | Ailier | 15 | 3 | 0 | 0 | 0 | 02/03/2024 |
| Fédération nationale | |
|---|---|
| Franchise | |
| Compétitions | |
| Trophées | Coupe Antim |
Équipe de Géorgie par sport | |
|---|---|