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Élancourt

48° 47′ 05″ nord, 1° 57′ 32″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecÉlencourt ouÉlincourt.

Élancourt
Élancourt
La mairie.
Blason de Élancourt
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementYvelines
ArrondissementRambouillet
IntercommunalitéSaint-Quentin-en-Yvelines
Maire
Mandat
Jean-Michel Fourgous
2020-2026
Code postal78990
Code commune78208
Démographie
GentiléÉlancourtois
Population
municipale
26 348 hab.(2022en évolution de +3,21 % par rapport à 2016)
Densité2 691 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 47′ 05″ nord, 1° 57′ 32″ est
AltitudeMin. 100 m
Max. 231 
m
Superficie9,79 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Trappes
Législatives11e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Élancourt
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Élancourt
Géolocalisation sur la carte :Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Élancourt
Géolocalisation sur la carte :Île-de-France
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Élancourt
Liens
Site webhttps://elancourt.fr
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Élancourt est unecommune française située dans ledépartement desYvelines, enrégionÎle-de-France.

Elle fait partie de laCommunauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Géographie

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Position d'Élancourt dans les Yvelines.

Situation

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À vol d'oiseau, la commune est située à 29,5 km à l'ouest de Paris et à environ 16 km à l'ouest de Versailles[1].


Carte
Les limites communales de Élancourt et celles de ses communes adjacentes.

Communes limitrophes

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Les communes sont :Plaisir au nord,Trappes à l'est,Le Mesnil-Saint-Denis à l'extrême sud-est,La Verrière au sud,Maurepas au sud-ouest etJouars-Pontchartrain à l'ouest-nord-ouest.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de851 hectares ; son altitude varie entre 100 et 175 mètres[2].

La commune détient le point culminant « artificiel » du relief de l'Île-de-France avec 231 m d'altitude, la colline de la Revanche, aujourd'huicolline d'Élancourt, totalement artificielle puisque édifiée à partir des déblais de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Le village ancien est situé au début d'une dépression qui continue en vallée entre les hauts deSainte-Apolline àPlaisir au nord et les hauts d'Élancourt puis Maurepas au sud, à proximité du hameau de Jouars àJouars-Pontchartrain.

Hydrographie

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Transports et voies de communications

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Réseau routier

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La ville est traversée par de nombreuses voies routières : la RN 12 et la RD 912 au nord de la ville, la RN 10 au sud. Le village est traversé par la RD 43 (route de Montfort) la RD 23 (route de Trappes) et la RD 58 (route du Mesnil).

La commune est également traversée par laroute départementale R12, qui rejoint la RN 12. Cette voie réalisée au début des années 1970, est restée inachevée depuis, à la hauteur du plateau. Elle devait à l’origine rejoindre le prolongement de l'autoroute A12 au niveau du hameau du Rodon, sur la commune du Mesnil-Saint-Denis. Mais ce prolongement, dont le tracé est toujours controversé, devait permettre de désengorger la RN 10. Il n'a toujours pas été réalisé[3]. La R12 constitue toutefois une voie qui permet de relier le quartier de la Clef de Saint-Pierre au reste de la ville.

Desserte ferroviaire

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Les gares les plus proches sont lagare de La Verrière et lagare de Trappes.

Bus

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La commune est desservie par les lignes6,10,401,402,5120,5122,415,416,417,418,431,441,448,449,450,463 et5185 duréseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par les lignes15,78 et475 duréseau de bus Île-de-France Ouest, par les lignes5,Express 12,61,Express 67,89,DF etM duréseau de bus Centre et Sud Yvelines, par la ligneExpress 100 duréseau de bus de Poissy - Les Mureaux et, la nuit, par la ligneN145 du réseauNoctilien.

Projet

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Dans le cadre de l'opération d'intérêt national (OIN), il a été envisagé de créer untransport en commun en site propre pour connecter la gare de La Verrière à celle de Trappes, en passant par Maurepas et Élancourt[4]. Mais ce projet, qui était envisagé d'ici 2013, n'a pas encore vu le jour.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat des Yvelines.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[5]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[6]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[7] et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[9],[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,9 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec11,2 jours de précipitations en janvier et7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deTrappes à4 km àvol d'oiseau[11], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[12],[13]. La température maximale relevée sur cette station est de40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−15,8 °C, atteinte le[Note 1].

Statistiques 1991-2020 et records station TRAPPES (78)- alt : 167 m, lat : 48°46'27"N, lon : 2°00'35"E
Records établis sur la période du
1er avril 1923 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)1,91,83,969,412,514,414,211,38,54,82,47,6
Température moyenne (°C)4,34,97,910,714,117,319,519,41612,27,64,811,6
Température maximale moyenne (°C)6,8811,915,418,822,124,624,620,715,810,47,215,5
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
17.01.1985
−15,6
13.02.1929
−10,5
07.03.1971
−4,1
12.04.1986
−1,2
07.05.1957
0,1
01.06.1936
2
09.07.1929
4
31.08.1928
−0,5
20.09.1952
−5,2
28.10.1931
−8,9
24.11.1998
−14,3
22.12.1946
−15,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
05.01.1999
20,3
27.02.19
24,7
31.03.21
28
18.04.1949
30,9
27.05.05
36
18.06.22
40,6
25.07.19
39,1
06.08.03
34,6
09.09.23
29
01.10.1985
21
03.11.1927
16,8
07.12.00
40,6
2019
Ensoleillement (h)5780,6133,7175,8201,7209,6222,3216,3176,9116,867,655,31 713,8
Précipitations (mm)56,249,950,149,9665756,356,149,861,861,272686,3
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
37,4
21.01.1995
36,2
28.02.1946
43
07.03.1989
40
13.04.1930
66
30.05.16
78,9
17.06.1970
91,2
06.07.01
62,8
24.08.1987
46,8
11.09.1930
80,3
09.10.24
30,8
06.11.1918
36,3
07.12.1904
91,2
2001
Source :« Fiche 78621001 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,8
1,9
56,2
 
 
 
8
1,8
49,9
 
 
 
11,9
3,9
50,1
 
 
 
15,4
6
49,9
 
 
 
18,8
9,4
66
 
 
 
22,1
12,5
57
 
 
 
24,6
14,4
56,3
 
 
 
24,6
14,2
56,1
 
 
 
20,7
11,3
49,8
 
 
 
15,8
8,5
61,8
 
 
 
10,4
4,8
61,2
 
 
 
7,2
2,4
72
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Urbanisme

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Typologie

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Au, Élancourt est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[16]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

Occupation des sols

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Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupationPourcentageSuperficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu36,4 %338
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques18,5 %172
Réseau routier et ferroviaire et espaces associés1,3 %12
Espaces verts urbains4,6 %43
Équipements sportifs et de loisirs7,3 %68
Terres arables hors périmètres d'irrigation1,1 %10
Systèmes culturaux et parcellaires complexes6,1 %57
Forêts de feuillus24,6 %228
Source :Corine Land Cover[19]

Morphologie urbaine

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La majeure partie de la population se trouve aujourd'hui sur le plateau d'Élancourt-Maurepas, entre cette vallée et laroute nationale 10 qui traverse la commune dans sa partie sud.

Les hameaux traditionnels, comme ils existent encore àJouars-Pontchartrain, n'ont pas subsisté à Élancourt, à l'exception du seul hameau ancien (XVIe siècle) resté à l'écart de la commune : le hameau de Launay sur laroute départementale 23 qui mène du vieux village àJouars. Les trois autres (la Grande et la Petite Villedieu et les Coudrays) sont aujourd'hui intégrés à des quartiers.

Quartiers

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Les quartiers d'Élancourt sont : les Petits Prés, les Réaux, la Villedieu, la Commanderie des Templiers, les Sept Mares, la Nouvelle Amsterdam, les Nouveaux Horizons, une partie de la Villeparc, les Coudrays, le Gandouget, les 4 Arbres, le Pré Yvelines, les Mousseaux, le hameau de Launay, la Muette, le Berceau, les Cotes etla Clef de Saint-Pierre.

Un nouveau quartier, le quartier de la Sente des Réaux[20], a été construit près des Réaux.

Le village

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Niché dans la vallée du ru d'Élancourt, avec ses maisons en pierres meulières et l'église Saint-Médard, le village (communément appeléÉlancourt Village) est le témoin de l’histoire ancienne de la commune. Le village est quasi exclusivement résidentiel. Constructions anciennes et plus contemporaines s'harmonisent dans un paysage de verdure.

Le village est composé des maisons anciennes regroupées le long de la route de Trappes (RD 23).

Plus récemment, dans les années 1980, des lotissements sont venus étendre le village. Un lotissement de vingt maisons est en cours d'aménagement.

Le village comporte aussi quelques équipements publics :

  • la ferme du Mousseau (espace culturel municipal) ;
  • l'ancienne mairie-école (destinée à accueillir le musée de l'Éducation).

Le village comporte, en plus de l'église Saint-Médard, un patrimoine historique et naturel important :

  • l'orphelinat de l'Abbé Méquignon ;
  • le lavoir de l'Hermanderie ;
  • le bassin de la Muette ;
  • le jardin des Cinq-Sens.
    • Aperçus du village
    • Orphelinat Notre-Dame de la Roche fondé par l'abbé Méquignon.
      Orphelinat Notre-Dame de la Roche fondé par l'abbé Méquignon.
    • Bassin de la Muette.
      Bassin de la Muette.
    • Lavoir de l'Hermanderie.
      Lavoir de l'Hermanderie.
    • Église Saint-Médard.
      Église Saint-Médard.

    Le plateau

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    Situé sur la partie sud d'Élancourt, proche deMaurepas et de lagare de La Verrière le plateau (également appelé plateau d'Élancourt-Maurepas) s'est couvert d'une urbanisation dense.

    Cette urbanisation qui a débuté dans lesannées 1970, dans le cadre de laville nouvelle, se caractérise par la présence majoritaire de résidences et de groupes d'immeubles. Elle s'est effectuée quartier par quartier.

    La Commanderie des Templiers, à la Villedieu, est le premier lotissement à sortir de terre en 1970. Ce quartier est aménagé par un promoteur privé,Levitt France[21]. Le quartier de l'Agiot, qui jouxte Maurepas, est ensuite réalisé parJacques Riboud (architecteRoland Prédiéri). Jacques Riboud était également propriétaire ou titulaire d'options sur la majeure partie des terrains du plateau, mais à la demande dePaul Delouvrier il les a cédé à la Mission d'aménagement deSaint-Quentin-en-Yvelines, futur Établissement public d'aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY)[22].

    Les premières opérations de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines sont ainsi lancées sous la direction deSerge Goldberg et selon unplan-masse proposé par l'architecte-urbanisteGuy Lagneau[23] : la Villedieu (architectesJean Dubuisson etClaude Parent), les Nouveaux Horizons, La Grenouillère, le Pré-Yvelines.

    Le développement économique n'est pas oublié, avec la création du quartier desIV Arbres, qui accueillait de nombreux artisans.

    Plusieurs quartiers sont réalisés à cheval sur les deux communes d'Élancourt et de Maurepas, comme La Villeparc ou le Quartier des Sept-Mares, qui devait constituer le principal centre-ville de l'ouest de la ville nouvelle et qui comporte cinémas, maison pour tous, bibliothèque, commerces, centre administratif et hôtel de ville (architectes J. Kalisz, R. Salem et F. Douçot[24]), salle d'exposition, et logements.

    Ce centre-ville qui se caractérise une architecture audacieuse, est aménagé par le couple Martine etPhilippe Deslandes[24] qui réalise également le quartier du Pré-Yvelines (« Pistons, cylindres »)[24], mais également la grande halle de Saint-Quentin et le quartier de la Grande-Île à Voisins-le-Bretonneux.

    D'autres quartiers résidentiels sortent de terre à la fin des années 1970 et dans la première partie desannées 1980 : le Gandouget, les Petits Prés, les Réaux.

    Depuis le début desannées 2000, de nouveaux programmes immobiliers (représentant environ700 logements) ont été aménagés rue de la Haie-à-Sorel.

    Aujourd'hui l'urbanisation est quasiment achevée sur le plateau. Un projet de ZAC dans le secteur des Réaux est en cours d'élaboration (400 logements prévus). Il constituera alors le dernier quartier du Plateau.

    La Clef de Saint-Pierre

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    Article détaillé :La Clef de Saint-Pierre.

    Ce quartier est situé au nord de la commune.

    Ancien territoire de la commune dePlaisir, le quartier de la Clef de Saint-Pierre a été rattaché à Élancourt en 1983, lorsque Plaisir a choisi de sortir de la ville nouvelle. Tout d'abord uniquement zone d'activités en bordure de laroute nationale 12 et contiguë à la zone d'activités de Pissaloup partagée avec Trappes, ce lieu-dit s'est rapidement métamorphosé dans lesannées 1990 en quartier pour accueillir de nombreux résidents et leur offrir de nombreux services de proximité, malgré une importante diminution de l'emploi sur ce quartier.

    Le quartier commence à s'urbaniser à partir de 1990, avec la réalisation du siège deThomson-CSF, à proximité de la RN 12. Cetimmeuble de bureaux de 80 000 m2, est depuis 2006 occupé parEADS Defense and Security devenuCASSIDIAN, puisAirbus Defence and Space. Cet immeuble lance alors la vocation économique du nord du quartier. De nombreuses grandes entreprises s'y implantent (CRMA,Fenwick,Bayer,Matra,Kawasakietc.).

    À partir de1992, les premiers logements sont réalisés. Ils sont situés au sud du quartier, à proximité de la RD 912. Le plan d'aménagement, réalisé par l'EPASQY prévoit plus de 2 000 logements, un collège, un stade (le complexe sportif Europe), deux écoles primaires, une mairie annexe, une annexe du commissariat depolice municipale ainsi que de nombreux commerces sur la Place de Paris.

    Le quartier propose une architecture assez caractéristique des années 1990 :toits terrasses, immeubles-villas, maisons de ville et lotissements pavillonnaires. Le Beffroi, qui comporte des logements étudiants, constitue l'immeuble le plus haut du quartier (15 étages). À l'origine, cet immeuble devait représenter le principal « repère » de la Clef de Saint-Pierre.

    C'est à proximité que se trouve lacolline d'Élancourt, anciennement colline de la Revanche, point culminant de l'Île-de-France (231 m), insérée entre la zone d'activités des Bruyères à Trappes et laroute départementale 912. Elle est aujourd'hui fréquentée par des aficionados deparapente, deplaneur radiocommandé (principalement duvol de pente), decerf-volant et deVTT. Tous les ans, s'y déroule une épreuve du Challenge athlétique des Yvelines, la course de colline d'Élancourt ditela Revanche, longue de 10 km (environ350 participants,10e édition en 2006). Chaque année également, a lieu une épreuve du Challenge de VTT des Yvelines, laRevancharde, qui réunit plus de200 participants (7e édition en 2005). L'endroit a été retenu comme site olympique pour accueillir les épreuves deVTT desJeux olympiques d'été deParis 2024.

    Depuis peu un parc d'attraction nommé Royal Kids a été créé[réf. nécessaire].

    Logement

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    Projets d'aménagement

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    Toponymie

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    Dans lepolyptyque d'Irminon, abbé qui établit un registre des biens de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés auIXe siècle, se trouve la première mention du nom de la commune sous la forme latinisée d’Aglini curtis[25],[26] ouAglinicurtis[27], puis on trouve,Herencurtem en 1144,Erancourt en 1206,Elsencourt en 1249,Elencuria en 1250,Elaencourt en 1256,Ellencourt en 1472,Allencourt en 1600,Eslancourt en 1712, jusqu'à la forme actuelleÉlancourt attestée en 1757[25],[27].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en-court, appellatif qui représente la fixation dunom commun gallo-roman*CŌRTE (bas latincōrtem[28],[27] ou alternativementcurtis[29]) qui pouvait avoir divers sens « ferme enclose, exploitation, domaine rural »[28],[27],[29]. Il est à l'origine du françaiscour auquel les clercs ont ôté le-t final d'après une étymologie erronée par le latincuria[29], alors que le dérivécourtois le conserve.

    Le premier élémentElan- s'explique par une série de transformations phonétiques à partir de l'anthroponyme germaniqueAgilenus[27], autrement ditAglin, formé sur le thèmeagil, d'où le sens global de « ferme enclose d'Aglin » ou « l'exploitation rurale d'Aglin ».Albert Dauzat, qui ne cite pas de formes anciennes, signe qu'il n'en connaît pas, y a vu l'anthroponyme germaniqueElla[28], nom incompatible avec la forme la plus ancienneAglinicurtis.

    Histoire

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    Les Templiers et les Hospitaliers

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    Articles détaillés :Commanderie de La Villedieu etCommanderie d'Omerville.

    La pièce la plus ancienne attestant d'une commanderie établie à Élancourt est une confirmation par Arnaud de la Ferté, seigneur deVillepreux, de la donation faite par son vassal Dreux de Villette à l'ordre du Temple. Cette charte est datée de l'épiscopat deJean de Salisbury, évêque de Chartres de 1176 à 1180, ce qui signifie que la commanderie existait déjà à cette date. Ce n'est qu'en qu'est mentionné, pour la première fois, le nom « de la Villedieu de Maurepas », dans un acte d'accord entre les Templiers et l'abbaye de Saint-Denis.

    Lors de la dissolution des Templiers en 1312, tous les biens de Villedieu-Maurepas furent placées sous l'obédience desHospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de lacommanderie de Louviers-Vaumion située àOmerville.

    Histoire démographique

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    En 1472, la petite commune d’Ellencourt atteint pour la première fois la centaine d’habitants. Au début duXXe siècle, Élancourt compte 598 habitants, population constituée en majorité d'agriculteurs répartis sur734 hectares.

    L’évolution très lente de la population va se poursuivre jusqu’à l’arrivée en 1970, afin de rééquilibrer la région parisienne, du concept deville nouvelle. À la fin des années 1960, c'est d'abordJacques Riboud qui acquiert les terrains de plaine de l'Agiot et des Sept-Mares, où il commence la construction d'une ville majoritairement pavillonnaire en continuité du projet qu'il mène surMaurepas. En1971, Élancourt est intégré dans la ville nouvelle deSaint-Quentin-en-Yvelines, et c'est finalement l'équipe de Serge Goldberg qui dessine le centre des Sept-Mares et pilote les autres opérations (la Commanderie, les Nouveaux-Horizons…). L’arrivée de la Ville Nouvelle est alors synonyme de « boum démographique » extraordinaire car après avoir réuni 800 personnes en cinq siècles, Élancourt attire plus de 8 000 personnes en cinq ans. En 1978, la Ville compte déjà 15 000 habitants[30].

    Autres

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    L'Aréostat, le dirigeable Giffard en 1852, lors d'un vol de démonstration entre Paris et Élancourt[Note 5].

    Le, parti de l'hippodrome,place de l’Étoile àParis, l'aéronaute françaisHenri Giffard, à bord dupremier dirigeable à vapeur, à la vitesse de7 km/h, et atterrit sur le site d'Élancourt, aujourd'hui, le quartier de l'aérostat àTrappes.

    Le, Stéfan Markovic, ancien garde du corps de l'acteurAlain Delon est retrouvé mort à Élancourt, dans une « décharge sauvage » au pied de l'actuellecolline d'Élancourt. L'enquête montre qu'il a été assassiné d'une balle dans la tête. C'est le début de l'affaire Markovic qui est devenue une affaire d'État et, malgré des années d'enquête, n'a jamais pu être élucidée[31].

    En 1983, le secteur agricole de la Clef de Saint-Pierre, d'environ230 hectares, situé àPlaisir et destiné à être urbanisé dans le cadre de la Ville Nouvelle, est rattaché à Élancourt, au moment où Plaisir choisit de sortir de la ville nouvelle.

    Le 2 décembre 1991 : Un Dassault Falcon 20E, immatriculé F-UGWP s'écrase à Élancourt proche de la Commanderie de La Villedieu. Selon l'enquête, de la glace s'est détachée des ailes et a heurté les moteurs, provoquant une double panne moteur. Quatre militaires ont été tués[32].

    En 2006, le comité interministériel d'aménagement et de compétitivité des territoires (CIACT) acte la mise en place de l'opération d'intérêt national de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines qui vise à mettre en place un projet d’aménagement adossé à un projet scientifique pour le développement dans les prochaines décennies d'un grand territoire sur cette zone.

    Politique et administration

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    Circonscription

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    Élancourt fait partie de laonzième circonscription des Yvelines. Cette circonscription regroupe les communes deBois-d'Arcy,Fontenay-le-Fleury,Le Mesnil-Saint-Denis,La Verrière,Saint-Cyr-l'École etTrappes.

    Tendances politiques et résultats

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    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire d'Élancourt sont les suivantes :

    ÉlectionTerritoireTitreNomTendance politiqueDébut de mandatFin de mandat
    Municipales 2020Commune d'ÉlancourtMaireJean-Michel FourgousLR
    Départementales 2021Canton de TrappesConseillers départementauxAnne Capiaux et Nicolas DainvilleLR
    Législatives 202411ème circonscription des YvelinesDéputéLaurent MazauryUDI

    Élections présidentielles

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    Résultats des seconds tours :

    Élections législatives

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    Article connexe :Onzième circonscription des Yvelines.

    Résultats des seconds tours :

    Élections européennes

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    Article connexe :Circonscription Île-de-France.

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

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    Résultats des seconds tours :

    Élections départementales

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    Article connexe :Canton de Trappes.

    Résultats des seconds tours :

    Élections cantonales

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    Article connexe :Canton de Maurepas.

    Résultats des seconds tours :

    Élections municipales

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    Résultats des deux meilleurs scores du premier tour :

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs[33]
    PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
    17901795Jean Baptiste Dauvilliers Cultivateur
    17951795François Lahaye Marchand épicier à Sèvres, puis cultivateur à Élancourt
    17951800Pas de maire
    municipalités abolies par le Directoire,
    communes administrées au chef lieu de canton
      
    18001800Pierre Angibout Vannier à la Harmanderie (Élancourt)
    18001816Jean Baptiste Mahieu Cultivateur à la Villedieu (Élancourt)
    18161826Gilles Cauchuis Soisson à Élancourt
    18261834Jean Baptiste Mahieu
    (2e mandat)
     Cultivateur la Villedieu (Élancourt)
    18341842Charles Louis Moteau Cultivateur à la Villedieu (Élancourt)
    18421850Jean Louis Legrand Meunier à Fréquembaux (Élancourt)
    18511855Louis André Daumet Charron à Élancourt
    18551869Augustin Julien Lahaye Cultivateur à Élancourt
    18691871Jérôme Philippe Boulland,
    cité maire par intérim dans les actes
     Cultivateur à Élancourt
    18711871Charles Jean Baptiste Lamontagne Cultivateur au Mousseau (Élancourt)
    18711876François Sénéchal Meunier à Jouars-Ponchartrain
    18761881Charles Jean Baptiste Lamontagne (2e mandat) Cultivateur au Mousseau (Élancourt)
    18811914Jean Joseph (Barthélémy) Simon Rentier
    19141920Charles Baptiste Lamontagne Cultivateur à Élancourt
    19201929François Eugène Sénéchal  
    19291940François Brumaud  
    19401943Gaston Lamontagne  
    19431953André GoujonRPF 
    19531969Alfred SénéchalUNRPropriétaire
    1969mars 1971François NeveuUDRIngénieur chimiste, maire honoraire
    mars 1971mars 1977Georges Le RouxUDR 
    mars 1977avril 1996[34]Alain DanetPSConseiller régional d'Île-de-France[35][Quand ?]
    avril 1996[34]en cours
    (au 29 mai 2020)
    Jean-Michel FourgousRPR puis
    UMPLR
    Chef d'entreprise
    Député des Yvelines (11e circ.(1993 → 1997 puis 2002 → 2012)
    Conseiller départemental de Trappes(2015 → 2017)
    Président de laCA de Saint-Quentin-en-Yvelines(2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[36]

    Jumelages

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    Les villes jumelées à Élancourt sont[37] :

    Villes-partenaires :

    Population et société

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    Démographie

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    Évolution démographique

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    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 6].

    En 2022, la commune comptait 26 348 habitants[Note 7], en évolution de +3,21 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).

    Évolution de la population  [ modifier ]
    179318001806182118311836184118461851
    300327327312374388352360336
    Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
    185618611866187218761881188618911896
    307382488632602598626614655
    Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
    190119061911192119261931193619461954
    598634709915910986838884900
    Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
    196219681975198219901999200620112016
    72986110 62920 12922 58426 65527 57726 38925 529
    Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
    20212022-------
    26 08226 348-------
    De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puisInsee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

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    La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 41,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 12 564 hommes pour 13 011 femmes, soit un taux de 50,87 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    0,3 
    4,8 
    75-89 ans
    5,0 
    11,7 
    60-74 ans
    13,3 
    18,7 
    45-59 ans
    18,6 
    22,6 
    30-44 ans
    22,1 
    19,2 
    15-29 ans
    19,4 
    22,7 
    0-14 ans
    21,3 
    Pyramide des âges du département desYvelines en 2021 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,4 
    75-89 ans
    7,8 
    13,5 
    60-74 ans
    14,8 
    20,7 
    45-59 ans
    20,1 
    19,6 
    30-44 ans
    19,9 
    18,5 
    15-29 ans
    16,8 
    21,2 
    0-14 ans
    19,2 

    Enseignement secondaire

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    • Collège de l'Agiot[43].
    • Collège de la Clef-Saint-Pierre
    • Collège Alexandre-Dumas,Maurepas
    • Lycée Dumont-d’Urville, Maurepas
    • Lycée des 7-Mares, Maurepas

    Manifestations culturelles et festivités

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    La « fête d'automne », unvide-greniers, a lieu le dernier dimanche de septembre.

    Sports

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    Club defootball américain, lesTempliers d'Élancourt, fondé en 1986, participe auchampionnat de France de deuxième division depuis 2017.

    Économie

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    Revenus de la population et fiscalité

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    En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 39 025 €, ce qui plaçait Élancourt au 3 010e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[44].

    Ce chiffre est légèrement inférieur à la moyennedépartementale (40 650 €)[44].

    Entreprises et commerces

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    L'activité économique de la ville est répartie principalement sur deux zones industrielles, trois zones d'activités et un quartier[45].

    La zone industrielle de le Clef de Saint-Pierre concentre plus de 5 400 emplois répartis en 30 sièges sociaux et sites de production. L'aéronautique et la haute technologie sont les secteurs dominants. On peut citer des entreprises importantes telles queAirbus,Matra,Thales,Fenwick ouPolaroid[46].

    La zone industrielle de Trappes-Élancourt, centrée davantage sur les services regroupe 17 entreprises et environ 580 emplois dans sa partie située à Élancourt.

    La zone d'activité des Côtes, au pied de la colline d'Élancourt, est constituée de 20 sociétés employant 245 personnes.

    La zone d'activité de la Petite Villedieu comporte 16PME pour 235 emplois.

    La zone d'activités des IV Arbres avec 23 artisans, PME-PMI et commerçants regroupe 219 emplois.

    Le quartier des 7 Mares (immeubles : « Le Triton », « Saint-Quentin 2000 », « Le Capitole ») concentre 47 entreprises et 366 emplois.

    Les principaux équipements de la ville sont situés au centre des 7-Mares, notamment le Prisme, centre culturel de la communauté d'agglomération qui accueille de nombreux spectacles et le « Festival du polar ».

    Culture locale et patrimoine

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    Lieux et monuments

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    • Commanderie des Templiers de la Villedieu (fondée en1180 et rénovée entre1971 et1978)
    • Ferme du Mousseau, centre culturel, au rond-point de Laubach (près de France Miniature)
    • Lavoir de l'Hermanderie (au vieux village)
    • Bassin de la Muette (au vieux village)
    • Parc des Coudrays
    • Jardin des Cinq Sens (au vieux village)
    • France Miniature
    • Église Saint-Médard (Élancourt village)
    • Église de la Clef de Saint-Pierre
    • Église protestante évangélique d'Élancourt
    • Église réformée de France
    • Temple protestant du Gandouget
    • Centre communautaire AVIV
    • Centre socio-culturel Attouba
    • Bois des Réaux
    • Parc des Réaux

    Personnalités liées à la commune

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    Héraldique

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    Blason de ÉlancourtBlason
    De sinople au chevron d'or surchargé en abîme d'un écusson parti d'argent et de sable à la croix alésée degueules brochant sur la partition, au chef d'azur à trois besants d'argent disposés 2 et 1 accostés de deux fleurs de lys d'or
    Détails
    Description symbolique[47] :« Vert comme la campagne du village ; au chevron d'or représentant les routes qui la sillonnent ; au milieu un écusson blanc et noir, couleurs du baussant ou étendard des Templiers avec la croix rouge de l'Ordre ; au-dessus, bleu avec trois bessants blancs, monnaie byzantine des Croisades, symbole de Saint-Germain-des-Prés ; avec deux fleurs de lys, symboles de la royauté et de l'abbaye de Saint-Denis. »
    Ces armes furent créées par M. Bobee de la société française d'héraldique[réf. nécessaire].

    Voir aussi

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    Bibliographie

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    • Victor R. Belot,Histoire d’Élancourt et de la commanderie des templiers de la Villedieu, postface d'Alain Danet, maire d’Élancourt, 1978 (FRBNF 36150205).
    • Pierre Thomas (dir.), Michel Bezy, Jean Flattot, Roselyne Inghels, Roger Pasinetti, André Perraud et André Roche,Élancourt, un village devenu ville, Élancourt, Les Amis du Passé d'Élancourt,, 129 p.(ISBN 978-2-9528791-0-1).

    Articles connexes

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    Liens externes

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    Sur les autres projets Wikimedia :

    Notes et références

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    Notes

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    1. Les records sont établis sur la période du au.
    2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
    3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Aujourd'hui, le quartier de l'aérostat àTrappes.
    6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

    Références

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    1. « Orthodromie entre Élancourt et Paris », surle site lion1906 de Lionel Delvarre(consulté le).
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière,[lire en ligne].
    3. « Réponses aux questions de la commission particulière du débat public sur le prolongement de l'A12 », surcpdp.debatpublic.fr,(consulté le).
    4. Site de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, Le petit Quentin n°232 (juin 2008),p. 30lire (consulté le 15 juillet 2009).
    5. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
    6. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
    7. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
    8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
    9. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
    10. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
    11. « Orthodromie entre Élancourt et Trappes », surfr.distance.to(consulté le).
    12. « Station Météo-France « Trappes », sur la commune de Trappes - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
    13. « Station Météo-France « Trappes », sur la commune de Trappes - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
    14. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
    15. « Unité urbaine 2020 de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
    16. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », surCORINE Land Cover,(consulté le).
    20. « Yvelines. Une résidence de 76 logements en 2019 au quartier des Réaux d'Elancourt », suractu.fr(consulté le).
    21. Isabelle Gournay, « Levitt France et la banlieue à l'américaine : premier bilan »,Histoire urbaine,vol. 1,no 5,‎,p. 167-188(DOI 10.3917/rhu.005.0167,lire en ligne, consulté le).
    22. « Les villes nouvelles créées pour faire face à l'explosion démographique parisienne », sur le site de la Communauté d'agglomération deSaint-Quentin-en-Yvelines,agglo-sqy.fr, consulté le 25 avril 2009.
    23. [1] Interview de Serge Goldberg pour le programme interministériel histoire et évaluation des villes nouvelles.
    24. ab etcLe Petit Quentin (suppl.),no 146, septembre 2000,p. 9
    25. a etbVictor R. Belot,Coutumes et folklores en Yvelines, Préface dePaul-Louis Tenaillon, président duConseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 238
    26. Victor R. Belot,Histoire d’Élancourt et de la commanderie des templiers de la Villedieu, postface de M.A. Danet, maire d’Élancourt, édité à compte d’auteur, 1978, (FRBNF 36150205), p. 5.
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    28. ab etcAlbert Dauzat etCharles Rostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,(ISBN 2-85023-076-6),p. 261b.
    29. ab etcÉtymologiecourt sur le site du CNRTL (lire en ligne)[3]
    30. « Histoire et patrimoine | Elancourt », surelancourt.fr(consulté le).
    31. Nathalie Michau,Les Grandes Affaires criminelles des Yvelines, éditions De Borée, 2007(ISBN 978-284494-597-6),p. 277.
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    35. [4]
    36. Alexandre Marque, « Élancourt : la passe de cinq pour Jean-Michel Fourgous : en poste depuis 1996, le maire d'Élancourt (Yvelines) Jean-Michel Fourgous a été réélu pour un cinquième mandat lors du conseil municipal d'installation organisé ce 27 mai »,78 actu,‎(lire en ligne, consulté le)« À l’occasion d’un vote à bulletins secrets, l’édile, en poste depuis 1996, a obtenu 28 voix contre 5 pour son opposante, Catherine Perrotin-Raufaste (DVG) et 2 bulletins blancs ».
    37. Site du comité de jumelage d'Élancourt
    38. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
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    43. Collège de l'Agiot.
    44. a etb« Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », surle site de l'Insee(consulté le).
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    46. kompass.com, Élancourt
    47. Victor R. Belot,Histoire d'Élancourt et de la Commanderie des Templiers de la Villedieu, 1978, p.4.
    v ·m
    v ·m
    Communauté d'agglomération deSaint-Quentin-en-Yvelines
    Les communes
    Les équipements
    Les transports
    Les établissements scolaires
    Les universités
    v ·m
    Plus de 2 000 000 d'habitantsParis
    Plus de 100 000 habitants
    Plus de 75 000 habitants
    Plus de 50 000 habitants
    Plus de 25 000 habitants
    Moins de 25 000 habitants1 792 autres communes
    v ·m
    Universités
    Campus universitaires
    Écoles d’ingénieurs, decommerce, etnormale
    Organismes et Instituts derecherche
    Voir aussi
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