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Élisabeth de Grèce

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Pour les articles homonymes, voirÉlisabeth de Grèce (homonymie).

Description de cette image, également commentée ci-après
La princesse Élisabeth en 1924.

Titre

Épouse du chef de lamaison de Toerring


(21 ans et 1 jour)

Données clés
PrédécesseurSophie en Bavière
SuccesseurHenriette de Hohenlohe-Bartenstein
Biographie
TitulaturePrincesse de Grèce et de Danemark
Comtesse de Toerring-Jettenbach
DynastieMaison de Glücksbourg
Naissance
Tatoï (Grèce)
Décès (à 50 ans)
Munich (Allemagne de l'Ouest)
SépultureNécropole familiale duchâteau de Winhöring (Bavière)
PèreNicolas de Grèce
MèreHélène Vladimirovna de Russie
ConjointCharles-Théodore de Toerring-Jettenbach
EnfantsHans Veit de Toerring-Jettenbach
Hélène de Toerring-Jettenbach
ReligionOrthodoxie grecque

Description de cette image, également commentée ci-après
Princesse de Grèce et de Danemark

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Élisabeth de Grèce (engrec moderne :Ελισάβετ της Ελλάδας /Elisávet tis Elládas et enallemand :Elisabeth von Griechenland),princesse de Grèce et de Danemark puis, par son mariage, comtesse de Toerring-Jettenbach, est née le àTatoï, enGrèce, et morte le àMunich, enAllemagne de l'Ouest. Épouse duchef de lamaison de Toerring[N 1], c'est une personnalité dugotha européen.

Deuxième des trois filles du princeNicolas de Grèce et de la grande-duchesseHélène Vladimirovna de Russie, la princesse Élisabeth passe son enfance entre leroyaume hellène et l'Empire tsariste. LaPremière Guerre mondiale et lesdivisions qu'elle amène en Grèce poussent cependant l'adolescente et sa famille en exil enSuisse entre 1917 et 1920. Revenue dans son pays après la restauration du roiConstantin Ier, elle en est à nouveau bannie par laproclamation de laDeuxième République hellénique en 1924.

Installée àParis avec ses parents et ses sœurs, la princesse entreprend alors de nombreux voyages qui la mènent auprès de sa famille élargie auRoyaume-Uni, enItalie, enYougoslavie, enRoumanie et enAllemagne. Désargentée et célibataire, la princesse vend son image à une marque de cosmétiques américaine. Après des tentatives infructueuses de rapprochement avec leprince de Galles, leprince royal d'Italie, le princeNicolas de Roumanie et LordIvor Spencer-Churchill, Élisabeth épouse, en 1934, le comteCharles-Théodore de Toerring-Jettenbach, chef d'unemaisonmédiatisée deBavière. Le couple s'installe ensuite entreMunich etWinhöring, où il donne naissance à deux enfants prénommés Hans Veit (1935) et Hélène (1937).

Au moment de l'installation d'Élisabeth enAllemagne,Adolf Hitler vient tout juste d'instaurer sa dictature et, même si la princesse et son époux ne rejoignent jamais leparti national-socialiste, ils en ressentent toute l'influence. Utilisés pour leurs liens familiaux avec le régentPaul de Yougoslavie et leduc de Kent, époux des sœurs d'Élisabeth, les Toerring soutiennent la politique du Führer auprès de leur parentèle, ce qui n'est pas sans amener des tensions au moment de laSeconde Guerre mondiale.

Isolée de sa famille après l'invasion de la Yougoslavie par le Troisième Reich (1941), Élisabeth sort affaiblie du conflit mondial, mais reprend néanmoins sa place au sein dugotha européen. Atteinte d'uncancer, elle meurt en 1955 et sa dépouille est enterrée dans la nécropole familiale des Toerring, à Winhöring.

Famille

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Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations contenues dans cette section proviennent du site internetThe Peerage[1].

Élisabeth est la deuxième des trois filles du princeNicolas de Grèce (1872-1938) et de son épouse la grande-duchesseHélène Vladimirovna de Russie (1882-1957). Par son père, la princesse est donc la petite-fille du roiGeorges Ier de Grèce (1845-1913) et de la grande-duchesseOlga Constantinovna de Russie (1851-1926) tandis que, par sa mère, elle descend du grand-ducVladimir Alexandrovitch de Russie (1847-1909) et de la princesseMarie de Mecklembourg-Schwerin (1854-1920), plus connue sous le nom de grande-duchesse Maria Pavlovna de Russie.

Les et, Élisabeth épouse, àMunich et auchâteau de Seefeld, le comteCharles-Théodore de Toerring-Jettenbach (1900-1967), lui-même fils du comteHans Veit de Toerring-Jettenbach (1862-1929) et de son épouse la princesseSophie en Bavière (1875-1957).

Du mariage d’Élisabeth et de Charles-Théodore naissent deux enfants :

  • Hans Veit de Toerring-Jettenbach (1935), comte de Toerring-Jettenbach, qui s'unit, en 1964, à la princesse Henriette de Hohenlohe-Bartenstein (1938). D'où trois enfants :
    • Clarissa de Toerring-Jettenbach (1965), comtesse de Toerring-Jettenbach, qui épouse le prince Tassilo de Hohenlohe-Schillingsfürst (1965),
    • Ignatius de Toerring-Jettenbach (1966), comte héréditaire de Toerring-Jettenbach, qui s'unit à Robiana Mentasti-Granelli (1976),
    • Karl de Toerring-Jettenbach (1969), comte de Toerring-Jettenbach, qui se marie, en 2009, à Natasha Ivanova (1975) ;
  • Hélène de Toerring-Jettenbach (1937), comtesse de Toerring-Jettenbach, qui épouse, en 1956, l'archiducFerdinand d'Autriche (1918-2004). D'où trois enfants :
    • Élisabeth d'Autriche (1957-1983), archiduchesse d'Autriche, qui s'unit, en 1982, à James Litchfield (1956),
    • Sophie d'Autriche (1959), archiduchesse d'Autriche, qui épouse, en 1990, le princeMariano Hugo de Windisch-Graetz (1955),
    • Maximilien d'Autriche (1961), archiduc d'Autriche, qui s'unit, en 2005, à Sara Maya Al-Askari (1977).

Biographie

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Petite enfance (1904-1909)

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Une enfance grecque

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Photographie en noir et blanc montrant un couple assis avec trois filles vêtues de blanc.
La famille d'Élisabeth, en 1909. De gauche à droite, apparaissent la princesseOlga, le princeNicolas, la princesse Élisabeth, la grande-duchesseHélène et la princesseMarina.

Deuxième fille du princeNicolas de Grèce et de la grande-duchesseHélène Vladimirovna de Russie, la princesse Élisabeth voit le jour le aupalais de Tatoï[2],[3],[4]. Surnommée« Woolly » à cause de son épaisse chevelure[5],[6], l'enfant naît moins d'un an après sa sœur aînéeOlga[3], avec laquelle elle devient très proche en grandissant[7]. Deux ans plus tard, la famille s'élargit à nouveau avec l'arrivée de la princesseMarina, qui n'a pas tout à fait la même complicité avec ses aînées[8].

Régulièrement vêtues à l'identique par leur mère[9], les trois fillettes grandissent au sein d'un foyer aimant et uni[10]. Ensemble, leurs parents s'expriment généralement enanglais[11] et c'est cette langue que les enfants utilisent le plus spontanément[12],[13], même si elles maîtrisent parfaitement legrec[11], qu'elles parlent notamment entre elles à l'étranger lorsqu'elles ne veulent pas être comprises[14]. Pendant leur petite enfance, Élisabeth et ses sœurs reçoivent une éducation relativement simple, sous la supervision d'unegouvernante britannique du nom de Kate Fox[15],[16]. Élevées dans lafoi orthodoxe[17], les princesses reçoivent leur instruction religieuse de Ioulía Somáki-Karólou, une amie de leur grand-mère paternelle, la reine des HellènesOlga[18].

EnGrèce, Élisabeth et les siens résident aupalais Nicolas[N 2], cadeau de mariageathénien dutsar de Russie à sa cousine[15],[19],[20]. Pendant le règne deGeorges Ier, la famille séjourne aussi régulièrement à Tatoï, où Élisabeth et ses sœurs retrouvent avec plaisir leurs nombreux cousins et cousines grecs[7]. Après l'accession au trône deConstantin Ier, cependant, les parents de la princesse acquièrent leur propre résidence secondaire, àKephissia[21]. Kate Fox étant une adepte des sorties au grand air, Élisabeth fréquente régulièrement les plages deVouliagméni et dePhalère, où elle s'adonne à la natation et aux bains de soleil[7]. Avec leurs parents, l'enfant et ses sœurs ont également l'habitude de visiter sites archéologiques, musées et galeries d'art[21].

Voyages et relations familiales

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Photographie en noir et blanc montrant un groupe composé de sept femmes, quatre hommes et cinq fillettes et adolescentes.
Réunion familiale autour du tsarNicolas II et deson épouse. La petite Élisabeth se trouve juste au-dessus de l'empereur (v. 1910).

Le princeNicolas et son épouse se rendant une à deux fois par an enRussie, Élisabeth et ses sœurs effectuent, dès leur plus tendre enfance, des séjours dans le pays de leur mère[22],[23],[24]. Leur première visite dans l'empire tsariste coïncide d'ailleurs avec larévolution de 1905, ce qui oblige les princesses à quitter précipitammentSaint-Pétersbourg et à trouver refuge àSchwerin avec leur grand-mère maternelle[25].

Pour les fillettes, ces voyages en Russie sont l'occasion de retrouver leur nombreuse parentèleRomanov : d'abord la branche des Vladimirovitch (autrement dit le grand-ducVladimir, la grande-duchesseMaria Pavlovna, leurs trois fils et les familles de ceux-ci)[26], ensuite la branche des Konstantinovitch (issue du grand-ducConstantin Nikolaïevitch, grand-père maternel du prince Nicolas)[27] et enfin la famille impériale elle-même (et notamment les trois derniers enfants du tsarNicolas II, plus proches en âge des princesses grecques)[28].

Si le grand-duc Vladimir intimide ses petites-filles avec sa voix de stentor, la grande-duchesse Maria Pavlovna se révèle une grand-mère aimante et généreuse, qui choie les princesses tout en surveillant attentivement leur éducation et leurs manières[29],[30]. La grande-duchesse est cependant à l'origine d'un important traumatisme dans la vie d'Élisabeth et de ses sœurs. En 1913, Maria Pavlovna contraint, en effet, sa fille et son gendre à renvoyer Kate Fox, sous peine de les priver de tout soutien financier en cas de refus[31],[32],[33]. L'Anglaise est alors éloignée de ses protégées, sans même pouvoir leur dire au revoir. En dépit de cet événement, Élisabeth et sa famille conservent toute leur affection à la gouvernante, qui revient à leur service après la disparition de son ennemie, en 1921[34],[35],[36],[37].

Outre la Russie, la princesse Élisabeth découvre, très jeune, leRoyaume-Uni[38],[39], l'Allemagne[40], laFrance[41] et l'Italie[42]. Avec ses parents et sa sœur aînée, elle visite aussiConstantinople, où elle rencontre le sultan ottomanAbdülhamid II en 1905[10].

Turbulences politiques (1909-1920)

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De l'ascension de Venizélos aux guerres balkaniques (1909-1913)

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Articles connexes :Elefthérios Venizélos etGrèce dans les guerres balkaniques.
Trois petites filles assises en tailleur avec, devant elles, un grand livre.
La princesse Élisabeth entourée de ses sœurs Olga et Marina (1912).

La petite enfance d'Élisabeth est également marquée par la série de bouleversements qui secoue laGrèce à partir de 1909. Cette année-là, un coup d'État militaire, connu sous le nom de « coup de Goudi », contraint les fils du roiGeorges Ier, dont le princeNicolas, à démissionner de l'Armée[43],[44]. Peu de temps après,Elefthérios Venizélos, un homme politique crétois connu pour sa défiance vis-à-vis de lafamille royale, prend la tête du gouvernement[38],[45]. Sous l'égide de celui-ci, laGrèce s'engage dans les guerres balkaniques de 1912-1913, ce qui lui permet d'étendre considérablement son territoire aux dépens de l'Empire ottoman[46],[47]. Cependant,le roi Georges Ier est assassiné pendant le conflit[48], ce qui cause un grand chagrin à Élisabeth et à ses sœurs[49].

Dans les mêmes moments, se produit la mise à l'écart de Kate Fox et l'éducation des trois fillettes prend un tour nouveau[18]. Confiées aux soins de deux tutrices, une Française nomméeMlle Perrin[33] et une Grecque nommée Kyria Anna[18], les princesses reçoivent des cours de littérature française, d'allemand et de gymnastique[50] tandis que leur instruction religieuse est renforcée en vue de leur première communion[18]. Avec sa sœurOlga, Élisabeth suit, en outre, des leçons d'équitation et devient bientôt une cavalière émérite, ce qui la distingue de son aînée[51]. Dans un premier temps, ces cours se tiennent dans lesjardins dupalais royal et c'est sur des poneys appartenant à leurs cousins le princePaul et la princesseIrène que les petites filles apprennent à monter à cheval[52]. Cependant, le refroidissement des relations entre la reineSophie et la grande-duchesseHélène conduit ensuite les petites filles à s'entraîner loin du palais royal[53].

La Première Guerre mondiale et le Schisme national (1914-1917)

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Articles connexes :Grèce dans la Première Guerre mondiale etSchisme national.
Peinture représentant un militaire portant de nombreuses décorations et un bâton de maréchal
Le roiConstantin Ier parPhilip de László (1914).

En dépit de l'attentat de Sarajevo et destensions qu'il provoque dans lesBalkans, Élisabeth et sa famille entreprennent leur visite annuelle enRussie en[54],[55]. Surpris par ledéclenchement de laPremière Guerre mondiale alors qu'ils se trouvent àSaint-Pétersbourg, les princes de Grèce rentrent précipitamment àAthènes en septembre après avoir traversé laRoumanie et laSerbie[56],[57],[58]. C'est le début d'une période difficile, connue sous le nom de « Schisme national », pendant laquelle lepeuple hellène se déchire entrevénizélistes, partisans d'une entrée en guerre au côté de laTriple-Entente, et royalistes, soucieux de préserver laneutralité du pays affaibli par lesguerres balkaniques[59],[60],[61].

Au sein même de lafamille royale, la question de la participation au conflit mondial n'est pas sans causer des tensions, d'autant que lamère d'Élisabeth suspecte la reineSophie de soutenir la cause de son frère, leKaiserGuillaume II[62]. Outre ces divisions, qui conduisent Élisabeth à voir moins régulièrement les filles du roiConstantin Ier[63], la guerre apporte aussi son lot de difficultés financières. Les revenus du princeNicolas dépendant très largement de l'apanage de son épouse, son foyer est lourdement affecté par la crise économique qui sévit dans l'Empire russe[64]. Longtemps préservée des combats, la capitale hellénique est, en outre,frappée par des tirs alliés en, ce qui contraint Élisabeth et ses sœurs à trouver refuge dans les caves dupalais Nicolas[65],[66].

La situation de la famille s'aggrave encore en 1917. En février, unerévolution renverse le régime tsariste, privant Constantin Ier du dernier de ses soutiens au sein de l'Entente. Dans le même temps, l'inquiétude se développe quant au sort des membres de l'ancienne famille impériale[65]. Comme de nombreux autresRomanov, les deux grands-mères d'Élisabeth se retrouvent en effet prises au piège dans leur palais[65],[67] tandis que plusieurs autres parents de la fillette sont arrêtés[N 3]. Finalement, en juin, l'Entente contraint Constantin Ier à abdiquer en faveur de son deuxième fils, le princeAlexandre, et à partir en exil[68]. D'abord épargnés par les événements, le prince Nicolas et les siens sont bientôt poussés à abandonner la Grèce à leur tour, ce qu'ils font le suivant[69],[70],[71],[72].

L'exil suisse et l'inquiétude pour les Romanov (1917-1920)

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Photo en noir et blanc d'une femme portant une tiare et de nombreux bijoux.
La grande-duchesseMaria Pavlovna de Russie en 1908.

EnSuisse, Élisabeth et les siens mènent une vie itinérante qui les conduit successivement àSaint-Moritz[73],Zurich[74],Ouchy[75],Villeneuve[36] etMontreux[36]. La fortune de la grande-duchesseHélène ayant été confisquée par lesbolcheviks, la famille est contrainte de renvoyer une partie de ses domestiques[74]. Par mesure d'économie, Élisabeth doit en outre partager, pour la première fois de sa vie, une chambre avec ses sœurs. Du fait des pénuries de charbon, et donc d'eau chaude, liées à laguerre, l'adolescente est, par ailleurs, contrainte à se limiter à un seul bain par semaine. Pendant un temps, la princesse et ses sœurs sont scolarisées dans une école de Zurich, mais leurs difficultés enallemand contraignent finalement leurs parents à recourir à l'instruction à domicile, supervisée par une préceptrice trilingue nomméeMlle Genand[74].

La situation de leurparentèle russe est une autre source d'inquiétude pour Élisabeth et les siens. Certes, la famille du princeNicolas a le soulagement de retrouver saines et sauves la reineOlga (en juin-)[75],[76],[77] et la grande-duchesseMaria Pavlovna (en)[78],[79], mais cette dernière a été très affaiblie par les privations, et elle meurt quelques mois seulement après avoir réussi à fuir son pays[80].Beaucoup d'autres Romanov sont moins chanceux[76],[80] et la nouvelle de l'assassinat de la famille impériale sème ainsi la consternation chez les exilés grecs[75]. Seule consolation pour le petit groupe : la branche des Vladimirovitch (à laquelle appartient la grande-duchesse Hélène) a étéentièrement épargnée par laguerre civile et larépression communiste[80]. La grande-duchesse Maria Pavlovna est, en outre, parvenue à sauver ses bijoux, ce qui assure quelques subsides à la famille d'Élisabeth[80].

En dépit de ces préoccupations et des mesquineries dont sont périodiquement victimes les exilés grecs de la part de l'Entente et des autorités helvétiques[81], l'exil est aussi une période de découvertes pour Élisabeth et ses sœurs. Les princesses apprennent ainsi àskier et à faire dupatin à glace[82]. Elles reçoivent, par ailleurs, des cours dedanse et participent à leurs premiers thés dansants[75],[83]. Avec sonaînée, Élisabeth s'adonne également autennis, sport pour lequel les deux sœurs se passionnent[75]. Finalement, le séjour suisse est aussi l'occasion, pour les adolescentes, d'assister au mariage de leur oncleChristophe de Grèce avec une riche Américaine nomméeNancy Stewart en[36],[84].

Une princesse à la recherche d'un époux (1920-1934)

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La fin de l'exil ? (1920-1924)

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Peinture représentant le buste d'une jeune fille aux cheveux mi-longs.
La princesseOlga de Grèce au moment de ses fiançailles avortées, parPhilip de László.

Le, le roiAlexandre Ier de Grèce meurt d'unesepticémie après avoir été mordu par un singe apprivoisé[80],[85]. Cet événement inattendu provoque une crise politique àAthènes, oùElefthérios Venizélos est déjà affaibli par laguerre qu'il a déclenchée contre la Turquie. Défait auxélections de novembre, le Crétois doit abandonner le gouvernement auxmonarchistes, qui organisent alors unréférendum destiné à rappelerConstantin Ier sur le trône. La vague royaliste qui s'ensuit permet ainsi auxmembres de la dynastie de rentrer enGrèce, ce qui se produit en[86],[87]. Quelques semaines après ces événements, Kate Fox reprend sa place dans le foyer du princeNicolas, au grand plaisir d'Élisabeth et de ses sœurs[35],[86].

Au sein de la famille royale, la fin de l'exil est aussi l'occasion d'autres réjouissances, qui conduisent Élisabeth à voyager enFrance, enRoumanie et à l'intérieur de la Grèce[86]. En, lediadoqueGeorges épouse en effet la princesseÉlisabeth de Roumanie àBucarest. Le mois suivant, la princesseHélène se marie au prince royalCarol de Roumanie à Athènes[35],[86]. Finalement, en novembre, a lieu le baptême du petit princePhilippe, àCorfou[35],[86]. En, une autre union semble, par ailleurs, se dessiner avec les fiançailles de la princesseOlga et du prince royalFrédéric de Danemark[88].

Ce projet à peine rendu public, il est cependant annulé par l'héritier du trône danois, qui commet en outre l'impair de s'ouvrir de sa décision à Élisabeth avant même d'en parler à la principale concernée, plaçant la princesse dans une position très inconfortable vis-à-vis de sa sœur aînée[89]. Or, le prince scandinave a déjà commis un autre faux pas impliquant Élisabeth quelque temps auparavant[N 4] : lors de la présentation officielle du jeune couple à la foule athénienne, Frédéric a pris la main d'Élisabeth au lieu de celle d'Olga, humiliant ainsi sa promise[90],[91],[92].

À cette rupture, s'ajoute un autre malheur, dont les conséquences sont bien plus graves pour Élisabeth et les siens. La situation militaire de la Grèce face à laTurquie allant de mal en pis enAsie mineure, uncoup d'État a lieu dans le royaume hellène, contraignant Constantin Ier à abdiquer en faveur du diadoque le[93],[94],[95]. Dans les semaines qui suivent, unepurge touche l'État grec et le princeAndré est arrêté[96]. Sauvé de justesse par l'intervention des puissances étrangères, il doit néanmoins s'exiler[96], ce à quoi se résout également le prince Nicolas[96],[97]. Réduit au statut deroi fantoche, Georges II lui-même est finalement contraint à abandonner la Grèce, et larépublique est proclamée le[98], privant Élisabeth et sa parentèle de leur nationalité hellène[N 5],[99],[100].

Une longue période d'itinérance (1922-1933)

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Une femme en grande tenue et un homme en uniforme de l'armée marchent dans une rue entourée de soldats.
La grande-duchesseHélène et le princeNicolas lors du mariage de leur filleOlga à Belgrade (1923).

Lorsque se produit l'abdication du roiConstantin Ier, Élisabeth se trouve àParis avec sa mère et ses sœurs[96]. Une fois rassurée sur le sort de son père, dont la rumeur veut qu'il a été assassiné durant lecoup d'État[96], la jeune fille quitte néanmoins la capitale avec Kate Fox etMarina, pour des vacances àChamonix[101],[102],[103]. Le petit groupe gagne ensuiteSan Remo, où la famille se réunit pour les fêtes de fin d'année[101],[104]. Les retrouvailles sont cependant de courte durée du fait du décès de l'ancien roi des Hellènes, le, et du départ subséquent des parents de la princesse àPalerme pour les funérailles[96]. En dépit des événements, Élisabeth et Olga se rendent àGrasse pour le mariage de leur amieMarie-Laure Bischoffsheim avec le vicomteCharles de Noailles[105]. Après cela, Élisabeth gagne leTyrol avec Marina[101],[106], où les deux sœurs subissent uneablation des adénoïdes[103].

Leur exil s'éternisant, le princeNicolas et sa famille établissent leur résidence à Paris[70],[107],[108]. Encouragée par son père, Élisabeth y prend alors des cours de dessin et de peinture en compagnie de Marina[6],[109]. Elle soutient, par ailleurs, sa mère dans les actions qu'elle mène en faveur desRusses blancs réfugiés enFrance[109],[110],[111]. Le prince Nicolas étant parvenu à louer sonpalais athénien[101],[112], la situation financière de la famille s'améliore et le petit groupe gagne leRoyaume-Uni, oùOlga et Élisabeth font leurs débuts dans la bonne société en[101]. Après avoir été reçues par le roiGeorge V et la reineMary[113], les deux sœurs vont de bal en bal, avec l'espoir d'attirer l'attention duprince de Galles ou de l'un de ses frères célibataires, sans le moindre succès[114]. Lors d'une soirée chez LadyZia Wernher, la princesse Olga fait néanmoins la connaissance du princePaul de Serbie[101],[113], qui ne tarde pas à lui demander sa main[115],[116]. Moins chanceuse que son aînée, Élisabeth a cependant la satisfaction de se rendre àBelgrade pour assister au mariage, le[117].

Pendant les années qui suivent, la princesse mène une vie itinérante à travers l'Europe. Durant l'été 1924, on la retrouve à Londres avec Marina, où elle continue à fréquenter les bals de l'aristocratie[118],[119]. En, elle se rend enItalie pour assister aux noces de la princesseMafalda de Savoie avec le princePhilippe de Hesse-Cassel[120]. En 1927, elle passe plusieurs moisen Slovénie et en Serbie avec sa sœur aînée et son beau-frère[120], avant de rendre visite à sa cousineHélène enRoumanie[121]. En 1929, elle retourne àBucarest avec Olga et les enfants de celle-ci[122]. Finalement, elle revient en Slovénie[123],[124] et enAllemagne durant l'année 1933[123]. Pour ses proches, qui la voient prendre de l'âge avec angoisse[5],[125], chacun de ces voyages est l'occasion d'échafauder des projets matrimoniaux. Outre le futur Édouard VIII[126], il est ainsi envisagé d'unir Élisabeth au prince royalHumbert d'Italie[5],[6],[127],[128],[129] et au princeNicolas de Roumanie[5],[6],[130]. Pendant un temps, on espère aussi la voir se marier à LordIvor Spencer-Churchill, sans davantage de succès[131].

Désargentée mais réputée pour sa beauté, la princesse vend alors son image à la marque de cosmétiques américainePond's[5],[6],[132], qui appartient depuis 1987 àUnilever[5]. Dans les publicités dans lesquelles elle apparaît au côté de sa sœur Marina, elle est décrite comme« aussi jolie qu'une princesse de conte de fée et possédant toute la grâce et la dignité propre à son héritage grec parce qu'elle est charmante, joyeuse, versatile et très belle »[5].

Fiançailles et mariage (1933-1934)

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Photographie en noir et blanc d'une jeune femme en robe de mariée.
La princesse Élisabeth lors de son mariage (1934).

En, la princesse Élisabeth fait finalement la connaissance ducomteCharles-Théodore de Toerring-Jettenbach lors d'un voyage àMunich avec ses sœurs et son beau-frèrePaul[133],[134]. Surnommé « Toto »[135], l'aristocrate bavarois est le chef de lamaison de Toerring, dont le territoire a étémédiatiséau début duXIXe siècle[6]. Neveu de la reine des BelgesÉlisabeth[5],[123] et cousin germain du princeAlbert de Bavière[136], il est à la tête d'une fortune confortable[123] et possède une importante collection d'art moderne[137].

Élisabeth et Charles-Théodore sympathisent rapidement et se revoient à plusieurs reprises, tant enBavière qu'àBohinj, enYougoslavie. Cependant, le comte ne témoigne d'abord que d'un intérêt limité à la princesse, au grand dam de la famille de celle-ci[133],[138]. Le, Charles-Théodore profite néanmoins d'un nouveau séjour à Bohinj pour demander la main d'Élisabeth, qui accepte sans hésitation[133],[139],[140],[141],[142],[143]. Dans les semaines qui suivent, la jeune femme se rend à Munich, pour y rencontrer sa future belle-famille[139].

Le princeNicolas de Grèce connaissant toujours des difficultés financières, son gendre Paul a la délicatesse de racheter à la grande-duchesseHélène certains de ses bijoux afin de l'aider à réunir l'argent nécessaire à la constitution dutrousseau d'Élisabeth[139],[144]. Accompagnée d'Olga, cette dernière peut ainsi se rendre àParis pour ses achats[139],[145] et choisit un modèle du couturierJean Patou commerobe de mariée[139].

Les épousailles d'Élisabeth et de Charles-Théodore sont finalement célébrées le auchâteau de Seefeld, propriété du frère du marié[146]. La cérémonie, qui se déroule selon lerite catholique, réunit plusieurs personnalités du gotha européen, parmi lesquelles le roi des HellènesGeorges II, le prince héritierHumbert d'Italie, le prince royalRupprecht de Bavière, l'infanteBéatrice d'Espagne, ainsi que legénéral von Epp,Reichsstatthalter de Bavière[147],[148].

Comtesse de Toerring-Jettenbach (1934-1955)

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Une princesse proche de sa famille

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Carte postale en noir et blanc montrant un couple assis avec ses deux fils et sa fille.
Charles-Théodore de Toerring-Jettenbach (en deuxième position) avec ses parents et sa fratrie, vers 1910.

Après leur mariage, Élisabeth etCharles-Théodore s'installent àMunich[149],[150]. La princesse y donne le jour à un petit garçon, né à peine plus d'un an après l'union de ses parents, le, et prénommé Hans Veit comme sondéfunt grand-père paternel[151],[152]. Deux ans plus tard, une petite fille, née àWinhöring le et baptisée Hélène en l'honneur de sagrand-mère maternelle, vient à son tour agrandir la famille après un accouchement difficile[142],[153],[154]. Mère aimante et attentionnée, Élisabeth communique avec ses enfants enanglais, langue qu'elle utilise aussi avec son époux[142]. Bien qu'elle resteorthodoxe jusqu'à sa mort, la princesse élève sa progéniture dans lafoi catholique[142].

L'arrivée des deux enfants n'empêche pas Élisabeth et son époux de continuer à parcourir l'Europe pour retrouver leur parentèle. La princesseMarina ayant finalement épousé leduc de Kent en[155], les Toerring effectuent plusieurs séjours enGrande-Bretagne[156]. Ils continuent, par ailleurs, à rendre fréquemment visite à la princesseOlga et au princePaul, enYougoslavie[157]. En 1935,la monarchie est restaurée en Grèce[158] et les parents d'Élisabeth prennent la décision de revenir vivre àAthènes[159]. En 1937, Élisabeth revient dans le pays de son enfance à l'occasion dumariage du diadoquePaul avec la princesseFrederika de Hanovre[160]. La mort du princeNicolas, en 1938[159],[161],[162], conduit sa fille à retourner enGrèce pour ses funérailles[163]. Par la suite, la princesse y effectue d'autres séjours afin d'aider la grande-duchesseHélène à régler ses affaires[164].

Durant ces années, Élisabeth accueille également régulièrement sa parentèle enBavière[165],[166],[167]. En 1938, le35e anniversaire de la princesse Olga est ainsi célébré chez les Toerring, auchâteau de Winhöring[164]. Dans son pays d'adoption, Élisabeth est aussi en contact étroit avec ses cousinesMarguerite,Théodora,Cécile etSophie de Grèce, qui ont elles aussi épousé des princes allemands[137],[168].

Des liens complexes avec le Troisième Reich

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Au milieu d'une photographie en noir et blanc, deux couples en uniformes se saluent, tandis qu'à gauche d'autres personnes en uniformes observent la scène.
Le régentPaul de Yougoslavie et son épouseOlga face àEmmy etHermann Göring (1939).

D'après le comte Hans Veit de Toerring-Jettenbach[N 6], ses parents n'avaient aucune sympathie pour lenazisme. Il le justifie en disant que sa famille étaitcatholique, et appartenait donc à unecommunauté persécutée parAdolf Hitler, et que son père a été exclu de l'armée par le « décret des princes » de 1940, ce qui ne pouvait que l'éloigner durégime nazi[161]. De fait, Élisabeth et son époux n'ont jamais adhéré auparti national-socialiste[137], et cela contrairement à plusieurs des cousins et cousines de la princesse[N 7]. En outre, les communications d'Élisabeth et de Charles-Théodore étaient étroitement surveillées par les autorités allemandes du fait de leurs liens avec des puissances étrangères[N 8],[169].

Malgré tout, les discussions souvent vives entre les Toerring, d'une part, et les Kent, les Yougoslavie et la grande-duchesseHélène, d'autre part, montrent qu'à la fin desannées 1930, Charles-Théodore et Élisabeth soutiennent volontiers la politique menée par leFührer[170],[171]. Par ailleurs, en 1938, le comte accomplit son devoir militaire sans sourciller lors de l'Anschluss[163] et de l'invasion des Sudètes[172]. Quant à Élisabeth, elle aide activement sa sœurOlga à organiser la réception d'Hermann Göring et de sa femmeEmmy àBelgrade en 1935[173]. Plus tard, au début de laSeconde Guerre mondiale, la princesse trouve quelque temps refuge enYougoslavie avec ses enfants, mais c'est uniquement pour échapper aurationnement et non pour des raisons politiques qu'elle quitte l'Allemagne[174].

Pour l'historien Jonathan Petropoulos, spécialiste des relations entre le gotha allemand et le régime nazi, les fréquents séjours des Toerring en Yougoslavie et en Grande-Bretagne durant les années 1930 jouent certainement un rôle dans ladiplomatie du Reich[175]. Ainsi, il n'est pas anodin qu'Élisabeth et son époux soient conviés àBerlin par les autorités allemandes au moment de la visite officielle du régentPaul de Yougoslavie, en[168],[176],[177]. De la même façon, les liens entre le comte de Toerring-Jettenbach et son beau-frère leduc de Kent sont probablement utilisés par le régime nazi pour établir un contact direct avec lesWindsor[137]. Il convient néanmoins de relativiser le rôle des Toerring dans la mise en place dunouvel ordre européen. Comme l'écrit Jonathan Petropoulos,« il y a eu des indices que le comte de Toerring etPhilippe [de Hesse-Cassel] ont aidé à faire basculer le prince Paul dans lecamp allemand, mais si c'est le cas, ils n'ont été que les pions d'une équation beaucoup plus large »[176].

Dernières années

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Vue d'un grand bâtiment à la façade jaune, derrière une large cour.
Le château familial des Toerring, àWinhöring (2003).

Coupée des siens après l'invasion de la Yougoslavie par les forces duTroisième Reich en[178],[179],[180], Élisabeth sort physiquement affaiblie de laSeconde Guerre mondiale[161]. Lors de lachute du Troisième Reich et de l'occupation de l'Allemagne par les Alliés, la princesse est arrêtée et gardée en détention toute une nuit par lesAméricains. Au lieu de subir un interrogatoire, on lui demande cependant si sa famille et elle vont bien, avant de la rassurer sur le sort du reste de ses proches[161],[181].

Dans les années qui suivent, la princesse a le plaisir de renouer directement des liens avec sa parentèle européenne. En, Élisabeth est ainsi autorisée à rendre visite à sa sœurMarina, auRoyaume-Uni. C'est l'occasion, pour elle, de participer à l'anniversaire de la reine douairièreMary de Teck, qui fête ses 80 ans[161],[181]. Puis, en juin, Élisabeth se rend àAthènes avec Marina pour y retrouverOlga et leur mère[182]. Malgré tout, en novembre suivant, Élisabeth n'est pas conviée aumariage de son cousin le princePhilippe avec l'héritière du trône britannique. Elle doit alors se contenter de célébrer l'événement avec les sœurs du marié et d'autres membres de leur parentèle allemande auchâteau de Marienburg. Quelques jours plus tard, elle reçoit néanmoins la visite de Marina, qui lui décrit en détail l'événement[183].

En, Élisabeth retrouve pour la première fois son beau-frère, le princePaul. Aux yeux de l'ancien régent de Yougoslavie, la comtesse de Toerring apparaît alors prématurément vieillie et diminuée[184],[185]. Dans les années qui suivent, Élisabeth souffre de différents problèmes de santé. En, elle est hospitalisée quelques semaines enSuisse pour des problèmes digestifs et de la fatigue[186]. À l'automne 1952, elle est opérée d'unetumeur à Athènes[187]. En, la princesse est à nouveau hospitalisée pour une attaque d'arthrite et derhumatisme[188]. Elle meurt d'uncancer quelques jours plus tard, le[N 9], à l'âge de 50 ans[161],[189].

Après une cérémonie privée, la princesse est enterrée dans la nécropole des Toerring, attenante à la chapelle duchâteau familial, àWinhöring[189],[190].

Titres et honneurs

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Titulature

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  •  :Son Altesse Royale la princesse Élisabeth de Grèce et de Danemark ;
  •  :Son Altesse Royale et Illustrissime la comtesse de Toerring-Jettenbach.

Honneurs

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Élisabeth de Grèce est :

Arbres généalogiques

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Quartiers de la princesse

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16.Frédéric-Guillaume de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
8.Christian IX de Danemark
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
17.Louise-Caroline de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
4.Georges Ier de Grèce
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
18.Guillaume de Hesse-Cassel-Rumpenheim
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
9.Louise de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
19.Louise-Charlotte de Danemark
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
2.Nicolas de Grèce
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
20.Nicolas Ier de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
10.Constantin Nikolaïevitch de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
21.Charlotte de Prusse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
5.Olga Constantinovna de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
22.Joseph de Saxe-Altenbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
11.Alexandra de Saxe-Altenbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
23.Amélie de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
1.Élisabeth de Grèce
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
24=20.Nicolas Ier de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
12.Alexandre II de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
25=21.Charlotte de Prusse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
6.Vladimir Alexandrovitch de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
26.Louis II de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
13.Marie de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
27.Wilhelmine de Bade
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
3.Hélène Vladimirovna de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
28.Paul-Frédéric de Mecklembourg-Schwerin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
14.Frédéric-François II de Mecklembourg-Schwerin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
29.Alexandrine de Prusse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
7.Marie de Mecklembourg-Schwerin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
30.Henri LXIII Reuss de Köstritz
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
15.Augusta de Reuss-Köstritz
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
31. Éléonore de Stolberg-Wernigerode
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Élisabeth et Charles-Théodore dans l'Europe des rois et des prétendants

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Georges Ier,
Roi des Hellènes
Olga,
Gde-Dsse de Russie
 
 
 
 
 
 
 
 
Vladimir,
Gd-duc de Russie
Marie,
Pcesse de Marie de Mecklembourg-Schwerin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles-Théodore,
Duc en Bavière
Marie-Josèphe,
Infante de Portugal
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
André,
Pce de Grèce
Alice,
Pcesse de Battenberg
 
 
 
Constantin Ier,
Roi des Hellènes
Sophie,
Pcesse de Prusse
 
 
 
 
 
Cyrille,
Gd-duc de Russie
Victoria-Mélita,
Pcesse de Saxe-Cobourg
 
 
 
Hélène,
Gde-Dsse de Russie
 
Nicolas,
Pce de Grèce
 
Sophie,
Dsse en Bavière
Hans Veit,
Cte de Toerring-Jettenbach
 
Marie-Gabrielle,
Dsse en Bavière
Rupprecht,
Pce royal de Bavière
 
 
 
Élisabeth,
Dsse en Bavière
Albert Ier,
Roi des Belges
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Philippe,
Duc d'Édimbourg
Élisabeth II,
Reine du Royaume-Uni
 
Hélène,
Pcesse de Grèce
Carol II,
Roi de Roumanie
 
Georges II,
Roi des Hellènes
Élisabeth,
Pcesse de Roumanie
 
Kira,
Gde-Dsse de Russie
Louis-Ferdinand,
Pce de Prusse
 
Vladimir,
Gd-duc de Russie
Léonida,
Pcesse Bagration-Moukhranski
 
Olga,
Pcesse de Grèce
Paul,
Régent de Yougoslavie
 
Élisabeth,
Pcesse de Grèce
 
Charles-Théodore,
Cte de Toerring-Jettenbach
 
Albert,
Duc de Bavière
Maria,
Ctesse Draskovich von Trakostján
 
Marie-José,
Pcesse de Belgique
Humbert II,
Roi d'Italie
 
Léopold III,
Roi des Belges
Astrid,
Pcesse de Suède
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles III,
Roi du Royaume-Uni
Camilla Shand
 
Michel Ier,
Roi de Roumanie
Anne,
Pcesse de Parme
 
 
 
 
 
Louis-Ferdinand,
Pce de Prusse
∞ Donata,
Ctesse de Castell-Rüdenhausen
 
Maria,
Gde-Dsse de Russie
∞ François-Guillaume,
Pce de Prusse
 
Alexandre,
Pce de Yougoslavie
Maria-Pia,
Pcesse de Savoie
 
Hans Veit,
Cte de Toerring-Jettenbach
∞ Henriette,
Pcesse de Hohenlohe-Bartenstein
 
Hélène,
Ctesse de Toerring-Jettenbach
Ferdinand,
Aduc d'Autriche
 
François,
Duc de Bavière
+ Thomas Greinwald
 
Victor-Emmanuel,
Pce de Naples
Marina Doria
 
Baudouin,
Roi des Belges
Fabiola,
Ctesse de Mora
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Sur Élisabeth

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Sur les sœurs d'Élisabeth et leurs maris

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Sur la famille royale de Grèce en général

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Albums photographiques consacrés à la famille royale de Grèce

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Autres ouvrages autour des familles royales

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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Autres liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. On trouve aussi l'orthographe « Törring ».
  2. Le bâtiment abrite aujourd'hui l'ambassade italienne. Voir :(it) « Gallery », surAmbasciata d'Italia(consulté le).
  3. C'est, par exemple, le cas des grands-ducsPaul Alexandrovitch etGeorges Mikhaïlovitch de Russie, oncles paternels d'Élisabeth (Mateos Sáinz de Medrano 2004,p. 327 et 335).
  4. Curieusement, les biographies consacrées à Olga et à son époux écrites parNeil Balfour et Robert Prendice n'évoquent pas cette anecdote.
  5. En exil, les membres de lafamille royale de Grèce reçoivent des passeports danois de leur cousin le roiChristian X (Van der Kiste 1994,p. 144).
  6. DansDear Ellen…, le comte explique :« Différents auteurs et biographes, y comprisBalfour l'ex-mari de ma cousineÉlisabeth, ont insinué à tort que mon père était un Nazi. Une biographe de ma tanteMarina, Madame Watson, l'a même dit dans son livre. Cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la réalité. Les gens comme mon père se trouvaient dans une position difficile. En tant que catholique, il n'aurait jamais soutenuHitler. En tant qu'aristocrate, il a été banni et persécuté par les Nazis, particulièrement après ledécret des princes. N'oubliez pas que sescousins royaux bavarois étaient aussi vicieusement persécutés par les Nazis et ont même été envoyés dans des camps de concentration. Non, mon père vivait dans la peur constante d'être arrêté à tout moment et je me suis demandé plus tard pourquoi nous n'avions pas subi le même destin que nos cousins bavarois. » Le comte ajoute :« Pour ma mère, la guerre a été une période vraiment très éprouvante. […] Elle ne pouvait pas parler anglais en dehors de la maison et ses opinions concernant les Nazis étaient tranchées. » (Beéche 2012,p. 67-68).
  7. Les princessesCécile etMarguerite de Grèce adhèrent, par exemple, auNSDAP en même temps que leurs époux, le grand-ducGeorges de Hesse-Darmstadt et le princeGottfried de Hohenlohe-Langenbourg, en 1937 (Petropoulos 2009,p. 93-94, 136-137 et 382).
  8. Le comte Hans Veit de Toerring-Jettenbach raconte :« J'ai entendu une dispute entre mes parents pendant que nous étions en voiture. Mère a fait des remarques très dures concernantHitler et la situation de l'Allemagne, [et] mon père lui a dit sèchement de prendre garde à des commentaires comme ceux-ci en disant : « si votre opinion était exprimée de cette manière en public,Woolly, nous serions envoyés enchambre à gaz ». Il y avait des espions partout et il fallait faire très attention. Ma mère aimait employer l'anglais pour communiquer, mais pendant laguerre, elle ne pouvait l'utiliser qu'avec notre père et nous. Si quelqu'un l'avait entendu parler anglais en public, nous aurions eu de sérieux problèmes car il y avait des espions partout et chaque lieu était infiltré par les Nazis et leurs partisans et collaborateurs. » (Beéche 2011,p. 36-37).
  9. La princesse meurt le jour des 20 ans de son fils et le lendemain de son21e anniversaire de mariage (Beéche 2012,p. 68).

Références

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  1. (en) Darryl Lundy, « Elisabeth zu Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, Princess of Greece and Denmark », surThe Peerage,(consulté le).
  2. Mateos Sáinz de Medrano 2004,p. 263-264.
  3. a etbPrentice 2021,p. 11.
  4. Warwick 2016,p. 5.
  5. abcdefg ethMateos Sáinz de Medrano 2004,p. 264.
  6. abcde etfMiller 2016,p. 24.
  7. ab etcPrentice 2021,p. 14.
  8. Prentice 2021,p. 14 et 34.
  9. Prentice 2021,p. 18.
  10. a etbPrentice 2021,p. 12.
  11. a etbWarwick 2016,p. 9.
  12. Warwick 2016,p. 8.
  13. Miller 2016,p. 20.
  14. Beéche 2011,p. 33.
  15. a etbMateos Sáinz de Medrano 2004,p. 250.
  16. Watson 1994,p. 23-24 et 27.
  17. Prentice 2021,p. 16.
  18. abc etdPrentice 2021,p. 27.
  19. Warwick 2016,p. 5-6.
  20. Gould Lee 1948,p. 122.
  21. a etbPrentice 2021,p. 28.
  22. Prentice 2021,p. 17.
  23. Beéche 2011,p. 33-34.
  24. Watson 1994,p. 25-26.
  25. Prentice 2021,p. 13.
  26. Prentice 2021,p. 17-19.
  27. Warwick 2016,p. 11.
  28. Prentice 2021,p. 19 et 31.
  29. Prentice 2021,p. 17-18.
  30. Warwick 2016,p. 13.
  31. Warwick 2016,p. 12-13.
  32. Heren 2016,p. 16-20 et 185.
  33. a etbPrentice 2021,p. 25-27.
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  36. abc etdPrentice 2021,p. 39.
  37. Watson 1994,p. 26.
  38. a etbPrentice 2021,p. 22.
  39. Watson 1994,p. 25.
  40. Prentice 2021,p. 13, 22 et 24.
  41. Prentice 2021,p. 24.
  42. Prentice 2021,p. 23.
  43. Prentice 2021,p. 21.
  44. Van der Kiste 1994,p. 69.
  45. Van der Kiste 1994,p. 70.
  46. Prentice 2021,p. 24 et 28.
  47. Van der Kiste 1994,p. 79.
  48. Van der Kiste 1994,p. 74-75.
  49. Prentice 2021,p. 26.
  50. Prentice 2021,p. 27-28.
  51. Prentice 2021,p. 28-29 et 34.
  52. Prentice 2021,p. 28-29.
  53. Prentice 2021,p. 33-34.
  54. Van der Kiste 1994,p. 87-88.
  55. Watson 1994,p. 40-41.
  56. Prentice 2021,p. 31-32.
  57. Warwick 2016,p. 14-15.
  58. Watson 1994,p. 41-42.
  59. Prentice 2021,p. 32-35.
  60. Warwick 2016,p. 18-19.
  61. Watson 1994,p. 42-45.
  62. Prentice 2021,p. 32-33.
  63. Prentice 2021,p. 33 et 34.
  64. Prentice 2021,p. 33 et 35.
  65. ab etcPrentice 2021,p. 35.
  66. Warwick 2016,p. 20.
  67. Warwick 2016,p. 23.
  68. Prentice 2021,p. 35-36.
  69. Prentice 2021,p. 36.
  70. a etbMiller 2016,p. 21.
  71. Warwick 2016,p. 21.
  72. Van der Kiste 1994,p. 115.
  73. Prentice 2021,p. 37 et 38.
  74. ab etcPrentice 2021,p. 37.
  75. abcd etePrentice 2021,p. 38.
  76. a etbWarwick 2016,p. 24.
  77. Van der Kiste 1994,p. 116.
  78. Prentice 2021,p. 39-40.
  79. Warwick 2016,p. 25.
  80. abcd etePrentice 2021,p. 40.
  81. Prentice 2021,p. 38 et 39.
  82. Prentice 2021,p. 37-38.
  83. Warwick 2016,p. 22.
  84. Van der Kiste 1994,p. 121.
  85. Van der Kiste 1994,p. 122-124.
  86. abcd etePrentice 2021,p. 41.
  87. Warwick 2016,p. 27.
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