| Életot | |||||
La mairie-poste. | |||||
Blason | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Normandie | ||||
| Département | Seine-Maritime | ||||
| Arrondissement | Le Havre | ||||
| Intercommunalité | CA Fécamp Caux Littoral Agglomération | ||||
| Maire Mandat | Séverine Hébert 2020-2026 | ||||
| Code postal | 76540 | ||||
| Code commune | 76232 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Életotais | ||||
| Population municipale | 630 hab.(2022 | ||||
| Densité | 93 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 49° 47′ 21″ nord, 0° 27′ 17″ est | ||||
| Altitude | Min. 0 m Max. 118 m | ||||
| Superficie | 6,81 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Fécamp (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Fécamp | ||||
| Législatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-Maritime Géolocalisation sur la carte :Normandie | |||||
| Liens | |||||
| Site web | http://www.eletot.fr | ||||
| modifier | |||||
Életot est unecommune française située dans ledépartement de laSeine-Maritime enrégionNormandie.
La commune est située sur lacôte d'Albâtre, à 7 km deFécamp.
Elle est située sur la falaise, à une altitude moyenne de 101 m. Les principales dépressions sont la valleuse et le bois deSaint-Pierre aussi appeléBois Joli. L'altitude minimale est 0 m (la Manche) et l'altitude maximale est de 118 m (près deBondeville).
L'accès à la commune se fait par laD 79 à partir deSaint-Pierre-en-Port et deBondeville, ou par la C401 à partir deSainte-Hélène.
Elle appartient à la couronne de l'aire urbaine deFécamp qui compte 27 373 habitants (2008)[1].
| Manche | Manche | Saint-Pierre-en-Port | ||
| Senneville-sur-Fécamp | N | Ecretteville-sur-Mer | ||
| O Életot E | ||||
| S | ||||
| Bondeville | Sainte-Hélène | Clainville |
La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].

Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Normandie etClimat de la Seine-Maritime.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique franc, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[4]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[5] et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[7],[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 924 mm, avec1,3 jours de précipitations en janvier et8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune d'Ectot-lès-Baons à30 km àvol d'oiseau[9], est de10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[10],[11]. La température maximale relevée sur cette station est de40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de−15,9 °C, atteinte le[Note 2].
Au, Életot est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
La commune, bordée par laManche, est également une commune littorale au sens de la loi du, diteloi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique dulittoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si leplan local d’urbanisme le prévoit[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (71,8 %), zones urbanisées (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), prairies (5,8 %), forêts (5,5 %), zones humides côtières (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Le nom du village est attesté sous les formesSclestetoth vers 1023[19],Esletetot vers 1025[20],Eslettot en 1032 et 1035[19].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, composée des éléments vieux norroissletta « terrain plat », qu'on retrouve aussi dansEslettes (Seine-Maritime,Esletis vers 1040) et dans les toponymes danois Sletten et anglaisSleights[21].
Le second élément-tot représente le vieux norroistopt, utilisé comme terminaison dans près de 350 noms de lieux normands. Il signifie « ferme, propriété rurale »[21].
L'étymologie et la tradition justifient l'orthographe et la prononciation Élétot et non pas Életot[21].
On y a retrouvé des traces d'une ville romaine, ainsi que des vases et des meules datant de l'Antiquité.
Des cercueils de pierre et une bague en argent ont également été découverts, ils datent de la période mérovingienne.
Laparoisse d'Életot dépendait de l’abbaye de la Trinité de Fécamp avant laRévolution française[Note 4].
Après laRévolution française, sur laplace du Marquais, un chêne fut planté, appeléarbre de la liberté, il fut abattu en 1946 parce qu'il devenait dangereux.
Deux autres arbres furent plantés : un autre chêne,l'arbre de l'Égalité, à 100 m du premier, et un hêtre,l'arbre de la Fraternité, près du calvaire, à l'ouest du village.
En 1879, l'école des garçons et la mairie sont construits. Aujourd'hui, l'école des garçons accueille la classe des CP-CE1, les CE2-CM1-CM2 sont dans l'ancienne école des filles, et la mairie a été transformée en cantine. La mairie actuelle se situe à 100 m de là, accompagnée de La Poste.
Le, le village est traversé pour la première fois par leTour de France, il s'agit de la4e étape duTour de France 1926, allant deDunkerque auHavre et longue de 361 km et remportée par le belgeFélix Sellier en14 h 57 min 1 s.
Le village a été une seconde fois traversé par leTour de France le lors de la4e étape duTour de France 2012 entreAbbeville etRouen, longue de 214,5 km, remportée par l’AllemandAndré Greipel.
Le, à13 h 25, l'armée allemande, venant deSaint-Pierre-en-Port, arrive à Életot. Elle en repartira le.
Deux jours plus tard, un avion anglais, en feu, veut se poser sur le terrain d'aviation. Il est immédiatement abattu par laFlak allemande. 4 des 5 passagers sautent en parachute, le5e, resté aux commandes, est tué lors de l'explosion de l'appareil.
Le, les corps de 19 soldats sont découverts au pied de la falaise. Ils proviennent du paquebot français, leMeknès, torpillé le[22].
Toutes les rangées d'arbres le long de la falaise sont abattues. Les troncs vont être utilisés pour empêcher les avions de se poser sur l'aérodrome d'Életot.Celui-ci, inauguré le, est bétonné par les Allemands et est encore visible aujourd'hui sous le nom deLa Piste, et est emprunté par leGR 21. Il est utilisé pour stationner une partie des 480 avions de chasses allemands prévu pour un éventuel débarquement enAngleterre, les autres étant àSainte-Hélène-Bondeville, mais la plupart d'entre eux seront utilisés pour des opérations enURSS en mai et juin1941.
Le, les Allemands font sauter à la dynamite l'escalier d'accès à la mer. Celui-ci sera reconstruit par le département en 1946.
Pendant l'été 1941, une batterie d'artillerie de Marine est installée dans la valleuse d'Életot, et une mitrailleuse sur la falaise. Les soldats sont alors environ 3 000. Deux batteries antiaériennes suivront, en.
Dans la nuit du 11 au, une maison hébergeant des Allemands est bombardée faisant 4 victimes civiles.
Du au, sont construits 3blockhaus : un poste de direction de tir et un abri pour groupe de combat au-dessus de la valleuse et un poste d'observation sur la falaise. Ils sont construits par l'entreprise RAFF originaire deSaint-Brieuc, sous-traitante de l'armée allemande.
Le à13 h 25, le village est à nouveau bombardé, par 36 avions alliés, mais, cette fois, ne faisant aucune victime.
Le, le corps du soldat anglais le Trooper Ivor Douglas James APLIN, du43rd Recce Regiment (en), est découvert sur la plage. Il provenait duMV Derrycunihy (en), cargo de 10 200 tonnes, qui a explosé sur une mine acoustique allemande le au large deOuistreham, faisant 214 morts, dont 25 membres d'équipage, et 150 blessés. Il est aujourd'hui inhumé dans le cimetière de la commune.
En 1952 est organisé le premier repas des aînés[réf. nécessaire].
En 1983, le club de football est créé[réf. nécessaire].En 2000, l'école maternelle voit le jour, ainsi que de nouveaux vestiaires pour le terrain defootball[réf. nécessaire].
Le, la nouvelle véranda de l'école est inaugurée, ainsi que le toit de l'ancienne mairie, qui a été rénové et recouvert depanneaux photovoltaïques.

| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| 14 janvier 1793 | 1795 | Jean Jaques Emo (1737-1804) | Cultivateur | |
| 1795 (an IV) | 1796 | Nicolas Lejeune (1736-?) | ||
| 1796 (an V) | 1798 | Michel Duval (1747-1821) | ||
| 1798 (an VII) | 1798 (3 mois) | Pierre Jacques Desmares (1764-?) | ||
| 1798 (an VII) | 1799 | Jean Lecarpentier (1756-1802) | Cultivateur | |
| 1799 (an VIII) | 18 janvier 1831 | Jean-Baptiste Leplay (1760-1836) | Cultivateur | |
| 19 janvier 1831 | 2 novembre 1831 | André Jacques Gournay (1759-1834) | ||
| 3 novembre 1831 | 19 août 1848 | Prosper Le Bas (1804-1861) | Cultivateur | |
| 20 août 1848 | 21 octobre 1848 | Irenée Levesque (1814-1889) | ||
| 22 octobre 1848 | 11 juin 1861 (décès) | Prosper Le Bas (1804-1861) | Cultivateur | |
| 29 septembre 1861 | 2 octobre 1865 | Irenée Levesque (1814-1889) | ||
| 3 octobre 1865 | 8 octobre 1870 | François Grenier (1785-1881) | Cultivateur | |
| 9 octobre 1870 | 19 avril 1885 | Romain Lucas (1826-1893) | Cultivateur | |
| 20 avril 1885 | 19 mai 1888 | Jean-Baptiste Noël (1832-1894) | Cultivateur | |
| 20 mai 1888 | 15 juin 1891 | Romain Lucas (1826-1893) | Cultivateur | |
| 16 juin 1891 | 14 février 1912 (décès) | Honoré Dufour (1834-1912) | Agriculteur | |
| 28 mars 1912 | 26 février 1918 | Frédéric Hamel (1859-1940) | ||
| 27 février 1918 | 24 novembre 1921 | Anthime Lozel (1854-1927) | ||
| 25 novembre 1921 | 15 mai 1935 | Pierre Boudin (1881-1956) | Cultivateur | |
| 16 mai 1935 | 18 mai 1945 | Jules Lecanu (1887-1955) | ||
| 19 mai 1945 | 20 juin 1946 (décès) | Adrien Tronel (1894-1946) | ||
| 31 juillet 1946 | 15 novembre 1972 (décès) | Pierre Basile (1898-1972) | ||
| 22 décembre 1972 | 29 mai 1984 | Léon Jeanne (1920) | Agriculteur | |
| 30 mai 1984 | 24 juin 1995 | Rémi Hautot (1930) | ||
| 25 juin 1995 | 19 mars 2008 | Paul Le Guen (1939) | Menuisier | |
| 20 mars 2008 | 4 avril 2014 | Patrick Régnier (1949) | Retraité de la Marine Marchande | |
| 4 avril 2014 | 3 juillet 2020[23],[24] | Paul Le Guen (1939) | Menuisier retraité | |
| juillet 2020[25] | en cours (au 10 août 2020) | Séverine Hébert | Secrétaire de mairie | |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2022, la commune comptait 630 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2016 (Seine-Maritime : +0,35 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 699 | 730 | 747 | 823 | 936 | 1 046 | 983 | 918 | 892 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 785 | 895 | 870 | 883 | 873 | 783 | 800 | 756 | 717 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 714 | 736 | 699 | 685 | 688 | 679 | 632 | 547 | 537 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 500 | 508 | 516 | 510 | 552 | 537 | 581 | 612 | 630 |
| 2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 634 | 630 | - | - | - | - | - | - | - |

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait318 hommes pour330 femmes, soit un taux de 50,93 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,90 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
| Hommes | Classe d’âge | Femmes |
|---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 1,3 |
6,2 | 75-89 ans | 9,1 |
14,3 | 60-74 ans | 15,1 |
23,3 | 45-59 ans | 19,4 |
16,5 | 30-44 ans | 21,1 |
19,4 | 15-29 ans | 17,1 |
20,3 | 0-14 ans | 17,0 |
| Hommes | Classe d’âge | Femmes |
|---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 1,8 |
6,7 | 75-89 ans | 9,6 |
16,7 | 60-74 ans | 18 |
19,4 | 45-59 ans | 19 |
18,5 | 30-44 ans | 17,5 |
19,2 | 15-29 ans | 17,4 |
18,9 | 0-14 ans | 16,7 |
Les collèges et lycées les plus proches sont situées àFécamp à 7 km.
La commune dispose aussi d'une petite bibliothèque de 2 623 ouvrages en 2012, inaugurée le, située à proximité de l'école et de la mairie
.
La commune n'a pas de médecin sur son territoire. Le plus proche est situé àSaint-Pierre-en-Port à 4 km.[réf. nécessaire]
L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier Intercommunal du Pays des Hautes Falaises, situé àFécamp à 9 km[32].
Le bourg fait partie de laparoisse catholique Saint-Benoît-du-Grand-Caux, dépendant audiocèse du Havre.


Une imposante tour carrée, épaulée aux angles de puissants contreforts de brique, dont le rez-de-chaussée forme lenarthex, est accolée à la façade occidentale, coiffée d'une courte flèche quadrangulaire.
Cette flèche était à l’origine la plus haute du pays et servait de point de repère aux marins jusqu'en 1861, année où la foudre et une violente bourrasque eurent raison d'elle.
Les armes de la commune d'Életot seblasonnent ainsi : Tranché d'azur et degueules, à la crosse d'abbé d'or brochant sur la partition, accompagnée en chef d'une coquille et en pointe d'un vase romain, le tout d'argent. Elles ont été adoptées le, lors d'une réunion du conseil français d'héraldique àMont-Saint-Aignan.
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Le logo d'Életot a été créé en juin 2010.
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