Pour les articles homonymes, voirSaint-André etNajac.
Saint-André-de-Najac | |||||
Saint-André vue deLa Baule à Montirat | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Villefranche-de-Rouergue | ||||
Intercommunalité | Ouest Aveyron Communauté | ||||
Maire Mandat | Christophe Dega 2020-2026 | ||||
Code postal | 12270 | ||||
Code commune | 12210 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Andréens | ||||
Population municipale | 455 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 11′ 26″ nord, 2° 02′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 150 m Max. 437 m | ||||
Superficie | 25,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aveyron et Tarn | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Aveyron Géolocalisation sur la carte :région Occitanie | |||||
Liens | |||||
Site web | www.saintandredenajac.fr![]() | ||||
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Saint-André-de-Najac est unecommune française, située dans ledépartement de l'Aveyron enrégionOccitanie.
La commune est limitrophe des départements du département duTarn et deTarn-et-Garonne.
Les communes limitrophes sontBor-et-Bar,La Fouillade,Laguépie,Montirat,Najac,Saint-Christophe etSaint-Martin-Laguépie.
Najac | La Fouillade | |
Laguépie (Tarn-et-Garonne) | ![]() | Bor-et-Bar |
Saint-Martin-Laguépie (Tarn) | Saint-Christophe (Tarn) | Montirat (Tarn) |
La commune est drainée par l'Aveyron, leViaur, laSerène, le riou Sec, le ruisseau de Granouillet, le ruisseau de la Fage, le ruisseau de la Mine, le ruisseau du Mas del Riou et par divers petits cours d'eau[2].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune deSévérac d'Aveyron et se jette dans leTarn àBarry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[3].
LeViaur prend sa source à 1 086 m d’altitude dans la région naturelle duLévézou qui présente un relief vallonné, dans la commune deVézins-de-Lévézou pour confluer, après avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron à146 m d’altitude en limite deLaguépie (Tarn-et-Garonne) etSaint-Martin-Laguépie (Tarn), après avoir arrosé 30 communes[4].
LaSerène, d'une longueur totale de 32,2 km, prend sa source dans la commune deLe Bas Ségala et se jette dans l'Aveyron à Saint-André-de-Najac, après avoir arrosé 8 communes[5].
LeRuisseau de Candour, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune deMirandol-Bourgnounac (81) et se jette dans leViaur à Saint-André-de-Najac, après avoir arrosé 9 communes[6].
Afin d’atteindre lebon état des eaux imposé par laDirective-cadre sur l'eau du, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion desmilieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle dubassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[7].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le, au sein du SDAGEAdour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron,Tarn etTarn-et-Garonne)[8],[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe lesétablissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique duViaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[10],[11].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat de l'Aveyron.
En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[12]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Sud-est du Massif Central »[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,4 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 955 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deMonteils à 10 km àvol d'oiseau[14], est de12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,8 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones spéciales de conservation (ZSC) et deZones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[19] : Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 enHaute-Garonne, 50 dans leTarn et 37 dans leTarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de laLoutre d'Europe et de lamoule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[20].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-André-de-Najac comprend deux ZNIEFF detype 1[Note 1],[21], la « Basse vallée du Viaur » (3 509 ha), couvrant 11 communes dont 5 dans l'Aveyron, 5 dans leTarn et 1 dans leTarn-et-Garonne[22] ;et la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans leTarn et 20 dans leTarn-et-Garonne[23]et deux ZNIEFF detype 2[Note 2],[21] :
Au, Saint-André-de-Najac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,4 %), zones agricoles hétérogènes (35,2 %), prairies (25,4 %)[26].
Laloi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est lePôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neufEPCI, notammentOuest Aveyron Communauté, dont la commune est membre[27].
La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'unplan local d'urbanisme[28].
Le territoire de la commune de Saint-André-de-Najac est vulnérable à différents aléas naturels :inondations, climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), feux de forêts etséisme (sismicité très faible).Il est également exposé à deuxrisques technologiques, letransport de matières dangereuses et larupture d'un barrage, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[29],[30].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[29]. Néanmoins laloi Barnier du confère aux PSS un statut deplan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire de la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[31].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité moyenne[32].
Le risque detransport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves sur le bâti ou les personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas derupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[34].
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].
Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon ledossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-André-de-Najac est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans lecode de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].
La commune de Saint-André-de-Najac est membre de laOuest Aveyron Communauté[I 2], unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est àVillefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, audépartement de l'Aveyron et à larégionOccitanie[I 2]. Sur le plan électoral, elle dépend ducanton d'Aveyron et Tarn pour l'élection desconseillers départementaux, depuis leredécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 2], et de ladeuxième circonscription de l'Aveyron pour lesélections législatives, depuis ledernier découpage électoral de 2010[40].
Leconseil municipal de Saint-André-de-Najac, commune de moins de 1 000 habitants, est élu auscrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité depanachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors desélections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt candidats en lice[43], onze sont élus dès le premier tour, le, correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[44].Christophe Dega est élu nouveau maire de la commune le[45].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[46]. Un siège est attribué à la commune au sein de laOuest Aveyron Communauté[47].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2014 | mai 2020 | André Dalet[48] | Retraité agricole | |
mai 2020 | En cours | Christophe Dega[48],[49] | Agriculteur sur moyenne exploitation | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2022, la commune comptait 455 habitants[Note 3], en évolution de +6,31 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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973 | 1 594 | 1 967 | 1 974 | 2 000 | 1 388 | 1 463 | 1 541 | 1 511 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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1 559 | 1 646 | 1 745 | 1 572 | 1 669 | 1 615 | 1 574 | 1 455 | 1 416 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 340 | 1 277 | 1 194 | 1 018 | 927 | 871 | 869 | 813 | 686 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
625 | 550 | 540 | 509 | 426 | 373 | 408 | 418 | 419 |
2018 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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457 | 455 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (donnéesInsee publiées en), la commune compte 190 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 390 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 18 770 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 11,8 % | 12,6 % | 9,2 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 249 personnes, parmi lesquelles on compte 69,5 % d'actifs (60,2 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 30,5 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 110 en 2013 et 71 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 155, soit unindicateur de concentration d'emploi de 54,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,8 %[I 11].
Sur ces 155 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 71 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 70,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % lestransports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
49 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-André-de-Najac au. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 49 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 24,5 % | (17,7 %) |
Construction | 12 | 24,5 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 12 | 24,5 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2 % | (3,4 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 5 | 10,2 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 4,1 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 5 | 10,2 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,5 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 49 entreprises implantées à Saint-André-de-Najac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 15].
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus dechiffre d'affaires en 2020 sont[54] :
La commune est dans leSegala, unepetite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 11 | 8 | 8 | 26 |
SAU[Note 9] (ha) | 2 754 | 3 047 | 2 828 | 1 380 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 11 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 8 en 2000 puis à 8 en 2010[57] et enfin à 26 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 2 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[58],[Carte 4]. Lasurface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de2 754 ha en 1988 à1 380 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 250 à53 ha[57].
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