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Élections législatives en France

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Pour un article plus général, voirÉlections législatives.

Une urne utilisée en 1848, entreposée aumusée historique de Haguenau.

Lesélections législatives en France déterminent les représentants siégeant à lachambre basse duParlement. Cette chambre a eu plusieurs dénominations au cours de l'histoire, notamment :Assemblée législative sous laRévolution,Chambre des députés sous laRestauration, lamonarchie de Juillet et laIIIe République, puis enfinAssemblée nationale sous lesIVe etVe Républiques.

Sous laVe République, toutes les élections législatives ont eu lieu auscrutin uninominal majoritaire à deux tours, sauf lors desélections de 1986.

Lesdernières élections législatives ont eu lieu les et enFrance métropolitaine, et un jour plus tôt pour une partie de laFrance d'outre-mer, après dissolution de l'Assemblée nationale parEmmanuel Macron, président de la République.

Mode de scrutin

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Actuel

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À la différence de l'élection présidentielle, le mode de scrutin pour les élections législatives n'est pas fixé par laConstitution. L'article 25 de la constitution précise seulement qu'uneloi organique fixe la durée des pouvoirs de chaque assemblée, le nombre de ses membres, leur indemnité, les conditions d'éligibilité, le régime des inéligibilités et des incompatibilités. Il limite par ailleurs le nombre de députés à 577 depuis larévision constitutionnelle de.

Les modalités du scrutin sont fixées par lecode électoral qui prescrit unscrutin uninominal majoritaire à deux tours : un député est élu dans chacune des577 circonscriptions législatives pour un mandat d’une durée de cinq ans. Chaque électeur dispose d'une voix : au premier tour de scrutin, un candidat doit pour être élu recueillir lamajorité absolue des suffrages exprimés représentant au moins 25 % desélecteurs inscrits (et pas seulement des suffrages exprimés). Si aucun candidat n'est élu, un second tour a lieu et il est organisé comme suit :

  • se présentent les candidats ayant obtenu un nombre de suffrages égal à au moins 12,5 % des électeurs inscrits[1] s'il y a au moins deux de tels candidats
  • sinon, si un seul candidat ou aucun candidat ne remplit cette condition, peuvent se présenter les deux candidats ayant obtenu le plus de voix au premier tour
  • en cas de désistement, il n'y a jamais de remplacement par le candidat suivant (une triangulaire devient un duel, voire un duel un second tour à candidat unique)

Au second tour, le candidat obtenant la majorité relative, c'est-à-dire le plus de suffrages exprimés est élu. Il ne s'agit pas de la majorité absolue, ce qui signifie qu'un candidat peut être élu avec moins de 12,5 % des votes des électeurs inscrits, surtout si l'abstention est particulièrement élevée. En cas d'égalité, le candidat le plus âgé est élu[2]. De l'avis duConseil constitutionnel, cette règle polémique a vocation à demeurer en vigueur aux élections locales, tandis qu'au niveau national, dans ce cas théorique que n'a même pas envisagé la loi, un nouveau scrutin devrait se tenir[3].

En même temps que chaque député et sur le même bulletin de vote, un suppléant est élu dans le but de remplacer le député, si son mandat prend fin dans certaines circonstances. Il reprend les fonctions du député si celui-ci démissionne pour cause de cumul de mandat, décède, entre au gouvernement, dispose d'une mission de plus de six mois confiée par le Gouvernement ou accepte les fonctions de membre duConseil constitutionnel ou deDéfenseur des droits. En revanche, pour tout autre motif comme une démission, desélections partielles se tiennent pour procéder au remplacement.

Historique

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Articles connexes :Liste des élections législatives françaises (Troisième République),Liste des élections législatives françaises (Quatrième République) etListe des élections législatives françaises (Cinquième République).

Depuis l'instauration dusuffrage universel (seulement masculin jusqu'en 1944) pour les élections législatives, celles-ci se sont déroulées selon différentsmodes de scrutin.

DateMode de scrutinParticipation électorale au premier tour (en %)
Seconde République
Élections de 1848Scrutin de liste majoritaire à un tour départemental
(Décret du)
83,4
Élections de 1849Scrutin plurinominal majoritaire à deux tours départemental
(Loi électorale du[4][réf. non conforme])
68,1
Élections de 1852Scrutin uninominal majoritaire à deux tours

par arrondissement
(Décret organique du)

63,3
Second Empire
Élections de 1857Scrutin uninominal majoritaire à deux tours

par arrondissement
(Décret organique du)

64,5
Élections de 186372,7
Élections de 186978,0
Troisième République
Élections de 1871Scrutin plurinominal majoritaire à deux tours départemental
(Décret du qui reconduit les dispositions de la loi du[4][réf. non conforme])
inconnue
Élections de 1876Scrutin uninominal majoritaire à deux tours

par arrondissements
(Loi organique du 30 novembre 1875)

75,9
Élections de 187781,3
Élections de 188170,6
Élections de 1885Scrutin de liste majoritaire à deux tours départemental
(Loi du 16 juin 1885)
70,4
Élections de 1889Scrutin uninominal majoritaire à deux tours

par arrondissements
(Loi du 13 février 1889)

76,6
Élections de 189371,1
Élections de 189875,2
Élections de 190276,1
Élections de 190677,7
Élections de 191075,9
Élections de 191474,6
Élections de 1919Système mixte(Loi du 12 juillet 1919)
L'électeur vote pour une liste départementale de candidats, le panachage est autorisé.
Les candidats ayant obtenu la majorité absolue sont élus.
Les sièges non pourvus sont répartis au quotient entre les différentes listes.
Les sièges restants sont attribués à la liste arrivée en tête.
70,2
Élections de 192480,5
Élections de 1928Scrutin uninominal majoritaire à deux tours

par arrondissements
(Loi du 21 juillet 1927)

81,9
Élections de 193281,6
Élections de 193684,5
Gouvernement provisoire de la République française
Élections constituantes françaises de 1945Représentation proportionnelle départementale
Sans panachage ni vote préférentiel
(Ordonnance du)
77,8
Élections constituantes françaises de 1946Représentation proportionnelle intégrale
(circonscriptions départementales avec correctif au niveau national)
Seuil de 5 % pour les sièges correctifs au niveau national
Sans panachage ni vote préférentiel
(Loi du)
81,8
Quatrième République
Élections de nov. 1946Représentation proportionnelle départementale
Sans panachage, avec vote préférentiel
(Loi du)
78,1
Élections de 1951Système mixte départemental
Seuil départemental de 5 %
Avec panachage et vote préférentiel
(Loi du 9 mai 1951 diteloi des apparentements)
80,1
Élections de 195682,8
Cinquième République
Élections de 1958Scrutin uninominal majoritaire à deux tours parcirconscription
(Ordonnance du[5])
77,1
Élections de 196268,7
Élections de 196780,9
Élections de 196880,0
Élections de 197381,2
Élections de 197882,8
Élections de 198170,7
Élections de 1986Représentation proportionnelle départementale
Seuil départemental de 5 %
Sans panachage ni vote préférentiel
(Loi du[6])
78,5
Élections de 1988Scrutin uninominal majoritaire à deux tours parcirconscription
(Loi du[7], modifiée notamment par le
redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010)
65,7
Élections de 199368,9
Élections de 199767,9
Élections de 200264,4
Élections de 200760,4
Élections de 201257,2
Élections de 201748,7
Élections de 202247,5
Élections de 202466,7
Prochaines élections législatives françaises-

Les règles fixant les conditions d'accès des candidats au second tour dans le cadre du scrutin uninominal majoritaire à deux tours ont évolué au fil du temps. À partir de 1958, il faut avoir recueilli au moins 5 % des suffrages exprimés[5]. Cette disposition, qui avait été prise parordonnance, est introduite en octobre 1964 dans le code électoral à l'article L162[8],[9]. La loi du 29 décembre 1966 modifie cet article en fixant le seuil d'accès au second tour à 10 % du nombre d'électeurs inscrits[10]. Cette disposition est à nouveau modifiée par la loi du 19 juillet 1976 qui augmente le seuil à 12,5 % du nombre d'électeurs inscrits[11].

Dates du scrutin

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Le mandat de l'Assemblée nationale est de cinq ans.

Laloi organique 2001-419 du fixe au3e mardi du mois de juin la fin des pouvoirs de l'Assemblée nationale, cinq ans après son élection[12]. Cette loi a allongé le mandat de laXIe législature afin que lesélections législatives aient lieu après l'élection présidentielle.

Comme le mandat présidentiel a également été fixé àcinq ans parréférendum en 2000, les élections législatives ont lieu tous les cinq ans quelques semaines après l'élection présidentielle. Ce changement de calendrier permet au président nouvellement élu ou réélu de disposer d'unemajorité à l'Assemblée nationale et de diminuer les risques d'unecohabitation, lefait majoritaire. Néanmoins, plusieurs évènements peuvent modifier ce rapprochement électoral, notamment lors d'une démission ou d'un décès duPrésident de la République et lors de ladissolution de l'Assemblée nationale[13].

Les élections doivent se tenir dans les soixante jours qui précèdent l'expiration des pouvoirs de l'Assemblée sortante[14]. La date exacte du scrutin est fixée par leGouvernement.

Durant une législature, sauf durant sa dernière année, si un député démissionne — le plus souvent pour le cumul des mandats ou par nomination au gouvernement — ou que le scrutin est invalidé par leConseil constitutionnel, uneélection législative partielle est organisée afin de remplacer le siège.

Circonscriptions

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Le dernierdécoupage législatif (le12e) date de 2009. Il est voté en 2010 et appliqué depuis les élections législatives de 2012. Mais les circonscriptions sont constituées de cantons (plusieurs communes) et parfois d'une partie d'une commune. Le découpage des cantons a été modifié par deslois votées en 2013 pour les élections départementales de 2015 (président du conseil général).Il y a donc un redécoupage des circonscriptions indirecte implicite par redécoupage des cantons[pas clair]. De plus, certaines circonscriptions qui sont peu peuplées (DOM, COM, TAAF) ne permettent pas un découpage pour atteindre 120 000 habitants par circonscription ou député.

Il y a en tout 577 circonscriptions réparties de la sorte :

Pour des raisons organisationnelles, ce sont d'abord les électeurs français de l'étranger qui votent, puis les électeurs des territoires d'outre-mer ou ultramarins et enfin les électeurs de la métropole.

Électeurs

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Le scrutin législatif est ouvert à tous les électeurs des scrutins nationaux inscrits sur les listes électorales, c’est-à-dire à toute personne :

  • âgée de 18 ans au moins à la date du premier tour
  • n'étant pas déchue de ses droits civiques
  • de nationalité française
  • jouissant de ses droits civils et politiques
  • inscrite sur une liste électorale[15].

Candidats

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Pour se présenter, un candidat doit être électeur[16],[17]. Il n'est pas obligé de se présenter dans la circonscription où il est inscrit mais il est en revanche interdit de se présenter dans plusieurs circonscriptions (ce qui était autorisé sous laIIIe République jusqu'à une loi de 1889 à la suite du parcours deGeorges Boulanger). L'inscription sur les listes électorales n'est pas une obligation, seule la qualité d'électeur l'est.

Lecumul du mandat de député avec certains autres mandats est interdit. Ainsi, un député ne peut être :

De manière générale, il est interdit d'exercer plus de deux mandats électifs simultanément (sauf un mandat municipal d'une commune de moins de 3500 habitants).

En outre, le cumul de la fonction de député sera interdit à compter desélections de 2017 avec les fonctions de[18] :

Enfin, un député ne peut pas être ministre : si un député est nommé augouvernement, il est remplacé par son suppléant pendant la durée de ses fonctions gouvernementales.

Financement des partis

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Une partie du financement public des partis politiques est déterminée par les résultats des élections législatives[19]. Chaque parti ayant présenté des candidats ayant obtenu chacun au moins 1 % des suffrages exprimés dans au moins cinquante circonscriptions se voit attribuer une fraction de l'aide publique prévue, au prorata du nombre de suffrages de ses candidats. Des dispositions particulières sont applicables pour les partis des collectivités d'outre-mer. Ce financement est modulé par l'application de la parité (proportion d'hommes et de femmes présentés aux élections législatives), conformément à la loi n°88-227 du relative à la transparence financière de la vie politique[20] modifiée par la loi n°2000-493 du[21]. Une autre partie de l'aide publique est attribuée aux partis proportionnellement au nombre de députés et sénateurs qui y sont inscrits ou rattachés. Lors de la législature 2007-2012, chaque suffrage rapportait environ 1,70 euro par an et chaque parlementaire environ 44 000 euros par an[22].

Majorité parlementaire

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Sous laVe République, toutes les élections législatives ont eu lieu selon le mode de scrutin uninominal majoritaire à deux tours, saufcelle de 1986 qui eut lieu à la proportionnelle au scrutin de liste. Une a résulté de l'instauration de laVe République (celle de 1958), dix de la fin d'une législature (la dernière en 2022) et les six autres d'une dissolution de l'Assemblée nationale par décret du président de la République (la dernière en 2024).

Conséquences sur la direction du pays

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LaConstitution voulue par legénéral de Gaulle visait à renforcer les prérogatives du chef de l'État et du gouvernement au détriment duParlement. Au cours de laVe République, la hiérarchisation au profit du président élu au suffrage universel et non en faveur du chef du gouvernement responsable devant le Parlement, a montré qu'il n'existait pas toujours de réelle prééminence, en particulier lors des périodes de cohabitation[23]. Le « phénomène majoritaire » de l'Assemblée nationale est une des clefs de voûte du système institutionnel. En 1958,Michel Debré l'évoquait en s'exclamant :« Ah ! si nous avions la possibilité de faire surgir demain une majorité nette et constante[24]. ». Paradoxalement, malgré la volonté initiale de supprimer le « régime des partis », laVe République a renforcé, législature après législature, un système partisan fondé sur les grandsgroupes parlementaires[25]. Ainsi, et même si la décision appartient au seul chef de l'État, tous lespremiers ministres sont nommés en fonction de la majorité qui se dégage à l'Assemblée nationale à l'issue des élections législatives, rappelant, sans pour autant que ce mécanisme soit formalisé par la Constitution, lesrégimes parlementaires étrangers qui portent systématiquement à la tête du gouvernement le chef de la coalition victorieuse aux élections.

Notes et références

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  1. L'article L162 du code électoral précise la règle des 12,5 % d'inscrits nécessaires pour devenir candidat en ballotageArticle L162, surLégifrance.
  2. "Les modalités d'élection en France", sur interieur.gouv.fr.
  3. « Présidentielle : que se passe-t-il en cas d'égalité parfaite entre les candidats ? », surladepeche.fr(consulté le).
  4. a etbhttps://1851.fr/wp-content/uploads/2020/02/loi-%C3%A9lectorale-15-mars-1849.pdf
  5. a etb« Ordonnance n°58-945 du 13 octobre 1958 »(consulté le).
  6. « Loi n°85-690 du 10 juillet 1985 »(consulté le).
  7. « Loi n°86-825 du 11 juillet 1986 »(consulté le).
  8. Décret n°64-1086 du 27 octobre 1964 portant révision du code électoral,Journal officiel de la République française du 28 octobre 1964.
  9. Jean-Louis Pezant, Jean-Pierre Delannoy et Jean-Pierre Camby, « Connaissance de l'Assemblée n° 8 : L'élection des députés », surassemblee-nationale.fr,(consulté le).
  10. Loi n°66-1022 du 29 décembre 1966 modifiant et complétant le code électoral,Journal officiel de la République française du 30 décembre 1966.
  11. Loi 76-665 du 19 juillet 1976, art.1er,Journal officiel de la République française du 20 juillet 1976.
  12. Art LO121 du Code électoral, legifrance.gouv.fr
  13. « Le quinquennat », surVie-publique.fr(consulté le).
  14. Art LO122 du Code électoral,Légifrance.
  15. [1]règles du scrutin sur vie-publique.fr
  16. Modification du code électoral du 14 avril 2011
  17. Loi organique relative à l'élection des députés et sénateurs, sur le site du Sénat
  18. Loi organique n° 2014-125 du 14 février 2014 interdisant le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de député ou de sénateur
  19. Articles 8 et 9 de la loi n° 88-227 du 11 mars 1988 relative à la transparence financière de la vie politique
  20. Voir la Loi n°88-227 du 11 mars 1988 relative à la transparence financière de la vie politiquesur Légifrance.
  21. Voir la Loi n°2000-493 du 6 juin 2000 tendant à favoriser l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électivessur Légifrance.
  22. « Le régime de financement de la vie politique », sursenat.fr(consulté le).
  23. Jean Massot,Chef de l'État et chef du Gouvernement : la dyarchie hiérarchisée,Documentation française, 2008, 223p. .
  24. Michel Debré, « L'exercice du pouvoir », discours devant leConseil d'État, 27 août 1958,lire en ligne.
  25. Didier Maus, « La Constitution jugée par sa pratique. Réflexions pour un bilan. »,Revue française de science politique,34e année,no 4-5, 1984.pp.  875-909.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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