Le village ancien est situé au début d'une dépression qui continue en vallée entre les hauts deSainte-Apolline àPlaisir au nord et les hauts d'Élancourt puis Maurepas au sud, à proximité du hameau de Jouars àJouars-Pontchartrain.
La ville est traversée par de nombreuses voies routières : la RN 12 et la RD 912 au nord de la ville, la RN 10 au sud. Le village est traversé par la RD 43 (route de Montfort) la RD 23 (route de Trappes) et la RD 58 (route du Mesnil).
La commune est également traversée par laroute départementale R12, qui rejoint la RN 12. Cette voie réalisée au début des années 1970, est restée inachevée depuis, à la hauteur du plateau. Elle devait à l’origine rejoindre le prolongement de l'autoroute A12 au niveau du hameau du Rodon, sur la commune du Mesnil-Saint-Denis. Mais ce prolongement, dont le tracé est toujours controversé, devait permettre de désengorger la RN 10. Il n'a toujours pas été réalisé[3]. La R12 constitue toutefois une voie qui permet de relier le quartier de la Clef de Saint-Pierre au reste de la ville.
Dans le cadre de l'opération d'intérêt national (OIN), il a été envisagé de créer untransport en commun en site propre pour connecter la gare de La Verrière à celle de Trappes, en passant par Maurepas et Élancourt[4]. Mais ce projet, qui était envisagé d'ici 2013, n'a pas encore vu le jour.
Au, Élancourt est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[16]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
La majeure partie de la population se trouve aujourd'hui sur le plateau d'Élancourt-Maurepas, entre cette vallée et laroute nationale 10 qui traverse la commune dans sa partie sud.
Les hameaux traditionnels, comme ils existent encore àJouars-Pontchartrain, n'ont pas subsisté à Élancourt, à l'exception du seul hameau ancien (XVIe siècle) resté à l'écart de la commune : le hameau de Launay sur laroute départementale 23 qui mène du vieux village àJouars. Les trois autres (la Grande et la Petite Villedieu et les Coudrays) sont aujourd'hui intégrés à des quartiers.
Les quartiers d'Élancourt sont : les Petits Prés, les Réaux, la Villedieu, la Commanderie des Templiers, les Sept Mares, la Nouvelle Amsterdam, les Nouveaux Horizons, une partie de la Villeparc, les Coudrays, le Gandouget, les 4 Arbres, le Pré Yvelines, les Mousseaux, le hameau de Launay, la Muette, le Berceau, les Cotes etla Clef de Saint-Pierre.
Un nouveau quartier, le quartier de la Sente des Réaux[20], a été construit près des Réaux.
Niché dans la vallée du ru d'Élancourt, avec ses maisons en pierres meulières et l'église Saint-Médard, le village (communément appeléÉlancourt Village) est le témoin de l’histoire ancienne de la commune. Le village est quasi exclusivement résidentiel. Constructions anciennes et plus contemporaines s'harmonisent dans un paysage de verdure.
Le village est composé des maisons anciennes regroupées le long de la route de Trappes (RD 23).
Plus récemment, dans les années 1980, des lotissements sont venus étendre le village. Un lotissement de vingt maisons est en cours d'aménagement.
Le village comporte aussi quelques équipements publics :
la ferme du Mousseau (espace culturel municipal) ;
l'ancienne mairie-école (destinée à accueillir le musée de l'Éducation).
Le village comporte, en plus de l'église Saint-Médard, un patrimoine historique et naturel important :
l'orphelinat de l'Abbé Méquignon ;
le lavoir de l'Hermanderie ;
le bassin de la Muette ;
le jardin des Cinq-Sens.
Aperçus du village
Orphelinat Notre-Dame de la Roche fondé par l'abbé Méquignon.
Situé sur la partie sud d'Élancourt, proche deMaurepas et de lagare de La Verrière le plateau (également appelé plateau d'Élancourt-Maurepas) s'est couvert d'une urbanisation dense.
Cette urbanisation qui a débuté dans lesannées 1970, dans le cadre de laville nouvelle, se caractérise par la présence majoritaire de résidences et de groupes d'immeubles. Elle s'est effectuée quartier par quartier.
La Commanderie des Templiers, à la Villedieu, est le premier lotissement à sortir de terre en 1970. Ce quartier est aménagé par un promoteur privé,Levitt France[21]. Le quartier de l'Agiot, qui jouxte Maurepas, est ensuite réalisé parJacques Riboud (architecteRoland Prédiéri). Jacques Riboud était également propriétaire ou titulaire d'options sur la majeure partie des terrains du plateau, mais à la demande dePaul Delouvrier il les a cédé à la Mission d'aménagement deSaint-Quentin-en-Yvelines, futur Établissement public d'aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY)[22].
Les premières opérations de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines sont ainsi lancées sous la direction deSerge Goldberg et selon unplan-masse proposé par l'architecte-urbanisteGuy Lagneau[23] : la Villedieu (architectesJean Dubuisson etClaude Parent), les Nouveaux Horizons, La Grenouillère, le Pré-Yvelines.
Le développement économique n'est pas oublié, avec la création du quartier desIV Arbres, qui accueillait de nombreux artisans.
Plusieurs quartiers sont réalisés à cheval sur les deux communes d'Élancourt et de Maurepas, comme La Villeparc ou le Quartier des Sept-Mares, qui devait constituer le principal centre-ville de l'ouest de la ville nouvelle et qui comporte cinémas, maison pour tous, bibliothèque, commerces, centre administratif et hôtel de ville (architectes J. Kalisz, R. Salem et F. Douçot[24]), salle d'exposition, et logements.
Ce centre-ville qui se caractérise une architecture audacieuse, est aménagé par le couple Martine etPhilippe Deslandes[24] qui réalise également le quartier du Pré-Yvelines (« Pistons, cylindres »)[24], mais également la grande halle de Saint-Quentin et le quartier de la Grande-Île à Voisins-le-Bretonneux.
D'autres quartiers résidentiels sortent de terre à la fin des années 1970 et dans la première partie desannées 1980 : le Gandouget, les Petits Prés, les Réaux.
Depuis le début desannées 2000, de nouveaux programmes immobiliers (représentant environ700 logements) ont été aménagés rue de la Haie-à-Sorel.
Aujourd'hui l'urbanisation est quasiment achevée sur le plateau. Un projet de ZAC dans le secteur des Réaux est en cours d'élaboration (400 logements prévus). Il constituera alors le dernier quartier du Plateau.
Ancien territoire de la commune dePlaisir, le quartier de la Clef de Saint-Pierre a été rattaché à Élancourt en 1983, lorsque Plaisir a choisi de sortir de la ville nouvelle. Tout d'abord uniquement zone d'activités en bordure de laroute nationale 12 et contiguë à la zone d'activités de Pissaloup partagée avec Trappes, ce lieu-dit s'est rapidement métamorphosé dans lesannées 1990 en quartier pour accueillir de nombreux résidents et leur offrir de nombreux services de proximité, malgré une importante diminution de l'emploi sur ce quartier.
À partir de1992, les premiers logements sont réalisés. Ils sont situés au sud du quartier, à proximité de la RD 912. Le plan d'aménagement, réalisé par l'EPASQY prévoit plus de 2 000 logements, un collège, un stade (le complexe sportif Europe), deux écoles primaires, une mairie annexe, une annexe du commissariat depolice municipale ainsi que de nombreux commerces sur la Place de Paris.
Le quartier propose une architecture assez caractéristique des années 1990 :toits terrasses, immeubles-villas, maisons de ville et lotissements pavillonnaires. Le Beffroi, qui comporte des logements étudiants, constitue l'immeuble le plus haut du quartier (15 étages). À l'origine, cet immeuble devait représenter le principal « repère » de la Clef de Saint-Pierre.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en-court, appellatif qui représente la fixation dunom commun gallo-roman*CŌRTE (bas latincōrtem[28],[27] ou alternativementcurtis[29]) qui pouvait avoir divers sens « ferme enclose, exploitation, domaine rural »[28],[27],[29]. Il est à l'origine du françaiscour auquel les clercs ont ôté le-t final d'après une étymologie erronée par le latincuria[29], alors que le dérivécourtois le conserve.
Le premier élémentElan- s'explique par une série de transformations phonétiques à partir de l'anthroponyme germaniqueAgilenus[27], autrement ditAglin, formé sur le thèmeagil, d'où le sens global de « ferme enclose d'Aglin » ou « l'exploitation rurale d'Aglin ».Albert Dauzat, qui ne cite pas de formes anciennes, signe qu'il n'en connaît pas, y a vu l'anthroponyme germaniqueElla[28], nom incompatible avec la forme la plus ancienneAglinicurtis.
La pièce la plus ancienne attestant d'une commanderie établie à Élancourt est une confirmation par Arnaud de la Ferté, seigneur deVillepreux, de la donation faite par son vassal Dreux de Villette à l'ordre du Temple. Cette charte est datée de l'épiscopat deJean de Salisbury, évêque de Chartres de 1176 à 1180, ce qui signifie que la commanderie existait déjà à cette date. Ce n'est qu'en qu'est mentionné, pour la première fois, le nom « de la Villedieu de Maurepas », dans un acte d'accord entre les Templiers et l'abbaye de Saint-Denis.
L’évolution très lente de la population va se poursuivre jusqu’à l’arrivée en 1970, afin de rééquilibrer la région parisienne, du concept deville nouvelle. À la fin des années 1960, c'est d'abordJacques Riboud qui acquiert les terrains de plaine de l'Agiot et des Sept-Mares, où il commence la construction d'une ville majoritairement pavillonnaire en continuité du projet qu'il mène surMaurepas. En1971, Élancourt est intégré dans la ville nouvelle deSaint-Quentin-en-Yvelines, et c'est finalement l'équipe de Serge Goldberg qui dessine le centre des Sept-Mares et pilote les autres opérations (la Commanderie, les Nouveaux-Horizons…). L’arrivée de la Ville Nouvelle est alors synonyme de « boum démographique » extraordinaire car après avoir réuni 800 personnes en cinq siècles, Élancourt attire plus de 8 000 personnes en cinq ans. En 1978, la Ville compte déjà 15 000 habitants[30].
Le, Stéfan Markovic, ancien garde du corps de l'acteurAlain Delon est retrouvé mort à Élancourt, dans une « décharge sauvage » au pied de l'actuellecolline d'Élancourt. L'enquête montre qu'il a été assassiné d'une balle dans la tête. C'est le début de l'affaire Markovic qui est devenue une affaire d'État et, malgré des années d'enquête, n'a jamais pu être élucidée[31].
En 1983, le secteur agricole de la Clef de Saint-Pierre, d'environ230 hectares, situé àPlaisir et destiné à être urbanisé dans le cadre de la Ville Nouvelle, est rattaché à Élancourt, au moment où Plaisir choisit de sortir de la ville nouvelle.
Le 2 décembre 1991 : Un Dassault Falcon 20E, immatriculé F-UGWP s'écrase à Élancourt proche de la Commanderie de La Villedieu. Selon l'enquête, de la glace s'est détachée des ailes et a heurté les moteurs, provoquant une double panne moteur. Quatre militaires ont été tués[32].
En 2006, le comité interministériel d'aménagement et de compétitivité des territoires (CIACT) acte la mise en place de l'opération d'intérêt national de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines qui vise à mettre en place un projet d’aménagement adossé à un projet scientifique pour le développement dans les prochaines décennies d'un grand territoire sur cette zone.
Élections cantonales de 1994 : 53,11 % pour Alain Danet (PS), 46,89 % pour Henri Pailleux (RPR). Le taux de participation était de 55,66 %.
Élections cantonales de 2001 : 53,45 % pour Henri Pailleux (RPR), 46,55 % pour Georges Mougeot (PS). Le taux de participation était de 38,88 %.
Élections cantonales de 2008 : 51,56 % pour Gérald Favier (DVD) 38,65 % pour Ismaïla Wane (PS), 9,79 % pour Henri Pailleux (UMP). Le taux de participation était de 41,87 %.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 6].
En 2022, la commune comptait 26 348 habitants[Note 7], en évolution de +3,21 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 41,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 12 564 hommes pour 13 011 femmes, soit un taux de 50,87 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
0,3
4,8
75-89 ans
5,0
11,7
60-74 ans
13,3
18,7
45-59 ans
18,6
22,6
30-44 ans
22,1
19,2
15-29 ans
19,4
22,7
0-14 ans
21,3
Pyramide des âges du département desYvelines en 2021 en pourcentage[42]
L'activité économique de la ville est répartie principalement sur deux zones industrielles, trois zones d'activités et un quartier[45].
La zone industrielle de le Clef de Saint-Pierre concentre plus de 5 400 emplois répartis en 30 sièges sociaux et sites de production. L'aéronautique et la haute technologie sont les secteurs dominants. On peut citer des entreprises importantes telles queAirbus,Matra,Thales,Fenwick ouPolaroid[46].
La zone industrielle de Trappes-Élancourt, centrée davantage sur les services regroupe 17 entreprises et environ 580 emplois dans sa partie située à Élancourt.
La zone d'activité des Côtes, au pied de la colline d'Élancourt, est constituée de 20 sociétés employant 245 personnes.
La zone d'activité de la Petite Villedieu comporte 16PME pour 235 emplois.
La zone d'activités des IV Arbres avec 23 artisans, PME-PMI et commerçants regroupe 219 emplois.
Le quartier des 7 Mares (immeubles : « Le Triton », « Saint-Quentin 2000 », « Le Capitole ») concentre 47 entreprises et 366 emplois.
Les principaux équipements de la ville sont situés au centre des 7-Mares, notamment le Prisme, centre culturel de la communauté d'agglomération qui accueille de nombreux spectacles et le « Festival du polar ».
De sinople au chevron d'or surchargé en abîme d'un écusson parti d'argent et de sable à la croix alésée degueules brochant sur la partition, au chef d'azur à trois besants d'argent disposés 2 et 1 accostés de deux fleurs de lys d'or
Détails
Description symbolique[47] :« Vert comme la campagne du village ; au chevron d'or représentant les routes qui la sillonnent ; au milieu un écusson blanc et noir, couleurs du baussant ou étendard des Templiers avec la croix rouge de l'Ordre ; au-dessus, bleu avec trois bessants blancs, monnaie byzantine des Croisades, symbole de Saint-Germain-des-Prés ; avec deux fleurs de lys, symboles de la royauté et de l'abbaye de Saint-Denis. » Ces armes furent créées par M. Bobee de la société française d'héraldique[réf. nécessaire].
Victor R. Belot,Histoire d’Élancourt et de la commanderie des templiers de la Villedieu, postface d'Alain Danet, maire d’Élancourt, 1978 (FRBNF 36150205).
Pierre Thomas (dir.), Michel Bezy, Jean Flattot, Roselyne Inghels, Roger Pasinetti, André Perraud et André Roche,Élancourt, un village devenu ville, Élancourt, Les Amis du Passé d'Élancourt,, 129 p.(ISBN978-2-9528791-0-1).
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Site de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, Le petit Quentin n°232 (juin 2008),p. 30lire (consulté le 15 juillet 2009).
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Victor R. Belot,Histoire d’Élancourt et de la commanderie des templiers de la Villedieu, postface de M.A. Danet, maire d’Élancourt, édité à compte d’auteur, 1978, (FRBNF 36150205), p. 5.
↑Alexandre Marque, « Élancourt : la passe de cinq pour Jean-Michel Fourgous : en poste depuis 1996, le maire d'Élancourt (Yvelines) Jean-Michel Fourgous a été réélu pour un cinquième mandat lors du conseil municipal d'installation organisé ce 27 mai »,78 actu,(lire en ligne, consulté le)« À l’occasion d’un vote à bulletins secrets, l’édile, en poste depuis 1996, a obtenu 28 voix contre 5 pour son opposante, Catherine Perrotin-Raufaste (DVG) et 2 bulletins blancs ».