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Thasos (île)

40° 43′ 01″ N, 24° 40′ 12″ E
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Pour les articles homonymes, voirThasos.

Thasos
Θάσος (el)
Image satellite de Thasos.
Image satellite de Thasos.
Géographie
PaysDrapeau de la GrèceGrèce
ArchipelSporades thraces
LocalisationMer Égée
Coordonnées40° 43′ 01″ N, 24° 40′ 12″ E
Superficie398 km2
Point culminantMont Hypsarion (1 208 m)
Administration
PériphérieMacédoine-Orientale-et-Thrace
District régionalThasos
DèmeThasos
Démographie
Population13 770 hab. (2011)
Densité34,6 hab./km2
Autres informations
Géolocalisation sur la carte :Grèce
(Voir situation sur carte : Grèce)
Thasos
Thasos
Thasos
Îles en Grèce
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Thasos 3D

Thasos ouThásos (engrec moderne :Θάσος), est une île montagneuse appartenant à l'archipelgrec desSporades thraces, à 8 km de laThrace continentale et à l'ouest de l'île deSamothrace. Elle appartient administrativement audème de Thasos et à lapériphérie deMacédoine-Orientale-et-Thrace.

Géographie

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Située au large dugolfe de Kavála,Thasos (398 km2, 80 km de pourtour) est la plus grande des îles du nord de lamer Égée. L'île est divisée aux deux tiers par une importante chaîne montagneuse orientée nord-ouest/sud-est, l'Hypsarion, dont cinq sommets ont plus de 1 000 m d'altitude, séparant ainsi deux espaces aux caractères très différents : le relief compartimenté du tiers nord-est, où la circulation est difficile et les plaines étroites, s'oppose ainsi au sud-ouest aux plaines littorales plus vastes et faciles d'accès<[1].

Le sous-sol de l'île est essentiellement constitué degneiss gris-vert et demarbre, largement exploité et exporté durant l'Antiquité. Des gisements d'or, decuivre, defer et deplomb argentifère sont exploités depuis l'Antiquité.

Bien pourvue d'eau et favorisée par un climat relativementtempéré (climat méditerranéen à tendance balkanique), Thasos est couverte de forêts : chênes-verts, chênes-lièges, pins, châtaigniers, arbres de Judée, platanes d'Orient, plantes du maquis. Dans l'Antiquité, le bois fut une des principales ressources de l'île, les forêts étant rares enGrèce.

Dans les plaines côtières, on cultive l'olivier. La vigne, dont le vin jadis fameux était largement exporté, a pratiquement disparu.

La cité antique

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Époque archaïque

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Ruines de la cité antique de Thasos.

L'île fut habitée dès l'époquepaléolithique autour des grottes d'où l'on extrayait de l'ocre. On y a également retrouvé des habitats de l'âge du bronze, mais l'histoire de l'île nous est véritablement connue à partir du moment où, vers680 avant notre ère, elle futcolonisée par des Grecs originaires deParos menés par Télésiclès, le père du poèteArchiloque, selon la prophétie d'un oracle deDelphes.

Rapidement, la nouvelle cité étendit son aire d'influence sur le continent lui faisant face, riche en nombreux gisements miniers d'or et d'argent. On trouvait des gisements d'or et d'argent dans lePangée et dans l'arrière-pays de Néapolis-Kavala, d'or dans le massif de la Lékanè, à Skaptè-Hylè[2]. Ces mines particulièrement riches, entre leStrymon à l'ouest et leNestos à l'est, assurèrent sa prospérité : vers 500av. J.-C., la cité était riche, puissante, possédait une importante flotte de commerce et de guerre, et s'était construit une enceinte.

Lors desguerres médiques, les Thasiotes évitèrent d'affronter le roiDarius Ier en 492av. J.-C. et organisèrent, en480, pourXerxès et son armée, un repas qui coûta à la cité, selonHérodote, une somme supérieure aux revenus annuels de la cité.

Époque classique

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Thasos, statère au satyre ithyphallique. Date : c. 470-463 AC.

Après la défaite perse, Thasos adhéra à laligue de Délos en477av. J.-C. en apportant l'appoint de sa flotte. La disparition de la puissance perse sur le continent lui permit d'y étendre son influence. Mais au milieu des années 460, les Thasiotes se heurtèrent aux intérêts de leurs alliés Athéniens dans la région, notamment autour des gisements miniers dumont Pangée[3]. On évoque des « différends au sujet de leurs ports de commerce enThrace sur la côte opposée et de mines qu'y exploitaient les gens de l'île » : en465, Thasos abandonna la ligue de Délos, ce qui entraîna une réaction immédiate desAthéniens qui l'emportèrent sur mer et, après débarquement, leur imposèrent, sous la direction deCimon, un siège de deux ans au terme duquel, en463, les Thasiotes, après avoir vainement fait appel àSparte, acceptèrent de se rendre.

Tétradrachme en argent frappé à Maronée représentant Dionysos

Les représailles furent sévères : les Thasiotes durent s'engager à « détruire leurs murailles, à livrer leur flotte, à fournir immédiatement tout l'argent qu'on leur demandait, à payer tribut à l'avenir et à abandonner le continent et les mines »[4]. La cité se voyait ainsi à la fois privée de ses principales sources de revenus (revenus miniers du continent et taxes établies sur le commerce continental) et assujettie à de lourdes dépenses (remboursement, étalé sur une vingtaine d'années, des frais de guerre aux Athéniens et versement d'un lourd tribut à l'alliance).

Ce traitement handicapa fortement l'économie thasiote pendant une quinzaine d'années[5] et contraignit la cité à établir provisoirement un nouveau prélèvement sur leskarpoi : la production agricole de lachôra, c'est-à-dire essentiellement sur le vignoble, réputé, de l'île[6]. La mise en place d'un tel impôt sur laproduction agricole manifeste la détresse financière de la cité face à ses obligations, dans la mesure où les cités grecques antiques semblent ne le pratiquer qu'en dernier recours, comme l'indique l'exemple deMendè enChalcidique cité parAristote[7].

Au demeurant, le fait que la cité ait pu assumer pendant vingt ans un lourd prélèvement de l'ordre de 75 à 100talents par an souligne le dynamisme de l'économie thasiote, même amputée de ses possessions continentales. Comme le souligne Michèle Brunet, en comparaison, « les trente talents versés par la suite [à partir de 443][8] au Trésor des alliés durent presque sembler légers »[9]. La pression athénienne se maintint cependant longtemps et de riches Athéniens acquirent des vignobles dans l'île.

Thasos saisit l'occasion de la révolution oligarchique desQuatre-Cents à Athènes, en411, pour se soulever : les Thasiotes reconstruisirent leur enceinte et leur flotte et s'allièrent avecSparte. En 407, ils furent à nouveau vaincus par les Athéniens, dirigés parThrasybule, après un siège très dur. La victoire des Spartiates conduisitLysandre, en 405, à rassembler les citoyens dans le sanctuaire d'Héraclès en promettant l'amnistie afin de mieux y massacrer les partisans d'Athènes. Par la suite, les Thasiotes reprirent pied sur le continent en y constituant un territoire rattaché à l'île et désigné comme « épire » dans les textes gravés du début duIVe siècle av. J.-C.

Époque hellénistique et romaine

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Malgré la domination spartiate, Thasos revint dans l'orbite athénienne dès389 et entra dans laseconde confédération athénienne en375. La cité est alors toujours aussi prospère et son rayonnement commercial important. La montée en puissance de laMacédoine, n'entama pas cette prospérité, et c'est seulement en 202 que le roi de MacédoinePhilippe V prit le contrôle de la cité, pour peu de temps puisque vaincu par lesRomains en 199. Le Sénat romain déclara l'année suivante la liberté pour tous les Grecs.

Thasos constitua dès lors un allié indéfectible de la République romaine, ce qui lui permit de devenir la principale métropole de la région auxIIe et Ier sièclesav. J.-C., comme l'indique la diffusion des monnaies thasiotes de cette époque[5]. En remerciement pour cette fidélité, notamment lors du siège que lui fit subirMithridate,roi du Pont, le Sénat romain rendit à Thasos, en 80av. J.-C., ses territoires sur le continent. Tombée en disgrâce lors des révoltes de la fin de la République, la cité retrouva tous ses anciens privilèges sousAuguste et prospéra jusqu'auIIIe siècle.

Ressources de la cité antique

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Anciennes carrières de marbre d'Aliki

Les richesses de l'île étaient nombreuses. Si elles assurèrent une certaine prospérité aux Thasiotes, elles ne furent pas sans provoquer la convoitise des États dominant le monde grec[10].

L'exploitation des mines d'or et deplomb argentifère de l'île[11] sont sans doute à l'origine de sa colonisation par les Grecs, qui en tiraient, d'aprèsHérodote, 160 kilos d'or par an. Plusieurs chantiers de mines ont été retrouvés par les archéologues, notamment la « mine de l'Acropole », mine d'or[N 1] ainsi dénommée parce que, située sous la ville antique, elle disposait d'une entrée débouchant sur l'acropole. Sur la côte ouest des gisements de cuivre et d'argent étaient exploités pour la production monétaire. Les conditions d'exploitation de ces mines sont beaucoup moins bien connues que celles duLaurion[12].

Les forêts thasiotes constituaient une ressource appréciée pour y tailler du bois de charpente, indispensable à laconstruction navale. On doit aussi relever la présence de carrières demarbre blanc de bonne qualité permettant la sculpture comme la construction, au nord-est à proximité ducentre urbain principal (carrières de Saliari, Phanari et Vathy) et surtout au sud-est (Aliki), ces dernières intensément exploitées à l'époque paléochrétienne. Leur caractère côtier rendait plus aisé l'extraction et le transport des blocs par bateau, ce qui contribua sans doute, à l'époque impériale, à la diffusion de ces marbres à une large échelle allant de lamer Méditerranée occidentale à lamer Noire[13].

Enfin, le vin thasien était très apprécié et durablement exporté (de nombreux ateliers d'amphores ont été retrouvés) à l'époque classique et à la hauteépoque hellénistique. Thasos est l'une des rares cités grecques qui ait légué des documents sur le commerce du vin dans le monde égéen de l'Antiquité.

Aux époques classiques et hellénistiques, la cité contrôle et exploite de manière équilibrée l'ensemble de son territoire, en un système de peuplement très hiérarchisé. Chaque vallée ou plaine littorale est commandée par un village relié à l'agglomération principale comme aux autres villages par des chemins qui contournent l'obstacle central de l'Hypsarion (1 200 m) en passant par la côte[14]. Le réseau serré des « fermes isolées, installées la plupart du temps au point de contact entre des terroirs aux qualités différentes, témoigne de la densité d'occupation et de l'intensité de la mise en valeur agricole dans toutes les zones périphériques »[14].

Si la ville de Thasos elle-même est excentrée, au nord de l'île, c'est parce qu'elle fait ainsi face au continent et au territoire qu'elle y contrôle, lapérée, traversé par laVia Egnatia, importante route commerciale reliant Athènes aux détroitsvia laChalcidique et, par-delà, le monde égéen auxcolonies grecques de lamer Noire. Grâce à ce positionnement et au maillage serré de sachôra, la cité thasiote assure à la fois son indépendance dans une perspectiveautarcique et sa prospérité par son insertion dans les circuits commerciaux de l'Égée[15]. Certes, les villages thasiotes sont souvent installés en retrait de la côte, sur les piémonts ; certes des postes de garnisons sont implantés à proximité des lieux de débarquement les plus aisés ; certes les fermes sont fortifiées. Mais cette volonté de se protéger des invasions ennemies ou des raids de pirates n'empêche nullement que « c'est bien dans l'auréole externe de l'île que se concentrent, comme de nos jours, la population et les activités »[16], implantation qui n'était nullement inévitable, comme l'indique, à l'époque moderne, l'installation de la population dans les territoires intérieurs de l'île, tournant le dos à la mer et à ses dangers, notamment la piraterie[17].

Histoire médiévale et moderne

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Thasos subit des destructions lors de l'invasion desGoths et desHérules, auIVe siècle. Lachristianisation de l'Empire romain d'Orient place l'île dans la civilisation byzantine (construction de plusieursbasiliques). Au début duVIIe siècle, de nouvelles invasions se traduisent par d'autres destructions ; des populationsromanes etslaves s'ajoutent auxGrecs locaux, qui les assimilent. Le continent étant conquis par lepremier Empire bulgare qui menace en permanence la côte égéenne et l'occupe à plusieurs reprises, l'île devient l'escale principale des liaisons byzantines entreConstantinople, lemont Athos etThessalonique. Elle est alors fortifiée et incluse dans le« thème » du Strymon. En1204, laquatrième croisade prend Thasos et la rattache à l'empire latin de Constantinople, mais l'empire grec de Nicée la récupère trente ans plus tard, et l'île redevient byzantine. En1355, elle est conquise par lesGénois pour une quarantaine d'années, avant de redevenir byzantine jusqu'à ce que lesOttomans s'en emparent en1462 pour près de cinq siècles.

De 1813 à 1902, elle passe sous gouvernement égyptien, ayant été attribuée àMéhémet Ali par le sultanMahmoud II en récompense de son intervention contre les Wahhabites[18]. Elle participe brièvement au soulèvement grec de1821 mais se soumet dès décembre et subit alors des pillages de la part des Grecs restés insurgés, notamment des Psariotes et des pirates basés dans les Sporades[19].Comme le reste de la région elle est rattachée à laGrèce en1912, à l'issue desguerres balkaniques[20].

À partir de1923, à la suite des échanges de population rendus obligatoires par letraité de Lausanne, desMicrasiates (Grecs d'Asie mineure) viennent s'ajouter aux Thasiotes de souche. Pendant l'Occupation, Thasos est envahie en 1941 par laWehrmacht et laKriegsmarine allemandes, tandis que laBulgarie annexe laThrace égéenne en face de l'île. Fin1944, larésistance grecque libère l'île qui, en revanche, n'est pas touchée par laguerre civile grecque[21].

Liménas, vieux port.

Après la guerre, Thasos resta rurale etpastorale jusque dans les années 1960. C'est le tourisme et l'augmentation des échanges qui la firent sortir de cet isolement ; toutefois, lacrise financière des années 2010, due à ladérégulationmondiale et auxendettements de laGrèce, en partie consécutifs auxJeux olympiques de2004, frappe durement l'économie de l'île.

Les voyageurs et les fouilles

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Le premier de ces voyageurs est un marchandhumaniste italien passionné d'études byzantines duXVe siècle :Cyriaque d'Ancône. Parlant grec, il releva plusieurs inscriptions en1444-1445.

Jusqu'auXVIIIe siècle, une dizaine d'érudits visitèrent l'île et relevèrent des inscriptions. Mais c'est véritablement auXIXe siècle que l'intérêt pour le passé hellénique de l'île se fait plus grand :Georges Perrot, français de l'École française d'Athènes, rédige un mémoire sur l'île en donnant quelques plans qu'il a tracés après observation en1856. A. Conze publie également un rapport.

Entre1863 et1864,Emmanuel Miller dirige les fouilles de l'agora.

Les fouilles de l'École française d'Athènes, dont Charles Picard est responsable, commencent en1911. On découvre alors le sanctuaire d'Artémis, la porte du Silène, la salle hypostyle... mais aucune stratigraphie n'était étudiée.

Les fouilles se poursuivent de manière plus ou moins continue depuis cette date :

  • Jusque dans les années 1930, on tente surtout d'établir une topographie générale de la ville et de mettre au jour les principaux ensembles monumentaux ;
  • Dégagement de l'agora entre1948 et1955 ;
  • Fouilles du sanctuaire d'Artémis dans les années 1970 ;
  • Actuellement[Quand ?], fouilles d'habitats, d'ateliers et surtout sondages d'urgence.

Le premier musée est construit dans l'entre-deux-guerres. Après une période de travaux, il a été agrandi et inauguré le 10.

La recherche est aujourd'hui élargie à l'ensemble de l'île mais le coût de la main-d'œuvre oblige surtout à de laprospection, les fouilles demeurant ponctuelles.

La législation grecque s'est efforcée de protéger les antiquités. À Thasos, tous les terrains sontarchéologiques et les chantiers sont donc surveillés par des archéologues.

En2012, à l'initiative d'Arthur Muller, professeur d’archéologie grecque, le bilan d'un siècle d’archéologie française à Thasos a été dressé et présenté au public, à travers des expositions et des conférences.

Personnages liés à Thasos

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  • Le médecinHippocrate séjourna quatre années à Thasos comme médecin public invité par la cité.
  • Le thassioteThéogénès, qui remporta aux jeux olympiques l'épreuve deboxe (-480) et depancrace (-476).
  • Le peintrePolygnote, thassiote, qui futthéore (magistrature religieuse) de la cité en444 avant notre ère.
  • Le philosopheThéophraste séjourna un temps dans la cité peu avant ou peu après300 avant notre ère.
  • Philisque de Thasos, appelé Agrios ("le sauvage"), qui selon Pline se retira dans des lieux fleuris pour étudier les abeilles.
  • L'écrivain grec moderneVassilis Vassilikos y est né.

Notes et références

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  1. Une autre mine d'or était exploitée dans le massif du Klisidhi.Brunet 1996,p. 56.

Références

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  1. Brunet 2007,p. 312.
  2. Brunet 2007,p. 314.
  3. I, 100, 2
  4. Thucydide, I, 101, 3
  5. a etbMarie-Françoise Baslez (dir.),Économies et sociétés en Grèce ancienne, 478-88av. J.-C., Atlande,, p.415.
  6. Brunet 2007,p. 318-320.
  7. « Les habitants de Mendé affectaient le produit des droits de port et des autres taxes qui frappaient la terre et les maisons. Ils tenaient cependant registre des propriétaires, et quand le besoin d'argent se faisait sentir, les assujettis payaient. » Aristote,Économique, II, 2, 21
  8. De 463 à 443, la contribution des Thasiotes au trésor de la ligue de Délos se limita à trois talents par an, pour leur permettre de rembourser leurs frais de guerre aux Athéniens
  9. Brunet 2007,p. 319.
  10. « Toute la région put ainsi être décrite comme une sorte d'« Eldorado nordique » dont les richesses étaient aptes à susciter bien des convoitises et des rivalités dans toute la région et même plus loin, dans l'ensemble du bassin égéen ».Brunet 2007,p. 314.
  11. A. Muller, « La mine de l’Acropole de Thasos »,BCH, Suppl.5, 1979, p. 315-344
  12. Baslez 2007,p. 260.
  13. Brunet 1996,p. 56.
  14. a etbBrunet 1996,p. 54.
  15. Roland Étienne, Christel Müller, Francis Prost,Archéologie historique de la Grèce antique, Ellipses, 2006, p. 102
  16. Brunet 1996,p. 57-58
  17. Brunet 1996,p. 58
  18. Bakalopoulos 1953,p. 34.
  19. Bakalopoulos 1953,p. 39-42.
  20. Hans-Erich Stier (dir.),Westermann Grosser Atlas zur Weltgeschichte,(ISBN 3-14-100919-8), p. 48, 50, 55-57, 64, 66, 70, 71, 85, 93 et 145.
  21. Stier 1985,p. 153-155.

Voir aussi

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Bibliographie

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