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Serge et Bacchus de Rasafa

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Pour les articles homonymes, voirSerge,Saint-Serge etBacchus (homonymie).

Serge et Bacchus de Rasafa
Image illustrative de l’article Serge et Bacchus de Rasafa
Serge et Bacchus avecJésus-Christ au centre (icône duVIIe siècle).
Saints,martyrs
Décèsv.300 
Serge àRasafa et Bacchus àBarbalissos (province romaine de Cœlé-Syrie)
Nom de naissanceSergius et Bacchus
Autres nomsSergius ; Ba(c)ch(e), Bac(c)us
Vénéré àRasafa principalement ;monde entier
CanonisationAv.ve siècle
Vénéré parChristianisme catholique etorthodoxe
Fête
AttributsPalme des martyrs, couronne
Saint patronArmée, soldats
Sujets controversésHistoricité douteuse ;
Débat sur la nature de leur relation (amicale ou sentimentale).
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SaintsSerge etBacchus de Rasafa (enlatin classiqueSergius et Bacchus ; engrec moderneΣέργιος και Βάκχος,Sérgios kai Vákkhos) sont deschrétiens mortsmartyrs vers enSyrie et fêtés le7 octobre.

Serge et Bacchus étaient des officiers militaires proches de l'empereur romain Maximien. Ils étaient chrétiens secrètement et refusèrent de prendre part à un sacrifice en l'honneur des dieux romains. Ils furent torturés àBarbalissos, où mourut Bacchus, puis Serge fut martyrisé jusqu'àRasafa, avant d'être décapité car il ne voulait pas renier sa foi.

L'année1994 relance l'intérêt des fidèles pour les deux saints. Les travaux de l'historienJohn Boswell ouvrent le débat dans un livre-somme publié peu avant sa mort[1], où il suggère que Serge et Bacchus étaient un couple homosexuel marié selon les rites chrétiens, mais ce point a été discuté par d'autres historiens. Dans la continuité des travaux de Boswell, le peintre et moine homosexuelRobert Lentz, représente Bacchus et Serge dans une œuvre, laquelle serait également une représentation d'un couple homosexuel (celle-ci sera diffusée durant la marche des fiertés de Chicago, la communauté LGBT de fidèles chrétiens s'appropriant l’icône).

Anthroponymie

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Bacchus est la latinisation dugrec ancienBákchos (Βάκχος), l’autre nom du dieu du vin grecDionysos, et par syncrétisme,le nom du dieu dans la mythologie latine. Le nom du saint explique la raison de son martyre, foulé aux pieds par ses bourreaux, comme les raisins étaient foulés pour être réduits à l'état liquide. Le nom est parfois francisé enBacche[2] ou Bacque (/bak/).

Serge est la francisation dulatin classiqueSergius, nom de famille d'une importantefamille romainepatricienne, lesSergii. Ce nom devint un prénom chrétien populaire en raison de son martyre dès leVIIe siècle[3].

Hagiographie

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Leur plus ancienne hagiographie connue date duVe siècle et est anonyme, maisSyméon Métaphraste l'a révisée auXe siècle[4].AuIVe siècle,Dioclétien régnait avecMaximien Hercule, coempereur, sur l’empire romain qui s’étendait sur tout le pourtourméditerranéen.Dioclétien qui, au début de son règne, avait été tolérant avec les chrétiens, dont beaucoup occupaient de hautes fonctions militaires ou administratives, entreprit de purger l’armée de ses éléments qui avaient embrassé la religion duChrist. À l’automne 303, son coempereurMaximien Hercule en voyage àSamosate, capitale de la Comagène (province située dans la Turquie actuelle au nord d'Urfa), décida de démasquer les chrétiens qui pouvaient se trouver parmi la hiérarchie deslégions.

Sous Maximien (cf.infra), les« bienheureux » Serge et Bacchus sont premier et deuxième officiers de laschole des gentils[N 1]. Serge, par ses relations, a permis à son ami Antiochus d'être nommé gouverneur de province romaine de l'Euphratèse. Ils étaient secrètement de ferventschrétiens, et« étaient unis dans l’amour du Christ, et ne furent jamais séparés pendant leur service terrestre, unis non pas par leur tempérament, mais par leur foi ». À cette époque, un décret condamnait à la torture et à la mort quiconque ne rendait pas hommage à lamythologie gréco-romaine.

Des esprits malveillants allèrent à la rencontre de l'empereur pour lui demander pourquoi Serge et Bacchus n'étaient pas condamnés pour leur manque de ferveur envers les dieux, et pourquoi, alors qu'ils étaient chrétiens, ils côtoyaient si familièrement le pouvoir. Bien qu'il fût incrédule car il les aimait beaucoup, l'empereur testa leurs paroles en faisant des libations et des offrandes, avec toute l'armée. Il ne les vit pas participer, car ils priaient Dieu contre ces rites, et lui demandaient de les garder purs.

Maximien les fit arrêter et leur promit la liberté s'ils abjuraient leur foi, en sacrifiant àJupiter. Ils refusèrent, alors l'empereur les obligea à être vêtus comme les femmes, et à traverser la ville jusqu'au palais, avec de lourdes chaînes autour du cou. Ils marchèrent tout en scandant des psaumes, et priantDieu de les laisser sous sa garde. Arrivés, Maximien tenta une nouvelle fois de leur faire abjurer leur foi, en vain. Il les envoya à Antiochus pour les torturer jusqu'à leur repentir, sinon qu'ils meurent. Unange apparut aux deux saints pour leur dire d'être courageux et de combattre lediable et lesdémons. Ils traversèrent plusieurs villes jusqu'àBarbalissos, capitale de la province. Antiochus les fit emprisonner puis torturer le lendemain, à son grand regret car il était ami de Serge.

(Haut) Deux anges agenouillés encadrent Serge (à gauche), le Christ en majesté (au centre), et Bacchus (à droite).
(Bas) Représentation de la décapitation de Serge (à gauche) et flagellation de Bacchus (à droite). Tympan de l'église Saint-Serge dePourrain (Yonne,France).

Bacchus fut flagellé et foulé par ses bourreaux,« le sang coulait partout ; son estomac et son foie furent rompus. » Bacchus ne perdit pas espoir en Dieu, et une voix venue duCiel, qui stupéfia Antiochus et les bourreaux, dit à Bacchus qu'il pouvait reposer en paix. Son corps fut jeté en dehors de la prison, et laissé aux animaux ; ceux-ci pleurèrent sa mort, et des moines qui vivaient non loin vinrent près du cadavre, puis il fut inhumé dans une grotte. Serge pleura sa mort, mais le soir-même, son« doux compagnon et amant » (ὁ γλυκὺς ἑταῖρος καὶ ἐραστής) vint le soutenir pour lui dire qu'il avait déjà une place au Ciel, comme martyr pour sa foi.

Le lendemain, Antiochus ordonna à Serge de sacrifier aux dieux, ce qu'il refusa. Le gouverneur ordonna à ses hommes de main de mettre des clous aux semelles de bottes, les pointes vers la voûte plantaire, et Serge fut contraint de les chausser. Ils partirent jusqu'àTetrapyrgium, Antiochus sur un char, Serge marchant devant, des gardes autour. Un ange vint le guérir durant la nuit, et Antiochus le pensa sorcier lorsqu'il le vit rétabli. Il lui laissa une chance de sacrifier aux dieux, mais le saint refusa, alors il lui ordonna de marcher devant lui jusqu'àRasafa. Après leur arrivée, le gouverneur laissa une dernière chance au martyrisé, qui refusa une dernière fois, et qui fut décapité. Des hommes et des animaux sauvages pleurèrent son dévouement, et là où il fut décapité, un gouffre se forma, et il y fut enterré. Des religieux du château de Souros voulurent voler son corps pour lui donner une sépulture plus décente, mais le saint demanda au Christ d'enflammer la place de son repos ; ce miracle fit penser aux soldats de Rasafa qu'il était allumé par un ennemi.

Plus tard, quinze évêques se réunirent pour déplacer ses restes et les installer dans le sanctuaire le jour même de son martyre, le.

Date de mort et historicité

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Pièce en bronze de l'empereur Julien, vers 360-363.

Le diocèse de l'Europe occidentale de l'Église orthodoxe de Serbie place leur martyre vers296[5], et l'Encyclopædia Britannica en303[6]. L'Église catholique, sans donner de date, les fait mourir vers ou après 300[7],[8]. Cela s'est passé ou durant le règne de l'empereur romainMaximien Hercule[9],[6], du jusqu'au1er mai 305, ou au début du règne deMaximien Galère[10],[11], empereur du au.

En2000, David Woods revient sur leur culte : celui-ci s'est développé en 425 au plus tard, si on en croit la datation des murailles de Rasafa, et il n'y a aucune preuve que des moines se trouvaient dans la région auIVe siècle. La tombe serait celle d'un anonyme, qui a acquis la réputation d'être celle d'un martyr, et l'incendie mystérieux serait un phénomène naturel, peut-être l'ouverture d'une poche de gaz, ou alors un acte criminel, sousJulien (règne de à). Il relève plusieurs anachronismes : il se peut que cela se soit passé sousMaximin Ier le Thrace, dont le règne fut de à (Maximinus au lieu deMaximianus), bien que l'humiliation infligée (le port de vêtements féminin) date plutôt de Julien. Woods pense encore que la passion des martyrs Serge et Bacchus n'est que le fruit d'une élaboration théologique, inspirée par des soldats s'étant révoltés contre Julien en refusant de participer à une parade militaire, ou alors par des martyrs réels. Il nota que l'on trouvait beaucoup de similitudes avec le récit de la passion de saintsJuventin et Maximin, martyrs à Antioche en 363 et dont le culte était déjà établit auVe siècle, dans l’Historia nova deZosime[11].

AuXIXe siècle,Jacques-Antoine Dulaure avait commencé à conjecturer, qu'à la place de l'église Saint-Benoît-le-Bétourné, il y avait un ancien autel entouré de vignes auXIIIe siècle, en l'honneur du dieu Bacchus. Saint Bacchus n'avait pas de légende fixe, et les vignerons faisaient la fête en son honneur,« dans le même mois et au même jour où les vignerons de Paris célébraient, il n'y a pas un siècle, la fête du dieu Bacchus ». Il remarque que saintGrégoire de Tour (538-594) n'accole jamais Serge avec Bacchus dans ses œuvres (Historia francorum etDe gloria beatorum martyrum), et que le glissement du nom de l'église de Saint-Bacchus en église de Saint-Benoit est dû à une erreur, mise en lumière par l'abbéJean Lebeuf. Dulaure penseBacchus était un nom qui devenait suspect, et tout en restant patron de l'église, il fut subordonné à Benoit[12]. L'hypothèse de Woods était aussi soutenue par Pio Franchi de' Cavalieri (1869-1960), qui avait vu des similitudes avec le passage de l’humiliation des saints, habillés avec des robes de femmes[13].

Controverse sur la nature de leur relation

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Icône orientale représentant Serge et Bacchus à cheval.

L'historienaméricain et militantLGBTJohn Boswell (1947-1994) a interprété que leur relation était uneadelphopoiia, une forme de mariage homosexuel, donc une preuve que l'Église orthodoxe n'était pas toujours hostile aux relations et mariages homosexuels. Boswell cite aussi le fait que dans l'iconographie médiévale des deux saints, l'allusion à leur lien étroit émergerait parfois, par exemple en décrivant les deux auréoles qui les couronnent comme entrelacées, non divisées, et qu’erastês est lié àérôs, ce qui indique l'amour physique[14].

Jean-Claude Bologne dit qu'il est vrai qu’hetairos eterastês« peuvent être employés dans un contexte sexuel, mais leur hagiographie ne fait aucune allusion à une vie de couple », ils sont unis selon lui par l’agapê, qui désigne l'amour désintéressé. Il admet toutefois qu'il y a eu une cinquantaine de manuscrits duXe siècle auXVIe siècle, dont la célébration d'unions masculines ait empruntée des éléments aux rites nuptiaux ; mais ce ne sont pas des « mariages » pour autant, seulement des adoptions ou des pactes d'assistance et d'éducation. Il ajoute que ces amitiés exclusives et célébrées étaient courantes chez les militaires[15].

Boswell considérait cette institution comme une sorte de précurseur chrétien du mariage homosexuel, rejeté aujourd'hui par la majorité des institutions chrétiennes, mais les autres historiens remettent en question la méthodologie et les conclusions de Boswell[16],[17],[18],[19]. James Smalls argumente en disant que jamais les dignitaires chrétiens n'ont dit un bon mot envers l'homosexualité, que Serge et Bacchus étaient vus comme un idéal d'abnégation[20]. Serge dit perdre un« frère et compagnon d'arme », mais Smalls indique que le terme de« frère » peut avoir un potentiel sens sexuel, ce que fait remarquer Jean-Luc Hennig, au sujet duSatyricon, avant de dire que la notion de fraternité non-sexuelle, entre un homme âgé et un plus jeune, apparaît enEurope durant leMoyen Âge (l’affrèrement)[4].

L'Église orthodoxe se défend d'avoir pratiqué des unions de personnes de même sexes, et assure que cela était« de chastes "fraternisations" », bien que« Boswell affirme qu’il existait de semblables "ordres d’unir deux hommes" chez les chrétiens slaves », et le médiéviste Allan A. Tulchin de dire que« les "affrèrés" (frères) promettaient, devant témoins, de vivre ensemble pour partager "un pain, un vin, et une bourse" »[21].

Popularité dans la communauté LGBT

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L'icône des saints Serge et Bacchus peinte par Robert Lentz, moine franciscain homosexuel, en 1994, fut imprimée pour la première fois durant lamarche des fiertés deChicago de la même année, et est devenue un symbole populaire dans la communauté chrétienne LGBT. Avec la sortie du livre de John Boswell, cela fut l'un des facteurs de renouveau de l'intérêt pour le couple de saints[22].

Vénération

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Saint Bacchus.

L’église a canonisé les martyrs Serge et Bacchus, et célèbre leur fête le7 octobre, en pleine saison desvendanges. Ils seront reconnus par l'Église catholique romaine et l'Église orthodoxe.

Rasafa (aussi nommée Rusafa, Resafa ou Rosafa) fut par la suite rebaptiséeSergiopolis (ville de Serge) en l'honneur de Serge, l'église fut embellie et le site renforcé parJustinien le Grand et devint un des plus grands centres de pèlerinage de l'Orient. Devenue le siège d'un évêché après 431, elle conservait ses reliques dans une basilique fortifiée. Beaucoup d'autres églises furent construites en l'honneur de Serge. Les nomades du désert considéraient Serge comme leur saint patron particulier. Serge était un saint très populaire en Syrie et dans l'Arabie chrétienne, le site devint un des plus grands centres de pèlerinage de l'Orient, et ils étaient vénérés comme les protecteurs de l'arméebyzantine[6].

Uneéglise des Saints-Serge-et-Bacchus leur fut consacrée àConstantinople parJustinienIer, probablement en527. Elle fut transformée en mosquée après laconquête de Constantinople par lesOttomans, connue aujourd'hui en Turquie sous le nomKüçük Ayasofya Camii (« petite Sainte-Sophie »). EnSyrie, lemonastère Saint-Serge-et-Saint-Bacchus deMaaloula date duVe siècle, et le portail d'entrée de l'église Saint-Serge deZabad avaient unedédicace trilingue le concernant sur sonlinteau, datée de 511 ou de 512. Dès leIXe siècle une église deRome leur est dédiée : l'église Santi Sergio e Bacco degli Ucraini. Au début desannées 1540, l'église Saint-Serge de Pourrain est construite, avec une représentation du martyre des saints et leur place au Ciel, en son tympan[23].

Christianisation du dieu Bacchus et des bacchanales

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Saint Bacchus et le dieuBacchus furent amalgamés avec le temps, les dieux païens (mineurs et majeurs) devenant des saints chrétiens.Dionysius, latinisation du grec ancienDionysos, était le prénom deDenis de Paris ; ses compagnonsÉleuthère (surnom de Dionysos) etRustique (venant de la fête desRustica) ont peut-être été nommés ainsi en raison de leur liaison avec le dieu du vin. Les choix des, pour Serge et Bacchus, et, pour Denis de Paris, peuvent s'expliquer parce que ces fêtes se placent durant lesvendanges[24].

Unpoète français du nom de Gieffroy (Geoffroi ou Geoffroy), parfois identifié commeGeoffroi de Paris ou Geoffroy des Nés[25], écrivitLe Martyre de saint Baccus en 1313, où il liste les« douteux miracles » qui guérissent les gens, et où Bacchus est lié au travail de la vigne, du vin, et a pour mère Vigne et père Noé, qui peut être une référence à l'ivresse de Noé[26].

Saint Bacchus est le patron de l'Ordre Hospitalier Curieux et Courtois des Chevaliers de Saint Bacchus, uneconfrérie bachique créée en1947[27].

Notes et références

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Notes

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  1. Laschola gentilium.Gentilis désigne les natifs d'une région, ici la Syrie. Enlatin tardif, cela deviendra synonyme de « barbare », et « païen » enlatin ecclésiastique.

Références

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  1. Same-Sex Unions in Pre-Modern Europe (Villard Books, 1994).
  2. Nicolas Bonfons (éd.), « Le martyre de sainct Serge & Bacche, & autres: le 7. Octobre. Ils ont vescu souz l'Empire de Diocletian & Maximian, il y a mil trois cents ans. », dansHistoire de la vie, mort, passion et miracles des saincts, 1607, p. 402-3.
  3. Andrew J. Ekonomou,Byzantine Rome and the Greek Popes, 2007.
  4. a etbJean-Luc Hennig,Espadons, mignons & autres monstres. Vocabulaire de l'homosexualité masculine sous l'Ancien Régime, 2015.
  5. Saints Martyrs Serge et Bacchus, surdioceseserbe.org.
  6. ab etc« Saints Sergius and Bacchus »,Encyclopædia Britannica.
  7. « Serge et Bacchus (+300) », sureglise.catholique.fr.
  8. « Saint Serge », surnominis.cef.fr.
  9. Klemens Löffler, « Sergius and Bacchus »,Catholic Encyclopedia, vol. 13, 1912.
  10. « A Twisted Tale of Two Saints: Sts Sergius and Baccus », suracrod.org.
  11. a etbDavid Woods,The Origin of the Cult of SS. Sergius and Bacchus, 2000. Révision de l'article « The Emperor Julian and the Passion of Sergius and Bacchus »,Journal of Early Christian Studies 5, 1997, p. 335-67.
  12. Jacques-Antoine Dulaure,Histoire de Paris de Daulaure, vol. 1, 1856.
  13. Pio Franchi de' Cavalieri,Scritti agiografici, vol. I (1893-1900).
  14. John Boswell,Les Unions du même sexe : de l'Europe antique au Moyen Âge, 1994.
  15. Jean-Claude Bologne,Histoire du couple, 2016.
  16. Hans P. Obermayer,Martial und der Diskurs über männliche „Homosexualität“ in der Literatur der frühen Kaiserzeit,Tubingue, 1998.
  17. Robin Darling Young, « Gay Marriage: Reimagining Church History »,First Things 47, pp. 43–8.
  18. Mark D. Jordan,Blessing Same-Sex Unions: The Perils of Queer Romance and the Confusions of Christian Marriage, 2005.
  19. Marilyn Sandidge, Albrecht Classen,Friendship in the Middle Ages and Early Modern Age, 2010.
  20. James Smalls,Homosexuality in Art, 2015.
  21. Arnaud Gonzague, « Quand les chrétiens mariaient les homos… », surnouvelobs.com, 9 août 2013.
  22. Dennis O'Neill,Passionate Holiness: Marginalized Christian Devotions for Distinctive Peoples, 2010.
  23. « Église Saint-Serge », noticeno PA00113792, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  24. Jacques-Antoine Dulaure,Histoire physique, civile et morale de Paris, vol. 1, 1839
  25. Gieffroy surarlima.net
  26. Achille Jubinal, « Le Martyre de saint Baccus », dansNouveau recueil de contes, dits, fabliaux, et autres pièces inédites desXIIIe,XIVe et XVe siècles, 183, pp. 250-65.
  27. « Présentation » surstbacchus.free.fr

Annexes

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Bibliographie

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  • Les Unions du même sexe dans l’Europe antique et médiévale, Fayard, 1996.

Articles connexes

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Liens externes

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