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Saône

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Pour les articles homonymes, voirSaône (homonymie).

la Saône
Illustration
La Saône àGray.
Carte.
Localisation du cours de la Saône dans le bassin du Rhône.
Caractéristiques
Longueur473,3 km[1]
Bassin29 950 km2
Bassin collecteurRhône
Débit moyen473 m3/s (Couzon-au-Mont-d'Or
(amont immédiat deLyon)[2])
Régimepluvialocéanique
Cours
Sourceau pied de la falaise desmonts Faucilles
· LocalisationVioménil
· Altitude405 m
· Coordonnées48° 05′ 33″ N, 6° 10′ 49″ E
ConfluenceRhône
· LocalisationLyon etLa Mulatière
· Altitude158 m
· Coordonnées45° 43′ 35″ N, 4° 49′ 05″ E
Géographie
Principaux affluents
· Rive gaucheDoubs,Lanterne,Ognon
· Rive droiteAzergues,Grosne
Pays traversésDrapeau de la FranceFrance
RégionsGrand Est,Bourgogne-Franche-Comté,Auvergne-Rhône-Alpes
Principales localitésGray,Auxonne,Saint-Jean-de-Losne,Seurre,Chalon-sur-Saône,Tournus,Mâcon,Villefranche-sur-Saône,Lyon

Sources :SANDRE:« U---0000 »,Géoportail,Banque Hydro
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LaSaône [soːn][3] est unerivière de l'Est de laFrance, principalaffluent de la rive droite duRhône.

Avec une longueur de près de 480 kilomètres[1], c'est le neuvièmecours d'eau le plus long de France.

Hydronymie

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Base honorifique d'époque romaine dédiée à Quintus Julius Severinus,Séquane, patron de la corporation des bateliers du Rhône et de la Saône, ici mentionnée sous sa forme romaineArar.Lugdunum àLyon.CIL XIII 1695.

La Saône doit son nom à la nation celte desSéquanes et à la déesse tutélaireSouconna ou Sauc-Onna[réf. nécessaire]. De ses trois noms,Brigoulus,Souconna etArar, finalement,Souconna lui est resté, que les moinescopistes ont progressivement renommésaoconna, d'où elle tire son nom de Saône.

Son ancien nom avant le monde romain étaitArar[4]. Il est le doublement de la racine indo-européennear = eau, car, s'écoulant lentement, il est difficile parfois de deviner son sens (selon César, dansLa Guerre des Gaules). Son nom actuel vient d'une source sacrée,Sauc-Onna, située à Chalon, dont le nom fut donné à l'ensemble de la rivière par les légionnaires romains[note 1].

Géographie

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La Saône prend sa source àVioménil au pied du Ménamont, au sud desmonts Faucilles (département desVosges), à 405 m d'altitude. Elleconflue avec leRhône àLyon, à l'altitude de 163 mètres après avoir traversé leval de Saône.

C'est une rivière de 473,3 km de longueur[5], dont leDoubs est le principal affluent.

La Saône est divisée en trois sections[6] :

- la Haute Saône de Corre à Gray : 197 km ;

- laPetite Saône de Gray à Verdun-Ciel : 116 km ;

- la Grande Saône[7] de Verdun-Ciel après la confluence avec son affluent le plus important le Doubs à Lyon : 167 km.

Avant la confluence avec le Doubs, située à Verdun-Ciel en Saône-et-Loire, la Saône est appeléePetite Saône, ce qui montre bien la forte contribution de larivière franc-comtoise, dont le débit moyen est légèrement plus fort (175 contre 160 m3/s) : certains en concluront que la Saône se jette dans leDoubs et non l'inverse. Par sa taille debassin versant, la Saône domine avec 11 500 km2 contre 7 500 km2 pour le Doubs. La Saône est d'ailleurs la première rivière de France par la taille de son bassin versant avec 30 000 km2 à Lyon (soit 1/18 du territoire métropolitain), et la longueur totale de la source du Doubs à la confluence Saône-Rhône est de 620 kilomètres dont 587 en France (ce qui fait de l'ensemble Doubs + Grande Saône la plus longue rivière française devant la Marne).

Histoire

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Découpage dubassin Rhône-Méditerranée-Corse en régions hydrographiques, dont celle de la Saône.
Monument àTrévoux dans l'Ain, hommage au1er régiment de fusiliers marins libérant la ville le. Il fait le parallèle avec une des premières batailles de laguerre des Gaules, opposant les Tigurins aux troupes de César. Le texte, extrait desCommentaires sur la guerre des Gaules, décrit la Saône (alors baptisée« Arar »), comme une rivière au régime calme.

Depuis 3 000 ans, des bateaux naviguent sur la Saône[8]. Une pirogue datant de l'âge du bronze a été découverte àSaint-Marcel, une autre de l'âge du fer a été découverte àThorey.

La Saône a joué le rôle de frontière naturelle par le passé. Notamment, son franchissement par lesHelvètes en -58 marque l'un des éléments déclencheurs de laguerre des Gaules. ÀChalon-sur-Saône, deux épaves de l'époque romaine ont été découvertes[9].

Sur la Saône, la navigation s'effectuait essentiellement à la descente. Dirigés à l'aide de grandsrame-gouvernails, les bateaux chargés profitaient d'une pointe d'eau pour se laisser glisser sur la rivière. La remonte, ordinairement à vide, s'effectuait en convois halés par deux ou quatre chevaux[10].

Vers 1826 apparurent sur la Grande-Saône les premiers bateaux à vapeur destinés au transport des voyageurs[11],[12].

Le transport de passagers sur la Grande-Saône connut un âge d'or au début des années 1850. En fut mis en service le chemin de fer entreParis etChalon-sur-Saône, avec correspondance à Chalon avec les bateaux à vapeur transportant les voyageurs jusqu'àLyon (la portion de ligne Chalon-Lyon, quant à elle, ne devant être ouverte à la circulation que trois ans plus tard, en 1854)[13].

Départements et principales villes traversés

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Pont sur la Saône à Mâcon
Camille Corot, 1834
National Gallery of Art,Washington D.C.
Panorama de la Saône, vue duquai Saint-Vincent àLyon.

Principaux affluents

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Pont de la Saône àTournus.

Hydrologie

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La Petite Saône

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La source àVioménil.

La Petite Saône a un régime pluvial (parfois influencé par la neige) avec une très forte influence océanique. Les sols, peu propices à l'infiltration, sont vite saturés et favorisent le ruissellement. Très vite le débit gonfle, et dès après avoir reçu les eaux de laLanterne, la Saône est devenue une puissante rivière.

Lemodule de la Saône est observé depuis 44 ans (1964-2007) à la station hydrologique deRay-sur-Saône, localité située une trentaine de kilomètres après le confluent de la Lanterne, entrePort-sur-Saône etGray.Il est de 59,7 m3/s pour une surface de bassin de 3 740 km2 (bassin supérieur de la Petite Saône), avec un maximum annuel de 64,5 m3/s et un minimum de 54,8 m3/s.

La rivière y présente des fluctuations saisonnières de débit, avec des crues hivernales de 84 à 108 m3/s de décembre à mars inclus, et des maigres d'été, en juillet-août-septembre, avec une chute du débit moyen mensuel jusqu'à 16,9 m3/s au mois d'août[15].

Lame d'eau et débit spécifique

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Lalame d'eau écoulée dans le bassin supérieur de la petite Saône est de 505 millimètres annuellement (contre 687 pour la seule Lanterne), ce qui est élevé et résulte d'une pluviosité très abondante sur la partie vosgienne de son bassin. Ledébit spécifique (Qsp) se monte à16,0 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin.

Crues

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Le débit instantané maximal enregistré a été de 930 m3/s le.

La Grande Saône

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La Saône àNeuville-sur-Saône.

La Grande Saône est formée par l'union duDoubs et de la Saône àVerdun-Ciel. Le Doubs y apporte un débit moyen interannuel de 175 m3/s et la Saône 160 m3/s.

La Grande Saône ne reçoit plus que de modestes affluents qui modifient peu le régime hydrologique et notamment les crues. La Grande Saône s'écoule dans une vaste et large plaine (jusqu'à 3 km de large) jusqu'à l'entrée de Lyon, dans la cuvette de l'ancienlac bressan. La pente est très faible et sans les aménagements hydrauliques visant à garantir jusqu'au nord de Chalon un chenal de navigation profond, les débordements seraient plus fréquents.

À la station hydrologique deCouzon-au-Mont-d'Or à l'entrée de l'agglomération lyonnaise, les observations effectuées de 1969 à 1986 ont montré un débit moyen interannuel de 473 m3/s, avec un débit de crue centennale de 3 180 m3/s[16]. Lalame d'eau écoulée pour la totalité du bassin versant de la rivière est de 501 millimètres et ledébit spécifique ou Qsp monte à15,8 litres par seconde et par kilomètre carré du bassin.

Débit moyen

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Débit moyen mensuel (en m3/s)
Station hydrologique : U4710010 la Saône auCouzon-au-Mont-d'Or[2]
Source : [Banque Hydro] -MEDDE

Au total, le débit moyen à Lyon est de 475 m3/s avec un minimum en août de 153 m3/s et un maximum en février de 954 m3/s[2].

Navigation

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Letunnel-canal de Saint-Albin àScey-sur-Saône-et-Saint-Albin.

La Saône est classée navigable depuisCorre au nord de laHaute-Saône, au débouché duCôney, jusqu'à son confluent avec leRhône àLa Mulatière et àLyon, soit sur 365 km. La partie de la Saône classée à grand gabarit[17] va de Saint-Symphorien-sur-Saône (P.K. 219) à la confluence avec le Rhône (P.K. 0). L'arrêté inter-préfectoral fixe, entre autres, la dimension des bateaux,convois et matériels flottants admis à naviguer, ainsi que la vitesse maximale autorisée.

Elle est reliée à laLoire par lecanal du Centre, à l'Yonne par lecanal de Bourgogne, à laMarne par lecanal de la Marne à la Saône renommécanal entre Champagne et Bourgogne, à laMeuse par lecanal de l'Est, branche sud renomméecanal des Vosges, et auRhin par lecanal du Rhône au Rhin. Tous ces canaux sont augabarit Freycinet.

Navigables eux aussi, se raccordent à elle le petitcanal de Pont-de-Vaux (3 km), laSeille, 40 km navigables jusqu'àLouhans, et la partie inférieure duDoubs. Tous trois sont en cul-de-sac.

Tourisme fluvial

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Article détaillé :Tourisme en Saône-et-Loire.
La Saône.

Du fait de son passé decommerce fluvial,Auxonne fait aménager en 2011, leport royal, un port de plaisance de tourisme fluvial de 150 places, pour des bateaux de 6 à 38 m, à un important carrefour de voies navigables : à la conjoncture géographique desPetite Saône (partie navigable de la Saône),Doubs,Seille,canal du Rhône au Rhin,canal entre Champagne et Bourgogne,canal du Centre,canal de Bourgogne deSaint-Jean-de-Losne,canal de l'Est (canal desVosges).

Plus en aval sur la Saône, situé à la jonction des canaux de Bourgogne, du Rhône et du Rhin, leport fluvial de Saint-Jean-de-Losne a été créé au XIXe siècle. Entre 1840 et 1848, la ville aménage un port en creusant une gare d'eau. Animé longtemps par les activités de batellerie, le port reprend vigueur grâce au tourisme fluvial dans les années 1980 et est devenu le premier port de tourisme fluvial français.

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Événements climatiques particuliers

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Crues historiques

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Lescrues n'ont pas les mêmes particularités sur le linéaire. Ainsi, une très forte crue en débit sur l'amont pourra très bien s'atténuer dans la plaine bressane et être assez ordinaire à Mâcon, surtout si elle charrie des volumes d'eau modérés. Au contraire, une crue moyenne sur la Petite Saône peut se transformer en crue importante sur l'aval, pour peu que le Doubs apporte une contribution égale et quasi simultanée. À noter que, contrairement à une idée répandue, les barrages de navigation sur la Saône n'ont aucune fonction de régulation des crues[18], et la plupart des digues agricoles qui bordent la rivière (casiers) sont submergées pour les crues faibles (entre 5 et 6 m àMâcon). De fait, aucun ouvrage ne permet de modifier significativement l'écoulement des grandes crues.

Gel

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Saône gelée à hauteur duquai Tilsitt àLyon en 2012.

La Saône gèle rarement à Lyon. Ceci est dû à l'importance du volume de cette rivière, à son mouvement, et au fait que la température à Lyon reste rarement suffisamment négative[23]. La température moyenne de la rivière en janvier est de2,1 °C alors que celle de l'air est de−1,5 °C sur la même période. À noter que la température moyenne du Rhône à Lyon en janvier est de4,2 °C. Cette différence est due au fait que ce fleuve est alimenté par le lacLéman qui régule plus sa température. Il faut5 degrés en dessous de zéro pendant quelques jours pour que la Saône gèle (il faut−14 °C pour que ce soit le Rhône qui gèle, ce qui est arrivé 22 fois entre les années 822 et 1850). AuXIXe siècle, avant les travaux de drague des hauts-fonds (moindre épaisseur d'eau)[24] et en l'absence de rejets domestiques et industriels, la Saône était réputée non navigable pendant une dizaine de jours par hiver à cause du gel.

Procédures publiques de gestion de la Saône

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La Saône est figurée comme l'un des quatre grands cours d'eau français parLouis Visconti qui a réalisé laFontaine Louvois àParis 2e.

Du au, un contrat de rivière spécifique à la vallée inondable de la Saône a été mis en œuvre par l'Établissement Public Territorial du Bassin (EPTB) Saône et Doubs[25], en partenariat avec l'ensemble des acteurs de l'eau du territoire : Agence de l'Eau Rhône, Méditerranée et Corse, Collectivités régionales et départementales, Chambres d'agriculture, Voies Navigables de France, Fédérations de pêches, associations… Le Contrat de vallée inondable de la Saône, mis en œuvre sur cinq ans, a ainsi permis d'engager d'importantes actions en faveur de l'amélioration de la qualité des eaux, de la préservation et de la réhabilitation de milieux aquatiques et naturels, de la gestion du risque d'inondation et de l'entretien de la rivière et de ses berges. Une nouvelle démarche contractuelle est en cours d'élaboration pour les cinq prochaines années.

Un Programme d'Action de Prévention des Inondations de la Saône[26] a été mis en place depuis 2004. De nombreuses actions de prévention ont été menées depuis (cartographie de tous les types de crue, sensibilisation des populations, salon PREVIRISQ[27], recensement et pose de repères de crues[28], étude des possibilités de protection locales, travaux de protection àSaint-Marcel, télé-alerte, diagnostics de bâtiments…).

Bibliographie

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  • Henri Nicolas,La Saône : de Vioménil à La Mulatière, Bourg-en-Bresse, Éditions de la Taillanderie,, 192 p.(ISBN 2-87629-154-1).
  • Association La Roye Demange,Voies navigables : La Saône, présentation des vestiges de la région d'Ainvelle (Vosges), sites gallo-romains, voies romaines.

Voir aussi

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Notes et références

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Notes

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  1. Jean-Marie Casagne et Mariola Korsak précisent dans leurdictionnaire des villes et villages de Bourgogne que Sauconna, appellation pré-gauloise, est composé de sawk (sacré) et du ligure onna, souvent utilisé dans les noms de cours d'eau ; le nom de sauconna ne s'appliquant qu'au cours inférieur de la rivière, le cours supérieur s'appelant Arar. C'est cel nom qu'utilise Jules César.cf.Dictionnaire des villes et villages de Bourgogne, Viévy, Editions de l'Escargot Savant, 2013,558 p.,p. 29(ISBN 978-2-918299-27-1)
  2. rd pourrive droite, rg pourrive gauche
  3. Il délimite aujourd'hui l'arrondissement de Trévoux aveccelui de Bourg, et délimitait autrefois laBresse et laDombes[14].

Références

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  1. a etbSandre, « Fiche cours d'eau - La Saône (U---0000) »(consulté le).
  2. ab etcBanque Hydro -Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - La Saône à Couzon-au-Mont-d'Or (U4710010) »(consulté le)
  3. Jean-MariePierret,Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Louvain-la-Neuve, Peeters,(lire en ligne),p. 104.
  4. GeorgesDebombourg,Arar, A. Vingtrinier,(lire en ligne)
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Saône (U---0000) »(consulté le).
  6. « Carte d’identité de la Saône », surCap sur le Rhône(consulté le)
  7. Joannès-ErhardValentin-Smith,Monographie de la Saône, L. Boitel,(lire en ligne)

    « P62-3 Mais en prenant pour terme la manière dont on utilise ce cours, l’Administration des Ponts-et Chaussées divise la Saône, entre Port-sur-Saone et Lyon, en Haute, Petite et Grande Saône. »

    .
  8. [Bonnamour 2014] Louis Bonnamour,3 000 ans de navigation sur la Saône : histoire des bateaux traditionnels en bois et de leur construction, Vievy, Éditions de l'Escargot Savant,, 256 p.(ISBN 978-2-918299-38-7),p. 107-148.
  9. Bonnamour 2014 décrit les épaves de l'époque romaine ; un des bateaux mesurait 15,5 m de long et 1,62 m de large et correspond à une piroguemonoxyle.
  10. Louis Bonnamour, « La fin des chevaux de halage sur la Saône »,Images de Saône-et-Loire, n° 134, juin 2003, p. 16- 17.
  11. W. Manès, « De la navigation sur la Saône »,Images de Saône-et-Loire, n° 87, automne 1991, p. 19-24.
  12. Rémi Riche, « Sur la Saône, au temps des bateaux à vapeur et des Parisiens », surChroniques de Bresse,(consulté le)
  13. Paul Bouché-Leclerq, « Coches, diligences, gondoles et paquebots de la Saône » (deux parties),Images de Saône-et-Loire, n° 74, été 1988, p. 19-23 ; et n° 77, printemps 1989, p. 15-19.
  14. Valentin-Smith,Monographie de la Saine, p. 53.
  15. Banque Hydro -Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - La Saône à Ray-sur-Saône (U0610010) »(consulté le)
  16. Le bassin versant de la Saône.
  17. « Arrêté inter-préfectoral de 2014 n°2014260-006 portant règlement particulier de police de la navigation intérieure sur l'itinéraire Rhône-Saône à grand gabarit. », survnf.fr,(consulté le)
  18. [PDF] EPTB Saône et Doubs,Plaquette d'information du PAPI Saône : barrages.
  19. [PDF] EPTB Saône et Doubs,Plaquette d'information du PAPI Saône : 1840.
  20. EPTB Saône et Doubs,Repères de crue.
  21. [PDF] EPTB Saône et Doubs,Plaquette d'information du PAPI Saône : 1955
  22. a etb[PDF] EPTB Saône et Doubs,Plaquette d'information du PAPI Saône : 1981-82-83
  23. Valentin-Smith Joannès-Erhard (1852). Monographie de la Saône, Ed. L. Boitel, p.74.
  24. http://sdvp.ginger-strategis.fr/fiches/synthese/Bassin_Sa%C3%B4ne.pdf
  25. Établissement Public Territorial du Bassin (EPTB) Saône et Doubs.
  26. EPTB Saône et Doubs,Programme d'Action de Prévention des Inondations de la Saône.
  27. [PDF] EPTB Saône et Doubs,PREVIRISQ.
  28. EPTB Saône et Doubs,Recensement et pose de repères de crues.

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Entre 300 et 500 km
Entre 100 et 300 km
Entre 50 et 100 km
Entre 30 et 50 km
Entre 10 et 30 km
Moins de 10 km
Longueur inconnue
v ·m
Rhin
Moselle
Meuse
Extension bassinSeineSaulx
Extension bassinSaône/Rhône
Agences de l’eau :Adour-Garonne,Artois-Picardie,Loire-Bretagne,Rhin-Meuse,Rhône-Méditerranée et Corse,Seine-Normandie
v ·m
Cours d’eau principaux desbassins versants Rhône-Méditerranée et Corse
Saône
Doubs
Haut-Rhône
Rhône moyen
IsèreDrôme
ArdècheGard
Durance
LittoralPACA
Côtiers Ouest
Corse
Agences de l’eau :Adour-Garonne,Artois-Picardie,Loire-Bretagne,Rhin-Meuse,Rhône-Méditerranée et Corse,Seine-Normandie
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