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Synagogue Palaprat

43° 36′ 16″ nord, 1° 27′ 09″ est
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Pour les articles homonymes, voirPalaprat.

Synagogue Palaprat
La porte d'entrée de la rue Jean-Palaprat et l'inscription en hébreu.
La porte d'entrée de larue Jean-Palaprat et l'inscription enhébreu.
Présentation
CulteJudaïsme
TypeSynagogue
RattachementConsistoire régional du Pays de la Garonne
Début de la construction1837
Géographie
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementHaute-Garonne
VilleToulouse
Coordonnées43° 36′ 16″ nord, 1° 27′ 09″ est
Géolocalisation sur la carte :Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Synagogue Palaprat
Géolocalisation sur la carte :Occitanie
(Voir situation sur carte : Occitanie)
Synagogue Palaprat
Géolocalisation sur la carte :France
(Voir situation sur carte : France)
Synagogue Palaprat
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Lasynagogue Palaprat est unesynagogue de la villeToulouse, chef-lieu de larégion Occitanie, enFrance. Elle est située auno 2rue Jean-Palaprat, d'où elle tient son nom, à l'intersection de larue de la Colombette.

Fondée en 1837 pour desservir la petitecommunauté juive toulousaine, elle est la plus ancienne synagogue de la ville, toujours en activité. Elle n'est cependant plus la synagogue principale depuis l'ouverture de la grande synagogue Hekhal David, située auno 2place Pierre-Paul-Riquet, au cœur du centre communautaire juifEspace du Judaïsme. La synagogue Palaprat existant avant laloi de séparation des Églises et de l'État de 1905, elle est la seule synagogue de la ville propriété de la commune, qui en assure depuis l'entretien.

Historique

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Naissance d'une communauté et inauguration de la synagogue Palaprat

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Au début duXIXe siècle, la communauté juive toulousaine est relativement réduite. Lors durecensement de 1807, la ville ne compte que 87Juifs : elle ne peut donc pas être le siège d'unconsistoire et dépend donc du consistoire deBordeaux. À partir de 1812, elle est dirigée spirituellement par unrabbin provisoire. En 1837, elle s'installe dans une maison de larue de la Colombette, dans lefaubourg Saint-Aubin, un quartier qui se développe grâce à l'industrialisation entre lesnouveaux boulevards et lecanal du Midi. La maison, louée à un certainM. Gleyzes, se trouve à l'angle de la nouvellerue Palaprat, percée trois ans plus tôt.

En 1844, à la suite de la création du consistoire duSaint-Esprit, àBayonne, la communauté toulousaine est détachée de Bordeaux. On estime qu'à cette date, il n'y a à Toulouse qu'une vingtaine de familles juives résidentes, la majorité des fidèles étant descolporteurs de passage. En 1852, le premier rabbin permanent est nommé en la personne de Léon Oury, unJuif originaire d'Alsace. En novembre 1855, il se tourne vers la municipalité toulousaine afin d'acheter la maison deM. Gleyzes : en 1857, à la suite d'un accord trouvé entre la communauté, la mairie et le propriétaire, qui doit effectuer un certain nombre de travaux, la synagogue de la rue Palaprat devient propriété de la commune pour la somme de 9 000francs.

La communauté se développe à partir de la seconde moitié duXIXe siècle, et surtout à partir de 1870 avec la venue deJuifs d'Alsace-Lorraine, annexée par l'Empire allemand à la suite de laguerre franco-allemande et dutraité de Francfort. La communauté se renforce également deJuifs venus de l'Empire russe, fuyant lespogroms antisémites. En 1887, l'annuaire de laHaute-Garonne donne le nombre de 650 Juifs pour tout le département, dont plus de la moitié, soit 350 personnes, pour la ville de Toulouse. À la fin duXIXe siècle, la communauté est estimée entre 400 et 500 fidèles.

À la suite de laloi de 1905 qui institue laséparation des Églises et de l'État, les Juifs de Toulouse créent en 1906 l'association cultuelle israélite de Toulouse, dont le siège se situe à la synagogue Palaprat. L'association a pour but l'entretien des lieux de culte et lacélébration du culte à Toulouse et dans les départements voisins.

Durant l'entre-deux-guerres, la communauté connaît des difficultés financières et même d'existence. Elle reste très disparate, entre des Juifs installés de longue date, desAlsaciens, desTurcs,Libanais,Égyptiens et de nouveaux émigrés en provenance d'Europe de l'Est etd'Allemagne. Ces difficultés sont révélées par la vacance du poste de rabbin entre 1923 et 1937 et l'absence deTalmud Torah pour la formation religieuse des jeunes. Les offices sont célébrés par unhazzan, David Nahon. En 1937, est nommé rabbin de Toulouse Guido Scialtel, d'originelivournaise. Il est remplacé au mois de juillet1938 parMoïse Cassorla, né àBitola enMacédoineserbe et venu en 1936 àParis pour étudier auSéminaire israélite de France.

Seconde Guerre mondiale

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Entrée en Résistance

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La synagogue Palaprat reste officiellement ouverte pendant la quasi-totalité de laSeconde Guerre mondiale malgré lesrafles de Juifs. Les services religieux sont assurés par le rabbinMoïse Cassorla assisté de David Nahon jusqu'en1943, puis par le rabbinNathan Hosanski jusqu'à son arrestation en janvier1944. Fermée pendant les derniers mois de la guerre, elle est rouverte solennellement le, deux semaines après laLibération de la ville, lors d'une cérémonie religieuse conduite par le rabbin Mossé.

Après l'invasion de lazone libre par lestroupes allemandes, les rafles se succèdent.Clara Malraux mentionne dans son livreEt pourtant j'étais libre…[1], une des rafles qui s'est déroulée dans la synagogue Palaprat, mais sans en mentionner la date.

LepoèteClaude Vigée, de son vrai nom Claude Strauss, qui séjourne à Toulouse de 1940 à 1942 suit, malgré les risques, l'enseignement du rabbin et raconte : « C'était la nuit, tous rideaux tirés, dans la petite synagogue de la rue Palaprat. » Il s'engage dans l'Action juive et la Résistance, il estdénoncé, mais prévenu à temps de son arrestation imminente, il réussit à s'enfuir auxÉtats-Unis. Lors d'uncolloque organisé en avril2005 à l'Université de Nanterre par Sylvie Parizet, Claude Vigée parle de sa rencontre avec l'historienhelléniste,Pierre Vidal-Naquet pendant la guerre à Toulouse :

«  Nous nous réunissions à la synagogue de Toulouse, rue Palaprat (il y avait là, avant la guerre, une petite communauté juive, mi-sépharade mi-ashkénaze, d'environ neuf cents personnes). Nous avions pris l'habitude de nous réunir là en secret – lerégime de Vichy interdisait toute réunion, quelle qu'elle soit, de juifs dans les territoires occupés – pour nous former. Avec l'aide du rabbin Cassorla, nous avons appris peu à peu ce qu’était l’histoire juive européenne après lachute de Jérusalem.Nous en sommes venus à parler très naturellement, dans ce cercle clandestin d'études juives, deLaGuerre des Juifs. Nous avons ainsi buté sur le cas de la résistance juive contre lesRomains, et nous nous sommes tout de suite posé la question cruciale : que faire avec Vichy, avec laMilice, avec lesnazis ? Nous étions confrontés à des problèmes terriblement semblables à ceux des juifs de cette époque-là. Nos aînés ont alors eu l'idée d’organiser un tribunal pour jugerFlavius Josèphe : c'est là où se situe mon lien avec Pierre Vidal-Naquet[2]. »

La synagogue Palaprat devient le centre de larésistance juive dans leMidi toulousain et voit la création de l'Armée juive à Toulouse par deuxsionistes résistants d'originerusse,David Knout, dont la femme Ariane (alias Régine) est tuée par la Milice le, etAbraham Polonski. Le, la synagogue est encerclée par lamilice française qui menace les fidèles d'exécution s'ils ne divulguent pas les noms desrésistants. Le siège n'est levé qu'après l'intervention dupréfet de région et de l'intendant de police.

Interventions deMgr Saliège, archevêque de Toulouse

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Plaque commémorative à la mémoire deMgr Saliège, située à l'intérieur de la synagogue Palaprat.

L'archevêque de Toulouse, MonseigneurJules Saliège (1870-1956), dès le condamne fermement leracisme, et en pleine guerre, le, il ordonne la lecture dans toutes lesparoisses de sondiocèse d'une lettre pastorale intituléeEt clamor Jerusalem ascendit (« Et un cri monta jusqu'àJérusalem »), qui est une violente dénonciation des persécutionsantisémites. Par la suite, il fait tout son possible avec certainsprêtres de son diocèse pour tenter de protéger les Juifs de Toulouse en leur fournissant de faux certificats debaptême.Mgr Saliège est arrêté par laGestapo le mais n'est pasdéporté en raison de son état de santé.

Après la guerre,Mgr Saliège reçoit, en1969, le titre de « Juste parmi les nations » par lemémorial de Yad Vashem, au nom d'Israël. Le, legrand-rabbin de France,Gilles Bernheim, se rendant en visite pastorale à Toulouse, dévoile en compagnie deMgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse, uneplaque commémorative en l'honneur deMgr Saliège à la synagogue Palaprat[3],[4], sur laquelle sont inscrites les phrases suivantes :

« Tout être humain possède le pouvoir de choisir.
"Vois tu, j'ai déposé devant toi aujourd'hui la Vie et le Bien,
la Mort et le Mal, et tu choisiras la vie"; Deutéronome ; Chapitre 30; Verset 15.
En hommage au
Cardinal Jules-Géraud SALIEGE (1870-1956)
Archevêque de Toulouse, Compagnon de la Libération,
Médaillé de la Résistance
pour sa lettre pastorale du, lue en chaire dans toutes les églises du diocèse,
dans laquelle il affirme avec force l'appartenance des Juifs au genre humain.
La hauteur spirituelle de son engagement, son combat pour la dignité humaine
et le devoir de résistance à la barbarie lui valurent le titre de
Juste parmi les Nations
décerné à titre posthume par l'État d'Israël et le mémorial de Yad Vashem en 1969.
La Communauté Juive de Toulouse
éternellement reconnaissante. »

L'appel deMgr Saliège ne change en rien la politique dugouvernement de Vichy, qui quelques jours après cet appel, les1er et, fait partir vers l'Allemagne deuxconvois des camps de laHaute-Garonne[5].

Deuxième moitié duXXe siècle

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En 1951, des divisions internes ainsi que des conflits d'ego entre les membres dirigeants de la communauté, entraînent une opposition entre les Juifsséfarades, venus d'Orient et principalementde Turquie etd'Égypte et arrivés en majorité dans lesannées 1920, etashkénazes originaires en grande majoritéde Pologne, conduisant M. Gerson, un des plus importantsmécènes de la communauté à ouvrir unoratoire privé qui célèbre lesBar-Mitzvahs, lesmariages et lesinhumations. La communauté doit alors faire face à de grosses difficultés financières. Quand le rabbin André Chékroun,originaire d'Algérie, futur grand-rabbin de lasynagogue de la Victoire àParis, quitte en octobre1952 le poste qu'il occupait depuis 1947, il faut attendre quatre mois pour le remplacer par le rabbinRené-Samuel Sirat, futur grand-rabbin de France, lui aussi originaire d'Algérie, qui officie jusqu'en 1955. Après son départ pour d'autres fonctions, la communauté reste trois ans sans chef spirituel jusqu'en août 1958 et la nomination du rabbin Rozen, d'originepolonaise.

En 1962, la communauté accueille de très nombreuxJuifs d'Afrique du Nord et principalement d'Algérie. À l'époque, il existe à Toulouse troislieux de culte juifs : la synagogue Palaprat, l'oratoire Gerson et laYechouroun (lesreligieux orthodoxes). En, un des groupes derapatriés les plus importants, originaire deConstantine, ouvre une nouvelle synagogue, laVieille nouvelle synagogue afin de pouvoir officier suivant leur rite spécifique. En1965, la communauté a complètement changé du point de vue de son importance : il y a à Toulouse, un rabbin et trois ministres de culte, unshohet (abatteur rituel), troismohelim (circonciseurs), lahevra kaddisha pour les derniers devoirs et huit professeurs d'hébreu. Le rabbin Rozen est en grande partie responsable de cette transformation.

À la fin desannées 1960, le nombre de lieux de culte se multiplie pour répondre aux différents rites :rite portugais à la synagogue Palaprat, rite ashkénase à la Yéchourounrue Jules-Chalande et à la maison communautaire, rite turc à l'oratoire Gerson, rite constantinois à la VNS et rue du Pech[6].

En1967, arrive un nouveau rabbin, Georges Haïk, d'origine séfarade, qui reste à Toulouse jusqu'à son départ pourParis en1981, mais qui revient trois ans plus tard, en1984, avec le titre de grand-rabbin de Toulouse et des Pays de la Garonne. Poste qu'il occupera jusqu'en 1998 avant de s'installer enIsraël.Le, l'Espace du judaïsme qui intègre la nouvelle grande synagogue de Toulouse, est officiellement inauguré place Riquet[7]. La synagogue Palaprat reste ouverte, mais perd son rôle de synagogue principale de Toulouse. Le siège du consistoire est aussi transféré place Riquet.

Avant son départ, le Grand rabbin Haïk prend le soin de placer le rav Gilles-Israël Zerdoun pour animer spirituellement la synagogue, qui est officiellement intronisé quelques années plus tard par Gilles Bernheim, grand-rabbin de France.

Durant toutes ces années, lehazzan de la synagogue est David Benssousan. Il est remplacé par Gérard Attaiech dans lesannées 2000.

Ainsi, jusqu'à ce jour, Messieurs Attaiech et Zerdoun, délégués rabbiniques, assurent la pérennité de la synagogue de la rue Palaprat.

Il y a lieu de préciser que le rav Wolff occupe le poste de rabbin de la synagogue pendant une courte période du début des années 2000, sans destituer les délégués rabbiniques en poste.

Toulouse est devenu le siège d'un grand-rabbinat en raison du nombre deJuifs vivant dans la ville et ses environs et estimé par leconsistoire central à 20 000 personnes[8], dont la grande majorité constituée de rapatriés d'Afrique du Nord, faisant de Toulouse la cinquième ville française par l'importance de sa population juive.

Description

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Extérieur

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La synagogue vue de larue Jean-Palaprat.

La synagogue Palaprat est une synagogue excessivement simple de l'extérieur, sans comparaison avec lasynagogue de Bordeaux datant de 1877 ou mêmecelle de Bayonne de 1836. Ce dépouillement s'explique par la petite taille de la communauté juive au moment de sa construction. Elle ne bénéficie d'aucun signe distinctif d'une synagogue, à l'exception d'une inscription rapportée, enhébreu, apposée au-dessus dulinteau de la porte d'entrée principale :

ברוך אתה בב[ו]אך וברוך אתה בצאתךBarukh atah be-boekha ubarukh atah be-tzetekha (Tu seras béni à ton arrivée, et tu seras béni à ton départ[9]).

Lafaçade sur la rue Palaprat comprend la porte d'entrée principale, fermée sauf pendant lesfêtes et les cérémonies, et une petite porte sur le côté donnant sur unvestibule. La porte principale en bois, à deux battants, est encadrée par unchambranle enbriques roses saillantes. Lespieds-droits terminés par uneimposte soutiennent un épais linteau, formé de briques horizontales et verticales disposées en éventail, surmonté d'une petitecorniche de briques. Au niveau du premier étage, les troisœils-de-bœuf circulaires, avec un encadrement de briques apportent de la lumière à l'intérieur de la synagogue à hauteur de lagalerie des femmes.

Du côté de larue de la Colombette, des fenêtres rectangulaires et un œil-de-bœuf éclairent la salle de prière. Une porte donnant directement sur la salle de prière est condamnée. Les murs sont enduits et peints en blanc, faisant ressortir le rose des encadrements desbaies.

Intérieur

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L'Arche Sainte.

La salle de prière est rectangulaire de dimension approximativement neuf mètres sur douze. L'Arche Sainte se trouve sur le mur est, de façon que les fidèles soient orientés versJérusalem lors de la prière. On accède à l'Arche Sainte par trois marches conduisant à uneestrade entourée de deux côtés d'unebalustrade en bois. L'Arche est encadrée de deuxpilastres de section rectangulaire enmarbre rose, sur une haute base en marbre gris, et surmontés d'un légerchapiteau de même couleur. Le linteau porte l'inscription enhébreu tiré duLivre des Proverbes :

« Car je vous donne de bons conseils : ne rejetez pas mon enseignement[10] ».

La disposition intérieure de la salle de prière répond au rite séfarade: laBimah en bois se trouve au milieu de la salle. Les fidèles s'assoient sur des chaises devant laBimah ou sur des bancs en bois situés sur les côtés et derrière. Devant laBimah, se trouve une grandeMenorah (chandelier à sept branches) enbronze éclairée par des ampoules électriques.

Une grande partie des murs est couverte de plaques commémoratives en l'honneur de fidèles disparus. Au-dessus de la porte, sur le côté droit, se trouve une plaque plus importante commémorant l'action du cardinal Saliège. À sa droite, la liste des membres de la communauté « victimes de la barbarie allemande »

On accède à la galerie réservée aux femmes par un escalier en bois se trouvant à droite de la porte d'entrée principale. La galerie au premier étage se situe sur le mur ouest, avec des avancées sur les murs latéraux nord et sud. La galerie est soutenue par sixcolonnes cylindriques, renforcés à l'arrière par quatrepiliers de section carrée.

Galerie

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  • Vue générale de la salle de prière avec l'Arche Sainte et la Bimah.
    Vue générale de la salle de prière avec l'Arche Sainte et la Bimah.
  • Vue détaillée de la Bimah.
    Vue détaillée de la Bimah.
  • Vue arrière avec la galerie des femmes.
    Vue arrière avec la galerie des femmes.
  • Vue du côté droit avec une partie des plaques commémoratives.
    Vue du côté droit avec une partie des plaques commémoratives.

Notes et références

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  1. Clara Malraux:Et pourtant j'étais libre…; Grasset; Paris; 1979; page: 71; ASIN: B004RH84M8.
  2. Sylvie Parizet,Lectures politiques des mythes littéraires auXXe siècle, Littérature et poétique comparées, Presses universitaires de Paris 10; collection, 3 juillet 2009;(ISBN 2840160404);(ISBN 978-2840160403).
  3. Hommage au cardinal Saliège; site du CRIF.
  4. Le Grand Rabbin de France à Toulouse hier et aujourd'hui; La Dépêche.
  5. Archives nationales W-91 (1007); Ministère de l'intérieur; Service des polices:2e bureau au préfet régional de Toulouse.
  6. Colette Zytnicki:Les Juifs à Toulouse entre 1945 et 1970 – Une communauté toujours recommencée
  7. Jean-Jacques Rouch,L'espace du Judaïsme est ouvert,La Dépêche, 18 décembre 1998.
  8. « Consistoire / », surconsistoirecentral.fr viaWikiwix(consulté le).
  9. « Deutéronome 28 - Wikisource », surfr.wikisource.org(consulté le)
  10. Proverbes 4;2

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Jean-Louis Clément,Monseigneur Saliège – Archevêque de Toulouse – 1929-1956, éd. Beauchesne, 1997(ISBN 2701013097);(ISBN 978-2-7010-1309-1).
  • Colette Zytnicki,Les Juifs à Toulouse entre 1945 et 1970. Une communauté toujours recommencée, collection « Tempus », Presses universitaires du Mirail, Toulouse, 1998(ISBN 978-2-8581-6359-5).
  • Jean Estèbe,Les Juifs à Toulouse et en midi toulousain au temps de Vichy, collection « Tempus », Presses universitaires du Mirail, Toulouse,(ISBN 978-2858162635).
  • Armand Amsellem,Histoire de la Communaute Juive de Toulouse; éditeur: Aleas;;(ISBN 2843012422);(ISBN 978-2-8430-1242-6).
  • Monique-Lise Cohen et Elie Szapiro,Histoire des communautés juives de Toulouse, collection « Petit Précis », éd. Loubatières, 2003(ISBN 2862663719);(ISBN 978-2-8626-6371-5).

Articles connexes

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Lien externe

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