jeu d'Y(en) est unjeu de société qui se joue avec un plateau en forme de triangle arrondi dont les cases sont elles-mêmes des triangles. Le but du jeu est de relier les trois côtés dutriangle à l'aide de petits cailloux placés sur chaque centre des Y formés par les triangles. Ce jeu se joue à deux
Y est le symbole d'un pokémon légendaire du nom de Yveltal de la sixième génération.
LeY était le symbole de la sectepythagoricienne. Il représente symboliquement la croisée des chemins (bivium), le choix que doit faire chaque adepte pour entrer dans la secte et suivre ses commandements, censés faire de lui un homme divin.
Le Y couronné que l'on trouve parmi les emblèmes du roiJeanIer de Portugal, notamment sur des monnaies, renvoie au prénom du roi (yohannes), mais a probablement aussi un sens symbolique lié au choix entre le bien et le mal[6].
EnAllemagne, leY est utilisé par l'immatriculation des véhicules militaires de laBundeswehr. En 1955, lorsque fut créée la nouvelle armée allemande, toutes les lettres désignaient une province allemande (M pour Munich, F pour Francfort, etc.), à l'exception du X et du Y. C'est cette dernière qui fut alors préférée par l'état-major.
Ancien signe distinctif en trafic international des véhicules automobiles immatriculés enYougoslavie entre 1929 et 1953, prescrit dans le cadre de la Convention sur la circulation routière de Genève de 1949 et de la Convention sur la signalisation routière de Vienne de 1968.
↑La branche gauche de la lettre figure le chemin plus large de la Volupté (avec l'épée, le fouet, les verges, le gibet et le feu auxquels il mène) ; la branche droite, la voie plus étroite de la Vertu (avec ses récompenses : les lauriers, les palmes, le sceptre et la couronne).
↑Cf.Erwin Panofsky,Hercule à la croisée des chemins et autres matériaux figuratifs de l'Antiquité dans l'art plus récent, éd. Danièle Cohn, Paris, Flammarion, 1999, 242 p.(ISBN2080126229)
↑L'idée dubivium, des deux chemins, est déjà chezHésiode,Les Travaux et les jours, v. 287-292.
↑Franz De Ruyt, « L'idée duBivium et le symbole pythagoricien de la lettre Y »,Revue belge de philologie et d'histoire, 10, 1931,p. 137-145 (En ligne) ; Guy de Tervarent,Attributs et symboles dans l'art profane : dictionnaire d'un langage perdu (1450-1600), Paris, Droz, 1997 (En ligne).