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Trotskisme en France

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EnFrance, plusieurs organisations se réclament dutrotskisme. Les effectifs de ces groupes variant d'une dizaine à plusieurs milliers de militants.

Historique

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Les débuts : 1929-1940

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Article détaillé :Ligue communiste (1930).

En1929,Léon Trotski est expulsé d'URSS sur ordre deJoseph Staline. Au niveau international, les militants qui partagent les vues politiques de Trotski et de « l'Opposition de gauche » qu'il a fondée sont expulsés despartis communistes affiliés à laIIIe Internationale stalinisée. Ces premiers « trotskistes » (ce qualificatif est d'abord utilisé par leurs adversaires) s'organisent alors, malgré de grandes difficultés, au niveau national comme international.

En France, sur instruction de Trotski, la « Ligue communiste » (LC) est fondée en avril1930 parAlfred Rosmer,Pierre Naville,Gérard Rosenthal,Pierre Frank etRaymond Molinier. Ses militants, qui en sont tous membres, sont alors une tendance interne et secrète au sein duParti communiste, et diffusent leurs idées à travers le journalLa Vérité.

En1934, les « trotskistes » de la Ligue communiste sont moins d'une quarantaine dans toute la France. Ils en tirent la conclusion qu'ils ne peuvent constituer à eux seuls une alternative crédible auParti communiste. Sur instruction de Trotski, ils adhérent alors à laSection française de l'Internationale ouvrière (SFIO) à la faveur de l'adoption par celle-ci de la ligne deFront unique ouvrier SFIO/PC de la révolution socialiste, également adoptée par Trotski qui avait déclaré:

«  Le Front unique du Parti Socialiste et du Parti Communiste renferme en soi de grandioses possibilités. Si seulement il le veut sérieusement, il deviendra demain le maître de la France, mais il doit le vouloir. La clef de la situation est maintenant dans le Front unique[réf. incomplète][1]. »

Mais au congrès de Mulhouse de la SFIO de 1935, le « Groupe bolchevik-léniniste » (GBL) qu'y ont constitué les trotskistes de la Ligue communiste est exclu de celui-ci, la SFIO et le Parti communiste français étant passés de la stratégie de « Front unique » à celle de « Front populaire » adoptée par laIIIe Internationale lors de sonVIIe congrès en 1935 (cfSeptième congrès du Komintern), laquelle inclut le Parti radical socialiste mais exclut la Ligue communiste.

Après les émeutes insurrectionnelles de Brest et Toulon, en, Trotski déclare finalement qu'il est temps d'abandonner cette stratégie d'« entrisme » et de s'éloigner de la « Gauche révolutionnaire » deMarceau Pivert, tendance que celui-ci a organisée au sein de la SFIO après le congrès de Mulhouse, et dans laquelle certains militants de la Ligue communiste se sont repliés, pour construire un parti révolutionnaire autonome.

Les trotskistes s'organisent (et se divisent) alors comme suit :

  • Pierre Naville,Gérard Rosenthal et leur groupe obtiennent le l'exclusion deRaymond Molinier puis celle dePierre Frank de la Ligue communiste — après les avoir exclus en 1930 de sa direction, pour « centrisme », « travail fractionnel » et « malversations financières ». Ils fusionnent leur journalLa Vérité avec celui que Pierre Naville publiait depuis son exclusion du Parti communiste en 1927,La Lutte de classe et fondent ainsiLutte ouvrière (à ne pas confondre avec le nom usuel de l'« Union Communiste Internationaliste » représentée par Arlette Laguiller puis Nathalie Artaud), qui devient l'organe du « Parti ouvrier révolutionnaire » (POR) qu'ils fondent en. la Ligue Communiste elle-même, sans être dissoute, est réduite à un secrétariat chargé des liaisons avec les autres Ligues Communistes de l'étranger afin de préparer la fondation de la « Quatrième Internationale ».
  • Raymond Molinier et Pierre Frank créent alors les « Groupes d'action révolutionnaire » (GAR) et le journalLa Commune en.
  • Yvan Craipeau est rejoint parFred Zeller (dirigeant desJeunesses socialistes exclu de la SFIO) puisJean Rous etPierre Boussel, alias Pierre Lambert, et ils créent les « Jeunesses socialistes révolutionnaires » (JSR) en qui publient le journalRévolution à partir de.
  • Raymond Molinier, Pierre Franck et leurs partisans créent finalement en le « Parti communiste internationaliste » (PCI) à partir des « Groupes d'action révolutionnaires » (GAR).
  • suivant les directives de Trotski, le Parti ouvrier révolutionnaire (POR) de Pierre Naville et Gérard Rosenthal fusionne après les grèves de avec le Parti Communiste Internationaliste (PCI) de Raymond Molinier et Pierre Franck et les Jeunesses socialistes révolutionnaires (JSR) de Yvan Craipeau, Fred Zeller, Jean Rous et Pierre Boussel (alias Lambert) dans le « Parti ouvrier internationaliste » (POI), qui devient en le représentant français de la «Quatrième Internationale», fondée le dans le pavillon d'Alfred et Marguerite Rosmer à Périgny (Seine-et-Oise).
  • Raymond Molinier et Pierre Franck quittent rapidement/sont rapidement exclus du Parti Ouvrier Internationaliste (POI). Ils (re)fondent le Parti communiste internationaliste (PCI) et fondent les « Jeunesses communistes internationalistes » (JCI) en. Ils sont exclus de la Quatrième Internationale en à la demande de Trotski.
  • Une partie minoritaire, des militants du Parti ouvrier internationaliste (POI) adhère début 1939, sur instructions deTrotski, au « Parti socialiste ouvrier et paysan » (PSOP) que Marceau Pivert vient de créer fin 1938 après avoir quitté la SFIO avec sa tendance, La Gauche révolutionnaire, après leXXVe congrès de la SFIO, et s'y constitue en « Comité pour la Quatrième Internationale », qui en est finalement exclu en. Parmi ses membres : Yvan Craipeau, Jean Rous etDavid Korner.
  • La majorité des militants du Parti ouvrier internationaliste (POI), autour de Pierre Naville et Gérard Rosenthal, qui a refusé d'adhérer au Parti socialiste ouvrier et paysan (PSOP), le Parti Ouvrier Internationaliste (POI) est exclue en de la Quatrième Internationale et Pierre Naville et Gérard Rosenthal rompent l'un et l'autre avec le mouvement trotskiste.
  • En 1939, le gouvernement dissout les deux principales organisations trotskistes, ce qui reste du Parti Ouvrier Internationaliste (POI) d'Yvan Craipeau et Jean Rous et le Parti Communiste Internationaliste (PCI) de Pierre Franck et Raymond Molinier.
  • Le « Groupe communiste / Quatrième Internationale » ou « groupe Barta » est fondé par David Korner, dont un des alias est Barta, en dissidence de la Quatrième Internationale début.
  • Le Parti Socialiste Ouvrier et Paysan (PSOP) de l'ex SFIO Marceau Pivert est dissout en par le gouvernement de Vichy.

La Seconde Guerre mondiale : 1940-1945

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Article détaillé :Trotskistes français durant la Seconde Guerre mondiale.

De la réunification de 1945 aux lendemains de la scission pablistes/lambertistes de 1952

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Après guerre, le Parti communiste internationaliste-Section française de la Quatrième Internationale (PCI-SFQI) est rapidement affecté par une série de scissions :

Causée par le refus lors du8e congrès du Parti communiste internationaliste-Section française de la Quatrième Internationale (PCI-SFQI) de d'une majorité - qui deviendra donc le « PCI majoritaire » - d'accepter et mettre en œuvre la décision du3e congrès mondial de laQuatrième Internationale - motivée par l'imminence supposée d'un conflit mondial (on est en pleine guerre de Corée) supposément suivi d'une période révolutionnaire - d'adopter les thèses de Michel Pablo et de ses partisans de pratiquer unentrisme « à drapeau déployé » non seulement chez lessociaux-démocrates (pour les français dans laSFIO etForce ouvrière) mais aussi dans les partis communistes staliniens et les syndicats affiliés (pour les français dans lePCF et laCGT) ce qui promettait d'être problématique, voire dans le Tiers Monde dans certains partis populistes, cette scission divise finalement tout le mouvement trotskiste international, jusqu'à causer l'éclatement de laQuatrième Internationale et de nombre de sections nationales.

Parmi celles-ci, seuls les Partis communistes internationalistes (PCI) italien, ceylanais, bolivien et quelques sections d'Amérique latine deviennent alors « pablistes » sans se diviser[9].

  • en,Pierre Boussel alias Lambert et les « lambertistes » du PCI « majoritaire » fondent au niveau international le « Comité international de la Quatrième Internationale » (CIQI), désormais opposé au « Secrétariat international de la Quatrième Internationale » (SIQI) désormais « pabliste ».
  • Cinquante ans après les faits, la scission entre « lambertistes » et « pablistes » continue à diviser certains trotskistes et ex-trotskistes : le journalisteChristophe Nick attribue ainsi à cette querelle les accusations d'Edwy Plenel, ex-pabliste, à l'encontre deLionel Jospin, ex-lambertiste[10].

De la guerre d'Algérie à mai 1968

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Les trotskistes et la guerre d'Algérie :

L'après-guerre d'Algérie :

Mai 1968

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De mai 1968 à aujourd'hui

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  • En 1969, d'ex militants « pablistes » du Parti communiste internationaliste (PCI) sont à l'origine de la fondation de l'« Alliance marxiste révolutionnaire » (AMR).
  • Ils co-signent un appel à l'unité des organisations se réclamant du trotskisme, dont le Parti communiste internationaliste (PCI) dePierre Frank et le groupeVoix Ouvrière, fondé vers 1956 par une des deux entités entre lesquelles legroupe Barta s'est scindé en 1950 : celle deRobert Barcia etPierre Bois, future « Lutte ouvrière ».
  • Ils s'impliquent, avec des dissidents duPCF, notamment issus de la mouvance « italienne », dans le « Comité d'Initiative pour un mouvement révolutionnaire » (CIMR), et sont actifs dans la solidarité avec le peuple tchécoslovaque.
  • En 1969, ils soutiennent la candidature d'Alain Krivine aux élections présidentielles.
  • Dissout par ledécret du 12 juin 1968 après les évènements deMai 1968, le Parti communiste internationaliste (PCI) a fondé avec la Jeunesse communiste révolutionnaire (JCR) la « Ligue communiste » (LC) au début de cette année1969 qui devient la Section française de la Quatrième Internationale (SFQI).
  • Dissoute le, après avoir participé avec d'autres groupes à des affrontements lors d'une manifestation contre la tenue d’un meeting du groupe d'extrême droiteOrdre nouveau à laMaison de la Mutualité, la Ligue communiste (LC) se reconstitue l'année suivante sous le nom de « Ligue communiste révolutionnaire » (LCR), menée parAlain Krivine,Daniel Bensaïd etHenri Weber.
  • Dissout par le même décret de 1968, Voix ouvrière se reforme sous le nom de « Lutte ouvrière » (LO) et sort progressivement de la marginalité.
  • De son côté, L'Alliance marxiste révolutionnaire (AMR) des « pablistes » appuie au printemps 1974 la candidature à l'élection présidentielle deCharles Piaget, syndicaliste de laCFDT, actif à l'usine deLip où une expérience d'autogestion fut mise en place.
  • Dans le même temps,Michel Rocard arrive à imposer au sein duPSU le soutien à la candidature deFrançois Mitterrand.
  • Le départ de Michel Rocard du PSU pour le PS après l'élection présidentielle de 1974 donne l'occasion à l'Alliance marxiste révolutionnaire (AMR) de réaliser sa fusion dans le PSU. Le PSU regroupe alors dans cette dynamique de fusion plusieurs centaines de militants.
  • Trois ans plus tard, en 1977, la plupart des ex-militants de l'AMR quittent le PSU pour fonder les « Comités communistes pour l'autogestion » (CCA) avec des membres de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR).
  • En, L'Organisation communiste internationaliste (OCI) de Pierre Lambert (dontJean-Luc Mélenchon a été militant de 1972 à 1976) devient « L'Organisation communiste internationaliste Unifiée » (OCIU) après le ralliement de la « Ligue communiste internationaliste » (LCI) (scission de 1979 de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) dirigée parDaniel Gluckstein), puis reprend le nom de « Parti communiste internationaliste » (PCI) (lequel s'est, on l'a vu, dissout dans la Ligue communiste en), avant de fusionner en 1985 dans le « Mouvement pour un parti des travailleurs » (MPPT), puis en 1991 dans le « Parti des travailleurs » (PT) et enfin en 2008 dans le « Parti ouvrier indépendant » (POI).
  • Au passage, en 1986, plus de 400 militants de la tendance « Convergence socialiste » menée parJean-Christophe Cambadélis etBenjamin Stora quittent le Mouvement pour un parti des travailleurs (MPPT) pour le PS.
  • En 1994, ce sont 140 militants de la tendance « Démocratie et révolution » de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), menés parGérard Filoche etDaniel Assouline qui rejoignent le PS.
  • La fin duXXe siècle est marquée par la notoriété certaine et les résultats électoraux de la porte-parole de Lutte ouvrière (LO),Arlette Laguiller, qui est ensuite remplacée parNathalie Arthaud.
  • Le début duXXIe siècle est marqué par celle qu'acquiert le candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR),Olivier Besancenot à l'élection présidentielle de 2002.

Ces deux organisations font d'ailleurs liste commune aux élections européennes de 1999 et régionales de 2004.

Le trotskisme aujourd'hui en France

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Meeting deLutte ouvrière en 2008 (Arlette Laguiller, troisième en partant de la gauche).

DepuisMai 68, le phénomène trotskiste a gagné de l'importance dans la sphère politique française, notamment avec la popularité grandissante de personnalités commeArlette Laguiller ouOlivier Besancenot. Du point de vue électoral, le trotskisme rassemble entre 4 et 10 % des suffrages lors des pics atteints lors de l'élection présidentielle de 2002[14] et de2007.

Formations importantes

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  • Lutte ouvrière (LO), qui est en fait le nom du journal publié par l'Union Communiste, membre de l'Union communiste internationaliste (UCI), est surtout connue grâce à sa porte-parole,Arlette Laguiller, qui a obtenu entre 1,33 % et 5,72 % aux élections présidentielles entre1974 et2007 revendique environ 9 000 adhérents. Entre la dissolution de laLigue communiste révolutionnaire au sein duNPA en 2009 et la fondation du NPA « plateforme C » 2022, Lutte ouvrière est le seul parti politique d'envergure nationale se revendiquant explicitement du trotskisme en France.
  • LeNouveau Parti anticapitaliste (NPA) n'est officiellement pas trotskiste. Néanmoins, il est issu d'un processus initié par laLigue communiste révolutionnaire (LCR) visant à construire un nouveau grand parti révolutionnaire regroupant plusieurs courants d'extrême gauche, dont les trotskistes et les anciens de la LCR représentent 45 % de la direction du NPA[15].Olivier Besancenot, son principal porte-parole, fut par deux fois candidat aux élections présidentielles au nom de la LCR. Il existe toujours un fort courant trotskiste au sein du NPA, lequel anime l'Association pour la Sauvegarde de la Mémoire de la Section Française de la Quatrième Internationale (ASMSFQI)[16]. En 2009, le NPA revendique 6 000 adhérents[17]. Le NPA est représenté par deux organisations distinctes depuis le congrès de 2022 :
    • leNPA – L'Anticapitaliste, composé notamment de la majorité héritière de la LCR et de l'Alternative révolutionnaire communiste. Ses deux principaux porte-paroles sontOlivier Besancenot (candidat de la LCR lors des élections présidentielles de 2002 et de 2007) etPhilippe Poutou (candidat du NPA aux élections présidentielles en 2012, 2017 et 2022).
    • leNPA – Révolutionnaires, composé notamment des tendancesL'Étincelle etAnticapitalisme et Révolution.
  • Révolution permanente[18] (anciennement leCourant communiste révolutionnaire, CCR), affilié à laFraction trotskiste - Quatrième Internationale. Il est apparu au premier congrès du NPA où il a participé à la Position 4 aux côtés de la Tendance CLAIRE. Le 12 juin 2021, une scission éclate entre le NPA et le CCR suite à la pré-candidature d'Anasse Kazib, syndicaliste cheminot et principal porte-parole du CCR[19]. L'organisation est officiellement fondée en tant que parti politique indépendant endécembre2022[20].
  • LeParti Communiste Révolutionnaire, anciennement Révolution, membre de lal'Internationale Communiste Révolutionnaire.

Autres formations

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Organisations constituées en tendance

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Organisations politiques indépendantes

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Notes et références

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  1. Léon Trotski,.
  2. Christophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 304
  3. Christophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 306
  4. Voir surchs.univ-paris1.fr.
  5. Un trotskiste dans l'enfer nazi,Jean-René Chauvin, édition Syllepse, 2006.
  6. abc etdChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 311
  7. ab etcChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 315
  8. Fonds d'Archives au Centre d'Histoire Sociale, 9, rue Mahler, Paris
  9. Christophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 374
  10. abcdef etgChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 368
  11. ab etcChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 411 sq
  12. abcdefghij etkChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 381-409.
  13. a etbChristophe Nick,Les Trotskistes, Fayard, 2002,p. 416
  14. « Résultat des élections présidentielles de 2002 »,Ministère de l'intérieur
  15. « NPA : élection du Conseil politique national, 45 % d'anciens de la LCR »,dépêche AFP sur le site du NPA
  16. « Accueil »sur le site internet de l'asmsfqi
  17. Communiqué du NPA. Votte des militants pour le1er congrès du NPA, le.
  18. Sandrine Cassini et Minh Dréan, « A l’extrême gauche, Révolution permanente tente de dépoussiérer le trotskisme »,Le Monde,‎(lire en ligneAccès payant, consulté le).
  19. « Exclus du NPA, nous engageons le processus de construction d'une nouvelle organisation révolutionnaire », surRévolution Permanente(consulté le).
  20. Juliette Bernard, « Politique. Révolution Permanente : quel est ce nouveau parti d’extrême gauche ? »,Le Dauphiné libéré,‎(lire en ligneAccès payant, consulté le).
  21. Julie Ducourau, « Congrès du NPA : pas d'avancée, le duel Besancenot-Mélenchon se précise », dépêche AFP, 13 février 2011.
  22. « Déclaration officiel du CCI »,sur le site du POI
  23. « Combattre pour le Socialisme », sursocialisme.free.fr(consulté le)
  24. Plateforme du GMI, sur le site deRévolution Socialiste
  25. « Conférence de fondation », surgroupemarxiste.info.
  26. « Gauche révolutionnaire »(consulté le)
  27. Parti de l'égalité socialiste
  28. Comité International de la Quatrième Internationale

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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v ·m
Échiquier et idéologies politiques en France
Échiquier gauche/droite
Idéologies
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