Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Élection présidentielle bissau-guinéenne de 2019

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Précédent2014Drapeau de la Guinée-Bissau2025Suivant
Élection présidentielle bissau-guinéenne de 2019
(1er tour)
29décembre2019(2d tour)
Corps électoral et résultats
Inscrits761 676
Votants au1er tour566 473
74,37 %en diminution 14,9
Blancs et nuls au1er tour11 125
Votants au2d tour553 521
72,67 %
Blancs et nuls au2d tour5 694
Umaro Sissoco Embaló –Madem-15
Voix au1er tour153 530
27,65 %
Voix au2e tour293 359
53,55 %
Domingos Simões Pereira –PAIGC
Voix au1er tour222 870
40,13 %
Voix au2e tour254 468
46,45 %
Nuno Gomes Nabiam –APU-PDGB
Voix au1er tour73 063
13,16 %
en diminution 24,9
José Mário Vaz –Indépendant
Voix au1er tour68 933
12,41 %
en diminution 28,5
Président
SortantÉlu
José Mário Vaz
Ind.
Umaro Sissoco Embaló
M-G15
modifier -modifier le code -voir Wikidata 

L'élection présidentielle bissau-guinéenne de 2019 a lieu les et enGuinée-Bissau afin d'élire leprésident de la république pour un mandat de cinq ans.

Les élections sont l'aboutissement d'une longue crise politique entre le présidentJosé Mário Vaz et le parti au pouvoir, dans le cadre d'unrégime semi-présidentiel.

Le président sortant est finalement éliminé dès le premier tour, relégué en quatrième position. Les anciens Premiers ministresDomingos Simões Pereira etUmaro Sissoco Embaló arrivent en tête et s'affrontent au second tour le mois suivant. Umaro Sissoco Embaló l'emporte au second tour après avoir obtenu le soutien des principaux candidats malheureux, parmi lesquels le président sortant, l'ancien Premier ministreCarlos Gomes Júnior etNuno Gomes Nabiam.

Contexte

[modifier |modifier le code]

Les élections doivent mettre fin à plusieurs années de crise politique courant depuis, lorsque le présidentJosé Mário Vaz limoge le Premier ministreDomingos Simões Pereira, chef duParti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), au pouvoir et dont fait également partie José Mário Vaz, à la suite de dissensions entre les deux hommes. L'investiture du successeur de Pereira,Baciro Djá, est invalidée par la Cour suprême le1er septembre, et le PAIGC l'exclut du parti.Carlos Correia, candidat avancé par le PAIGC, le remplace deux semaines plus tard.

Le, le présidentJosé Mário Vaz le limoge à son tour avec son gouvernement[1].Baciro Djá lui succède[2]. Cependant, le gouvernement refuse de céder le pouvoir[3], et décide de ne pas quitter le siège du gouvernement au profit du gouvernement Djá. En réaction, la Justice bissau-guinéenne fait couper l'eau et l'électricité dans le bâtiment, et en interdit l'entrée aux ministres déjà sortis[4]. Le, il quitte finalement le siège du gouvernement avec ses ministres[5]. Il est alors remplacé parBaciro Djá, désormais étiquetéindépendant.

Le présidentJosé Mário Vaz

Un accord de sortie de crise est signé à Conakry le, etUmaro Sissoco Embaló (PAIGC) devient Premier ministre le avec pour objectif l'organisation au plus vite de nouvelles législatives, mais il démissionne le, considérant que les conditions lui permettant de continuer à exercer ses fonctions n'étaient pas remplies. Les dissensions au sein du parti au pouvoir ont entre-temps entrainé le départ de 15 députés sur 57, faisant perdre au PAIGC samajorité absolue a l'assemblée, composée de 102 sièges. Le président Vaz nomme alorsArtur Silva avec le soutien des 15 frondeurs et des 41 députés duParti du renouveau social (PRS), auparavant dans l'opposition. La crise perdure ainsi au sein de la classe politique[6].

Un nouvel accord de sortie de crise est conclu le àLomé au sommet extraordinaire de laCommunauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao). Celui-ci abouti à la désignation d’un Premier ministre de consensus,Aristides Gomes, chargé de conduire le pays aux législatives, fixées au[7]. Le, le Parlement prolonge son mandat, qui devait expirer le, jusqu'à la proclamation des résultats des nouvelles élections législatives[8].

En octobre, la Cédéao, l'Union africaine (UA) et les Nations unies« se félicitent des avancées enregistrées dans la stabilisation du pays »[9]. Malgré un dernier report pour cause de retard dans l’établissement des nouvelles listes électorales, leslégislatives ont ainsi lieu dans le calme le. LeParti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) ne parvient pas à retrouver la majorité absolue, miné par la dissidence de plusieurs de ses membres ayant formé leMouvement pour l'alternance démocratique G-15 (MADEM G-15), tandis que leParti du renouveau social, principal parti d'opposition, enregistre également un résultat en très nette baisse. Le déclin des deux grandes formations historiques se fait ainsi au profit du MADEM G-15 et de l'Assemblée du peuple uni – Parti démocrate de Guinée-Bissau (APU-PDGB), qui font leur entrée au parlement.

À la suite d'accords de coalition conclus au cours de la campagne électorale, le PAIGC parvient néanmoins à se maintenir grâce au soutien de l'APU et de deux formations mineures, le premier étant considéré comme le« faiseur de roi » de ces élections[10]. Malgré un scrutin ayant eu lieu dans de très bonnes conditions, sans violences et avec une participation très élevée frôlant les 85 %, les résultats inquiètent les observateurs. La reconduite du PAIGC prolonge de fait la mésentente institutionnelle entre le gouvernement et le président Vaz, jusqu'à l'élection présidentielle[11]. Après les législatives, la justice rejette la requête de l'opposition d'attendre la formation du bureau de l'Assemblée pour lancer les consultations visant à la formation du prochain gouvernement[12]. Après le lancement des tractations, le président Vaz refuse de nommer Domingos Simões Pereira au poste de Premier ministre, demandant au PAIGC de proposer un autre candidat[13]. Le, à la veille de la fin de son mandat, le président Vaz reconduit le Premier ministre sortant Gomes[14].

Initialement proposé pour le, le scrutin est finalement fixé une vingtaine de jours plus tard, le 24, par un décret présidentiel du, afin selon les observateurs de donner plus de temps à la mission de médiation de laCEDEAO dans son travail de résolution de la crise politique[15], ce qui est accepté par le PAIGC[16]. José Mário Vaz ayant décidé de rester en poste jusqu'à la présidentielle de novembre, des manifestations appellent à son départ[17]. Le, le Parlement décide de son remplacement par le président de l'Assemblée nationale Cipriano Cassamá[18]. Les parlementaires de la majorité menée par le PAIGC le considèrent en effet illégitime passé la fin de son mandat de cinq ans. La Constitution est cependant floue quant à la possibilité d'une prorogation du mandat présidentiel, posant la question du caractère obligatoire de son départ[19]. Le, le parquet ordonne l'arrestation de Cipriano Cassamá, président du Parlement et de Califa Seidi, président du groupe parlementaire du PAIGC[20]. Mais le jour même, la Cédéao décide lors d'un sommet que Vaz restera en poste jusqu'à la présidentielle sous réserve de ne pas interférer dans la gestion des affaires du Gouvernement reflétant la majorité issue des législatives à constituer avant le par Aristide Gomes et qu'un nouveau procureur général doit être nommé avant le[21]. Ces nominations interviennent le[22].

Le, des milliers de manifestants partisans de candidats de l'opposition réclament le report du scrutin dans le but de modifier le fichier électoral et éviter des fraudes[23]. Trois jours plus tard, le président Vaz limoge le gouvernement[24]. Son limogeage n'est pas reconnu par laCEDEAO qui menace de sanctions[25]. Le nouveau gouvernement, dirigé parFaustino Imbali, est investi le, et Vaz assure que le scrutin aura lieu à la date prévue[26]. La CEDEAO donne à Imbali jusqu'au sommet du pour démissionner, alors que le Conseil de sécurité nationale convoqué par le Chef de l'Etat appelle en vain les forces armées à permettre l'installation du nouveau gouvernement[27]. Celles-ci refusent en effet d’intervenir. Aristide Gomes et les membres de son Gouvernement continuent donc leurs activités pendant cette période au Palais du Gouvernement et dans les autres sièges des différents ministères. Affirmant avoir été empêché d'exercer ses fonctions, Imbali démissionne finalement le jour du sommet[28].

Aristides Gomes, fort du soutien de la CEDEAO[29], retrouve ou conserve ainsi selon les interprétations juridiques ses fonctions de Premier ministre[30].

Mode de scrutin

[modifier |modifier le code]

Leprésident de la Guinée-Bissau est élu auscrutin uninominal majoritaire à deux tours pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Si aucun candidat ne recueille la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour, un second est organisé entre les deux candidats arrivés en tête, et celui recueillant le plus de suffrages est déclaré élu.

Candidats

[modifier |modifier le code]

La campagne débute le[31]. Sont notamment candidats :

Second tour

[modifier |modifier le code]

Umaro Sissoco Embaló reçoit le soutien du président sortantJosé Mário Vaz, de l'ancien Premier ministreCarlos Gomes Júnior[34] et deNuno Gomes Nabiam[35].

Résultats

[modifier |modifier le code]
Résultats de la présidentielle bissau-guinéenne de 2019[36],[37],[38]
CandidatsPartisPremier tourSecond tour
Votes%Votes%
Domingos Simões PereiraPAIGC222 87040,13254 46846,45
Umaro Sissoco EmbalóMadem G-15153 53027,65293 35953,55
Nuno Gomes NabiamAPU-PDGB73 06313,16
José Mário VazIndépendant68 93312,41
Carlos Gomes JúniorIndépendant14 7662,66
Baciro DjáFREPASNA7 1261,28
Vicente FernandesPCD4 2500,77
Mamadú Iaia DjalóPND2 8130,51
Idriça DjalóPUN2 5690,46
Mutaro Intai DjabiIndépendant2 3850,43
Gabriel Fernando IndiPUSD1 9820,36
António AfonsoPRID1 0610,19
Votes valides555 34898,04547 82798,98
Votes blancs et nuls11 1251,965 6941,02
Total566 473100553 521100
Abstention195 20325,63208 15527,33
Inscrits / participation761 67674,37761 67672,67

Représentation des résultats du second tour :

Sissoco
Embaló
(53,55 %)
Simões
Pereira
(46,45 %)
Majorité absolue

Suites

[modifier |modifier le code]

Embaló revendique sa victoire dès le lendemain du scrutin[39], ce que confirment les résultats officiels[40]. Son rival conteste cependant les résultats auprès de la Cour suprême, sans avoir toutefois déposé de réclamation auprès de la Commission nationale électorale (CNE), ce qu'impose la loi électorale[41]. La Cour suprême a alors sept jours pour s'exprimer[42]. Le recours du candidat du PAIGC est rejeté le, la Cour Suprême relevant d’office un vice de forme, à savoir l’inexistence du procès-verbal de la session de la CNE ayant statué sur les résultats définitifs, ce qui ne lui permet pas de se prononcer sur le fond du litige[43]. Elle enjoint par conséquent à la CNE de produire ce document dans les formes prévues par la loi électorale.

La CNE établit le, a posteriori, ledit procès-verbal antidaté au1er janvier 2020. Bien que contesté par une minorité de ses membres (représentant le PAIGC), il confirme les résultats déjà proclamés. Peu après, le, un nouvel arrêt de la Cour suprême appelle à ce qui apparait comme un recomptage des voix[44]. Cet arrêt à la rédaction ambiguë est différemment interprété, non seulement par les deux candidats du second tour, mais aussi par les juristes. Pour certains, la Cour suprême ne demande pas un recomptage des bulletins de vote mais un authentique procès-verbal[N 1]des délibérations de la session de la CNE sur l’agrégation au niveau national des votes, établi dans les règles prévues par la loi, comprenant notamment le compte-rendu sincère des positions et interventions des membres de la CNE et du processus de décision sur les résultats retenus par celle-ci pour être proclamés. Le, il est procédé par la CNE à une vérification des procès-verbaux du second tour des sessions des commissions régionales électorales sur demande de laCommunauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) afin de tenter de sortir le pays de l'impasse politique[45]. À l'issue de cette opération, la commission nationale électorale donne de nouveau Umaro Sissoco Embaló vainqueur du scrutin le[46]. Ce dernier annonce prendre ses fonctions le[47].

Le, la CEDEAO donne à la Cour suprême jusqu'au pour trancher de la question[48]. Cinq jours plus tard, la Cour suprême rejette la demande du PAIGC d'annuler la nouvelle décision de la CNE du qui confirmait ses précédentes proclamations quant aux résultats du second tour[49]. Rejetant par principe l’intervention et la médiation de la CEDEAO, la Cour suprême considère en effet la vérification opérée par la CNE sous pression de la CEDEAO comme inexistante et extraprocessuelle. Elle appelle de nouveau la commission nationale électorale à se conformer à l’intégralité de ses arrêts précédents[50]. Tout en prenant acte des résultats définitifs établis par la CNE, la CEDEAO appelle le la Cour suprême et la commission nationale électorale à régler leur contentieux[51]. La CNE établit le un nouveau procès-verbal, cette fois exhaustif, mais toujours avec les mêmes résultats donnant Embalo gagnant[52].

Sans attendre la décision de la Cour suprême[N 2], l’investiture d’Embaló a lieu comme annoncé le à 11 heures du matin à Bissau, dans un hôtel en présence d'une partie des députés[53], alors que la Constitution dans son article 67 prévoit en principe une investiture lors d’une session plénière de l’Assemblée nationale. Il prend ses fonctions en présence du président sortant Vaz, du premier vice-président de l'Assemblée Nuno Nabiam et des députés membres du Parti du renouveau social et du Mouvement pour l'alternance démocratique G-15[54]. Le Premier ministreAristides Gomes, nommé le 22 juin 2019 par le prédécesseur d'Umaro Sissoco Embaló sous pression de laCommunauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), dénonce une« tentative de coup d'État »[55]. Aristides Gomes est limogé le lendemain de l'investiture. Le nouveau président justifie cette décision par l'impossible cohabitation entre les deux hommes[56]. Embaló nomme immédiatement comme Premier ministre Nuno Gomes Nabiam, un des candidats malheureux du premier tour de la présidentielle, qui l'avait rallié lors du second tour[55]. En réaction, 54 députés sur les 102 que compte l'Assemblée nationale investissent le au soir[57] le Président de cette dernière, Cipriano Cassamá, comme Président de la République par intérim, alors même qu'Embaló réside déjà au palais présidentiel[58]. L'armée prend ensuite le contrôle du siège de la télévision et de la radio[59], ainsi que du siège du gouvernement, de l'Assemblée nationale et du Palais de justice qui abrite la Cour suprême[60]. La Force militaire Ecomib, forte alors d'environ 700 hommes, que laCommunauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) maintenait en Guinée-Bissau depuis le coup d'Etat de 2012 pour protéger les institutions et maintenir la stabilité du pays, placée dans une situation difficile, n'intervient pas, bien que cette hypothèse ait été évoquée plusieurs fois dans le passé par la CEDEAO pour des situations à risques élevés similaires[61]. Le1er mars, Cassamá annonce renoncer à la présidence par intérim, évoquant des menaces de mort[62].

Le, Embaló est reconnu par la CEDEAO[63], qui lui demande cependant de nommer un nouveau Premier ministre d'ici le. L'organisation préconise également une réforme de la constitution soumise à référendum dans les six mois, alors qu'Embaló évoque des législatives anticipées[64].

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Cette exigence viendrait de ce que, par facilité, les "procès-verbaux" des dépouillements électoraux en Guinée-Bissau comportent souvent seulement, d'une part la liste des présents et, d'autre part, les résultats, sans aucune mention sur le déroulement de la session délibérative.
  2. La décision définitive de la Cour suprême sur le contentieux électoral n’interviendra que le 4 septembre 2020. Le recours du candidat du PAIGC y est écarté car, selon l’arrêt, les irrégularités alléguées n’ont pas fait l'objet, en temps et en lieu, de réclamations selon la procédure légale. Cf.« Guiné-Bissau: Queixa eleitoral de Domingos Simões Pereira é "improcedente", determina o Supremo Tribunal de Justiça », survoaportugues.com, Voice of America,(consulté le)

Références

[modifier |modifier le code]
  1. « Nouvelle dissolution d’un gouvernement en Guinée-Bissau », surRFI Afrique(consulté le).
  2. « Guinée-Bissau: le nouveau Premier ministre contesté prête serment », surTV5MONDE(consulté le).
  3. « Guinée-Bissau: le gouvernement dissout refuse la nomination de Baciro Djá », surRFI Afrique(consulté le).
  4. « Guinée-Bissau: l'étau se resserre autour du gouvernement déchu », surRFI Afrique(consulté le).
  5. « Guinée-Bissau: les ministres réfractaires ont quitté le Palais du gouvernement », surRFI Afrique(consulté le).
  6. « Guinée-Bissau : le recensement électoral encore prolongé », surJeune Afrique,.
  7. Décret de nomination du nouveau Premier ministre bissau-guinéen, VOA Afrique, 16 avril 2018.
  8. Assembleia Nacional Popular (Assemblée nationale populaire Union Interparlementaire.
  9. « Guinée Bissao: la communauté internationale se félicite des avancées enregistrées dans la stabilisation du pays », surguineelive,.
  10. Législatives à Bissau: le PAIGC bien parti pour constituer une majorité avec ses alliés.
  11. Guinée-Bissau: courte victoire du parti au pouvoir aux législatives.
  12. Le Point Afrique, « Guinée-Bissau  : l'opposition perd une manche devant la Cour suprême », surlepoint.fr,(consulté le).
  13. « Guinée-Bissau : José Mário Vaz refuse de nommer Domingos Simões Pereira au poste de Premier ministre – JeuneAfrique.com », surJeuneAfrique.com(consulté le).
  14. « Bissau: le président Vaz reconduit son Premier ministre, trois mois après les législatives (officiel) »(consulté le).
  15. « Guinée-Bissau : une présidentielle le 24 novembre, un Premier ministre bientôt installé », surLa Tribune(consulté le).
  16. AfricaNews, « BISSAU : le président Vaz reconduit son premier ministre », surAfricanews(consulté le)
  17. « Bissau : Manifestantes exigem nomeação de novo Governo e saída de Jomav / DW / 24.06.2019 », surDW.COM(consulté le).
  18. « Guinée-Bissau : les députés décident le remplacement du président sortant par le président de l'Assemblée nationale »(consulté le)
  19. « Le PAIGC ne reconnait plus la légitimité du président Vaz », surBBC News Afrique(consulté le).
  20. AfricaNews, « Bissau : le parquet ordonne l'arrestation du président "intérimaire" désigné par l'Assemblée », surAfricanews(consulté le).
  21. « Bissau: la Cédéao confie les affaires courantes au gouvernement », surL'Orient-Le Jour(consulté le).
  22. « Guinée-Bissau: le président nomme un nouveau gouvernement », surLe Figaro(consulté le).
  23. « Guinée Bissau : la police réprime violemment une manifestation pour le report de l’élection présidentielle – JeuneAfrique.com », surJeuneAfrique.com(consulté le).
  24. « Guinée-Bissau: le président démet le gouvernement », surLe Figaro.fr(consulté le)
  25. « Guinée-Bissau : le président Vaz nomme un nouveau Premier ministre, la Cedeao brandit la menace de sanctions », surJeuneAfrique.com,(consulté le).
  26. « Guinée-Bissau : le président Vaz persiste et défie la communauté internationale – JeuneAfrique.com », surJeuneAfrique.com(consulté le)
  27. « Guinée-Bissau: chaque camp se fait plus menaçant », surRFI Afrique(consulté le).
  28. « Guinée-Bissau: le Premier ministre Faustino Imbali, nommé par Vaz, démissionne », surRFI Afrique(consulté le).
  29. « Vaz recherche un troisième Premier ministre », surBBC News Afrique(consulté le)
  30. (pt) « Ruth Monteiro acumula Negócios Estrangeiros », surjornaldeangola.sapo.ao(consulté le).
  31. « Guinée-Bissau: début de campagne sur fond de blocage », surRFI Afrique(consulté le).
  32. « Bissau : le président Vaz se représentera en indépendant (entourage) », surAfricanews,(consulté le).
  33. « Guinée Bissau : José Mario Vaz candidat indépendant à l’élection présidentielle – JeuneAfrique.com », surJeuneAfrique.com(consulté le)
  34. « Guinée-Bissau : le candidat indépendant Carlos Gomes Junior déclare son soutien à Umaro Sissoco Embalo au second tour de la présidentielle », surfrench.xinhuanet.com(consulté le).
  35. « Élections en Guinée-Bissau: Sissoco Embalo engrange le soutien de Nuno Nabiam », surRFI Afrique(consulté le).
  36. (pt) « + Minuto a Minuto: Resultados das eleições na Guiné-Bissau + », surDW.COM(consulté le).
  37. (pt) « CNE - RESULTADOS PROVISÓRIOS PRESIDENCIAIS 2019 », surwww.cne.gw(consulté le).
  38. (es) COMISSÃO NACIONAL DE ELEIÇÕES, « DIVULGAÇÃO DOS RESULTADOS PROVISÓRIOS DA SEGUNDA VOLTA DAS PRESIDENCIAIS DE 29 DE DEZEMBRO ».
  39. « Guinée-Bissau-Embalo revendique la victoire à la présidentielle »,Le Figaro,‎(lire en ligne).
  40. « Guinée-Bissau : l'opposant Umaro Sissoco Embaló élu président »,TV5 Monde,‎(lire en ligne).
  41. « Guinée-Bissau : le PAIGC conteste les résultats du 2nd tour de la présidentielle »,Radio France internationale,‎(lire en ligne).
  42. AfricaNews, « Présidentielle en Guinée-Bissau : le perdant introduit des recours en annulation », surAfricanews,(consulté le).
  43. « Guinée-Bissau: vers la proclamation des résultats définitifs de la présidentielle », surRFI Afrique(consulté le).
  44. « Guinée-Bissau : la Cour suprême appelle à un recomptage des voix », surLe Point, lepoint.fr,(consulté le).
  45. « Guinée-Bissau – Umaro Sissoco Embalo : à peine président, déjà contesté », surLe Point, lepoint.fr,(consulté le).
  46. « Journal de l'Afrique - Guinée-Bissau : Umaro Sissoco Embalo de nouveau donné vainqueur de la présidentielle », surFrance 24, FRANCE24,(consulté le).
  47. « Guinée-Bissau : Umaro Sissoco Embalo affirme qu'il prendra ses fonctions de président le 27 février (médias) », surfrench.xinhuanet.com(consulté le).
  48. « La Cédéao donne 6 jours à la Guinée-Bissau pour régler le contentieux électoral », surRFI, RFI,(consulté le).
  49. « Guinée-Bissau : la Cour suprême rejette la demande de nullité du second tour des élections présidentielles », surfrench.xinhuanet.com(consulté le).
  50. « Guinée-Bissau: la Cour suprême s'oppose à toute médiation de la Cédéao », surRFI, RFI,(consulté le).
  51. « Impasse post-électorale en Guinée Bissau : la Cedeao hausse le ton – Jeune Afrique », surJeuneAfrique.com, jeuneafrique1,(consulté le).
  52. « Présidentielle en Guinée-Bissau: Simoes Pereira attend le recomptage des voix », surfr.news.yahoo.com(consulté le).
  53. « Guinée-Bissau : investiture à haut risque pour Umaro Sissoco Embaló – Jeune Afrique », surJeuneAfrique.com, jeuneafrique1,(consulté le).
  54. (pt) « Guiné-Bissau: Sissoco Embaló empossado presidente da República em hotel de Bissau », sure-Global, eglobalpt,(consulté le).
  55. a etb« Umaro Embalo nomme un nouveau Premier ministre en Guinée-Bissau »,VOA,.
  56. AFP, « Umaro Embalo nomme un nouveau Premier ministre en Guinée-Bissau », surVOA, VOAAfrique(consulté le).
  57. http://www.slateafrique.com/auteur/104480, « Bissau: démission d'un des deux présidents rivaux après des "menaces de mort" », surSlate Afrique(consulté le).
  58. « Deux présidents investis en Guinée-Bissau », surRFI, RFI,(consulté le).
  59. « La Guinée-Bissau, abonnée aux coups de force politiques, a deux présidents »,.
  60. « Guinée-Bissau : le président de l'Assemblée nationale populaire investi comme président par intérim », surfrench.xinhuanet.com(consulté le).
  61. « Bissau: le gouvernement du Premier ministre nommé par Sissoco Embalo investi », surRFI, RFI,(consulté le).
  62. « Guinée-Bissau: Cipriano Cassama, président par intérim, renonce à son poste », surRFI, RFI,(consulté le).
  63. « Communiqué de la Commission de la CEDEAO du 22 avril 2020 », surwww.ecowas.int, CEDEAO,(consulté le)
  64. « Présidentielle en Guinée-Bissau: la Cédéao reconnaît la victoire d’Umaro Sissoco Embalo », surRFI, RFI,(consulté le).

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Lien externe

[modifier |modifier le code]
v ·m
Présidentielle
Législatives
*Suffrage indirect
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Élection_présidentielle_bissau-guinéenne_de_2019&oldid=230254766 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp