Trigny | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Reims |
Intercommunalité | Communauté urbaine du Grand Reims |
Maire Mandat | Francis Blin 2020-2026 |
Code postal | 51140 |
Code commune | 51582 |
Démographie | |
Gentilé | Trignaçiens |
Population municipale | 613 hab.(2022![]() |
Densité | 50 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 18′ 11″ nord, 3° 53′ 47″ est |
Altitude | Min. 68 m Max. 215 m |
Superficie | 12,21 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Reims (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Fismes-Montagne de Reims |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | trigny.fr |
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Trigny est unecommune française située dans le département de laMarne en régionGrand Est.
Elle est traversée par laroute touristique du Champagne ainsi que par laVesle et fait partie dumassif de Saint Thierry.
Trigny se trouve au nord-ouest du département de laMarne, en régionGrand Est. La commune appartient à larégion agricole duTardenois[1].
La commune de Trigny s'étend sur une superficie de1 221 hectares[2], entre leMassif de Saint-Thierry et la vallée de laVesle.
Par la route[Note 1], Trigny se situe à 61 km deChâlons-en-Champagne[3],préfecture du département, à 15 km deReims[4],sous-préfecture, et à 20 km deFismes[5],bureau centralisateur ducanton de Fismes-Montagne de Reims dont dépend Trigny depuis 2015. La commune fait en outre partie dubassin de vie de Reims[6].
Trigny est limitrophe de6 communes :
Pévy | Hermonville | |
Prouilly | ![]() | Chenay |
Muizon | Châlons-sur-Vesle |
Sur son territoire, l'altitude varie de 68 à215 mètres[2].
L'altitude atteint son minium dans les marais du sud de la commune, le long de laVesle, rivière qui fait office de frontière entre Trigny etMuizon. Au nord, le relief est marqué par leMassif de Saint-Thierry. Le village de Trigny est dominé par deux de ses sommets, au nord-ouest, leMont Die (211 m) etla Montagne (215 m)[Carte 1].
Jusqu'au milieu duXXe siècle, il existait à la sortie de la commune sur la route d'Hermonville deschampignonnières creusées qui s'enfonçaient dans le sol.
La commune est dans larégion hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein dubassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Vesle et le Cochot[7],[Carte 2].
LaVesle, d'une longueur de 139 km, prend sa source dans la commune deSomme-Vesle et se jette dans l'Aisne àCiry-Salsogne, après avoir traversé52 communes[8].
Six plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la tourbière 1 des Dix Jours (0,5 ha), la tourbière 1 des Grands Marais (1 ha), la tourbière 1 des Ronds Trous (0,8 ha), la tourbière 2 des Ronds Trous (1,4 ha), la tourbière 3 des Ronds Trous (0,8 ha) et la tourbière des Mazures Mambourg (0,6 ha)[Carte 2],[9].
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s’étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne,Marne etArdennes) et deux régions (Champagne-Ardenne etPicardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d’aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[10].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].
Pour des articles plus généraux, voirClimat du Grand Est etClimat de la Marne.
En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[11]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,4 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Chambrecy-Civc », sur la commune deChambrecy à 14 km àvol d'oiseau[13], est de10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de−22,1 °C, atteinte le[Note 3],[14],[15].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[17].
Le site des tourbières dites du Vivier est classé enZone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[18] (ZNIEFF).
Au, Trigny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[6]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,9 %),terres arables (31,6 %), cultures permanentes (17,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (2,1 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Le nom de la localité est attesté sous les formesTriniacum (1100) ;Trigniacum (1125) ;Trigneium (1146) ;Tiriniacum (1147) ;Villa que dicitur Tiriniachus (1149) ;Trinniacum (1178) ;Trigneyum (1236) ;Trigni (1239) ;Truni (1234-1243) ;Trugny (fin du XIIIe siècle) ;Trygny (1515)[23].
L'histoire et le développement primitif de la commune est lié à l'abbaye de Saint-Thierry[Note 5].Charles II le Chauve fit donation à l'abbaye de la terre de Marzella qui donna naissance au village de Trigny.
Le village fut occupée par lesNormands pendant 36 ans jusqu'en 922. C'est une charte deLothaire qui confirme en 963 la propriété des moines sur le village qui s'appelle alorsTrigny. Les moines défrichent les terres environnantes et y implantent de la vigne. Les terres appartiennent alors pour partie aux moines, aux habitants et au seigneur deRoucy. Ce dernier tente d'accaparer de nouvelles terres ce qui suscite la révolte des habitants. Cependant le comte de Roucy ayant des forces supérieures pille les moines et les habitants. La paix revint en 1129.
Dès l’année 1142, les villageois ayant échappé au pouvoir des comtes de Roucy, cherchent aussi à se dégager de la tutelle de l'abbaye de Saint-Thierry et surtout des impôts y afférents. Les moines s’empressèrent de réclamer l’intervention des évêques suzerains qui légitimèrent les anciennes prescriptions. Lorsque le seigneur de Trigny, Ebalus, choisit de partir en croisade, il vendit lavicomté à l’abbé Aldric. À partir de cette époque, les religieux ne laissèrent plus passer une occasion d’augmenter leurs propriétés. Les démêlés entre la population de Trigny et l’abbaye se multiplièrent au fil des siècles, entrecoupés par quelques périodes d’entente cordiale. Ils ne cessèrent que lorsque Trigny vit disparaître sans retour les religieux, sous la Révolution.
AuXIIIe siècle l'abbaye Saint-Thierry possédait une carrière, au lieu-ditla Maldenrée, qui servit à la construction de Saint-Nicaise à Reims et à la nouvelle église de l'abbaye deSaint-Thierry.
En 1686, le premier maître d'école de Trigny est Simon Leroy. Il est nommééchevin (maire) en 1688[24].
En 1755, l'arpenteur Pierre Vilain dresse le premierplan cadastral de Trigny[25],[Note 6].
Après laRévolution française, le curé de Trigny fut l'abbé Seraine de 1808 à 1817[26].
Lors de laPremière Guerre mondiale, Trigny n'est qu'à quelques kilomètres seulement de la ligne de front. Ce village n'a malheureusement pas été épargné par les bombardements d'obus comme de torpilles. L'enjeu militaire est la gare deMuizon terminal ferroviaire qui servait à l'approvisionnement du front français. Le site de Trigny est affecté aussi au "triage" des blessés récupérés sur le front avant leur envoi sur les hôpitaux de l'arrière[1]. Le un avion allemand est abattu au-dessus du village. Il cherchait à abattre un aérostat d'observation stationné au-dessus du lieu-ditles Mézières. Le cimetière comporte un carré militaire français pour les soldats tombés au combat lors de la Première Guerre mondiale dont une tombe de soldat inconnu[27]. Trigny fut décoré de la croix de guerre 1914-1918[réf. nécessaire].
Juste après laSeconde Guerre mondiale, un radar est construit sur le plateau de Bel Air en relation avec la base aérienne deCourcy. Il est encore aujourd'hui en place et sert de remise agricole.
La commune possède alors encore de nombreux commerces (Épicerie Goulet Turpin, une boucherie, etc.) qui vont disparaître progressivement au début de la seconde moitié duXXe siècle.
Après la Seconde Guerre mondiale, la paroisse englobe aussi les villages deMuizon et deChâlons-sur-Vesle[réf. nécessaire].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Reims du département de laMarne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2010 de ladeuxième circonscription de la Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Fismes[2]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée aucanton de Fismes-Montagne de Reims.
La commune était membre de laCommunauté de communes Champagne Vesle, qui avait succédé audistrict rural de Gueux créé en 1973 et dont la commune faisait déjà partie.
Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne le avec ses voisines pour former lacommunauté urbaine dénomméeGrand Reims, dont est désormais membre la commune[28].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Maires avant 1946
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mai 1946 | mars 1962 | Marcel Petitfrère | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1962 | mai 1962 | Robert Blin | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mai 1962 | mars 1965 | Robert Bertrand | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1965 | mars 1977 | Pierre Germain | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1977 | mars 1989 | Ernest Raymond Toury | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1989 | juin 1995 | Paul Albert Labasse | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
juin 1995 | mars 2008 | Daniel Betka | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 2008[31] | En cours (au 11 juillet 2020) | Francis Blin | Vice-président de laCC Champagne Vesle(2014 → 2016) Vice-président de la CU duGrand Reims(2017[28] →) Réélu pour le mandat 2020-2026[32],[33],[34] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2022, la commune comptait 613 habitants[Note 7], en évolution de +13,31 % par rapport à 2016 (Marne : −1,19 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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773 | 666 | 713 | 729 | 719 | 709 | 739 | 732 | 706 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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729 | 780 | 766 | 759 | 759 | 727 | 700 | 723 | 700 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
627 | 613 | 561 | 543 | 506 | 483 | 490 | 466 | 447 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
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455 | 494 | 460 | 502 | 545 | 527 | 537 | 529 | 541 |
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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589 | 613 | - | - | - | - | - | - | - |
L'activité économique de la commune est principalement viticole. Elle possède une coopérative construite dans les années 50.
L'église est un bâtiment ancien avec une partie romane, le chœur et les transepts gothiques. Elle est dédiée àsaint Théodulphe (755-820). Le clocher roman à bâtière duXIIe siècle est percé au sud et au nord de baie en plein cintre géminée d'une colonne. La nef est bordée de deux collatérales, dans l'axe la baie du chœur est de gothique flamboyant. La nef a été raccourcie en 1880 pour refaire le portail occidental. On accède à l'église par une porte latérale en relation avec la maison curiale. Le chœur est une œuvre de finXVe ou débutXVIe siècle. La nef comporte un ensemble curieux de trois colonnes avec chacun un chapiteau de style différent. Les vitraux les plus anciens sont duXIXe siècle, c'est celui dédié àThéodulf d'Orléans et représente quatre scènes de la vie du saint. Il faut aussi prêter attention aux fonts baptismaux dont le cannelage rappelle la coquille St Jacques[2]. Elle comporte aussi une tribune en fond de nef.
Le mobilier :
Les trois vitraux au-dessus de l'autel dédiés à la Vierge Marie avec notamment dans celui de droite une représentation de saint Jean Marie Vianney (le curé d'Ars) sont l'œuvre de l'atelier Simon, verriers rémois réputés et sont datés de peu avant la Première Guerre mondiale (1910 ?)[3].
Les deux cloches actuelles datent de 1816 et remplaçaient les trois précédentes. La plus grosse se nomme Louise et la seconde Émilie et furent fondus par A. Antoine et F. Loiseau.
Près de l'église dont le porche est tourné vers l'ancien emprise des moines, est l'ancien presbytère, demeure curiale avant la révolution et occupé par l'abbé M. Geoffroy (curé avant la Révolution). Il en devient propriétaire de l'ancienne et à son départ, il le vendit à Liance habitant Trigny. En 1803, la commune rachète l'ancienne maison curiale pour en faire une école. AuXXe siècle l'école redevient presbytère avant de recouvrer sa vocation d'école après de départ du dernier curé résident, l'abbé Marcel Pata nommé en 1968 curé deCormicy. Devant le presbytère était l'ancienne remise à pompe pour la lutte contre l'incendie et qui a été détruite. Sur le devant, une fontaine qui a été légèrement déplacée. Sur l'ancienne porte d'accès au presbytère, une fresque due à M. Blin rappelle le jardin du curé et la passion de l'abbé Pata pour la cueillette des champignons et le ramassage des escargots.
La chapelle située en haut du village domine la voie principale sur la route antique qui allait de la vallée de l'Aisne à la Vallée de Vesle à mi-pente du massif de Saint-Thierry viaCormicy,Cauroy-les-Hermonville etHermonville. Comme l'église elle est aussi dédiée à saint Théodulphe. Elle a été érigée vers 1800 sur un tumulus qui devait être un ancien cimetière.
Il s'agit des restes de l'ancien mur d'enceinte des bâtiments des moines et qui donne sur les vignes.
La fontaine qui est au devant de l'entrée de l'église a été déplacée. Elle était autrefois couverte et enchâssée dans le mur de soutènement du cimetière qui s'étendait autour de l'église. Elle était devant le bâtiment de remise de la pompe municipale servant à la lutte contre l'incendie. Elle servait entre autres à l'approvisionnement de la citerne de la pompe avant son départ au feu. Elle a été déplacée lors de la destruction de la remise de l'aménagement de la placette devant l'ancien presbytère lorsqu'il fit transformé en école. Cette fontaine était à l'époque couverte.
Il existe aussi une agréable fontaine avec un bassin au centre du village qui évoque l'ancienne fontaine publique de la place de la halle qui avait été détruite.
À l'angle des routes de Châlons-sur-Vesle et de Chenay a été édifiée une imposante croix en bois lors d'une "mission" dans les années 1950.
Centre équestre du Vivier - chevaux et poneys.
Trigny fait partie de la paroisse du Mont d'Hor avec 10 autres communes.
Curé[Quand ?] : le père Cyril Goglin.
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