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Élection présidentielle française de 1939

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Élection présidentielle française de 1939
Corps électoral et résultats
Votants910
Blancs et nuls6
Albert Lebrun –AD
Voix506
55,97 %
en diminution 25,5
Albert Bedouce –SFIO
Voix151
16,70 %
Marcel Cachin –PC-SFIC
Voix74
8,19 %
en augmentation 7,2
Répartition des votes lors du scrutin
Diagramme
Président de la République
SortantRéélu
Albert Lebrun
AD
Albert Lebrun
AD
modifier -modifier le code -voir Wikidata 

Uneélection présidentielle se tient en France le afin d'élire leprésident de la République pour unedurée de sept ans.

Le contexte international tendu dans lequel se tient ce scrutin, six mois après lesaccords de Munich, lui confère une gravité relativement inédite sous laTroisième République. L’élection intervient en outre après des années de crises politiques.

Pressé par une grande partie de la classe politique de continuer à assurer sa fonction en ces temps troublés, le président de la République sortant,Albert Lebrun (Alliance démocratique), se résout à rompre avec la tradition coutumière en briguant un second mandat. Il est ainsi réélu par l’Assemblée nationale dès le premier tour de scrutin, malgré uneChambre des députés dominée par la gauche.

Contexte

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Élection présidentielle de 1932

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Article détaillé :élection présidentielle française de 1932.
Albert Lebrun, président de la République depuis 1932.

L'assassinat du présidentPaul Doumer par unexalté russe, le, intervient dans l’entre-deux-tours desélections législatives[1]. Alors président duSénat,Albert Lebrun fixe la date de réunion de l'Assemblée nationale (réunion de laChambre des députés et duSénat) au suivant. La nouvelle Chambre est dominée par la coalition de gauche duFront populaire mais ne prend ses fonctions qu'un mois plus tard. Ce sont donc les députés de la Chambre conservatriceélue en 1928 qui élisent Albert Lebrun à la présidence de la République, avec 81,5 % des voix exprimées.

Succession de crises politiques

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Articles connexes :crise du 6 février 1934,projet de réforme de l'État de Gaston Doumergue etélections législatives françaises de 1936.

Le septennat d'Albert Lebrun est marqué par une très forte instabilité ministérielle, sur fond de crises politiques larvées. Dix-huit ministères se succèdent entre 1932 et 1939[2].

L’ancien PrésidentGaston Doumergue, appelé à la tête du gouvernement après lacrise du 6 février 1934, échoue à mener uneréforme de l'État.

Adepte de lapratique institutionnelle traditionnelle, Albert Lebrun intervient peu dans le débat politique. Lors de lacrise du 6 février 1934, il se résout à nommer son prédécesseur à l'ÉlyséeGaston Doumergue, qui forme uncabinet d'union nationale avec la présence dePhilippe Pétain auministère de la Guerre. Le régime parlementaire étant de plus en plus rejeté, une vasteréforme de l'État, suivant les thèses d'André Tardieu, est engagée, mais le projet s'enlise et Doumergue démissionne en. S'ensuit une importante valse ministérielle.

À la suite desélections législatives de 1936, remportées par leFront populaire, Albert Lebrun consent à nommer le socialisteLéon Blum. C'est ensuite « la mort dans l'âme », selon ses propres mots, que le chef de l’État signe les textes de la majorité de gauche, tout en faisant régulièrement part de ses critiques sur la politique conduite.

En,Camille Chautemps remplace Léon Blum à Matignon mais conserve sa majorité avec les socialistes[3]. L'attribution du ministère des Finances àGeorges Bonnet annonce cependant le retour de l'orthodoxie en matière financière. La fin du septennat est marquée par le délitement du Front populaire avec le retour d'Édouard Daladier au pouvoir, en coalition avec la droite[4]. D'importants mouvements de grèves émaillent l'automne de la même année, lorsque le gouvernement révise laloi des 40 heures.

Dès le début de l'année 1939, Albert Lebrun patronne l'organisation du150e anniversaire de laRévolution française[5],[6].

Montée des périls internationaux

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La présidence d'Albert Lebrun est marquée par le retour de la France au premier plan dans les domaines industriel, artistique et culturel, après un repli relatif à la fin desannées 1920[7]. Le chef de l’État participe ainsi au lancement deNormandie, plus grand paquebot du monde, en 1932 ; son épouse,Marguerite, en est la marraine et participe à son voyage inaugural en 1935, rencontrant le PrésidentFranklin Delano Roosevelt à cette occasion. Albert Lebrun inaugure également l’Exposition universelle de 1937, ouvre laCoupe du monde de football 1938 et patronne l'ensemble de la section française à l'Exposition universelle de New York 1939-1940.

La politique étrangère de la France est cependant moins rayonnante. La première partie du septennat coïncide avec l'avènement derégimes totalitaires en Europe. L'arrivée d’Adolf Hitler en 1933 renforce les violations dutraité de Versailles. En 1935, laSarre estrattachée auReich, puis laconscription est restaurée, avant qu'un accord ne soit conclu avec leRoyaume-Uni pour reconstituer une flotte de guerre allemande. La Rhénanie est ensuite remilitarisée[8]. Un temps favorable aux Occidentaux, l’Italie fasciste deBenito Mussolini finit par basculer dans le camp de l'Allemagne après laguerre d'Éthiopie.

Bien que discret sur la scène politique, le Président Lebrun effectue plusieurs voyages diplomatiques. Il visite laYougoslavie au mois d', laBelgique à l'été 1935 à l'occasion de l’Exposition internationale de Bruxelles, puis le Royaume-Uni en janvier 1936. Alors que laguerre civile en Espagne est un catalyseur des tensions en France et en Europe, Albert Lebrun milite pour que la France demeure neutre dans le conflit, refusant de signer des décrets de nomination ou de révocation de personnel.

En 1938, Hitler revendique des territoires qui étaient germanophones avant laguerre de 1914-1918 etannexe l’Autriche puis larégion des Sudètes, après lareculade franco-britannique à Munich. Un traité est ensuite conclu entre la France et l'Allemagne : signé parGeorges Bonnet etJoachim von Ribbentrop, il reconnaît le caractère définitif des frontières entre les deux pays.

L’arrivée deFranklin Delano Roosevelt à laprésidence des États-Unis en 1933 n'inverse pas lapolitique de neutralité interdisant toute aide à un pays en guerre, agresseur comme agressé. Albert Lebrun concourt à la pression sur Roosevelt. Des contacts sont pris en 1938 pour permettre l'acquisition par la France d'avions de guerre américains sur la base de la loiCash and carry. En et, les paquebotsParis etNormandie rapatrient ainsi plusieurs dizaines d'avions de guerre[9].

La période illustre une diplomatie française extrêmement attentiste aux décisions du Royaume-Uni. Le, le Président Lebrun reçoit de façon fastueuseGeorge VI à Paris et à Versailles. Il refait le voyage de Londres en et reçoit un accueil extrêmement chaleureux, peu après l’annonce parÉdouard Daladier etNeville Chamberlain d’une alliance et des garanties d'assistance à laPologne si jamais Hitler décidait de l'envahir[10].

Campagne électorale

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Coutume du septennat unique

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C'est dans le contexte d’appréhension d'une nouvelle guerre que s'achève le septennat d'Albert Lebrun. La coutume en vigueur depuis la « Constitution Grévy » veut que le chef de l'État ne fasse qu'un seul mandat. Dans un premier temps, il apparaît qu'Albert Lebrun va quitter l’Élysée à la fin de son septennat[11].

En réflexion depuis l'automne 1938 et encouragé parPierre Laval,Fernand Bouisson fait d'abord figure de favori.Radical-socialiste consensuel auprès des députés, il a présidé la Chambre de 1927 à 1936. Néanmoins, les sénateurs ne veulent guère offrir la présidence de la République à un proche de Laval, et sa candidature fait l'objet d’attaques dans le courant du mois de. De même, le Président Lebrun ne voit pas sa candidature d'un bon œil et semble même donner des signes en faveur d'une candidature du président de la Chambre en fonction, le radicalÉdouard Herriot.

Nouvelle candidature Lebrun

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L'approche de l'élection présidentielle coïncide avec la fin de la « paix de Munich ». Le discours duFührer auReichstag le, puis lamise en place du protectorat de Bohême-Moravie en suivant, crispent l'opinion publique et inquiètent les parlementaires.

Président du Conseil lors de l’élection présidentielle,Édouard Daladier se rallie à Albert Lebrun, souhaitant continuer à préparer laguerre pressentie dans un contexte de stabilité.

Alors qu'un conflit militaire semble de plus en plus probable, l'hypothèse d'une seconde candidature d'Albert Lebrun est posée, à condition qu'il soit assuré d'être réélu dès le premier tour, afin de garantir la continuité présidentielle. En, le président du Conseil,Édouard Daladier, ne cache plus ses inquiétudes et se rallie à la stratégie de continuité présidentielle, voulant s'assurer qu'il restera en fonction une fois passée l'élection pour poursuivre une politique de préparation à la guerre.

Dans ces conditions, Fernand Bouisson renonce à se porter formellement candidat.Henri Roy, ultime espoir de la minorité du Parti radical, prend la même décision et rallie l'appel en faveur de Lebrun[12],[13]. Attendu par une partie de la droite,Philippe Pétain refuse de se concourir avant de partir pour Madrid, auprès deFranco. La droite se range à l'avis deJean Fernand-Laurent, chef de file desIndépendants-Républicains, qui rejoint à son tour la stratégie de continuité présidentielle.

SeulJoseph Caillaux paraît en course pour la présidence, mais laGauche démocratique en appelle également à Lebrun. Le, la liste des candidats écartés est clairement établie, mais personne ne sait encore ce que va faire le Président. Paul Simon, porte-parole duParti démocrate populaire, déclare que le Sénat votera pour le chef de l’État sortant.

Pressé, Albert Lebrun demeure légaliste. Il ne veut pas rompre avec la coutume constitutionnelle. Il accepte de consulter les présidents des deux assemblées, qui considèrent que tout obstacle juridique est levé. Ainsi,Édouard Herriot etJules Jeanneney demandent à leur tour au Président de se représenter[14].

Dans la presse, il est rapporté que, durant le voyage à Londres, la reine d'Angleterre a rappelé l'amitié franco-britannique face à la menace que représente Hitler, pour que le Président envisage une candidature. En effet, Londres s'inquiète particulièrement de l'instabilité qui pourrait surgir en France avec un nouveau chef de l’État, alors même que la majorité ne semble pas solide à un an des élections législatives prévues en.

Le, Albert Lebrun accepte de briguer un second mandat et reçoit le soutien formel de laFédération républicaine et de l'Union socialiste républicaine[13]. Le contexte particulier dans lequel se trouve la France explique donc la facilité relative avec laquelle le président de la République rompt avec la coutume du septennat unique. Elle illustre l'état de fébrilité qui règne dans la classe politique depuis le printemps 1938 et s'inscrit dans la logique imposée par Édouard Daladier pour pallier la menace imminente d’une guerre.

Désireux de rester en retrait, lessocialistes annoncent qu'ils seront représentés parAlbert Bedouce. Lescommunistes se rangent derrièreMarcel Cachin, comme en 1931 et 1932.

Albert Bedouce (SFIO) etMarcel Cachin (PC (SFIC)), tous deux candidats face à Albert Lebrun.

Déroulement de l’élection

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Réunion de l’Assemblée nationale

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Réunis dans lasalle du congrès duchâteau de Versailles, les membres de l’Assemblée nationale votent sous la présidence deJules Jeanneney.

Le 5 avril 1939, les 315 sénateurs et les 605 députés se réunissent àVersailles, enAssemblée nationale. Un déjeuner est donné àTrianon.Maurice Chevalier et l'ancien préfet de Police de ParisJean Chiappe sont notamment présents.

À 14 heures, le président duSénat,Jules Jeanneney, énonce le décret de convocation de l'Assemblée nationale. La séance est solennellement ouverte et les 36 scrutateurs désignés. L'appel nominal des parlementaires est effectué à partir de la lettre « L »[15].

Le fait que laChambre des députés, issue desélections législatives de 1936, soit majoritairement à gauche ne suffit pas à empêcher l'Assemblée nationale d'exprimer une sensibilité plus modérée en réélisant Albert Lebrun, qui a su tenir des positions relativement équilibrées lors du gouvernement duFront populaire et assurer la présidence pendant des années très agitées.

Résultats

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Résultats[16],[17],[18]
CandidatPartisPremier tour
Voix%
Albert LebrunAD50655,97
Albert BedouceSFIO15116,70
Marcel CachinPC-SFIC748,19
Édouard Herriot[a]RRRS535,86
Justin Godart[a]RRRS505,53
Fernand Bouisson[a]IND161,77
François Piétri[a]AD101,11
Autres candidats444,87
Majorité requise[b]453 voix
Votes valides90499,34
Votes blancs et nuls60,66
Total910100
Abstention101,09
Inscrits / participation92098,91

Suites et conséquences

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Réactions et cérémonie d’investiture

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La réélection d'Albert Lebrun est perçue dans un relatif soulagement par l'opinion publique.

Le 6 avril 1939,Jules Jeanneney se rend au palais de l’Élysée en compagnie d'Édouard Daladier et des membres deson cabinet pour la cérémonie d'investiture. Un extrait du procès verbal est donné à Albert Lebrun, qui est investi pour son second septennat. Le président du Conseil déclare que le Président a répondu au vœu de Assemblée nationale, en consentant à demeurer chef de l'État en pleine difficultés. Dans son allocution, le président réélu confirme sa fidélité aux engagements pris vis-à-vis du pays en 1932 qu’il entend continuer à se situer au-dessus des querelles politiques.

Effondrement de la Troisième République

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Levote des pleins pouvoirs constituants à Philippe Pétain met de fait un terme à la présidence d’Albert Lebrun.

À partir dudécret-loi du 2 mai 1938 sur le travail des étrangers, un discours relativement xénophobe est porté par legouvernement Daladier[c]. Le décret-loi du 29 juillet 1939 proroge de deux ans le mandat des députés et prévoit le renouvellement de la Chambre en mai 1942 au lieu de 1940 (alors que la guerre n'est pas encore déclarée). L'historienneAnnie Lacroix-Riz fait état d'un « Vichy avant Vichy », d'autres de « dictature Daladier » pour qualifier cette période de la fin de la Troisième République durant laquelle le gouvernement use massivement des moyens du décret-loi et de la législation d'exception.

La séquence allant de mai 1938 à mai 1940 explique partiellement la facilité avec laquelle lemaréchal Pétain s’empare du pouvoir, sous couvert des apparences de la légalité, alors même que la France subit la plus lourdedébâcle militaire et politique de son histoire et qu'aucune opposition notable ne s’exprime, sinon levote négatif de 80 parlementaires aux pleins pouvoirs constituants du Maréchal[19].

De fait, Albert Lebrun est déposé (tout comme le régime de la Troisième République) avec le vote de laloi constitutionnelle du 10 juillet 1940. Cependant, il n'est pas formellement question de la fin de ses fonctions, ni même de la fin de laRépublique française ou du déménagement de la capitale deParis àVichy. Il est édicté que le maréchal Pétain est le chef de l'État français, chargé de rédiger la nouvelle Constitution.

Libération de la France

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Legénéral de Gaulle, président duGPRF à laLibération, lors de laquelle Albert Lebrun ne retrouve pas son second mandat présidentiel.

La publication de l’ordonnance du acte la prolongation constante de la République à travers laFrance libre. Elle considère comme nuls et non avenus tous les textes réglementaires « constitutionnels » édictés par le régime de Vichy, en commençant par laloi constitutionnelle du 10 juillet 1940. Par conséquent, leGouvernement provisoire de la République française (GPRF), dirigé par legénéral de Gaulle, n'a pas à proclamer laRépublique, considérant que celle-ci n’a jamais cessé d’exister[20].

Aussi, l'ordonnance permet de considérer que le mandat d'Albert Lebrun court jusqu'au 10 mai 1946, puisqu’il n'a jamais démissionné. Cependant, il ne retrouve pas ses fonctions de facto après la libération mais ne remet pas sa démission pour autant se déclarant acquis au général De Gaulle.

De facto, Albert Lebrun a deux successeurs directs :

  • Philippe Pétain, si lerégime de Vichy est considéré comme la continuité de la Troisième République ;
  • Charles de Gaulle, si laFrance libre est vue comme la pleine continuité républicaine

De jure, il a pour successeur le socialisteVincent Auriol, qui est élu président de la République française le16 janvier 1947 (la fonction de président de la république étant donc vacante légalement depuis mai 1946), laQuatrième République renouant alors avec le modèle d'élection du chef de l'État par les deux chambres. Vincent Auriol est le premier à se réinstaller au palais de l'Élysée, qui demeurait inoccupé depuis.

Notes et références

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Notes

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  1. abc etdNon candidat.
  2. Lamajorité absolue des suffrages exprimés est requise.
  3. L’internement des « indésirables étrangers » est également prévu et permet l’internement « de tout individu, Français ou étranger, considéré comme dangereux pour la défense nationale ou la sécurité publique ». Il existe également descamps d'internement français qui détiennent des réfugiés de laGuerre civile espagnole, sans que ceci ne soit dissimulé à l'opinion, qui n'oppose guère d'hostilité.

Références

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  1. Véronique Laroche-Signorile, « Il y a 85 ans, l'assassinat du Président Paul Doumer », surlefigaro.fr,.
  2. « PJ 1939 490 SUP1 - M. le Président de la République », surgparchives.com(consulté le).
  3. « Front populaire », surlarousse.fr(consulté le).
  4. « L'agonie du Front populaire (juin 1937-novembre 1938) », suruniversalis.fr(consulté le).
  5. « 14 juillet 1939 : "C'est fête, chers auditeurs, c'est fête nationale" », surfranceculture.fr.
  6. « PJ 1939 496 19 - Les 150 ans de la Révolution française », surgparchives.com(consulté le).
  7. « GP archives : M. le Président de la République », surgparchives.com(consulté le).
  8. « 3914GJ 00017 - Avant l’élection présidentielle : Montélimar »(consulté le).
  9. « Match »,Match N°42,‎
  10. NicolasSkopinski, « Le 6 février 1939, le jour où le Royaume-Uni a compris que son ennemi n’était pas la France », surslate.fr,(consulté le).
  11. « La constitution Grévy »[PDF], surcours.unjf.fr(consulté le).
  12. https://rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/cgi-bin/hub?a=d&d=PMIDSOC19390405-B315556101-MIDSOC-1939-04-05.1.1&e=fr-20--1--txt-------TE--0----
  13. a etb« L’Intransigeant 6 avril 1939 - (6-avril-1939) », surRetroNews - Le site de presse de la BnF,(consulté le).
  14. « Match »,Match N°40,‎
  15. « PJ 1939 491 SUP - réélection du Président Lebrun », surgparchives.com(consulté le).
  16. « M. Albert Lebrun est réélu président de la République par 506 voix sur 910 votants –Le Figaro, 6 avril 1939 », surGallica(consulté le).
  17. « M. Albert Lebrun est réélu par 506 voix sur 910 votants –L'Homme libre, 6 avril 1939 », surGallica(consulté le).
  18. « M. Albert Lebrun est réélu président de la République –Le Journal, 6 avril 1939 », surGallica(consulté le).
  19. « 10 juillet 1940 - Pleins pouvoirs au Maréchal Pétain - Herodote.net », surherodote.net(consulté le).
  20. « L'ordonnance du 9 août 1944 », surFondation Charles de Gaulle(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Thierry Billard,Paul Deschanel, Paris,Belfond,, 298 p.Document utilisé pour la rédaction de l’article

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Articles connexes

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v ·m
Présidentielles
Législatives
Sénatoriales
Cantonales
Municipales
ColonialesVoirpalette spécifique
Référendums
Nationaux
Locaux
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