Elle est drainée par le Courant de l'Hôpital, la Grande Traitoire, l'Elnon, le canal du Décours, le Courant des Fontaines d'Hertain, le Balle Tilliere, le Courant des Hamaides, la dérivation de la Grenouille[3], la dérivation de l'Anguille[4], la Rivièrette ou Scarpe Aval[5], le Cuyet[6], le Livron[7], le Courant des Muchottes[8], le Courant du Mortier[9], le ruisseau de Hautour[10] et divers autres petits cours d'eau[11],[Carte 1].
Au, Saint-Amand-les-Eaux est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[29],[30].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (41,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (41,1 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,5 %), zones urbanisées (21,9 %),terres arables (13,8 %), prairies (8 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), zones humides intérieures (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), eaux continentales[Note 8] (0,8 %)[31].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Amand-les-Eaux en 2021 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion desrésidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) par rapport au département (1,8 %) et à la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
1,5
1,8
9,7
Logements vacants (en %)
9,5
7,4
8,1
La commune respecte les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de laloi SRU de disposer d'au moins 20 % de son parc de résidences principales constitué delogements sociaux[32].
Lagare de Saint-Amand-les-Eaux est desservie par des trains assurant des relations entre Lille et Valenciennes, Maubeuge, Jeumont, Hirson et Charleville-Mézières.
La commune est desservie par les lignes 12, 107, 108, 121, 133, 134, G et la navette L'Amanditour du réseauTransvilles. Elle est également desservie par les lignes 872 et 874 du réseau interurbainArc-en-Ciel 2.
Monasterium Elnonense Sancti Amandi.Elnonensis urbs, abbatia. Helno, Villa Helnonis.Amandopolis in pabulâ.Divi Amandi oppidum.Saint Amand-en Pévèle.Elnon-libre (sous la1re république)[33].
Selon le site Web de la ville, Saint-Amand, outre le nom d'Elnon[34], datant de l'époquemérovingienne, a également porté le nom de Saint-Amand-en-Pévèle (du latinin pabula, signifiant « dans un pays de pâturages »), sans précision quant à l'époque de cette dénomination ni à sa durée exacte. On trouve l'inscriptionSancti Amandi in Pabula sur le blason de la ville. Durant la période révolutionnaire, à la demande des autorités et par décret du 25 vendémiaire an II - 16 octobre 1793), comme beaucoup de communes de France dont le nom tient alors d'une connotation d'ancienne noblesse ou religieuse, Saint-Amand prend le nom de Elnon-libre.
Malte-Brun, dansla France illustrée (1882) lui donne le nom de Saint-Amand, tout en mentionnant déjà l'existence d'une dénomination alternative Saint-Amand-les-Eaux.
La commune a officiellement pris le nom de Saint-Amand-les-Eaux, par décret du 10 mai 1962, paru auJournal officiel du 15 mai 1962.
La ville est dénomméeSint-Amands-aan-de-Skarpe enflamand[35].
La remise en service de la source thermale en 1697 provoqua la découverte d'un site antique. On observa la présence de nombreuses pièces de bois et de plus de deux cents statues du même matériau, longues de plus de trois mètres. Elles étaient placées sur des lits de planches et certaines représentaient des guerriers casqués armés de lances ou des personnages en robes longues. On y trouvait des monnaies de César, Auguste, Néron, Vespasien et Trajan. Un chemin assurait un accès au lieu, qui semble avoir été un sanctuaire de source orné d'ex-voto en bois, comparable auxbois sculptés des sources de la Seine ou à lasource des Roches à Chamalières. Des statuettes de Pan, Cupidon et Mercure ainsi qu'un autel en bronze orné de Romulus et Rémus et diverses monnaies antiques furent découverts en 1743.
En 448, un corps de soldats romains où se trouvait le futur empereurMajorien défit des Francs réunis à un mariage, dans ce qui fut appelé labataille duVicus Helena. L'événement fut rapporté parSidoine Apollinaire[38]. Certains historiens le situent à Elnon, sur la base de l'analyse des déplacements des Francs sur l'axe Tournai/Cambrai et d'une confusion entreHelena etElnona (Elnon) de la part de Sidoine Apollinaire.
AuVIIe siècle, Saint-Amand n'est qu'un village connu sous le nom d'Elnon.Dagobert, ce roimérovingien grand ami du clergé, en fit don àsaint Amand. Celui-ci, pour conquérir à la foi chrétienne les peuplades encore éparses[Note 9] dans les vastes forêts de laFlandre, y fonda unmonastère ; il en fut le premierabbé et lui donna son nom. Ainsi fut formée, du village et du monastère, la petite ville de Saint-Amand. L'abbaye ne tarda pas à devenir importante, et, sous la dynastie carolingienne[Note 10], son école monastique jouissait d'une grande réputation et était fréquentée par un grand nombre de jeunes gens qui venaient de bien loin y apprendre la lecture, la grammaire et l'écriture.
Sa célébrité lui avait valu de grandes richesses ; mais, en 880, lesNormands envahisseurs, sous la conduite de leur roi Bigier et d'un autre chef fameux nommé Hasting, se répandirent le long des rives de laScarpe et de l'Escaut. À leur approche, on transporta dans l'église de Sainte-Marie deDouai, pour le soustraire à la profanation, le corps desaint Amand. Ce corps de l'un des premiers et des plus célèbresapôtres de la Belgique était l'objet d'une profonde vénération ; les peuples attachaient un grand prix à le conserver, surtout depuis que l'abbé Lanthaire en avait fait la levée en l'année840, c'est-à-dire cent cinquante ans après l'inhumation du saint, et qu'on l'avait trouvé entièrement conservé, ce que la piété des fidèles attribuait à unmiracle. Les Normands pillèrent et incendièrent l'abbaye ; le roiLouis III accourut, mais trop tard, à la défense du pays, poursuivit les pillards, les atteignit près deSaucourt-en-Vimeu et les battit.
L'abbaye baroque de Saint-Amand.
Le monastère de Saint-Amand sort bientôt de ses ruines ; la munificence des rois et desbarons, le défrichement qu'opèrent les religieux et lesserfs lui rendent bientôt les richesses perdues, et sa prospérité devient si grande, que les abbés reconnaissants sont des premiers à accorder aux habitants du bourg de Saint-Amand des lois et des franchises communales.
En 1340, au commencement de laguerre de Cent Ans, le comteJean de Hainaut[Note 11], allié desAnglais, met le feu à l'abbaye et à la ville, après en avoir massacré tous les habitants alliés du roi de France, pour se venger desbourgeois et de la garnison qui avaient dévasté sa ville d'Hasnon.
Devenue française,AntoineIer de Ligne s'en empare en 1521, au nom de l'heureux rival deFrançoisIer, l'empereurCharles-Quint ; les Français s'en rendent maîtres de nouveau sousLouis XIII ; enfin, en 1667, elle est définitivement cédée à la France par le traité d'Utrecht[Note 12].
L'abbaye, reconstruite au milieu duXVIIe siècle, subsiste jusqu'à laRévolution ; l'église avait été en partie rebâtie en 1634 ; le voyageur en admire encore aujourd'hui la tour élancée, qui sert d'horloge publique, debeffroi et de musée. Elle est construite en grès et en pierre blanche, sculptée de la base au faîte ; sa hauteur est d'environ 100 mètres, et l'on arrive au sommet par un étroit escalier de 450 marches.
Lafaïencerie de Saint-Amand avait été fondée aux alentours de 1740 par letournaisienPierre Joseph Fauquez. La marque de fabrique des faïences de Saint-Amand est symbolisée par un entrelacement complexe des initiales du nom du fondateur et de celui de la ville (P. F. et S. A.).
En 1793,Dumouriez, après avoir évacué le territoire belge, établit son quartier général à Saint-Amand ; il y fait arrêter les commissaires que laConvention lui avait envoyés. C'est aussi de Saint-Amand que le vainqueur deValmy abandonne finalement le camp révolutionnaire.
Pour les transports, en 1802-1803, la ville est située sur le trajet des diligences, aller et retour, reliant Lille à Valenciennes[39].
En 1808, on trouve à Saint-Amand un dépôt de sûreté, où on enferme les petits délinquants avant leur transfert en maison d'arrêt[40].
Forges et laminoirs - aciérie - Saint-Amand-les-Eaux.
Malte-Brun mentionne en 1882, dans l'article dela France illustrée consacré à Saint-Amand, uneaciérie, des sucreries, une fabrique de clous, une fabrique de bonneterie delaine et decoton, une fabrique de chaînes-câbles, une manufacture deporcelaine, destanneries, desdistilleries, desmoulins, dessavonneries et des fabriques d'huile. Il mentionne également un commerce dechanvre, de bois de construction et decharbon et cite, sur le territoire de la commune, une forêt domaniale de « 3 400 hectares », soit plus que la superficie actuelle de la commune. Peut-être cette superficie incluait-elle des sections forestières implantées sur les territoires d'une ou plusieurs autres communes ?
Le jeudi, Saint-Amand-les-Eaux, et son maireGeorges Donnez, qui gagne en la circonstance le surnom deJojo, etArmentières administrée parGérard Haesebroeck connaissent un moment de popularité nationale lors de la première du jeu téléviséIntervilles qui oppose les deux villes. Les deux maires participent aux épreuves en réalisant une épreuve de tirs au but. Saint-Amand l'emporte brillamment et ira jusqu'en finale où elle perd contreDax[41]
Durant la Première Guerre mondiale, le 24 août 1914, l'arrivée des Allemands entraîne le départ d'habitants réfugiés notamment dans les Alpes-Maritimes[42].
On note en 1935 une usine de fabrication de moteursAubier&Dunne 540 cmc, deux temps, deux cylindres, refroidissement par air dont un type spécial pour les avionsPou-du-ciel[réf. nécessaire].
Au premier tour desélections municipales de 2014 dans le Nord, la liste PCF menée par le maire sortant,Alain Bocquet obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec5 469 voix (75,77 %, 30 conseillers municipaux élus dont 7 communautes), devançant très largement les listes menées respectivement par[43] : - Éric Castelain (UMP-UDI,1 349 voix, 18,69 %, 3 conseillers municipaux élus) ; - Marielle Cuvelier (EELV, 399 voix, 5,52 %, pas d'élus. Lors de ce scrutin, 42,67 % des électeurs se sont abstenus.
Au premier tour desélections municipales de 2020 dans le Nord, la liste PCF menée par le maire sortant,Alain Bocquet[44] obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec2 485 voix (50,96 %, 25 conseillers municipaux élus dont 8 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[45] : - Éric Renaud[46] (DVG,1 404 voix, 28,79 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ; -Guillaume Florquin[47] (RN,571 voix, 11,71 %, 2 conseillers municipaux élus) ; - Éric Castelain[48] (DVD,416 voix, 8,53 %, 1 conseiller municipal élu). Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 60,58 % des électeurs se sont abstenus.
La liste conduite parJordan Bardella (RN) arrive première (38,51% contre 33,05% en 2019)[64],[65], celle deLéon Deffontaines (PCF) arrive deuxième (16,84% contre 10,39% en 2019)[66],[67], la liste deValérie Hayer n'étant que 3ème avec 16,67% (contre 16,75% en 2019)[66],[67]. La participation est en légère baisse, à 46,88% contre 47,59%[66],[67], toujours inférieure à la moyenne nationale (52,50%).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[68],[Note 15].
En 2022, la commune comptait 16 042 habitants[Note 16], en évolution de −0,65 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 34 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 23,2 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 7 605 hommes pour 8 375 femmes, soit un taux de 52,41 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[70]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
2,2
5,7
75-89 ans
10,0
17,4
60-74 ans
18,1
19,9
45-59 ans
21,0
19,1
30-44 ans
17,6
17,5
15-29 ans
14,8
19,7
0-14 ans
16,3
Pyramide des âges du département duNord en 2021 en pourcentage[71]
En 2008, les clubs debasket-ball féminin de Saint-Amand-les-Eaux (Union Saint-Amand Porte du Hainaut) etValenciennes (USVO) fusionnent pour former le Hainaut Basket. Après le désistement de Valenciennes, le nom de la ville thermale est inclus dans le nom du club. Il évolue pour la saison 2013 – 2014 enLFB après avoir été relégué puis repêché, à la suite des problèmes financiers d'Aix-en-Provence etPerpignan. RebaptiséSaint-Amand Hainaut Basket, le club termine en neuvième position.
En 2013, le club de tennis masculin est champion des Interclubs DN1A (deuxième division nationale), et a joué les Interclubs 2014 au plus haut niveau.
Handball : LeHBCSA-PH représente la ville dans les différentes compétitions auxquelles il participe. L'équipe féminine accède enDivision 2 en 2015 puis enLFH, le plus haut niveau du handball féminin français, en 2018. C'est la meilleure équipe de handball féminin de la région desHauts-de-France.[source insuffisante]
Cette section doit êtreactualisée. Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.
Cité touristique etthermale — ce qui lui a valu la deuxième partie de son nom — la ville est également connue pour la qualité de ses eaux minérales. On y compte quatresources : la Fontaine-Bouillon, le Pavillon-Ruiné, la Petite-Fontaine et la Fontaine de l'Évêque-d'Arras.
Spécialisés dans le traitement de la rhumatologie et des voies respiratoires, les thermes de Saint-Amand-les-Eaux disposent de bassins d'eaux sulfureuses, sulfateuses, calciques et magnésiennes ainsi que de cabines d'application de boue sulfureuse et d'hydrothérapie. Ils sont ouverts de mars à novembre et accueillent 2 500 m2 de services[74].
En1689,Jean Racine fit un éloge des eaux thermales de Saint-Amand en ces termes : « J'espère que nous pourrons nous trouver lui et moi à Saint-Amand le printemps prochain; car on a en tête que ces eaux-là me sont très bonnes aussi bien qu'à lui. M. de Cavoie s'en est trouvé à merveille et on me demande qu'il ne s'est jamais porté si bien qu'il fait et qu'il a repris, non seulement sa santé, mais même toute sa gaieté »[75].
Il a été question d'exploitation géothermique de la nappe, ce qui pourrait éventuellement interférer avec les autres usages de cette eau qui peut d'ailleurs être légèrement radioactive à certaines profondeurs[76].
Jean Preuss (1904-1986), coureur cycliste mort à Saint-Amand-les-Eaux.
Robert Lannoy (1915-1979), né à Saint-Amand-les-Eaux, compositeur, directeur du conservatoire de Lille (1946-1979), carillonneur.
Georges Donnez (1922-2001), avocat, maire (1953-1995), conseiller général (1958-2001), député (1973-1978), parlementaire européen (1979-1989) socialiste, puis PSD (réformateur, centriste puis UDF), homme politique connu du grand public par sa participation à l'émission de télévisionIntervilles.
Pierre Lorthioir (1937-2010), artiste-peintre, né à Saint-Amand-les-Eaux.
Jacques Guiot (1945-), coureur cycliste, né à Saint-Amand-les-Eaux.
Hervé Leroy,Saint-Amand-les-Eaux, l'élan des rêves. Photographes : Jean-Pierre Duplan, Delphine Lermite, Eric Le Brun. Préface : Patrick Besson. Éditions Light Motiv (59110 La Madeleine), coll. « Passages en ville », 2012. 136 p.
↑Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 142 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/11/2004 au 01/06/2024.
↑a etbLes moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 375 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/11/1982 au 01/06/2024.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Amand-les-Eaux comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Malte-Brun fait une grossière confusion : le retour de la ville à la couronne française a été fait par letraité d'Aix-la-Chapelle (en 1668).
↑a etbLe lycée de la ville porte le nom de ce maire.
↑Une résidence de la ville porte le nom de ce maire.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑« Saint-Amand-les-Eaux »,Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministères aménagement du territoire Transition écologique,(consulté le).
↑Page 429 - Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie - 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive duHarvard College Library - numérisé parGoogle Books.
↑Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard,Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord,(ISBN2-87754-048-0 et978-2-87754-048-3), 526 - Saint-Amand-les-Eaux,p. 381-382.
↑Roland Delmaire, Germaine Leman-Delerive, Claude Seillier, Patrick Thollard, Carte archéologique de la Gaule, 59. Nord,(ISBN2-87754-048-0 et978-2-87754-048-3),p. 74.
↑a etbYves Le Maner, Gilles Morin, Justinien Raymond, « COUTEAUX Ernest, Clément, Désiré »,Le Maitron en ligne, 25/10/2008 mis à jour le 24/11/2008(consulté le)« Né le 20 novembre 1881 à Fourmies (Nord), mort le 29 novembre 1947 à Saint-Amand-les-Eaux (Nord) ; géomètre au cadastre ; élu socialiste du Nord ; maire de Saint-Amand-les-Eaux (1919-1943, 1947) ; conseiller général de Saint-Amand-Rive-Gauche (1913-1947) ; député (1919-1928, 1932-1936) ; conseiller de la République (1946-1947) ».
↑« Lemaitre Alfred »,Résistant(e)s > Lié(e)s à un groupe, CEDREL - Centre de documentation sur la résistance en Eure-et-Loir(consulté le).
↑« Nos maires à travers l’histoire: Georges Donnez, dit «Jojo», à Saint-Amand-les-Eaux »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le)« Peu de maires de notre arrondissement ont connu une notoriété nationale. Georges Donnez, appelé familièrement Jojo est l’un d’eux: grâce notamment à ce nouveau média, la télé, qui commençait à équiper, dans les années 1960, les foyers français. Mais la personnalité et l’histoire de Jojo ne se résument pas et ne se réduisent pas à sa participation à l’émission de jeux Intervilles. Portrait à l’occasion de notre série sur les maires à travers l’histoire ».
↑Cécile Thiebaut, « "Une décision mûrement réfléchie" : Alain Bocquet, le maire de Saint-Amand-les-Eaux, démissionne »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Nathalie Waroux, « Fabien Roussel succède à Alain Bocquet à la mairie de Saint-Amand-les-Eaux : "c'est un bonheur d’assurer cette fonction" »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑AFP, « Nord : Fabien Roussel (PCF) succède au maire de Saint-Amand-les-Eaux »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« L’ex-député du Nord, Fabien Roussel, qui a perdu sa circonscription lors des dernières élections législatives, a été élu avec 25 voix sur 27 maire de Saint-Amand-les-Eaux (Nord) ».