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Édouard Branly

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Pour les articles homonymes, voirBranly.

Édouard Branly
Gravure d’Othon Brauer dans l’album Mariani.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, tombe d'Édouard Branly(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Désiré Eugène Édouard Branly
Nationalité
Formation
Activités
Enfants
Jeanne Terrat-Branly(d)
Élisabeth Branly-TournonVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinction
prix Houllevigue de l'Académie des sciences (1898)
Membre associé de l'Académie royale de Belgique (1910)
Grand-croix de laLégion d'honneur (1938)
Commandeur de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand (1938)
Membre de l'Académie des sciences
Archives conservées par
Œuvres principales
Télémécanique(d),cohéreurVoir et modifier les données sur Wikidata
signature d'Édouard Branly
Signature au bas d’une lettre de remerciements du 20 février 1921 àÉdouard Herriot, pour l'octroi d'une subvention.
Sépulture au Père-Lachaise.

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Édouard Branly, né le àAmiens et mort le àParis 5e, est unphysicien etmédecinfrançais.

Il découvre le principe de laradioconduction et celui de la télémécanique. Il est l'un des précurseurs de laradio et l’inventeur ducohéreur.

Biographie

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Grâce à la découverte par Branly du radioconducteur et ses travaux sur le principe de la radioconduction,Guglielmo Marconi effectue, en1899, les liaisonsradiotélégraphiques qui marquent la naissance de la télégraphie sans fil. Quelques années plus tard, il découvre le principe de la télémécanique, qui est le fondement de la télécommande actuelle.

Édouard Branly est le type même dusavant travailleur, passionné, désintéressé et opiniâtre de cette époque.Catholique convaincu, il se bat toute sa vie pour obtenir des conditions de travail décentes à l'Institut catholique de Paris et lutte contre l'opposition des milieux universitaires et scientifiques anticléricaux[a].

Enfance et formation

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Édouard Branly naît rue Martin-Bleu-Dieu à Amiens, le[2]. Il est le premier enfant d'Édouard Joseph Branly, maître d'études au collège royal d'Amiens, et d'Elisa Gillion. Son père, ami dePaul Desains, est nommé professeur au collège communal deSaint-Quentin, où s'établit la famille en 1845. Un deuxième enfant, prénommé Edgar, voit le jour en 1851. Élève brillant, Édouard est scolarisé à partir de 1852 au collège de Saint-Quentin qui devient un lycée impérial de3e classe en 1853. Il entre en classe de6e en 1854 dans la division des lettres. En 1860, à la fin de la classe de rhétorique, sans faire l'année de logique, il obtient, à l'âge de 16 ans, lebaccalauréat ès lettres devant la faculté des lettres de Douai[3]. Edouard Branly souhaite cependant se consacrer aux sciences. Il prépare donc lebaccalauréat ès sciences, qu'il passe l'année suivante devant lafaculté des sciences de Paris[4]. Il fait ensuite des études supérieures en classe de mathématiques spéciales aulycée Napoléon où il a pour professeur de physique Édouard Desains[b], puis, de 1865 à 1868, à l'École normale supérieure, où il suit les conférences de physique de Bertin-Mourot, et à la faculté des sciences de Paris, où il suit les cours de physique de Paul Desains etJules Jamin et obtient leslicences ès sciences mathématiques et ès sciences physiques en 1867.

Carrière

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Nommé agrégé des sciences physiques et naturelles en 1868[5], il est affecté brièvement aulycée de Bourges avant d'être nommé en 1869 chef des travaux du laboratoire d'enseignement de physique de lafaculté des sciences de Paris et de l’École pratique des hautes études, dirigé par Paul Desains. Durant la guerre de 1870 il est sous-lieutenant du génie auxiliaire. Il est nommé directeur-adjoint après l'obtention du doctorat ès sciences physiques devant la faculté des sciences de Paris en 1873 (thèse de physique sur les phénomènes électrostatiques dans les piles). Sa première communication à l'Académie des sciences, cosignée avec Desains, porte sur lerayonnement solaire[6],[5].

Il enseigna aucollège Rollin durant l'année scolaire 1874-1875. En 1876, il quitte la faculté pour devenir professeur à l'Institut catholique de Paris, nouvellement créé. En 1877 il reprend des études de médecine et obtient le doctorat en 1882 avec une thèse sur le dosage de l'hémoglobine et le traitement des malades anémiés. À partir de 1896, il pratique la médecine en parallèle avec l'enseignement et la recherche à l'Institut catholique.

Recherches et découvertes

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Plaque en hommage à Édouard Branly auno 74rue de Vaugirard, sur la façade de l'Institut Catholique de Paris, pour sa découverte de la radioconduction.
Plaque hommage à Edouard Branly, Rue des Suzannes à Saint-Quentin.
  • 1890 : découverte du principe de la radioconduction et mise au point duradioconducteur basé sur le tube à limaille. Travaux sur laphotoélectricité.
  • 1895 : recherche sur lescontacts imparfaits.
  • 1895 : mise au point du trépied-disque, le « radioconducteur à contact unique ».
  • 1905 : invente la télémécanique.
  • 1911 : recherches sur les diélectriques minces.
  • l'antenne, une tige métallique, aussi l'auteur de recherches sur la décharge des corps électrisés sous l'influence de la lumière et d'expériences de télécommande.

Événements

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Honneurs

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Actions de la comtesse Greffulhe

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Édouard Branly fait la connaissance d'Élisabeth de Caraman Chimay,comtesse Greffulhe, en 1902, par l'intermédiaire d'Albert de Mun. La comtesse Greffulhe se passionne pour ses travaux, visite son laboratoire, se fait expliquer le principe de la radioconduction et les expériences en cours[9]. Elle prend conscience de la vétusté du laboratoire et des conditions de travail difficiles du physicien, elle lui apporte une aide efficace à plusieurs reprises grâce à ses relations.

  • Elle convaincMaurice Bunau-Varilla directeur duMatin d'organiser une conférence sur la télémécanique auTrocadéro en[10].
  • En 1905, elle organise dans sa propriété de Bois-Boudran, enSeine-et-Marne, une démonstration de radiotransmission de la voix sur trois kilomètres, à laquelle elle convie le tout-Paris.Marcel Proust figure parmi les invités à cette manifestation[11].
  • Elle intervient auprès d'Alexandre Millerand, alors ministre des Travaux publics, pour le renouvellement du bail de l'Institut catholique à la fin de l'année 1909.
  • Par l'intermédiaire de sa sœur Ghislaine de Caraman Chimay elle introduit Édouard Branly à la cour de Belgique et le présente au roiAlbertIer. Il est élu membre associé de l'Académie royale en 1910.

Famille

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Plaque auno 87boulevard Saint-Michel (Paris).

Le 24 mars 1940, Édouard Branly s'éteint à Paris en son domicile 87 boulevard Saint-MichelParis 5e[16] qui était occupé par M. etMme Tournon, ses gendre et fille, où il était revenu après avoir passé quelques mois enHaute-Vienne à la suite de la déclaration deguerre[17].
Sesfunérailles nationales sont célébrées àNotre-Dame par lecardinal Verdier le, l'éloge funèbre est prononcé par le Ministre de l’Éducation nationaleAlbert Sarraut en présence du Président de la RépubliqueAlbert Lebrun[18]. Branly est inhumé aucimetière du Père-Lachaise (division 10) à Paris. Ses traits nous restent fixés par le portrait que peignitMaurice Asselin en 1936, aujourd'hui conservé auMusée Toulouse-Lautrec d'Albi.

Signature de lacomtesse Greffulhe. Billet à Édouard Branly, 1905.

Autres

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  • 1871 : participe à la défense de Paris.
  • 1932 : inauguration du nouveau laboratoire à l'Institut catholique.

Hommages

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Portrait du professeur Branly deMaurice Asselin, 1936, musée Toulouse-Lautrec.

Lemusée Toulouse-Lautrec d'Albi conserve unPortrait du professeur Branly, toile peinte parMaurice Asselin en 1936.

UnMonument à Édouard Branly, parCarlo Sarrabezolles (1888-1971), a été inauguré à Paris aujardin du Luxembourg en1932. Un musée situé dans son ancien laboratoire au sein de l'Institut Catholique de Paris, rue d'Assas à Paris, lui est consacré.

Au moins huitlycées en France portent le nom d'Édouard Branly : àAmiens[19],Boulogne-sur-Mer[20],Châtellerault[21],Créteil[22],Dreux[23],La Roche-sur-Yon[24],Lyon[25],Nogent-sur-Marne[26].

ÀParis, une partie duquai d’Orsay a porté le nom dequai Branly de 1941 à[27], lorsqu’Anne Hidalgo l’a débaptisé pour le renommerquai Jacques-Chirac[28].

ÀAmiens, une esplanade porte son nom sur laquelle se dresse l'église Saint-Honoré construite par son gendre,Paul Tournon. La façade présente une mosaïque, réalisée par Florence Tournon-Branly, la petite-fille du savant.

ÀMontreuil, une rue et l'un des quatorze quartiers de la ville portent son nom[29]. ASarcelles, une rue porte son nom depuis les années 1960. ÀForest (Bruxelles) unerue porte son nom et àToulouse une allée près de la place du Busca. Il existe aussi une rue Édouard-Branly àIssy-les-Moulineaux, àPalaiseau, àLannion et àTréboul (Finistère).

Travaux

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Tube de Branly (portant le no 78) pour la détection radio.

Expérience fondamentale sur la radioconduction

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Article connexe :Cohéreur.
Schéma du radioconducteur d’Édouard Branly.
Tube à limaille.
Trépied-disque conçu par Édouard Branly.

L'expérience fondamentale fut réalisée par Édouard Branly et son préparateur Gendron, le.

Description de l'expérience :
Dans une salle de cours, se trouve un éclateur à étincelles dont les boules sont les pôles d'une machine électrostatique deWimshurst. Dans une salle éloignée de la salle de cours et séparée d'elle par trois pièces est installé un circuit(voir schéma ci-contre) comportant unepile (3), ungalvanomètre (2) et un tube de verre étroit contenant un peu de limaille métallique intercalée entre deux tiges conductrices (1). L'éclateur et le circuit sont séparés par une distance de 25 mètres et plusieurs murs.
Si, à un moment donné, une étincelle est produite au niveau de l'éclateur, la limaille devient instantanément conductrice et le galvanomètre accuse une déviation qui indique le passage d'un courant.
Un très léger choc sur le tube à limaille supprime le courant, une nouvelle étincelle entre les pôles de l'éclateur le rétablit.

Édouard Branly vient donc de commander à distance, la fermeture d'un circuit électrique, sans qu'il y ait de lien matériel entre l'organe de commande (le générateur d'étincelles) et le tube à limaille, celui-ci agissant comme un organe sensible aux ondes électriques produites par l'éclatement de l'étincelle.

Après des années de recherches sur la déperdition des charges électriques d'un corps électrisé soumis à l'action de la lumière[30], Édouard Branly vient de mettre en évidence le principe de la « radioconduction » et baptise le tube à limaille du nom de « radioconducteur ».

Édouard Branly présente cette expérience dans une communication, désormais célèbre, devant l'Académie des sciences le[31].

Radioconducteur ou cohéreur ?

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À l'issue de l'expérience fondamentale du, Édouard Branly, constatant que la conductibilité du tube à limaille varie sous l'effet de radiations, donne au dispositif le nom de « radioconducteur ».

En 1894, SirOliver Lodge, professeur de physique à l'université de Liverpool en Grande-Bretagne, fait une série d'expériences à partir des travaux d’Édouard Branly. Il ajoute au tube à limaille un trembleur qui permet d'interrompre automatiquement le passage du courant. Il émet une théorie pour expliquer le phénomène de la radioconduction :« Sous l'action des ondes électriques, des étincelles microscopiques se produisent entre les grains de limaille et établissent ainsi le contact électrique […] ». Pour décrire ce phénomène Sir O. Lodge utilise le verbe anglaisto cohere qui va être à l'origine du néologisme « cohéreur » en France[d].

Édouard Branly déclare devant la Société des électriciens en :« Lodge appelle le tube à limaillecoherer. Je combats cette appellation qui traduit une interprétation inexacte du phénomène ; j'ai fait voir, en effet, que des agglomérés solides de poudre métallique et d'isolants où les particules sont fixes se comportent en tout comme la limaille à particules mobiles […] »[32],[e].

Radioconducteur et contacts imparfaits

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Édouard Branly multiplie les expériences et remplace les grains de limaille tout d'abord par des billes d'acier poli, puis par des disques métalliques, le phénomène de radioconduction persiste. Il utilise des métaux différents et teste l'influence de l'oxydation. Il constate une nette amélioration de la sensibilité du radioconducteur lorsque le contact se fait entre métal oxydé et métal poli. Il imagine alors un nouveau type de radioconducteur :
« Trois tiges métalliques, de même nature, parallèles, de 2 mm de diamètre environ, sont réunies à leur partie supérieure par un disque qui les relie à l'un des pôles d'un élément de pile ; les extrémités inférieures, de diamètre réduit, nettoyées, polies, puis oxydées, reposent librement sur un plan d'acier poli, relié au second pôle de l'élément de pile […] »

C'est le trépied-disque (voir photo ci-contre) qui va se révéler beaucoup plus efficace que le tube à limaille.
Le, il fait une communication à l'Académie des sciences sur la théorie des contacts imparfaits :
« […] on peut regarder comme démontré qu'il n'est pas nécessaire que les particules d'un conducteur soient en contact pour livrer passage à un courant électrique. Dans ce cas, l'isolant sert principalement à maintenir un certain intervalle entre les particules […] »

Article détaillé :Radioconducteur.

Le radioconducteur et la télégraphie sans fil

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Première liaison par TSF à partir de Wimereux - 1899.
Article détaillé :Transmission sans fil.

À la suite des liaisons de télégraphie sans fil réalisées avec succès parGuglielmo Marconi du au entre une station installée àWimereux (Pas-de-Calais), une à South-Fireland (Douvres) et deux naviresL’Ibis etLa Vienne, naviguant dans la Manche, Guglielmo Marconi adresse le le télégramme suivant à Édouard Branly :

« M. Marconi envoie à M. Branly ses respectueux compliments pour la télégraphie sans fil à travers la Manche - STOP - Ce beau résultat étant dû en partie aux remarquables travaux de M. Branly - STOP. »

En effet, tous les récepteurs utilisés au cours de ces expériences, à terre comme à bord des deux navires, sont équipés des radioconducteurs conçus par Branly. Édouard Branly répond à ce télégramme :

« M. Branly remercie M. Marconi de son magnifique succès et lui exprime son admiration. »

La télémécanique sans fil

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Le, Édouard Branly présente devant l'Académie des sciences une application du radioconducteur : le contrôle d'actions produites à distance par les ondes électriques[33].« La conductibilité d'un radioconducteur à un poste de réception, provoquée par des ondes électriques issues d'un poste d'émission, entraine par l'intermédiaire d'un relais, comme pour l'inscription d'un signal dans un circuit local agencé à l'avance, les déclenchements que l'on est capable de réaliser dans une commande par fil de ligne »[34].

Le, Édouard Branly présente devant 5 000 personnes, auTrocadéro, une expérience de télémécanique[35].

Publications

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Communications à l'Académie des sciences

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  • Édouard Branly,Mesures de la polarisation dans l'élément voltaïque, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Mesures de l'intensité des courants au moyen de l'électromètre, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Évaluation en unités mécaniques de la quantité d'électricité que produit un élément de pile, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Sur l'emploi du gaz d'éclairage comme source constante dans les expériences de rayonnement, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Nouveau mode d'emploi du thermomultiplicateur, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,La déperdition des deux électricités à la lumière de radiations très réfrangibles, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Courants photoélectriques entre les deux plateaux d'un condensateur, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Variations de la conductibilité sous diverses influences électriques, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Variations de conductibilité des substances isolantes, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Déperdition des deux électricités par les rayons très réfrangibles, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Nouvelle conductibilité unipolaire des gaz, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Conductibilité des radioconducteurs ou conductibilité électrique discontinue. Assimilation à la continuité nerveuse, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Télégraphie sans fil et collisions en mer, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Radioconducteurs à limaille d'or et de platine, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Récepteur de télégraphie sans fil, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Distribution et contrôle d'actions produites à distance par les ondes électriques, Académie des sciences, séance du[33].
  • Édouard Branly,Appareil de Télémécanique sans fil de ligne, Académie des sciences, séance du.
  • Édouard Branly,Conductibilité intermittente des minces couches diélectriques, Académie des sciences, séance du.

Ouvrages

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  • Édouard Branly,Traité élémentaire de physique, Éditions Poussielgue, Paris, 1899[f].
  • Édouard Branly,Cours élémentaire de Physique et Problèmes de Physique, Éditions J. de Gigord, Paris, 1900[g].
  • Édouard Branly,La TSF, télégraphie et téléphonie sans fil, Paris, Payot, 1923[h].
  • Édouard Branly,Électricité, Éditions J. de Gigord, Paris, 1934.

Notes et articles

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  • Édouard Branly, « Variations de conductibilité des isolants sous diverses influences électriques », Congrès scientifique international des catholiques, Paris 1-.
  • Édouard Branly, « Les Radioconducteurs », Congrès International de Physique, Paris 1900.
  • Édouard Branly, « Remarques sur l'historique de la télégraphie sans fil »,Bulletin de la Société internationale des électriciens, Paris, 1898.
  • Édouard Branly, « Une enveloppe métallique ne se laisse pas traverser par les oscillations hertziennes »,Journal de physique, Paris,.
  • Édouard Branly, « Conductibilité intermittente des diélectriques »,Annales de chimie et de physique, Paris,.
  • Édouard Branly, « La Télégraphie sans fil à la guerre »,Journal de l'Université des Annales, Paris,.

Notes et références

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Notes

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  1. Une partie du matériel de sonlaboratoire est exposée au musée Branly, dans l'enceinte de l'Institut catholique, 21rue d'Assas, dans leVIe arrondissement de Paris. Dans ce bâtiment maintenant occupé par l'Institut supérieur d'électronique de Paris, on peut visiter trois pièces de son laboratoire, dont son bureau et une salle transformée en magnifiquecage de Faraday par des plaques decuivre apposées sur les six faces.
  2. Frère de Paul Desains, ancien élève deJoseph-Charles d'Almeida.
  3. Christophe F4dan, « plaque commémorative à Paris, 87 bd Saint-Germain »(consulté le).
  4. Sir Oliver Lodge présente le résultat de ses expériences en juin 1894 devant laRoyal Institution et en août 1894 devant laBritish Association à Oxford.
  5. Cet appareil découvert par Édouard Branly en 1890 et nommé par lui « radioconducteur », fut appelé par Lodge « cohéreur »,Larousse duXXe siècle, 6 vol., 1932.
  6. Six éditions, constamment remaniées entre 1899 et 1924.
  7. Sept éditions entre 1900 et 1922.
  8. Deuxième édition en 1925.

Références

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  1. « https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/POG/FRAN_POG_05/p-nq0enbmz--ubbnst83oe3b »
  2. ab etc« Cote LH/351/94 »,base Léonore,ministère français de la Culture
  3. certificat d'aptitude du 13 novembre 1860, diplôme du 25 avril 1861.
  4. diplôme de mai 1862.
  5. a etbJean-Claude Boudenot,p. 13-14.
  6. P. Desains et E. Branly, « Recherches sur le rayonnement solaire »,Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences,t. LXIX,‎,p. 1133(lire en ligne)
  7. Institut de France, « prix anciens n'étant plus attribués : Osiris de l'Institut de France »(consulté le).
  8. « L'Académie / Who's who ? / Édouard Branly »
  9. « Elle s'intéressa avec un enthousiasme inusité aux recherches du grand savant… » Jeanne Terrat-Branly, op. cit.p. 229.
  10. « La télégraphie sans fil : la conférence du 30 juin »,Le Matin,no 7794,‎,p. 1(lire en ligne)
  11. Laure Hillerin,La comtesse Greffulhe, L'ombre des Guermantes, Paris,Flammarion,, 570 p.(OCLC 893853241),p. 159-162 etp. 375-377.
  12. Jeanne, plus tardMme Terrat-Branly, auteur d'un livre source :Édouard Branly, mon père voir paragraphe « bibliographie ».
  13. « Cote 19800035/7/787 »,base Léonore,ministère français de la Culture
  14. AlainDautriat,Sur les murs de Paris : guide des plaques commémoratives, Paris, L'inventaire,, 167 p.(présentation en ligne),p. 42
  15. « Voilà M. Branly »,Paris-soir,no 5139,‎,p. 2(lire en ligne)
  16. Décès Paris 5e, 17 février 1940 (acte n° 301)-17 avril 1940 (acte n° 601), cote 5D 267, page 20/31 acte N°496
  17. « Branly »,Le Temps,no 28682,‎,p. 1(lire en ligne)
  18. « Les obsèques nationales d’Édouard Branly »,Le Temps,no 28687,‎,p. 4(lire en ligne)
  19. « Lycée Édouard Branly à Amiens », surLycée Édouard Branly(consulté le).
  20. « Lycée Édouard Branly - Boulogne-sur-Mer », surAcadémie de Lille(consulté le).
  21. « Lycée Édouard Branly - Châtellerault », surAcadémie de Poitiers(consulté le).
  22. « Lycée Édouard Branly - Créteil », surAcadémie de Créteil(consulté le).
  23. « Lycée polyvalent Édouard Branly à Dreux », surLycée Édouard Branly(consulté le).
  24. Académie de Poitiers, « Lycée Édouard Branly professionnel et technique - La Roche-sur-Yon »(consulté le).
  25. « Lycée Édouard Branly - 25, rue de Tourvielle - Lyon5e », surLycée Édouard Branly(consulté le).
  26. « Lycée collège Édouard Branly - Nogent-sur-Marne », surAcadémie de Créteil(consulté le).
  27. « Anne Hidalgo va proposer un quai Jacques-Chirac »,Le Figaro,‎(lire en ligne).
  28. François-Guillaume Lorrain, « Mais où est passé le quai Branly ? »,Le Point, Paris,‎(ISSN 0242-6005,lire en ligne, consulté le).
  29. « Ville de Montreuil - Branly - Boissière », surmontreuil.fr(consulté le)
  30. Note du 8 avril 1890 devant l'Académie des sciences : « La déperdition des deux électricités à la lumière de radiations très réfrangibles ».
  31. Communication intitulée : « Variations de la conductibilité sous diverses influences électriques ».
  32. Bernard Baris, op. cit.,p. 96.
  33. a etbÉdouard Branly, « Électricité : distribution et contrôle d'actions produites à distance par les ondes électriques »,Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences,t. CXL,no 12,‎,p. 777(lire en ligne)
  34. Édouard Branly, La T.S.F. télégraphie et téléphonie sans fil,p. 142, Payot, Paris, 1925.
  35. « La poste par pigeons : ce que dit le docteur Branly »,Le Matin,no 7802,‎,p. 1(lire en ligne)

Bibliographie

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Liens externes

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