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Yerres

48° 43′ 02″ nord, 2° 29′ 17″ est
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(Redirigé depuisYerres (Essonne))
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirYerres (homonymie).

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles ayant des titres homophones, voirHyères etHier.

Yerres
Yerres
L'hôtel de ville.
Blason de Yerres
Blason
Yerres
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementEssonne
ArrondissementÉvry
IntercommunalitéCA Val d'Yerres Val de Seine
Maire
Mandat
Olivier Clodong
2020-2026
Code postal91330
Code commune91691
Démographie
GentiléYerrois
Population
municipale
28 349 hab.(2022en évolution de −1,63 % par rapport à 2016)
Densité2 881 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 43′ 02″ nord, 2° 29′ 17″ est
AltitudeMin. 32 m
Max. 116 
m
Superficie9,84 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton d'Yerres
(bureau centralisateur)
Législatives8e circonscription de l'Essonne
Localisation
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Yerres
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Yerres
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Yerres
Liens
Site webhttps://www.yerres.fr/
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Yerres[I 1] (prononcé[ jɛʁ] ;Écouter) est unecommune française située à vingt kilomètres au sud-est deParis dans ledépartement de l’Essonne enrégionÎle-de-France.

Reprenant le nom de la rivière l’Yerres dont elle occupe les versants nord et sud de la bassevallée, le village constitué autour de l’abbaye bénédictine Notre-Dame et plus tard du monastère desCamaldules devint à partir duXVIIIe siècle et duXIXe siècle un lieu devillégiature apprécié de l’aristocratie, de labourgeoisie et des artistes. Relié à la capitale par le chemin de fer, implantée en proche banlieue, la commune subit une explosion démographique au cours de la seconde moitié duXXe siècle, multipliant la population par cinq en cinquante ans. Majoritairementrésidentielle, la commune se démarque dans le département par leniveau de vie relativement élevé de sa population, attirée par le cadre de vie préservé.

Ses habitantssont appelés lesYerrois[1].

Géographie

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Description

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Position d’Yerres en Essonne.

Yerres est située dans le nord-est du département de l’Essonne, limitrophe du département duVal-de-Marne dans la régionÎle-de-France, dans la partie sud-est de l’agglomération parisienne. Implantée dans lavallée de l’Yerres et duRéveillon, elle est située dans la partie sud-ouest de larégion naturelle de laBrie au nord de la vasteforêt de Sénart.

Le territoire communal occupe une superficie totale de neuf cent quatre-vingt-quatre hectares avec une forme approximative de virgule inversée orientée du nord-est au sud long de quatre kilomètres du nord au sud et large d’un kilomètre dans sa partie sud, de quatre kilomètres dans sa partie nord. L’Institut national de l'information géographique et forestière attribue lescoordonnées géographiques 48°43'07" Nord et 02°30'22" E au point central de ce territoire[2].

La commune d’Yerres est située à vingt kilomètres au sud-est deParis-Notre-Dame,point zéro des routes de France, dix kilomètres au nord-est d’Évry, vingt kilomètres à l’est dePalaiseau, quarante et un kilomètres au nord-est d’Étampes, dix-neuf kilomètres au nord-est deMontlhéry, vingt-quatre kilomètres au nord-est d’Arpajon, vingt-huit kilomètres au nord-est deLa Ferté-Alais, trente-cinq kilomètres au nord deMilly-la-Forêt, quarante-deux kilomètres au nord-est deDourdan, vingt-trois kilomètres au nord-ouest deMelun et neuf kilomètres au sud deCréteil.

Communes limitrophes

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Yerres est limitrophe de six communes : au nord-ouest et au nord, le chemin du bois de la Grange marque la limite avec les communesval-de-marnaise deValenton etLimeil-Brévannes, au nord-est et à l’est, le chemin d’Yerres, la rue de Valenton, l’allée du Clocher, le chemin du Cimetière et le chemin de Paris matérialisent la limite avecVillecresnes, au sud-est, Yerres etBrunoy sont séparées par leRéveillon et l’Yerres, puis par les rues Gabriel-Péri, Monsieur, des Glaises, Claude-Monet et Marceau.

Au sud-ouest et à l’ouest se trouve laforêt de Sénart, sur le territoire deMontgeron, séparée par l’avenue de la Résistance, puis le secteur pavillonnaire séparé par les rues Pierre-Semard, du Verger et d’Yerres jusqu’à la jonction avec le cours de la rivière. De ce point démarre la frontière avecCrosne matérialisée par la rue du Vieux-Château et le chemin des Uselles jusqu’au bois de la Grange.

Rose des ventsValenton
(Val-de-Marne)
Limeil-Brévannes
(Val-de-Marne)
Villecresnes
(Val-de-Marne)
Rose des vents
Crosne &
Montgeron
N
O   Yerres   E
S
MontgeronBrunoy

Relief et géologie

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La commune est implantée dans la bassevallée de l’Yerres, elle occupe les deux versants nord et sud, le point le plus bas de la commune est situé dans le lit de la rivière, à l’extrémité ouest de la Grande Prairie, près de la limite avecMontgeron à seulement trente mètres d’altitude[3], le territoire s’élève ensuite rapidement vers le nord-est pour atteindre le point culminant sur le mont Griffon à cent seize mètres d’altitude[4] à seulement neuf cent cinquante mètres de distance.

Au nord-est se trouve ensuite le plateau de laBrie. Le centre-ville, placé en amont de la rivière, est lui situé approximativement à quarante-sept mètres d’altitude[5], le terrain poursuit sa lente ascension vers l’est puisque le lit du Réveillon à la limite avecVillecresnes culmine à cinquante-neuf mètres[6] et vers le sud dans la forêt de Sénart avec une altitude de cinquante-et-un mètres pour la gare[7] et quatre-vingt-cinq mètres à la limite sud avec Montgeron[8].

Le sous-sol est caractéristique duBassin parisien et plus précisément de laBrie avec une accumulation de couchessédimentaires decalcaire, d’argile et delimon renfermant de lameulière, érodé vers l’ouest par les cours d’eau[9].

Hydrographie

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La confluence du Réveillon et de l’Yerres.
L'Yerres.

Le territoire de la commune est traversé en son centre, d’est en ouest par la rivière l’Yerres qui parcourt ainsi trois kilomètres. Une station de mesure des eaux était installée sur le pont Massat jusqu’en 1989[10], elle a enregistré un débit maximal de cent quatorze mètres cubes par seconde en[11].

La limite sud-est avecBrunoy est matérialisée par le cours duRéveillon qui totalise sur le territoire approximativement deux kilomètres jusqu’à laconfluence des deux rivières. Au niveau de cette confluence, l’Yerres se divise en deux bras jusqu’à la fontaine de Budé à proximité du centre-ville. À hauteur du manoir, une dérivation a été pratiquée pour former une petite île dans l’anciennepropriété Caillebotte.

Enfin, à la frontière avec Montgeron, le ruisseau de Chalandray se sépare du cours de la rivière pour irriguer laprairie du centre équestre. Une petitemare se situe dans le parc de l’hôtel de ville, uncanal enserre leparvis duchâteau de la Grange protégé sur ses façades est et sud par desdouves en eau. À l’extrémité ouest du parc, unbassin agrémente la perspective.

La gestion de l’Yerres et du Réveillon est confiée à un syndicat intercommunal, le SyAGE[12].

Milieux naturels et biodiversité

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La commune d'Yerres dispose d'un vasteparc urbain dans l'anciennepropriété Caillebotte disposant de plusieursfolies[13] auquel s'ajoutent trente-cinq hectares de jardins publics disséminés sur le territoire. Elle a été récompensée par deux fleurs auconcours des villes et villages fleuris[14].

Deux cent neuf hectares de laforêt de l'Arc boisé gérés par l'office national des forêts occupent le nord-est du territoire communal et forment la majeure partie des trois cent quarante-quatre hectares de massif boisé dont jouit la commune. Les bords de l'Yerres constituent eux une coulée verte presque ininterrompue traversant le territoire d'est en ouest.

  • Le parc Caillebotte
  • La fontaine
    La fontaine.
  • La glacière
    La glacière.
  • La chapelle
    La chapelle.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de l'Essonne.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[15]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueSud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deLimeil-Brévannes à 3 km àvol d'oiseau[17], est de12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 656,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Statistiques 1991-2020 et records LIMEIL (94) - alt : 45m, lat : 48°45'04"N, lon : 2°29'08"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)2,22,24,36,410,113,315,314,811,58,75,12,78
Température moyenne (°C)4,95,78,811,715,418,720,820,616,812,88,25,312,5
Température maximale moyenne (°C)7,79,213,416,820,724,126,526,422,21711,3816,9
Record de froid (°C)
date du record
−12
08.01.10
−11,6
07.02.1991
−8
01.03.05
−3
06.04.21
0
06.05.19
4
12.06.05
7,5
04.07.1990
7
21.08.14
3
25.09.02
−3,5
30.10.1997
−9
24.11.1998
−9,5
29.12.1996
−12
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
16
13.01.04
22
27.02.19
26
31.03.21
28,5
25.04.07
32,5
28.05.17
37
27.06.11
40
31.07.20
41
06.08.03
33,5
14.09.20
29
01.10.11
22
06.11.18
18
16.12.1989
41
2003
Précipitations (mm)49,946,346,448,266,756,155,26049,156,156,665,5656,1
Source :« Fiche 94044001 », surdonneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Rapidement urbanisée dans la seconde moitié duXXe siècle, la commune est aujourd’hui décomposée en quatorzequartiers dont plusieursgrands ensembles etlotissementpavillonnaires.

Typologie

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Au, Yerres est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[I 4],[I 5].

Occupation des sols simplifiée

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Seulement 51 % du territoire était urbanisé et construit en 2003, 37 % soit approximativement trois cent soixante-dix hectares conservaient un caractèrerural, principalement composé du bois de la Grange au nord de la commune.

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 35,83 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11,69 % d'espaces ouverts artificialisés et 52,47 % d'espaces construits artificialisés[21].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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La commune d’Yerres est composée de plusieurs quartiers répartis sur le territoire. À l’extrême nord-est, elle partage avecVillecresnes lelotissement pavillonnaire des Châtaigniers de Grosbois.

Au sud de la forêt de la Grange se trouvent les quartiers de la Sablière et de la Mare Armée (où se situe le stadeLéo-Lagrange) dominant lecentre-ville en bordure de rivière, avec à l’ouest le quartier du Manoir.

À l’est, à proximité de l’ancienne abbaye et de la limite avecBrunoy se trouve le quartier des Camaldules (Keranna) et un peu plus au nord le quartier du Bout du Monde.

Sur la rive sud de la rivière sont répartis plusieursgrands ensembles : La Grange aux Bois à l’est du parcCaillebotte, les Grands Godeaux près de la gareRER, la Grande Prairie à la limite ouest de la ville et lacité des Tournelles avec notamment le lycée professionnel Louis-Armand, la piscine Val de Forme et le stade Pierre-Mollet. Le quartier de Concy se situe quant à lui entre les Tournelles et les Grands Godeaux.

Au-delà de la voie ferrée, le sud du territoire qui fut auparavant boisé est occupé par les quartiers de Gambetta, de Brossolette, du Taillis et du Rond-Point Pasteur où se situent l’école La Garenne, laPoste annexe ainsi que lamairie annexe.

Au pied du mont Griffon subsiste lelieu-dit le Prieuré et les bords de l’Yerres ont pris l’appellation deCaillebotte en référence à lapropriété de l’artiste.

La municipalité a regroupé ces quartiers en sept parties pour instituer lesconseils de quartier : Centre-ville - Bellevue, Tournelles - Rives de l’Yerres, Concy - Grands Godeaux - Gare, Gambetta - Brossolette - Belvédère, Taillis - Garenne, Grobois - Mare Armée - Sablière et Camaldules - Abbaye - Bout du Monde.Les quartiers de la Sablière[22] et des Tournelles[23] ont été répertoriés comme prioritaires dans le cadre ducontrat de ville du Val-d’Yerres et sont intégrés à uncontrat urbain de cohésion sociale.

L’Insee découpe la commune en septîlots regroupés pour l'information statistique : Taillis - Garenne, Gambetta - Brossolette - Gare, Camaldules, Concy - Grands Godeaux - Belvédère, Rives de l’Yerres - Tournelles, Bellevue - Centre-ville et Grosbois - Mare Armée - Sablière[24].

La commune compte 20lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[25]

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total delogements dans la commune était de 12 871, alors qu'il était de 12 383 en 2014 et de 12 249 en 2009[I 6].

Parmi ces logements, 94,2 % étaient desrésidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 47 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 52,8 % desappartements[I 7].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Yerres en 2019 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,7 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73 % en 2014), contre 58,7 % pour l'Essonne et 57,5 pour la France entière[I 8].

Le logement à Yerres en 2019.
TypologieYerres[I 6]Essonne[I 9]France entière[I 10]
Résidences principales (en %)94,291,782,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)0,71,79,7
Logements vacants (en %)5,16,68,2

Voies de communication et transports

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Positionnée dans la vallée, la commune est traversée par plusieurs axes de transports, dont laligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles empruntée par laligne D du RER d'Île-de-France avec une desserte dans lagare d'Yerres, lesroutes départementales31,32,50,94 et941, elle est placée à mi chemin de laroute nationale 6 au sud et de laroute nationale 19 au nord.

Plusieurs lignes d’autobus sillonnent le territoire et permettent de rallier les points névralgiques voisins.

Toponymie

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Edera en 1235,Hedera en 1238,Hezdera en 1248,Hietra en 1630,Erra,Irrya,Hierre[26].

En 1801 dans le bulletin des lois, le nom de la commune était indifféremment orthographiéYerres ouYeres.Liaison etélision sont à faire ; on dit ainsi la ville d’Yerres comme de la rivière l’Yerres[27].

Histoire

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Les origines

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Il est probable que le gué d’Yerres, situé sur lavoie romaine menant deParis àMontereau[28], ait été à l’origine du premier peuplement d’Yerres[29].

Abbayes et seigneurs

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La région d’Yeres auXVIIe siècle par Cassini.

L’ensemble de la basse vallée de l’Yerres fut attribué par les rois mérovingiens aux grandes abbayes parisiennes, qui contribuèrent au développement local. La paroisse, initialement dédiée àSaint Loup fut citée auXIe siècle[29].

L’histoire connue du lieu[30] démarre avec l’édification à partir de 1120 de l’abbaye Notre-Dame d'Yerres, tenue par lesbénédictines. En 1130, le seigneur Guillaume de Hierres édifia un château dont subsiste aujourd’hui lechâtelet en centre-ville. AuXIIe siècle, la seigneurie appartient à la famille du Donjon deCorbeil ([31] à titre de renseignement ; la généalogie des du Donjon de Corbeil, apparentés auxLe Riche, est confuse et imprécise) :Baudouin est le mari de la fondatrice de l'abbaye, Eustachiede Châtillon, et le père ou le grand-père de nombreux enfants, dont Eustachie du Donjon qui épouseRenaud de Courtenay[32]. AuXIIIe siècle fut reconstruite l’église paroissiale. LesCourtenay héritent des droits (avecBondoufle etCombs) par le mariage desdits Eustachie/Helvis/Hélène/Elisabeth du Donjon et Renaud, puis lesCourtenay capétiens par l'union de leur filleElisabeth (~1127-1205) avecPierre de France (vers 1126-1180/1183) ; plus précisément, c'est Jean (Ier) de Courtenay, leur fils puîné semble-t-il, qui fonde la branche d'Yerres, puis son fils GuillaumeIer hérite de toute la seigneurie par la succession de son cousin Jean du Donjon, fils de Baudouin, en 1255. Le règne des Courtenay finit avec Isabelle d'Yerres, † vers 1428, fille de Jean IV de Courtenay d'Yerres.

Mais dès 1389 (ou le ?), le fief d’Yerres revint pour moitié àBureau de La Rivière,chambellan du roi de FranceCharles V, par achat sur Jean IV de Courtenay ; puis sa fille Jeanne de La Rivière le transmet à son mariJacques de Châtillon (1365-1415 àAzincourt ;amiral de France ; parents de Louis de Châtillon, † sans postérité).

En 1390, lefief de la Grange est une parcelle du massif forestier d’Ardenay, défrichée par une communauté religieuse parisienne. En 1431, la reineIsabeau de Bavière y fit un séjour à la ferme des Godeaux.

Le 2 mars 1452, lafamille Budé[33] (DreuxIer Budé,prévôt des marchands, notaire-secrétaire du roi, trésorier des Chartes, sire d'Evry,Marly,Villiers) acquiert la seigneurie sur Louis de Châtillon. Vers 1581, sa ferme est fortifiée. Le règne des Budé (et de leurs descendants Pasquier — Florent, mari d'Isabelle Budé —et du Faultray — Marc, mari de Charlotte Budé ; Isabelle et Charlotte Budé étaient filles d'Eustache Budé) s'achève en mars 1634 et en 1657 par deux ventes — d'un tiers de la seigneurie chacune — à Rollin Burin,conseiller,maître d'hôtel etsecrétaire du Roi et des Finances, contrôleur général des Postes de Paris, Normandie et Bretagne, plus la vente d'un autre tiers dès août 1628 et octobre 1633 àLouis-Emmanuel d'Angoulême, petit-fils deCharles IX, et à ses parentsCharles d'Angoulême etCharlotte de Montmorency,seigneurs de Grosbois,du Piple et deBoissy (désormais Boissy, Grosbois et Yerres sont des seigneuries associées ; le Piple passe quant à lui àJean-Jacques Gaudart de Petit-Marais). Les Budé ont laissé leur nom au château féodal[34], et leur manoir de Narelles est à l'origine du domaineCaillebotte.

La construction du château deLa Grange est entreprise en 1617 parCharles Duret, contrôleur général des finances et fils du premier médecin deCharles IX. Selon la mode de l’époque, des jardins paysagers sont aménagés avec le château[29].

Villégiature d’aristocrates et de grands bourgeois

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LePortraits à la campagne deGustave Caillebotte, peint dans la propriété d’Yerres.

Les deux tiers de la seigneurie sont donc vendus en 1637 à Rollin Burin, maître d’hôtel du roi, dont l’épouse était l’une desprécieuses de l’époque, connue sous le nom de Bertaminde. En 1652, descamaldules édifièrent une nouvelle abbaye sur des terres données parCharles d’Angoulême. En 1658,Ninon de Lenclos y séjourna et y convia des amis aux frais de Bertaminde. L’esclandre qui s’ensuivit fut relaté parTallemant des Réaux[29]. En 1691,Jean de La Fontaine séjourna à l’auberge du Bois Bouron. Dès le 6 mars 1673, Rollin Burin vendit sa part à l’abbaye, qui céda elle-même le àAchille III de Harlay (1639-1712),Ier président du Parlement. Achille de Harlay était le maître de l'autre tiers, avec Grosbois, depuis le par achat à la duchesse d'Aumont (carFrançoise-Marie d'Angoulême (1631-1696), fille de Louis-Emmanuel ci-dessus, vend le 5 février 1676 cette part avec Grosbois à Antoine deBrouilly de Piennes, dont la fille Olympe épouse Louis (1667-1723) ducd'Aumont et marquis deVillequiers). La seigneurie d'Yerres était ainsi réunie au bénéfice des Harlay. Fille d'Achille IV (1668-1717) et petite-fille d'Achille III, Louise-Madeleine de Harlay (1694-1749), épousa en 1711 lemaréchalChristian-Louis de Montmorency-Luxembourgde Tingry et vendit Yerres etGrosbois dès le 4 mars 1718 àSamuel-Jacques Bernard, après qui on trouveGermain-Louis Chauvelin (1685-1762) comme acquéreur en 1731, puisFrançois-Marie Peyrenc de Moras (1718-1771) en 1762 et son héritier par alliancePierre-Paul II Gilbert de Voisins en 1771, enfin lecomte de Provence en 1776.

Entre 1715 et 1717, le prince deHongrie etTransylvanieFrançois II Rákóczi fit retraite au couvent des Camaldules. Lemaréchal de Saxe, qui résidait régulièrement depuis 1745 auchâteau du Piple àBoissy-Saint-Léger (chez son hôte Joseph Hénault de Montigny), acheta ledomaine de La Grange en 1748 et y lança d’importants réaménagements qui restèrent inachevés à sa mort, deux ans plus tard. Ils furent terminés par Jacques Ramond, secrétaire du roi, entre 1755 et 1762. Les jardins furent redessinés en 1847 selon un tracé moins régulier et plusromantique[29].

Le furent expulsées les sœurs de l’abbaye Notre-Dame qui fut vendu en lots. L’ancien cimetière, situé au nord de l’église, fut déplacé à son emplacement actuel en 1832. Dans la seconde moitié duXIXe siècle d’importants travaux lui donnèrent son style romano-byzantin actuel[29]. En 1846 fut aménagée laligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles dans la vallée permettant de rallier la capitale par chemin de fer[35].

C’est en 1860 que le père deGustave Caillebotte acquit sapropriété d’Yerres, située à proximité de l’ancien gué et du pont sur la rivière. Le bâtiment principal, ancien manoir des Budé ou Hôtel de Narelles[36], est nommé « Casin », et est inspiré de laCasina deRaphaël située dans les jardins de lavilla Borghèse àRome[29]. L’artiste réalisa plus de quatre-vingts tableaux dans cette propriété ainsi que dans la campagne environnante[37]. En 1866, c’estPierre Larousse qui acquit une maison à Yerres[38]. Durant laGuerre franco-allemande de 1870, la commune fut le théâtre de batailles dont témoignent les tombes des soldatswurtembergeois. En 1883, le mont Griffon fut sommé d’une borne géodésique servant au calcul des distances entre les grandes villes de France partriangulation.

Époque contemporaine

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Pendant laPremière Guerre mondiale, la villa Carlmenstren devient l'Hôpital auxiliaire de l'association des Dames de France (HAADF)no 223[39].

En 1937, l’État hongrois fit élever une stèle pour honorer le héros nationalFrançois Rákóczi, qui fut déplacée en 1978 dans le square qui porte son nom. Durant laseconde Guerre mondiale, deux Yerrois se distinguèrent par l’aide qu’ils apportèrent aux persécutés, Lucien et Marguerite Dubouloz ont ainsi été élevé au rang de « Juste parmi les nations[40] ».

En mars 1958, l’Yerres en crue inonda la vallée[41]. Le fut signé lejumelage entre la commune d’Yerres etMendig. En 1973 se constitua à Yerres une association de défense de l’environnement et de la nature pour stopper les constructions de grands ensembles dans la commune[42].

En 2000, le château de la Grange, devenu hôtel et restaurant, fut rebaptisé « château du Maréchal de Saxe » pour les besoins de cette nouvelle activité commerciale. En 2011, une rixe éclata au lycée Louis-Armand, des coups de feu furent tirés et sept personnes furent interpellées à la suite de ce fait divers[43].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[44], la commune faisait partie du département deSeine-et-Oise. Laréorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne après un transfert administratif effectif au.

La commune a été rattachée de 1801 à 1919 aucanton de Boissy-Saint-Léger, année où elle intègre lecanton de Villeneuve-Saint-Georges, puis, en 1964, celui deBrunoy. En 1975, la commune devient lechef-lieu ducanton de Yerres[45]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour lesélections départementales, la commune estdepuis 2014 lebureau centralisateur ducanton de Yerres

Articles détaillés :Liste des cantons de l'Essonne,Conseil départemental de l'Essonne etListe des conseillers départementaux de l'Essonne.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de lahuitième circonscription de l’Essonne.

Articles détaillés :Liste des circonscriptions législatives de l'Essonne etListe des députés de l'Essonne.

Intercommunalité

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La ville adhérait depuis 2002 à lacommunauté d'agglomération du Val d'Yerres, unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loiMAPAM du, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le unschéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de lacommunauté d'agglomération Sénart Val de Seine, de la communauté d'agglomération du Val d'Yerres et extension du nouveau regroupement à la commune deVarennes-Jarcy[46] », jusqu'alors membre de laCommunauté de communes du Plateau Briard. Celle-ci, après une consultation de ses habitants[47] qui s'est tenue en avril 2015[48], intègre néanmoins lacommunauté de communes de l'Orée de la Brie le, de manière à ne pas être concernée par laMétropole du Grand Paris[49],[50].

Les communes de Sénart Val de Seine s'opposent à la création, et le maire de Draveil,Georges Tron, organise un référendum dans sa ville, qui aboutit à un rejet de la fusion par 98,3 %, mais avec une participation limitée à 23 % des électeurs[51],[52].

La création de la nouvellecommunauté d'agglomération est néanmoins créée par arrêté préfectoral du 14 décembre 2015 « portant création d’un établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion des communautés d’agglomération Sénart Val de Seine et Val d’Yerres », dénomméecommunauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine.

Tendances et résultats politiques

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Nicolas Dupont-Aignan, ancien maire, député.

Les électeurs d’Yerres se caractérisent par leur propension à voter plutôt àdroite, sauf lors des scrutins massivement remportés par lagauche où ils tendent à suivre les résultats nationaux.

Au plan local, le maireNicolas Dupont-Aignan, entré en dissidence de l’Union pour un mouvement populaire (UMP), bénéficie d’un électorat acquis et fidèle puisqu’il a été élu dès le premier tour desmunicipales de 2001, de2008 et de2014 avec plus de 75 % des suffrages, la liste PS-MoDem (le PCF ayant choisi de ne pas participer à cette liste, le privant ainsi d'élus pour la première fois depuis 1945) n'a pas été en mesure de l'inquiéter. De la même façon, la candidate auxélections cantonales de 2008, affiliée à la même famille politique bénéficie d’un traitement équivalent avec une victoire à plus de 60 % des votes. Particularité notable, la confiance dont bénéficie le maire se répercute dans le reste de la circonscription puisqu’il a été là aussi élu dès le premier tour lors deslégislatives de 2002, de2007 et2012 avec plus de 60 % des voix. Lors de l'élection présidentielle de 2017 il arrive en tête dans sa commune avec 28 % des suffrages[53].

Cette tendance au vote à droite ne vire cependant pas au vote d’extrême droite puisque, lors du premier tour de laprésidentielle de 2002, les électeurs yerrois n’avaient placé le candidatJean-Marie Le Pen qu’en troisième position et ne lui avaient accordé que 13,63 % des suffrages au second tour soit4 points de moins qu’au niveau national[54]. La fidélité des électeurs yerrois au mouvement de leur édile se traduit par une curiosité départementale lors desélections européennes en 2009, Yerres étant la seule commune du département à placer en tête la listeDebout la République, devant celle d’Europe Écologie. En 2004, lescantonales et lesrégionales, largement remportés par la gauche au niveau national, ont vu des résultats plus nuancés à Yerres avec seulement sept points d’écart entre les candidatsJean-Paul Huchon (PS) etJean-François Copé (UMP) lors des élections régionales.

En 2005, les Yerrois, suivant la position défendue par leur maire et une campagne très active de la section locale du PCF, votent très largement non auréférendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe à plus de 57 % alors qu'ils avaient approuvé dans les mêmes proportions leréférendum sur le traité de Maastricht en 1992[55].

Des sections duParti socialiste[56] et duParti communiste français[57] sont présentes dans la commune.

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Article connexe :Élections municipales de 2014 dans l'Essonne.
  • Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans l'Essonne, la liste DLF menée par le maire sortantOlivier Clodong — qui avait succédé àNicolas Dupont-Aignan après sa réélection comme député en 2017 — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 345 voix (72,76 %, 31 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[83] :
    - Fabienne Gabbanelli (DVG, 1 284 voix, 17,47 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
    - Claire Charansonnet (DVG, 717 voix, 9,76 %, 1 conseiller municipal élu).
    Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 63,47 % des électeurs se sont abstenus
Article connexe :Élections municipales de 2020 dans l'Essonne.
Référendums

Politique locale

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Trente-cinq élus siègent auconseil municipal.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[86].
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Liste des maires de 1801 à laLibération de la France
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
18011808Joseph Philippe David  
18151831Simon Bérard  
18311841Henry François Proton  
18411846Mélin du Taillis  
18461858Amédée du Taillis  
18581874Louis Gourgaud  
18741877Augustin Person  
18771881Léon Emile Brault  
janvier 1881mai 1884Jean Marcelin Bouvet  
mai 1884mai 1912Gustave Landrieux  
mai 1912février 1919Gustave Monnet  
décembre 1919mai 1925André Benoiston  
mai 1925décembre 1933Adolphe Laroque  
janvier 193421 septembre 1934Louis Gerbé  
septembre 1934mai 1935Amédée Viollet  
mai 1935janvier 1940Léon Teillac  
janvier 1940octobre 1944Paul Perrault  
Source :
 
octobre 1944mai 1945Louis Apra  
mai 1945octobre 1947Jean LucianiPCFRetraité du chemin de fer PLM
octobre 1947avril 1957André Ponce  
avril 1957juin 1957Claude Usclade  
juin 1957mars 1965Marceau Balliot  
mars 1965mars 1977Paul SanouillerDVDRetraité de laSNCF
mars 1977mars 1983Marc LucasPSFonctionnaire duMinistère de l'Agriculture
mars 1983mars 1989Michel Prats[87]RPR 
mars 1989juin 1995[88]Marc LucasPSFonctionnaire du ministère de l'Agriculture
juin 1995[89]juillet 2017[90]Nicolas Dupont-Aignan[91],[92]RPR
puisUMP
puisDLF
Énarque,administrateur civil
Député de l'Essonne (8e circ.[93])(1997 →)
Président de laCA du Val d'Yerres(2002 → 2015)
Président de laCA Val d'Yerres Val de Seine (2016[94],[95] → 2017)
Démissionnaire à la suite de sa réélection comme député
juillet 2017[96]En cours
(au 7 juillet 2022)
Olivier ClodongDLFpuis
DVD
Écrivain, enseignant
Réélu pour le mandat 2020-2026[97],[98]

Démocratie participative

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La commune a mis en place septconseils de quartier et un conseil municipal des jeunes[réf. nécessaire].

Politique de développement durable

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Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.
Raison : Qu'a-t-il été réalisé depuis 2008 ?

En 2008, la commune s’est engagée dans un « éco-plan » visant à réduire les dépenses énergétiques de la commune et des services municipaux[99]. Les bois au nord de la commune et les berges de l'Yerres et du Réveillon ont fait l’objet d’un recensement au titre desespaces naturels sensibles par le département[100], la vallée de l'Yerres est en outre classée au titre de laloi du 2 mai 1930 pour son caractère pittoresque depuis 2006[101].

Jumelages et partenariats

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Article connexe :Coopérations décentralisées des communes de l'Essonne.

Yerres a développé des associations dejumelage avec :

Elle a en outre développé un accord d’aide au développement avec la commune deCâmpulung la Tisa enRoumanie depuis1990[104].

Équipements et services publics

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Équipements scolaires

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Les élèves d’Yerres sont rattachés à l’académie de Versailles.

En 2010, la commune dispose sur son territoire desécoles maternelles de laMare-Armée, de laGrande-Prairie,Saint-Hubert, du Jardin-de-Concy, de laGarenne,Pierre Brossolette, desTournelles etVictor-Hugo, desécoles élémentairesBeauregard,Antoine-de-Saint-Exupéry et duTaillis et desécoles primaires desCamaldules, desGrands-Godeaux etPierre-Brossolette[105]. S’ajoute l’école primaireprivée de confessionjuiveBeth-Rivkah[106],[107].

La poursuite d’études se fait ensuite aucollègeGuillaume-Budé et aulycée professionnelLouis-Armand[108]. La commune accueille en outre l’institut médico-éducatifLa Cerisaie[109].

Les jeunes enfants sont accueillis dans lescrèches collectives LaDorlotte, familialesBambi etPinocchio et dans les centres de multi-accueilTobogantine etLes Calinous et les micro-crèchesCaramiel etCoquinours. Hors périodes scolaires, les enfants sont pris en charge par lescentres de loisirsBrossolette,Concy,Jacques-Prévert etGrosbois.

Équipements de santé

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Yerres est situé à proximité ducentre hospitalier deVilleneuve-Saint-Georges mais dispose de l’hôpital privé duVal d’Yerres, équipé de deux cent vingt lits, d’un service d’urgences[110]. La commune d’Yerres accueille aussi sur son territoire le centre de réadaptationAlbert-Calmette rattaché aucentre hospitalier Sud Francilien et quatre résidences pour personnes âgées, les résidencesAsphodia,Beauregard,Sofia et de laGrange aux Bois. S’ajoute l’Ésat de laChâtaigneraie destiné au public handicapé, un centre deprotection maternelle et infantile[111] et un centre deplanification familiale[112].

En 2009, quarante-huitmédecins[113], onzechirurgiens-dentistes[114] et douzepharmacies[115] sont installés dans la commune.

Équipements culturels

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La commune d’Yerres dispose de plusieurs lieux de pratique ou d’accès à la culture dont lapropriété Caillebotte qui accueille des expositions permanentes et temporaires, le centre d’art et d’expositions de laFerme Ornée, le centre éducatif et culturel (CEC) municipal qui a été reconstruit, puis inauguré le 12 mai 2012[116] ; lasalle de cinémaParadiso, la maison des associations installées à laGrange aux Bois et la salleAndré-Malraux[117].

S’ajoute le conservatoire de musique et de danse intercommunal dont certains cours sont dispensés dans la commune.

Équipements sportifs

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La commune d’Yerres est équipée de plusieurs installations sportives permettant la pratique de diverses activités. Elle dispose ainsi de troisstades :Léo-Lagrange équipé de quatreterrains de football etrugby,Pierre-Mollet équipé de deux terrains defootball etGrosbois avec un seul terrain ; des gymnases desGodeaux, desTournelles etMichel-Finet, des plateaux d’évolutionPierre-Brossolette,Pierre-de-Coubertin, de laSablière et desTournelles, ducentre Yerrois de loisirs et d’arts martiaux, de lapiscinePierre-de-Coubertin, des salles de sport desCamaldules, duTaillis, duCentre,Pierre-Mollet etJean-Claude-Bouttier, desskateparksLéo-Lagrange et du centre éducatif et culturel, destennis desTournelles avec six courts dont deux couverts et desboulodromesLéo-Lagrange etPierre-de-Coubertin[118].

Équipements sociaux

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Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2009)
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En 2009, Yerres dispose d’un point information jeunesse[119], d’unemission locale d'insertion[120], une antenne de lacaisse primaire d'assurance maladie[121] et de lacaisse d’allocation familiale[122], une agencePôle emploi[123]

Postes et télécommunications

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En 2009, Yerres dispose de deux bureau de poste en centre-ville[124] et près du rond-point Pasteur[125].

Justice, sécurité, secours et défense

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L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables yerrois autribunal d’instance deJuvisy-sur-Orge, auxtribunaux de grande instance, decommerce et auconseil de prud’hommes d’Évry, et à lacour d'appel de Paris[126].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[127],[Note 5].

En 2022, la commune comptait 28 349 habitants[Note 6], en évolution de −1,63 % par rapport à 2016 (Essonne : +2,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
9981 0661 0888699789671 0411 1941 114
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 1351 2881 5261 4371 3081 4291 4921 6831 730
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 8221 8461 9612 2783 7584 9385 3265 6466 905
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
10 74718 20623 16225 71527 13627 45528 57228 93328 820
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
28 69928 349-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puisInsee à partir de 2006[128].)
Histogramme de l'évolution démographique

Aujourd’hui intégrée à l’agglomération parisienne, Yerres n’était qu’un bourg lors de sa création, avec moins de mille habitants en 1793 et même une chute à huit cent soixante-neuf habitants en 1821. Elle entama à partir de la deuxième moitié duXIXe siècle une lente progression, passant de mille cent quatorze résidents en 1851 à mille huit cent vingt-deux personnes en 1901, interrompue par l’exode provoqué par l’occupationprussienne lors de laguerre franco-prussienne de 1870. La progression démographique s’accrut au sortir de lapremière Guerre mondiale avec deux mille deux cent soixante-dix-huit habitants en 1921, quatre mille neuf cent trente-huit dix ans plus tard et plus de cinq mille six cents personnes vivant à Yerres au lendemain de laSeconde Guerre mondiale en 1946. L’afflux de population vers la région capitale, les opérations de reconstruction entraînèrent une explosion démographique, la commune passant à dix mille sept cent quarante-sept habitants en 1962 et vingt-trois mille cent soixante-deux résidents en 1975 avant un retour à une progression normale pour atteindre vingt-huit mille cinq cent soixante-douze Yerrois décomptés lors durecensement de 2006.

La population de nationalitéétrangère ne représente qu’une faible part dans cette évolution avec seulement 5,1 % des habitants en 1999[129]. Ainsi, 2,1 % de la population était de nationalitéportugaise, 0,5 %italienne, 0,4 %algérienne, 0,3 %espagnole, 0,2 %marocaine et 0,1 %tunisienne etturque[130].

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 13 952 hommes pour 15 386 femmes, soit un taux de 52,44 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[131]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,7 
75-89 ans
7,5 
13,8 
60-74 ans
15,4 
21,2 
45-59 ans
20,2 
20,4 
30-44 ans
20,8 
16,6 
15-29 ans
15,4 
21,8 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[132]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Associations

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Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2009)
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En 2009, quaranteassociations participent de l’animation culturelle dans la commune[133].

Sports

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Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2009)
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En 2009, quarante-huit associations, dont le Rugby Olympique Yerrois (ROY) et le Val Yerres Crosne Association Football (VYC AF) entre autres, encadraient en 2009 la pratique et la promotion sportive à Yerres[134].

Lieux de culte

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L'église Saint-Honest.

Laparoissecatholique d’Yerres est rattachée ausecteur pastoral de La Forêt-Montgeron et audiocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose deséglisesSaint-Honest,Saint-Jean-l’Évangéliste etMarie-Mère-de-l’Église[135].

La communautéjuive se réunit au sein de la communauté culturelle hébraïque du Val d’Yerres[136].

Médias

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La mairie publie gratuitement et chaque moisLe Journal des Yerrois.

L’hebdomadaireLe Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission deschaînes de télévisionFrance 3 Paris Île-de-France Centre,IDF1 etTéléssonne intégré àTélif.

Économie

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Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2011)
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La commune d’Yerres est intégrée par l’Insee aubassin d'emploi deCréteil qui rassemble soixante-seize communes et 901 478 habitants en 2006, les Yerrois représentant 3,17 % du total[137].

Il y avait neuf-cent-quinze entreprises installées sur le territoire municipal en 2008 et cent-vingt-et-une structures se sont créées cette année-là, offrant un total de trois-mille-trois-cent-quarante-quatre emplois alors qu’en 2006 existaient encore quatre-mille-cent-soixante emplois dans la commune. Parmi ces entreprises ne subsistaient aucune exploitation agricole alors que cinq fonctionnaient encore en1988 occupant quinze personnes. De fait, lapopulation active d’Yerres s’élevait en 2006 à 14 771 personnes mais le taux de chômage était fixé à 7 % de cette population et seulement 13,5 % de la population travaillait dans sa commune de résidence. Située à la frontière avec leVal-de-Marne, ce sont ainsi 66,8 % des Yerrois qui travaillaient dans un autre département que l’Essonne en 2006.

La commune ne dispose pas dezone d'activité d’ampleur pour accueillir de grandes structures. La communauté d’agglomération du Val d’Yerres a mis en place un syndicat mixte pour accompagner le développement économique sur son territoire. Unmarché est organisé les mercredis et samedis matin en centre-ville, les jeudis etdimanches matin à la gare[138].

Emplois, revenus et niveau de vie en 2006

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Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2006)
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La répartition de la population active par emploi et catégorie socioprofessionnelles se distingue assez nettement entre Yerres et la zone d’emploi, avec une plus forte présence d’artisans, commerçants, chefs d’entreprises d’une part, de professions intermédiaires et d’employés d’autre part, et des occupations plus nombreuses dans le secteur de la construction ou des services aux particuliers.

Dans la répartition générale, ce sont les retraités qui dominent avec 22,7 % de la population suivis par les professions intermédiaires à 20,7 % en 2006. Parmi les personnes occupant un emploi salarié, 82,3 % de la population bénéficiait d’un contrat à durée indéterminée ou d’une place de titulaire de la fonction publique. Ces caractéristiques démographiques engendrent un niveau de vie relativement élevé dans la commune puisque près de 74 % des habitants étaient assujettis à l’impôt sur le revenu avec un revenu net imposable moyen de l’ensemble des foyers fiscaux fixé à 28 807 euros. Cette année-là, cent-quarante-deux foyers étaient redevables de l’impôt de solidarité sur la fortune avec un patrimoine moyen de 1 349 985 euros[139]. De même 73,3 % de la population était propriétaire de son logement[140].

Lerevenu fiscal médian par ménage était en 2010 de 40 723 euros, ce qui plaçait Yerres au 2 149e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[141].

Répartition des emplois parcatégorie socioprofessionnelle en 2006.
 AgriculteursArtisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
EmployésOuvriers
Yerres0,0 %8,1 %13,8 %29,9 %33,5 %14,7 %
Zone d’emploi de Créteil0,2 %5,4 %17,6 %27,3 %30,3 %19,3 %
Moyenne nationale2,2 %6,0 %15,4 %24,6 %28,7 %23,2 %
Répartition des emplois parsecteur d'activité en 2006.
 AgricultureIndustrieConstructionCommerceServices aux
entreprises
Services aux
particuliers
Yerres0,1 %6,5 %7,4 %9,1 %11,1 %8,7 %
Zone d’emploi de Créteil0,7 %9,4 %7,1 %14,4 %13,9 %7,2 %
Moyenne nationale3,5 %15,2 %6,4 %13,3 %13,3 %7,6 %
Sources :Insee[142]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Plusieurs monuments remarquables sont situés à Yerres, dont certains ont fait l'objet d'une reconnaissance :

Article détaillé :Abbaye Notre-Dame d'Yerres.
Article détaillé :Château de la Grange (Yerres).
Article détaillé :Propriété Caillebotte.
Église Saint-Honest
L'église Saint-Honest.

Personnalités liées à la commune

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Différentspersonnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Yerres :

Gustave Caillebotte, autoportrait.

Yerres dans les arts et la culture

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La commune d'Yerres a accueilli en1963 le tournage dufeuilleton téléviséLe Chevalier de Maison-Rouge deClaude Barma et en2007 celui du filmIntrusions d'Emmanuel Bourdieu[155].

Héraldique et logotype

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Logotype de la commune.
Blason de YerresBlason
Coupé ; au premier, au un d'azur aux troisfleurs de lys d'or, au deux degueules auxchaînes aussi d'or posées enorle et enescarboucle, chargées en cœur d'uneémeraude desinople ;
au second, d'argent auchevron de gueules accompagné de trois grappes deraisin de même[156].
Détails
Ces armes rappellent d'une part celles des rois de France et de Navarre, d'autre part le passé viticole de la commune
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Article connexe :Armorial des communes de l'Essonne.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement auhameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

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Autres sources

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  148. Cécile Chevallier, « Yerres: d'ici quelques mois, le parc Budé deviendra un nouveau poumon vert au cœur de la ville : Les travaux d'aménagement du parc Budé avancent bien. La municipalité espère une inauguration au début de l'été, avec le clou du spectacle: une grotte monumentale »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le).
  149. « Château de la Grange », noticeno PA00088050, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  150. « Propriété Caillebotte », noticeno PA00125463, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  151. « Parc municipal Caillebotte », noticeno IA91000416, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  152. Julien Muller, « Yerres : l'ancien couvent bientôt transformé en logements : Début 2021, l'ancien couvent accueillera 23 logements dits « très sociaux », ainsi qu'un centre socioculturel et un jardin exploité par l'association Abeilles Maraîchères. Les travaux débutent fin septembre 2019 »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le).
  153. Cécile Chevallier, « Du beau pour se reconstruire » : l'ancien couvent de Yerres rénové pour loger des familles en grande précarité : L'associationSolidarités nouvelles pour le logement a fait aménager au sein de l'ancien couvent de Concy 23 appartements qui bénéficieront dès cet été à des personnes en difficulté ou en situation de handicap »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le)« Il est né de la volonté des sœurs auxiliatrices de la charité. Propriétaires des lieux depuis 1937, elles décident d'en partir car elles sont de moins en moins nombreuses à y vivre. « En 2013, nous avions voté trois orientations pour la vente, rappelle sœur Marie-Thérèse. Que le couvent soit transformé en logement social pour des personnes en grande précarité, que l'ancienne chapelle devienne un centre culturel ouvert sur la ville et que le jardin (il y a même un parc boisé classé) permette la réinsertion par l'emploi. Nous sommes plus que comblées : ces trois objectifs sont plus qu'atteints ».
  154. Cécile Chevallier, « Il y a 150 ans, Pierre Larousse planchait « 14 heures par jour » sur son Grand Dictionnaire dans un pavillon de l’Essonne : L’encyclopédiste avait fait construire un pavillon pour se consacrer à ce travail monumental. Le site de Concy, devenu la Pépinière à Yerres (Essonne), est en pleine réhabilitation avec des projets d’insertion et de lutte contre l’illettrisme. Le public est invité ce week-end à découvrir ce lieu plein d’histoire »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le)« Pierre Larousse a acheté la propriété de Concy « pour être à mi-chemin entre les bureaux de sa maison d’édition à Paris et l’imprimerie Crété de Corbeil », poursuit Bruno Dhont. « Le site était assez grand pour qu’il y fasse construire un pavillon de 52 m2 où il pouvait travailler en toute tranquillité mais de façon acharnée, car il a consacré six années et plus de 14 heures par jour à la rédaction de son Grand Dictionnaire universel ».
  155. « Liste des films tournés à Yerres », surl2tc.com(consulté en).
  156. L'École Saint-Exupéry à Yerres, « Le p'tit yerrois médi'val »[PDF], surpatrimoine-environnement.fr,(consulté en).
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