Pour les articles homonymes, voirSaint-Jory (homonymie).
Saint-Jory-de-Chalais | |||||
L'église Saint-Georges de Saint-Jory-de-Chalais. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Périgord-Limousin | ||||
Maire Mandat | Bernard Vauriac 2020-2026 | ||||
Code postal | 24800 | ||||
Code commune | 24428 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Georgiens | ||||
Population municipale | 543 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 29′ 56″ nord, 0° 53′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 178 m Max. 304 m | ||||
Superficie | 31,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Thiviers | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Dordogne Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine | |||||
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Saint-Jory-de-Chalais est unecommune française située dans ledépartement de laDordogne, enrégionNouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée auparc naturel régional Périgord-Limousin.
La commune de Saint-Jory-de-Chalais est irriguée du nord au sud par trois cours d'eau : au centre laCôle, et de chaque côté, ses affluents laQueue d'Âne en limite ouest et leTouroulet à l'est.
Le bourg, établi en bordure du Touroulet, est situé, endistances orthodromiques, dix kilomètres au nord deThiviers et onze kilomètres à l'est deSaint-Pardoux-la-Rivière, au croisement des routes départementales 77 et 98.
Au sud-est, la commune est bordée par laroute nationale 21, axe qui relieLimoges aux Pyrénées centrales.
Saint-Jory-de-Chalais est limitrophe de sept autres communes. Au nord-est, son territoire est distant d'environ 500 mètres de celui deLa Coquille.
Saint-Saud-Lacoussière | Mialet | |
![]() | Chalais Saint-Paul-la-Roche | |
Saint-Martin-de-Fressengeas | Saint-Romain-et-Saint-Clément | Thiviers |
Situé sur la plaque nord duBassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange duMassif central, le département de laDordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur enstrates régulières, témoins d'unesédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plangéologique en quatre gradins différenciés selon leurâge géologique. Saint-Jory-de-Chalais est dans le gradin extrême nord-est que constitue le derniercontrefort duMassif central, avec desroches cristallines formées auPaléozoïque, antérieurement auCarbonifère[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire, deroches sédimentaires datant pour certaines duCénozoïque, et pour d'autres duMésozoïque et duPaléozoïque, ainsi que deroches métamorphiques etmagmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose demicaschistes lamelleux à deuxmicas, parfoisgrenats etsilicates d'alumine (groupe de laDronne,Néoprotérozoïque àCambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie desformations superficielles de typecolluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions,molasses,altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) | Quaternaire (0 - 2.58) | Holocène |
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Pléistocène | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) | Oligocène |
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Éocène | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) | Crétacé (66.0 - ≃145.0) | Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) | Permien (251.902 - 298.9) | non présent | ||||||||||||||||||||||||||||||
Carbonifère (298.9 - 358.9) | Pennsylvanien |
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Mississippien |
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Dévonien (358.9 - 419.2) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Silurien (419.2 - 443.8) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Ordovicien (443.8 - 485.4) | non présent | |||||||||||||||||||||||||||||||
Cambrien (485.4 - 538.8) |
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Le département de la Dordogne se présente comme un vasteplateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans leNontronnais, àSaint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m àLamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 178 mètres et 304 mètres[5],[6].
Dans le cadre de laConvention européenne du paysage entrée en vigueur en France le, renforcée par laloi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, unatlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en[7]. Les paysages du département s'organisent en huitunités paysagères[Note 1],[8]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à larégion naturelle duNontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 31,73 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 32,39 km2[3].
La commune est située dans lebassin de la Dordogne au sein duBassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Côle, la Queue d'Âne, le Touroulet, le Mauroussie, le ruisseau de Jalinie, le ruisseau de Pierrefiche et divers petits cours d'eau, qui constituent unréseau hydrographique de 50 km de longueur totale[15],[Carte 1].
LaCôle, d'une longueur totale de 51,53 km, prend sa source dans la commune deFirbeix et se jette dans laDronne en rive gauche, en limite deBrantôme en Périgord et deCondat-sur-Trincou[16]. Elle traverse la commune du nord au sud sur plus de quatorze kilomètres, lui servant de limite naturelle sur trois kilomètres et demi en deux tronçons, face àMialet au nord et àSaint-Romain-et-Saint-Clément au sud.
LaQueue d'Âne, ou ruisseau de la Queue d'Âne, d'une longueur totale de 18,61 km, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle en rive droite àSaint-Jean-de-Côle au pont de Lavaud[17]. Elle borde la commune à l'ouest sur sept kilomètres et demi, face àSaint-Saud-Lacoussière etSaint-Martin-de-Fressengeas.
LeTouroulet, ou ruisseau de la Pouyade dans sa partie amont, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source dans la commune deLa Coquille et se jette dans la Côle en rive gauche en limite de Saint-Jory-de-Chalais et deThiviers, face àSaint-Romain-et-Saint-Clément[18],[19]. Il arrose l'est de la commune sur plus de dix kilomètres, marquant la limite territoriale sur plus de six kilomètres en deux tronçons, face àChalais au nord et Thiviers au sud.
Son affluent de rive droite le ruisseau de Jalinie sert de limite communale au nord-est sur deux kilomètres, également face à Chalais.
Deux affluents de rive gauche du Touroulet baignent la commune : à l'est, le Mauroussie sur deux kilomètres et demi, dont un kilomètre en limite de Chalais, et au sud-est, le ruisseau de Pierrefiche qui borde la commune sur plus d'un kilomètre et demi, face à Thiviers.
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe lesbassins versants de l'Isle et de laDronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[21].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[22]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deLa Coquille à 8 km àvol d'oiseau[25], est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].
Au, Saint-Jory-de-Chalais est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29].Elle est située hors unité urbaine[30] et hors attraction des villes[31],[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,9 %), forêts (37,2 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (1 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le territoire de la commune de Saint-Jory-de-Chalais est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque deradon[34]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Saint-Jory-de-Chalais est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental deprotection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[40]. 35 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[41].
La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[34].
Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Jory-de-Chalais est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[42].
Le nom de la commune, sous une formeoccitane, fait référence àsaint Georges, martyr chrétien auIVe siècle, etChalais correspond au village voisin[43].
Enoccitan, la commune porte le nom deSent Jòri de Chalés[44].
La « Pierre Levée »,dolmen près du lieu-ditJalinie, démontre une présence ancienne sur le territoire communal[43].
La première mention écrite connue du lieu remonte à la fin duXIIe siècle sous la formeSanctus Georgius de Chalesio[43].
Sur lacarte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom deSaint Jory de Chalaix.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de laConvention nationale (1792-1795), le nom deChalais-la-Montagne[5].
La commune de Saint-Jory-de-Chalais a, dès 1790, été rattachée aucanton de Jumilhac qui dépendait dudistrict d'Excideuil. En 1800, lesdistricts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[5].
Fin 1995, Saint-Jory-de-Chalais intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand dont elle est lesiège. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac, et son siège social est fixé àThiviers[45] puis en encommunauté de communes Périgord-Limousin[46].
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinzeconseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1859 | 1868 | Charles Franck Dumontet de Lacroze[49] | ||
avant 1981 | ? | Jacques Duchassaing | DVG | |
mars 1983[50] (réélu en mai 2020) | En cours | Bernard Vauriac | PS[51] | Cadre commercial Conseiller régional Président (depuis 2004) des communautés de communes du Pays de Jumilhac, puis des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac, puis dePérigord-Limousin |
Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Saint-Jory-de-Chalais, sont jumelées avec la municipalité allemande deRomrod depuis 2012,La Coquille l'étant depuis 1990[52].
L'ancienne école de garçons a été transformée en école maternelle publique[53].
En 2024, au niveau de l'enseignement primaire public, Saint-Jory-de-Chalais est organisée enregroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes deChalais,Firbeix etMialet[54].
En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Jory-de-Chalais relève[55] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].
En 2022, la commune comptait 543 habitants[Note 4], en évolution de −6,22 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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1 218 | 1 008 | 1 032 | 1 194 | 1 214 | 1 427 | 1 295 | 1 436 | 1 368 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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1 369 | 1 328 | 1 334 | 1 224 | 1 305 | 1 397 | 1 468 | 1 546 | 1 536 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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1 547 | 1 546 | 1 541 | 1 298 | 1 308 | 1 241 | 1 050 | 1 014 | 1 022 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
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978 | 943 | 827 | 677 | 600 | 596 | 626 | 575 | 579 |
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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562 | 543 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 220 personnes, soit 38,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2010 (23) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8 %.
Au, la commune compte 61 établissements[60], dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[61].
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