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Émile Loubet

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Émile Loubet
Illustration.
Portrait officiel du président Émile Loubet.
Fonctions
Président de la République française

(7 ans)
Élection18 février 1899
Président du ConseilCharles Dupuy
Pierre Waldeck-Rousseau
Émile Combes
Maurice Rouvier
PrédécesseurFélix Faure
SuccesseurArmand Fallières
Président duSénat

(3 ans, 1 mois et 2 jours)
PrédécesseurPaul Challemel-Lacour
SuccesseurArmand Fallières
Sénateur français

(14 ans et 24 jours)
Élection25 janvier 1885
Réélection7 janvier 1894
CirconscriptionDrôme
SuccesseurLouis Bizarelli
Maire de Montélimar

(21 ans, 1 mois et 15 jours)
PrédécesseurAlfred Messié
SuccesseurPaul Gauthier

(6 ans, 10 mois et 10 jours)
PrédécesseurCharles-François-Justin Josserand
SuccesseurAlfred Messié
Ministre de l'Intérieur

(10 mois et 15 jours)
PrésidentSadi Carnot
Président du ConseilLui-même
Alexandre Ribot
GouvernementLoubet
Ribot I
PrédécesseurErnest Constans
SuccesseurAlexandre Ribot
Président du Conseil des ministres

(9 mois et 9 jours)
PrésidentSadi Carnot
GouvernementLoubet
LégislatureVe(Troisième République)
PrédécesseurCharles de Freycinet
SuccesseurAlexandre Ribot
Ministre des Travaux publics

(3 mois et 22 jours)
PrésidentSadi Carnot
Président du ConseilPierre Tirard
GouvernementTirard I
PrédécesseurSeveriano de Heredia
SuccesseurPierre Deluns-Montaud
Député français

(8 ans, 10 mois et 16 jours)
Élection20 février 1876
Réélection14 octobre 1877
21 août 1881
CirconscriptionDrôme
LégislatureIre,IIe etIIIe(Troisième République)
Groupe politiqueUnion républicaine
PrédécesseurCirconscription créée
SuccesseurCirconscription supprimée
Biographie
Nom de naissanceÉmile François Loubet
Date de naissance
Lieu de naissanceMarsanne (Drôme)
Date de décès (à 90 ans)
Lieu de décèsMontélimar (Drôme)
SépultureCimetière Saint-Lazare,Montélimar
NationalitéFrançaise
Parti politiqueARD
Conjoint
Diplômé deFaculté de droit de l'université de Paris
ProfessionAvocat
ReligionCatholicisme

Image illustrative de l’article Émile LoubetImage illustrative de l’article Émile Loubet
Maires de Montélimar
Présidents de la République française
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Émile Loubet, né le àMarsanne (Drôme)[1] et mort le àMontélimar (dans le même département), est unhomme d'Étatfrançais. Il estprésident de la République française du au.

Avocat de profession, il est éludéputé de laDrôme en 1876. Après avoir étéministre des Travaux publics, il estprésident du Conseil de à. Il est en parallèle ministre de l'Intérieur, fonction qu'il conserve dans lepremier gouvernement Ribot. En 1896, il accède à laprésidence du Sénat.

En 1899, seul candidat en lice, il est éluprésident de la République après la mort soudaine deFélix Faure. Son mandat est notamment marqué par la fin de l'affaire Dreyfus, par l’affaire des fiches, et par le vote de laloi de séparation des Églises et de l'État à l'initiative d’Aristide Briand. À l'issue de sonseptennat, il se retire de la vie politique dans laDrôme.

Biographie

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Famille et jeunesse

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Né le[Note 1], Émile François Loubet est le fils cadet d'Augustin Loubet (1808-1882) et de Marie-Marguerite Nicolet (1812-1905), d'une famille de cultivateurs et d'édiles de la Drôme. Le père du futur président est maire deMarsanne pendant26 ans[2].

Il a un frère aîné, Joseph-Auguste (1837-1916), médecin, et une sœur, Félicie (morte en 1892). En 1851, il est élève du collège catholique deCrest. Les 5 et 6 décembre, il assiste des fenêtres de sa pension aux combats entre l’armée et les insurgés contestant lecoup d’État du 2 décembre 1851[3].

Le, à Montélimar, il épouseMarie-Louise Picard (1843-1925) qui lui donnera quatre enfants : Marguerite, Denis, Paul[4] et Philibert-Émile. Seule la postérité de Marguerite, les Soubeyran de Saint-Prix, subsiste.

Émile Loubet n'est ni issu de la grande bourgeoisie ni des couches défavorisées de la population. Les revenus de l'exploitation agricole familiale permettent aux deux garçons d'aller étudier d'abord àValence puis àParis. Alors que son frère s'inscrit à la faculté de médecine, Émile y étudie ledroit jusqu'à obtenir le son doctorat. Il s'inscrit au barreau de Montélimar en[5].

Débuts en politique et années au Parlement

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Républicain modéré, il fait la connaissance deLéon Gambetta pendant ses études dedroit. Il entre en politique en intégrant le conseil municipal deGrignan en décembre1868[6].

Après avoir été élu conseiller général deMontélimar le puis maire le (mandat qu'il garde jusqu'à son élection de Président de la République)[5], il est élu député de laDrôme le1876. Il siège à gauche de l'hémicycle de laChambre des députés à partir du[6].

Le, il fait partie des 363 députés qui votent la défiance au gouvernement d'ordre moral duduc de Broglie[5]. La Chambre est alors dissoute par le président de la République,le maréchal de Mac Mahon. Loubet, comme ses confrères, est sanctionné et perd (momentanément) sa charge de maire. Il demeure député jusqu’en, date à laquelle il est élu sénateur de la Drôme[6].

Émile Loubet fait la plus grande part de sa longue carrière politique auSénat. Il y est élu en et devient rapidement un acteur majeur de la gauche républicaine. À la Chambre haute, il s’inscrit au groupe de lagauche républicaine. Élu secrétaire en, il est rapporteur général du budget, à la commission des finances, lorsque, dans le premier ministère constitué après l’élection du président de la RépubliqueSadi Carnot, dans le cabinet dePierre Tirard, il est chargé du portefeuille des Travaux publics.

Il est de retour aupalais du Luxembourg en. Après avoir été un peu moins d’un an président du Conseil et ministre de l’Intérieur, Émile Loubet reprend son siège au Sénat et redevient président de la commission des Finances.

Le, Émile Loubet devient le président duSénat après la démission dePaul-Amand Challemel-Lacour. À ce titre, c'est lui qui annonce le la mort du présidentFélix Faure.

Ministre et président du Conseil

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Il est appelé par le président Carnot à laprésidence du Conseil, responsabilité qu’il exerce de à. Reconduit comme ministre de l’Intérieur dans le cabinetRibot, lescandale de Panama dont il a tenté de freiner l'enquête en faisant pression sur le procureur général[7], conduit à son remplacement en.

Président de la République

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Article détaillé :Présidence d'Émile Loubet.
Portrait du président Émile Loubet.

Élection

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Article détaillé :Élection présidentielle française de 1899.

La mort subite deFélix Faure conduit à l’organisation d'une élection présidentielle anticipée opposant le camp des antidreyfusards aux dreyfusards[réf. nécessaire]. Jusqu'ici, Félix Faure aurait appuyé les adversaires de la révision du procès deDreyfus. Deux candidats se dégagent rapidement : Émile Loubet etJules Méline, ce dernier étant antidreyfusard (il a notamment déclaré en 1897 qu’« il n'y a[vait] pas d'affaire Dreyfus »).

Loubet, qui n’a jamais exprimé d’avis sur l’affaire, s'impose comme le favori, alors qu’il a déjà été pressenti pour succéder àSadi Carnot en 1894. Sa non-compromission avec les antidreyfusards en fait le candidat des dreyfusards, notamment deGeorges Clemenceau. De nombreux républicains sont en outre hostiles à un candidat issu des rangsradicaux.

En apprenant la candidature du président du Sénat, Jules Méline retire la sienne. Émile Loubet est élu président de la République par le Congrès réuni à Versailles le, par 483 voix (soit 59,48 %), contre notamment 279 à Jules Méline (qui, malgré le retrait de sa candidature, obtient donc des voix).

L'élection a deux répercussions immédiates :Paul Déroulèdetente sans succès de faire un coup d'État pour renverser laTroisième République et Loubet est agressé à coups de canne par lebaron Christiani à la tribune de l'hippodrome d'Auteuil. Le baron est écroué et condamné à quatre ans de prison ferme[8].

Politique intérieure

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Banquet des maires de France dans le jardin des Tuileries en 1900.

Dans un contexte d'oppositions virulentes à la République (de la part des nationalistes et des royalistes) et de polémiques antireligieuses (de la part des radicaux et des socialistes), Émile Loubet tente l'apaisement en s'en tenant à ses pouvoirs constitutionnels limités. La présidence Loubet est l'une des plus stables de la Troisième République, avec seulement quatre présidents du Conseil nommés en sept ans :Charles Dupuy,Pierre Waldeck-Rousseau,Émile Combes etMaurice Rouvier.

Du point de vue des prérogatives présidentielles, le septennat d'Émile Loubet se passe dans le strict respect de la tradition de la Troisième République. Le président a un rôle de représentation officielle. Son autorité, réduite au minimum, ne s'exerce sur la politique intérieure de l'État que par influence, par persuasion et par conseil.

Le septennat d'Émile Loubet est le théâtre de décisions marquantes dans l'histoire de la République française : grâce du capitaineDreyfus, promulgation de laloi sur les associations et, surtout, de laloi du 9 sur laséparation des Églises et de l'État, définissant le cadre général de lalaïcité en France et imposée au Président par la majorité radicale et socialiste.

L’affaire des fiches, une importante opération de fichage réalisée dans un contexte d’accusations d'anti-républicanisme portées par la gauche à l'encontre des officiers, conduit en à la démission du ministre de la Guerre, legénéral André, puis à la chute dugouvernement Combes deux mois plus tard.

À l'occasion de l'exposition universelle de 1900 organisée àParis, Émile Loubet convie l'ensemble desmaires de France àun banquet de 22 965 convives dans lejardin des Tuileries. Ce banquet est l'occasion de la manifestation d'un large soutien des élus locaux à la République.

Politique étrangère

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Carte postale pour la venue de Nicolas II en 1901.

C'est dans le cadre de la politique étrangère que le président Loubet est le plus impliqué. Il conseille le gouvernement et oriente, dans ses grandes lignes, cette politique.

Son septennat est aussi marqué par une intense activité diplomatique avec d'une part l'alliance franco-russe — il reçoitNicolas II en, avec lesfameuses manœuvres deBétheny, et se rend en visite officielle enRussie en1902 — et d'autre part leRoyaume-Uni.

Toulon, visite du président Émile Loubet aux escadres française et italienne en
Félix Ziem, 1901
musée national de la Marine,Toulon.

Loubet améliore aussi les rapports tendus avec l'Italie, avec laquelle il signe en 1900 un accord reconnaissant les intérêts italiens enLibye en échange de la reconnaissance duprotectorat français sur leMaroc. En 1901, il reçoit la plus haute décoration italienne, l'ordre de l'Annonciade. En 1904, à la suite de la visite du roiVictor-Emmanuel III àParis, il effectue une visite d’État àRome : il s’agit de la première visite officielle en Italie d'un chef d’État catholique sans se rendre en premier au Vatican. En outre, cela revient à reconnaître Rome comme capitale de l’Italie, ce qui conduit le papePie X à émettre des critiques sur sa venue. Cette visite joue un rôle dans la rupture des relations diplomatiques entre la France et le Saint-Siège quelques mois plus tard.

Le, il échappe à unattentat visant le roi d'EspagneAlphonse XIII, en visite à Paris[9]. Deux bombes à main sont lancées sur le cortège à l'angle de larue de Rohan et larue de Rivoli. Dix-sept personnes sont blessés, mais l'auteur ne fut jamais identifié[10].

Fin du mandat

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Émile Loubet aux côtés de ses successeursPaul Deschanel,Raymond Poincaré etArmand Fallières ().

À la fin de sonseptennat, en 1906, il est le premier président de laIIIe République à quitter l'Élysée après avoir accompli un mandat complet (avant lui,Jules Grévy a déjà terminé un premier septennat mais, réélu, il n'a pas été au bout du second, devant démissionner à la suite duscandale des décorations).

Retraite et mort

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Émile Loubet se retire ensuite de la vie politique.

Le, il meurt à 90 ans et 11 mois. Il reste le président français ayant vécu le plus longtemps jusqu’en 2017, lorsqu’il est dépassé parValéry Giscard d'Estaing. Il est aussi le deuxième président à avoir survécu le plus longtemps après la fin de son mandat, là aussi derrière Valéry Giscard d'Estaing.

Suivant le vœu qu'il a exprimé, ses enfants refusent desobsèques nationales. Il est enterré aucimetière Saint-Lazare de Montélimar[11].

Détail des mandats et fonctions

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À la présidence de la République

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Au gouvernement

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  • - : ministre des Travaux Publics dans legouvernement Tirard
  • - : président du Conseil, ministre de l'Intérieur
  • - : ministre de l'Intérieur dugouvernement Ribot

Au Parlement

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Au niveau local

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Hommages et postérité

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Décorations

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Hommages posthumes

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L'association Émile-Loubet promeut la mémoire d'Émile Loubet et le patrimoine qui lui est lié[12].

Un ouvrage est publié par l'association Émile LoubetJournal Intime de la Présidence de la République - Emile Loubet - 1899/1906 préfacé parGérard Larcher à l'occasion des 120 ans de l'Entente cordiale[13]. Cet ouvrage retrace au quotidien les activités du Président de la République au travers de la vision de sonSecrétaire général de l'Élysée,Abel Combarieu.

Archives

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Les papiers personnels d'Émile Loubet sont conservés auxArchives nationales sous la cote 473AP (« Répertoire des Archives nationales », sursiv.archives-nationales.culture.gouv.fr(consulté le).

Notes et références

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Notes

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  1. Archives municipales de Marsanne, 1829-1889, 1838, acteno 39 :« L'an mil huit cent trente huit et le trente et un décembre à neuf heures du matin, pardevant nous, Henri-Xavier Jarias, adjoint remplissant par délégation de Monsieur le Maire les fonctions d'officier de l'état civil de la commune de Marsanne, chef-lieu de canton, département de la Drôme, est comparu Sieur Antoine Augustin Loubet, âgé de trente ans, propriétaire habitant au territoire de Marsanne ; Lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né le trente de ce mois à cinq heures du soir, de lui déclarant et de Marie Marguerite Nicolet, son épouse, et auquel il a déclaré vouloir donner les prénoms de Emile François ; la dite déclaration et présentation faites en présence des Sieurs Joseph Jacques Laville âgé de quarante deux ans, notaire et Joseph Ollivier, âgé de trente-sept ans, propriétaire domiciliés l'un et l'autre à Marsanne et ont les témoins signé avec nous et le déclarant le présent acte de naissance après que lecture leu en a été faite.Signé : J. Ollivier, Laville, not., Loubet, Jarias adjoint ».

Références

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  1. « Acte de naissance n°39 p 103/666 », surarchives.ladrome.fr(consulté le)
  2. Cornillet 2008,p. 28.
  3. Robert Serre,1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface deMaurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003.(ISBN 2-912779-08-1 et2-907655-42-6),p. 163.
  4. "LOUBET Paul Auguste", Dictionnaire historique, généalogique et biographique (1807-1947),Cour des comptes (consulté le 11 août 2022).
  5. ab etcCornillet 2008,p. 33.
  6. ab etcCornillet 2008,p. 24.
  7. Jean-YvesMollier,Le scandale de Panama, Paris,Fayard,coll. « Nouvelles études historiques »,, 564 p.(ISBN 2-213-02674-2), ?.
  8. Pierre Accoce 1999,p. 138
  9. « Carte du théâtre de l'attentat »,Le Petit Parisien, Paris,‎(ISSN 0999-2707,lire en ligne surGallica)
  10. PierreAccoce,Ces assassins qui ont voulu changer l'Histoire, Paris,Plon,, 362 p.(ISBN 978-2-259-24036-9,OCLC 1049952145,lire en ligne),p. 150.
  11. « MONTÉLIMAR (26) : cimetière Saint-Lazare »,Landrucimetières
  12. « Montélimar. L’association Émile Loubet veut commémorer la loi de 1905 »Accès payant,Le Dauphiné Libéré,(consulté le)
  13. « Un livre raconte la présidence d’Émile Loubet : « Pour entrer dans les coulisses de la diplomatie de l’époque » »Accès libre, surLe Dauphiné Libéré,(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
IIe République
IIIe République
IVe République
Ve République
v ·m
IIIe République
(1870-1940)


IVe République
(1946-1958)
Ve République
(depuis1958)
Sous laIVe République, le Sénat est remplacé par le Conseil de la République.
v ·m
Présidence de
Adolphe Thiers
Patrice de Mac Mahon
Jules Grévy
Sadi Carnot
Jean Casimir-Perier
Félix Faure
Émile Loubet
Armand Fallières
Raymond Poincaré
Paul Deschanel
Alexandre Millerand
Gaston Doumergue
Paul Doumer
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v ·m
GouvernementsRibot I etII (6 décembre 1892 - 30 mars 1893)
Sous la présidence deSadi Carnot
Affaires étrangères


Alexandre Ribot
Président du Conseil
Justice
Intérieur
Guerre
Marine etColonies
Finances
Instruction publique, Beaux-Arts et CultesCharles Dupuy
Commerce, Industrie etColoniesJules Siegfried
Agriculture
Travaux publicsJules Viette
Liste des sous-secrétaires d’État
(← LOUBET) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DUPUY I →)
v ·m
Gouvernement Loubet(27 février 1892 - 28 novembre 1892)
Sous la présidence deSadi Carnot
IntérieurÉmile LoubetÉmile Loubet
Émile Loubet
Président du Conseil
Affaires étrangèresAlexandre Ribot
Justice et CultesLouis Ricard
GuerreCharles de Freycinet
Marine etColonies
FinancesMaurice Rouvier
Instruction publique et Beaux-ArtsLéon Bourgeois
AgricultureJules Develle
Commerce, Industrie etColoniesJules Roche
Travaux publicsJules Viette
Liste des sous-secrétaires d’État
(← FREYCINET IV) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (RIBOT I →)
v ·m
Gouvernement Tirard I (11 décembre 1887 - 30 mars 1888)
Sous laprésidence de Sadi Carnot
FinancesPierre Tirard


Pierre Tirard
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JusticeArmand Fallières
Affaires étrangèresÉmile Flourens
GuerreFrançois Auguste Logerot
Marine etColonies
IntérieurFerdinand Sarrien
Instruction publique et Beaux-ArtsLéopold Faye
AgricultureJules Viette
Commerce et IndustrieLucien Dautresme
Travaux publicsÉmile Loubet
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(← ROUVIER I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (FLOQUET →)
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