Pour les articles homonymes, voirVaux.
Vaux-le-Pénil | |||||
![]() Le château. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Melun | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Melun Val de Seine | ||||
Maire Mandat | Henri de Meyrignac 2020-2026 | ||||
Code postal | 77000 | ||||
Code commune | 77487 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pénivauxois | ||||
Population municipale | 11 378 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 977 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 31′ 33″ nord, 2° 40′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 96 m | ||||
Superficie | 11,64 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune d'un pôle secondaire) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Melun | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.mairie-vaux-le-penil.fr![]() | ||||
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Vaux-le-Pénil[vo lə penil]Écouterⓘ est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.
Vaux-le-Pénil est limitrophe de la ville deMelun,préfecture deSeine-et-Marne, et est située à une quarantaine dekilomètres au sud-est deParis.
Situé dans unméandre de laSeine, le relief est assez vallonné, du fait de sa proximité avec cette dernière et lesplateaux de laBrie.L'altitude varie de 37 mètres à 96 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 67 mètres d'altitude (mairie)[1].
La commune est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de troiscours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,18 km[6].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[7]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deMontereau-sur-le-Jard à 7 km àvol d'oiseau[9], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Vaux-le-Pénil comprend une ZNIEFF detype 1[Note 1],[13],[Carte 1], le « Buisson de Massoury » (559,54 ha), couvrant 5 communes du département[14]., et deux ZNIEFF detype 2[Note 2],[13] :
Au, Vaux-le-Pénil est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 5],[19]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].
La commune compte72lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (49,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (28,2% ),terres arables (21,8% ), forêts (20,3% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,5% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,9% ), zones agricoles hétérogènes (3,5% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2% ),eaux continentales[Note 7] (1,6 %)[23].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
Laloi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine[26].
La commune disposait en 2019 d'unplan local d'urbanisme approuvé[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 4 652 dont 62,9 % de maisons et 35,8 % d'appartements[Note 8].
Parmi ces logements, 94,9 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 71,2 % contre 27,4 % de locataires[28] dont, 17 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,4 % logés gratuitement.
Le territoire de la commune est traversé par lesentier de grande randonnéeGR 1, qui se prolonge vers Melun au nord-est et vers Livry-sur-Seine au sud.
La commune est desservie par la ligne d'autocars duréseau de bus Fontainebleau - MoretNo 41 (Melun – Montereau-Fault-Yonne).
Anciennement nommé « Vaulx-à-Pény » auMoyen Âge, il tire son nom de satopographie : le terme « Vaulx » est sans équivoque et s'applique à la convergence des vallées de laSeine, de l'Almont et de laNoue[réf. nécessaire]. Pény est tout simplement le nom du seigneurpropriétaire duchâteau féodal de1050 jusqu'à1530 et dont l'origine du nom vient dutemplegallo-romain érigé à la gloire deJupiter honoré sur ces montagnes (Jupiter Penninus), en référence auxAlpes pennines. Ce temple se situait à l'emplacement actuel de l'église, auconfluent des troisvallées formant ainsi, non une montagne, tout au plus un mamelon.
Le site a, depuis desmillénaires, attiré et fixé les hommes, ainsi qu'en témoigne la découverte depierres taillées et desilex polis sur letertre de Chérisy.
L'histoire de Vaux-le-Pénil est portée par sonchâteau dont la forme actuelle date de 1766. Il fut en effet lacitadelle avancée pour la protection deMelun lorsque la ville était habitée par lesrois de France auXIe et XIIe siècles.
Il est également à noter que desligueurs ont séjourné dans les environs deMelun et en particulier sur le coteau de Vaux quand ils ont eu le dessein d'engager le combat contre Tristan de Rostaing qui défendait l'île Saint-Étienne ; cette présence est notamment attestée par la découverte, en 1885, d'undouble tournois à l'effigie deCharles X, roi de France et de Navarre (Charles Ier de Bourbon déclaré roi par laLigue), par des ouvriers lors de travaux de terrassement dans l'ancienne montagne de Vaux-le-Pénil[29].
Première bataille de la Marne : le,Joffre etFrench sont au château de Vaux-le-Pénil.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département deSeine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de lapremière circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Melun-Nord[30]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée aucanton de Melun.
La commune est membre de lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine, qui a succédé auDistrict de l’Agglomération Melunaise (DAM) auquel Vaux-le-Pénil avait adhéré en, 1991.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
février 1790 | Germain Siraudin[31] | Marchand àMelun | ||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
février 1883 | mai 1892 | Antoine Moissy | ||
mai 1892 | mai 1908 | Louis Dubois | ||
mai 1908 | janvier 1943 | Ambroise Prô | Révoqué par leGouvernement de Vichy[32] | |
février 1943 | mars 1971 | Raymond Hervillard | Agriculteur | |
mars 1971 | mars 1989 | Louis Augier | DVDpuis UDF-PSD | |
mars 1989 | mars 2012 | Pierre Carassus | PSpuis MDC/MRC | Contrôleur à la Poste Député de Seine-et-Marne (3e circ.)(1995 → 2002) Conseiller général de Melun-Nord(1982 → 1994) |
mars 2012 | janvier 2019[33],[34] | Pierre Herrero | DVG | Vice-président de laCA Melun Val de Seine(2014 → 2019) Démissionnaire |
janvier 2019[35] | En cours | Henri de Meyrignac | DVG | Chirurgien-dentiste Vice-président de laCA Melun Val de Seine(2019 → ) |
Ville | Pays | Période | ||
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Belvidere[36] | ![]() | États-Unis | depuis | |
![]() | Schwieberdingen[36] | ![]() | Allemagne | depuis |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[37],[38].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Vaux-le-Pénil est assurée par lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le[39],[40],[41].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. Lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[39],[43].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entrepriseVeolia, dont le contrat expire le[39],[44],[45].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[46],[Note 10].
En 2022, la commune comptait 11 378 habitants[Note 11], en évolution de +2,98 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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564 | 739 | 634 | 653 | 710 | 757 | 749 | 784 | 776 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
800 | 857 | 837 | 826 | 807 | 801 | 834 | 789 | 857 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
806 | 788 | 806 | 778 | 942 | 1 077 | 1 204 | 1 418 | 1 719 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 236 | 2 506 | 4 405 | 6 960 | 8 143 | 10 688 | 11 327 | 10 803 | 11 049 |
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
11 174 | 11 378 | - | - | - | - | - | - | - |
Située dans l'académie deCréteil, la commune administre troisécoles maternelles (Gaston-Dumont, Jean-Robert-Rouchon,Romain-Rolland) et troisécoles élémentaires (Gaston-Dumont, Beuve-et-Gantier,Romain-Rolland).
Ledépartement deSeine-et-Marne gère lecollège de la Mare-aux-Champs et larégionÎle-de-France le lycéeSimone-Signoret.
La ville de Vaux-le-Pénil abrite le centre culturel de laFerme-des-Jeux, ouvert en 1995 dans le cadre d'une ancienne ferme rénovée. Une vingtaine de spectacles y sont programmés chaque saison. La Ferme-des-Jeux compte également uncinéma labelliséArt et Essai dont la salle de 285 places a été entièrement rénovée en 2012. Le cinéma a accueilli 28 800 spectateurs en 2017. Une salle plus intime, le Petit Théâtre, a été ouverte en 2010 afin de faciliter la création de spectacles et l'organisation d'expositions[réf. nécessaire].
Vaux-le-Pénil dispose également d'un conservatoire municipal de musique et d'uneludothèque (la seule du sud Seine-et-Marne) et d'unebibliothèque[réf. nécessaire].
En matière d'équipements sportifs, Vaux-le-Pénil dispose de deux terrains defootball (un en synthétique et un en herbe), d'une piste d'athlétisme, de deuxgymnases (Ladoumègue et Geissler), d'une salle polyvalente loisirs et sports (La Buissonnière) et decourts detennis couverts et de plein air[réf. nécessaire].
En 2018, la ville de Vaux-le-Pénil compte 90associations dont 18 à vocation sportive[réf. nécessaire].
Chaque année au début du mois de septembre se déroule le Forum des associations organisé par lamunicipalité[réf. nécessaire].
Deuxièmeparc d'activités de Seine-et-Marne[réf. nécessaire], leparc d'activités de Vaux-le-Pénil regroupe 250entreprises qui totalisaient 5 775 employés au3e trimestre 2012[réf. nécessaire]
Sa gestion relève de la compétence de lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine. D'importants travaux de requalification ont été menés sur le parc d'activités entre 2010 et 2012[réf. nécessaire].
En 2017, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de 4 348 (dont 71 % imposés), représentant 11 032 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 290 euros[48].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 5 494, occupant 5 071 actifs résidants.
Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70 % contre un taux de chômage de 7,1 %.
Les 22,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 4,4 % pour les autres inactifs[49].
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de901 dont3 dans l'agriculture-sylviculture-pêche,78 dans l’industrie,116 dans la construction,593 dans le commerce-transports-services divers et111 étaient relatifs au secteur administratif[50].
Ces établissements ont pourvu 6 510postes salariés.
Vaux-le-Pénil est dans lapetite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de laBrie autour deBrie-Comte-Robert[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[51].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[52]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de55 ha en 1988 à62 ha en 2010[51].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Vaux-le-Pénil, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[51],[Note 13] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 6 | 5 | 4 |
Travail (UTA) | 28 | 24 | 14 |
Surface agricole utilisée (ha) | 329 | 247 | 248 |
Cultures[53] | |||
Terres labourables (ha) | 311 | 215 | s |
Céréales (ha) | 211 | s | s |
dontblé tendre (ha) | 125 | s | s |
dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 42 | s | |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza etnavette (ha) | s | ||
Élevage[51] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 14]) | 0 | 67 | 20 |
Il y a deux monuments remarquables à Vaux-le-Pénil :
La ville de Vaux-le-Pénil a conféré le titre de citoyen d'honneur à :
![]() | Blason | De contrevair renversé, au chef d'azur chargé d'un lambel à l'antique de six pendants d'argent[54]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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