Le déroulement de son interrogation s’est assis sur une série d’expériences axées sur lalibido (hypothèse centrale deSigmund Freud relative à l’irrépressible rapprochement sexuel de la femme et de l’homme en vue de l'orgasme) qui consistait à montrer (en quoi consistait sa conclusion) qu’une « énergie libidinale » pouvait être caractérisée par des mesures simplement électriques, détectées par un oscilloscope. Cette interrogation le mena ensuite à une « pulsation » générale portant sur l’étude des réactions des monocellulaires à leur environnement, qui l'inclina à cette question plus générale « Qu’est-ce que le vivant ». En conséquence de ces observations, Wilhelm Reich a déployé son entendement du monde autour du concept de l’« orgone », terme correspondant à sa description de l’« énergie de la Vie ».
Âgé de 22 ans lorsqu'il prend contact avec la psychanalyse, il est le plus jeune collaborateur intégré dans le cercle intime deSigmund Freud àVienne ; il est connu pour ses contributions à la sexologie et à la thérapie psychanalytique, son engagement en faveur de l'émancipation de la satisfaction sexuelle (la « fonction de l'orgasme »), lacuirasse caractérielle et ses recherches sur l'« énergie d'orgone ». Ses prises de positions l'ont fait entrer en conflit avec le créateur de la psychanalyse et ont mené à son exclusion de l'Association psychanalytique internationale en 1933.
Wilhelm Reich naît en 1897 à Dobrzcynica, fils de Leon Reich, fermier et de Cecilia Roniger. Peu après sa naissance, sa famille s'installe plus au sud dans une ferme de Jujinetz, près deTchernivtsi, enBucovine. Il attribue plus tard son intérêt pour l'étude des rapports sexuels et des bases biologiques des émotions à son éducation dans la ferme paternelle, où les fonctions naturelles de la vie ne lui furent jamais cachées.
Il suit un enseignement à domicile jusqu'à l'âge de 13 ans. À 14 ans, il joue un rôle important dans le suicide de sa mère en révélant à son père la liaison de celle-ci avec l'un de ses précepteurs. Il fuit son domicile peu après la mort de son père en 1914, lors de l'arrivée de l'armée russe.
DansPassion de jeunesse, il écrit :
« Je ne revis jamais ni ma terre natale, ni mes biens. De ma vie passée aisée, il ne m'est rien resté. »
Après laPremière Guerre mondiale, au cours de laquelle il combat sur lefront italien, il devient médecin, puis psychiatre, et s'intéresse à la philosophie, aux sciences naturelles et à lasexologie naissante. Il entreprend une analyse didactique avecRadó, puis avecPaul Federn. Après des conférences sur la psychanalyse données en marge de ses études de médecine, il rencontre à l'université deVienne Sigmund Freud, qui lui offre deux de ses livres et l'encourage. Il participe activement au séminaire depsychanalyse dont il devient rapidement le sous-directeur ; il est notamment avecSándor Ferenczi l'initiateur d'un nouveau séminaire technique, et publie plusieurs ouvrages (cf.bibliographie), dont l'un sur la « fonction de l'orgasme » (1927) qu'il dédicaceà [son] Maître, où sont clarifiés les concepts « d'économie sexuelle » et de « caractèregénital ».
Il épouseAnnie Pink, elle aussi psychanalyste, en 1922, ils ont deux filles Eva, née en 1924, et Lore, née en 1928.
Reich pose l'hypothèse que, pour une grande part, la cause desnévroses est d'origine socio-économique (problèmes de logement, indépendance économique de la femme, difficultés de contraception). Il forme un groupe de médecins et d'infirmiers pour aider les personnes des quartiers pauvres de Vienne et crée un dispensaire psychanalytique gratuit pour les plus démunis. En, il voyage en URSS où il rencontre la pédagogueVera Schmidt[1].
Poursuivant son engagement auprès des masses, il crée Sexpol, un centre public de recherches et de discussion sur les conditions de vie contemporaines et les conditions d'épanouissement de la satisfaction sexuelle dans les milieux populaires. Le Sexpol attire de nombreuses associations, plus de cent mille adhérents, puis est interdit lors de la montée dunazisme. Il en reste son journal,Zeitschrift für Politische Psychologie und Sexualökonomie, et sa maison d'édition créée en 1932Verlag für Sexualpolitik. Dès cette époque, il introduit dans sa pratique psychanalytique le concept decuirasse caractérielle.
Ses relations avecSigmund Freud sont amicales tant que Reich « s'en tient à la psychanalyse », et il fait partie du cercle de ses intimes. Mais un désaccord survient à propos de la théorie freudienne surThanatos etÉros : selon Reich, Thanatos — « l'instinct de mort » qui permet à la psychanalyse de justifier lemasochisme et lacompulsion de répétition — n'est qu'une pulsionsecondaire[3], acquise au cours de la vie du souffrant, et non comme chez Freud une fonction primaire. Avec le risque consécutif à la persécution des communistes par le nouveaurégime nazi, leurs relations se détériorent.
En1933, l’association psychanalytique internationale lui demande de démissionner mais il refuse, et apprend en 1934 qu'il ne fait plus partie de la liste des membres[4]. Pour Lore Reich Robin, sa fille, Anna Freud est l'une des responsables de cette exclusion[5]. Il est aussi exclu du parti communiste allemand en 1933. Annie et lui divorcent aussi cette année-là.
Il s'exile en Autriche, à Vienne, d'où « l'hostilité croissante des milieux psychanalytiques »[8] le contraint à repartir. Toutefois, ses travaux et conférences sur la famille influencent le groupe des Révolutionnaires communistes d'Autriche (RKÖ, puis RKD) dirigés par Georg Scheuer[9].
Il se rend ensuite enSuède et enNorvège, où il entreprend des recherches sur la « fonction biologique de la sexualité et de l'angoisse » (Biological function of sexuality and anxiety) avec l'aide d'une nouvelle équipe, formée de médecins, de psychanalystes, d'un ingénieur en électricité. Ces travaux le conduisent à s'intéresser à labiogenèse et à élaborer la théorie des « bions ». À l'invitation du professeur Schjelderup, directeur de l'Institut de physiologie de l'université d'Oslo, il donne des cours sur l'analyse caractérielle. Les résultats de cette période norvégienne sont publiés en 1937 sous le titre « Étude expérimentale de la fonction électrique de la sexualité ». C'est en ces années qu'il pose les bases de la thérapie psychocorporelle, en collaboration avecOla Raknes(en). Il se lie dans le même temps avecAlexander Sutherland Neill[11].
En1939, il passe enGrande-Bretagne où il rencontre l'ethnographeBronisław Malinowski. À cette occasion, il relève que les observations de Malinowski sur les peuplades primitives desîles Trobriand confirment les théories sur l'évolution dumatriarcat aupatriarcat et l'influence primordiale des conditions économiques sur les pratiques sexuelles, thèses qu'il avait déjà formulées dans un ouvrage publié en 1932, L'Irruption de la morale sexuelle . Il entreprend une nouvelle rédaction de ce livre à la lumière de ces nouveaux éléments. Malinowski l'invite à le rejoindre auxÉtats-Unis, pour occuper un poste de maître de conférences.
Embarqué le, Reich est accueilli aux États-Unis à la fin du mois par son traducteur Theodore Wolfe. Il s'établit à New York, où il enseigne la psychiatrie et l'analyse caractérielle à laNew School for Social Research. Il exerce parallèlement comme psychiatre-psychanalyste dans son cabinet privé. En 1939, il est élu membre honoraire de la société internationale de plasmogénie. Après perquisition de son appartement par le FBI à la suite de l'attaque de Pearl Harbor, il passe Noël 1941 en prison, car il est soupçonné parJ. Edgar Hoover d'être un espion nazi. Il est libéré le.
Après quelques années, il achète en 1945, dans le Maine, une grande propriété de 80 hectares qu'il baptise Orgonon, où il crée l'« Orgone Energy Clinic », destinée au dépistage des maladies énergétiques (biopathies), et l'« Orgonomic Infant Research Center », consacré à l'étude de l'enfant depuis le stade prénatal jusqu'à l'adolescence. Il y poursuit ses travaux avec ses assistants dans le domaine de la biologie et de la biophysique, y tient des conférences sur ses découvertes, ses inventions et l'évolution de ses recherches, y édite un journal[12] et reçoit les visites de ses collaborateurs. Ce lieu est actuellement le musée Wilhelm Reich ; il se situe àRangeley.
Le commence l'expérienceOranur (Orgonotic Anti-Nuclear Radiation). Reich enferme une aiguille de radium soigneusement isolée par une couche de plomb dans un de ses accumulateurs. Son but est de vérifier si l'orgone concentré peut contrer les effets mortifères des radiations atomiques. En février de l'année suivante, l'expérience aboutit à une catastrophe énergétique, le lieu devenant inhabitable[13].
Par ailleurs, Reich propose à des patients volontaires un traitement expérimental susceptible de les aider à mieux vivre leur cancer, les malades s'irradiant dans un « accumulateur d'orgone » et bénéficiant parallèlement d'une « végétothérapie caractério-analytique ». Des prélèvements sanguins (quelques gouttes de sang) sont réalisés pour évaluer les effets de l'irradiation sur l'organisme.
Reich suscite les critiques de la communauté psychanalytique et médicale américaine. En dépit de ses titres de docteur en médecine et de psychiatre et de son passé de chef de séminaire au cours de sa période psychanalytique, ces expériences sont considérées comme privant les malades de thérapie et les mettant en danger. À cette époque, comme lors de sa période scandinave, des rumeurs le qualifient de fou et de lubrique.« À partir de janvier 1942, attaqué de toutes parts, traité de charlatan par les psychiatres et de schizophrène par le milieu psychanalytique américain, Reich s'enfonça dans la folie, se croyant victime du grand MODJU, c'est-à-dire desfascistes rouges. Ce nom forgé par lui dérivait de MO (cenigo), personnage anonyme qui avait livréGiordano Bruno à l'Inquisition, et de DJOU (gachvili), aliasStaline[14]. » SelonBela Grunberger etJanine Chasseguet-Smirgel, Wilhelm Reich était devenu paranoïaque[15], alors qu'Otto Fenichel le qualifie de schizophrène[16].
Parmi ses inventions pseudoscientifiques, figure lecloudbuster (« téteur d'éther », ou « brise-nuage ») à l'aide duquel il prétendit faire pleuvoir, d'abord au cours de sécheresses dans le Maine, ensuite dans les régions arides (essais enArizona en 1955-1957) ; et aussi repousser les tempêtes. Plusieurs versions de l'appareil ont existé, le principe demeurant le même.
Son fils Peter Reich, dans son livreA Book of Dreams[17], décrit le plaisir qu'ils prenaient ensemble à faire pleuvoir grâce au cloudbuster.Kate Bush découvre ce livre en 1976, il lui inspire en 1985 sa chansonCloudbusting qui, ainsi que le clip vidéo l'accompagnant, évoque les mésaventures arrivées à l'invention et à son inventeur[18].
Après des vérifications entreprises par laFood and Drug Administration, organisme public de répression des fraudes, un tribunal lui interdit la location d'accumulateurs d'orgone aux États-Unis. Outrepassant ces injonctions, il est arrêté deux fois. Jugé une première fois, il refuse de se présenter devant un tribunal une seconde fois, car il estime qu'il n'est pas de la compétence d'un tribunal civil de juger le propos d'une découverte scientifique. Il est condamné pour outrage à la cour à deux années d'emprisonnement en1956 ; il meurt d'une crise cardiaque en prison le[19].
Ses œuvres sont, par décision de justice, brûlées dans l'incinérateur de Gansevoort, à Manhattan (New York)[20][réf. à confirmer].
Reich, qui influence lasexologie, pense que le désir peut être réalisé dans la satisfaction, évitant ainsi l'idéalisation du (des) partenaire(s), et théorise l'équivalence entre les objets. Au contraire, Freud théorise l'idéalisation comme projection de l'idéal du Moi sur l'objet[21].
Les sexologues américainsW. H. Masters et V. E. Johnson poursuivent la recherche bio-physique reichienne dans le domaine de la sexualité[22].
[Abréviations : FSG pourFarrar, Straus and Giroux, New York. Les maisons d'édition françaises sont domiciliées à Paris sauf mention contraire.]
Premiers écrits, vol. 1 (articles, 1920–1925), dontConflits de la libido et formations délirantes dansPeer Gynt d'Henrik Ibsen (1920), Payot, 2006(ISBN2-2289-0090-7)
Premiers écrits, vol. 2 : la génitalité dans la théorie et la thérapie des névroses, Payot, 2006(ISBN2-2289-0102-4). Originalallemand :Die Funktion des Orgasmus, 1927, remanié à partir de la théorie de l'orgone
Matérialisme dialectique et psychanalyse dansLa crise sexuelle, Éditions sociales, 1933. Originalallemand :Dialektischer Materialismus und Psychoanalyse, 1929. Publié également dans la revue communiste internationaleSous la bannière du marxisme et dans la revueKitej automne 2011
La Lutte sexuelle des jeunes, François Maspero, 1972. Originalallemand :Der Sexuelle Kampf der Jugend, 1932
Qu'est-ce que la conscience de classe ? écrit sous le pseudonyme d'Ernst Parell, traduction et édition de Constantin Sinelnikoff, 1971
L'Irruption de la morale sexuelle, Payot, 1999. Original allemand :Der Einbruch der Sexualmoral, 1932
La Psychologie de masse du fascisme, Payot, 1999. Original allemand :Massenpsychologie des Faschismus, 1933. Édition américaine :The Mass Psychology of Fascism, 1946, réimp. FSG, 1970
The Bions Experiments: on the Origine of Life, FSG, 1979. Original allemand :Die Bione, Oslo, 1938
La révolution sexuelle(en), Christian Bourgois, 1982. Original allemand :Die Sexualität im Kulturkampf, 1936
The Bioelectrical Investigation of Sexuality and Anxiety (articles, 1934–1938), FSG, 1982
Children of the Future: On the Prevention of Sexual Pathology (articles, 1928–1938), FSG, 1983
La Fonction de l'orgasme, L'Arche, 1986. Original allemand :Die Funktion des Orgamus. Traduction américaine :The Function of the Orgasm, 1942, 1948, réimp. FSG, 1973
La Biopathie du cancer, Payot, 1985. Original allemand :Der Krebs. Traduction américaine :The Cancer Biopathy, 1948, réimp. FSG, 1973
Écoute, petit Homme ![23], illustré par William Steig, Payot, 1999. Original allemand: Rede an den kleinen Mann. Traduction américaine :Listen, Little Man!, 1948, réimp. FSG, 1974
L'éther, Dieu et le diable, Payot, 1999. Original allemand et américain :Ether, God and Devil, 1949, réimp. FSG, 1973
La superposition cosmique, Payot, 2001. Original américain :Cosmic Superimposition, 1951, réimp. FSG, 1973
The Oranur Experiment, 1951, xerox Wilhelm Reich Museum, Rangeley.
The Orgone Energy Accumulator, Its Scientific and Medical Use, 1951, xerox Wilhelm Reich Museum, Rangeley[24]
The Record of a Friendship: The Correspondence of Wilhelm Reich and A. S. Neill, FSG, 1984
Passion de jeunesse, L'Arche, 1997. Original américain :Passion of Youth: An Autobiography 1897–1922, FSG, 1988, 2005
Beyond Psychology: Letters and Journals 1934–1938, FSG, 1994
American Odyssey: Letters and Journals 1940–1947, FSG, 1999
Les œuvres complètes américaines de Wilhelm Reich (livres, articles et journaux de recherche) sont disponibles sur microfiches à labibliothèque Sainte-Geneviève de Paris. Les œuvres psychanalytiques sont dans les archives des revuesInternationale Zeitschrift für Psychoanalyse,Zeitschrift für Sexualwissenschaft,Zeitschrift für Ärztliche Psychotherapie,Internationaler Psychoanalytischer Verlag, etc.
Martin Gardner,Les Magiciens démasqués (chapitre 21), Presses de la Cité, 1966. Original américain :Fads and Fallacies in the Name of Science, Dover Publications, NY, 1952, 1957
Michel Cattier,Ce que Reich a vraiment dit, Verviers, Marabout Universiténo 254, 1969, 1974
Ilse Ollendorff (ex-compagne de Wilhelm Reich),Wilhelm Reich, P. Belfond, 1970. Original américainWilhelm Reich: A Personal Biography, St Martin's Press, NY, 1969
Constantin Sinelnikoff,L'œuvre de Wilhelm Reich, 2 volumes, François Maspero, Petite collection Maspero, 1970. Réédition Les Nuits rouges[26], 1970, 2002
Alexander Sutherland NeillWilhelm Reich[27], le chapitre manquant systématiquement dans les trois éditions traduites deSummerhill School: A New View of Childhood, St Martin’s Griffin, New York, 1995(ISBN0-312-14137-8) sous le titreLibres enfants de Summerhill aux ÉditionsFrançois Maspero, 1970, puis réédition aux Éditions La Découverte, 1995 et dans la coll. « Folio essais »,no 4, 2004
Peter Reich,À la recherche de mon père : rêves éclatés, Albin Michel, 1977. Original américain :A Book of Dreams, Harper & Row, NY, 1973
Ola Raknes,Wilhelm Reich et l'orgonomie, Érès, Ramonville, 1989, 2002. Original américain :Wilhelm Reich and Orgonomy, Penguin, 1970
Elsworth F.Baker,L'Homme pris au piège, éd. de Verlaque, Aix-en-Provence, 1993. Original américain :Man in the Trap, Macmillan, NY, 1967, réimp. American College of Orgonomy, 2000
Jacques Lesage de La Haye,Une psychopolitique du corps, l'Analyse reichienne, Lyon, Atelier de création libertaire, 1996
James DeMeoLe Manuel de l'accumulateur d'orgone, Vannes, Sully, 2001
Orson Bean,Moi et l'orgone, Érès, Ramonville, 2002. Original américain :Me and the Orgone, St Martin's Press, NY, 1971, réimp. American College of Orgonomy, 2000
Georges Bertin,Un imaginaire de la pulsation : lecture de Wilhelm Reich, Presses de l'université de Laval, Québec, 2004
Gérard Guasch
Quand le corps parle, Vannes, Sully, 1998/2002/2007
Wilhelm Reich, énergie vitale et psychothérapie, Paris, Retz, 1998
Wilhelm Reich, biographie d'une passion, Vannes, Sully, 2007
A. Lucca and ISFA commitee :Wilhelm Reich (1897-1957) - Biographie Critique[29], Akronos Publishing, Concordia, Ontario, Canada, 2012
Misterije organizma (« Les mystères de l'organisme »), docu-fiction deDušan Makavejev, 1971. Film sur les théories développées dansLa Révolution sexuelle. Mise en perspective de l’analyse bioénergétique dans le contexte historique de l’évolution des mœurs
Wilhelm Reich — Viva Little Man !, documentaire de Digne Meller-Marcovicz, 1987
↑« On January 17, Reich wrote his last letter to Raknes. Its main point concerned a reference in a paper by Raknes to the fact that Reich’s father was “Jewish-born.” 11 Reich acknowledged this but described at length how his father had moved away from “Jewish chauvinism” and reared his children in a progressive, international way. Reich himself did not follow Jewish customs or beliefs and he did not wish to be categorized as a Jew despite the conventional practice in this matter. »Fury on Earth, Myron Sharaf,p. 463.
↑Roger Dadoun,Cent Fleurs pour Wilhelm Reich, page 125.
↑CécileDenis,Continuités et divergences dans la presse clandestine de résistants allemands et autrichiens en France pendant la Seconde Guerre mondiale : KPD, KPÖ, Revolutionäre Kommunisten et trotskystes, (thèse de doctorat réalisée sous la direction d’Hélène Camarade, soutenue publiquement le 10 décembre 2018 à l’université Bordeaux-Montaigne)(lire en ligne)
↑« Reich, les hommes et l'état » Sinelnikoff, Nice, 1972. Ainsi que la revue Partisans : sexualité et répression (2),nos 66-67, juil-oct 1972.