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Queyrac

45° 21′ 47″ nord, 0° 58′ 37″ ouest
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Queyrac
Queyrac
Queyrac vue d'avion
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementGironde
ArrondissementLesparre-Médoc
IntercommunalitéCommunauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
Véronique Chambaud-Berran
2020-2026
Code postal33340
Code commune33348
Démographie
GentiléQueyracais
Population
municipale
1 357 hab.(2022en évolution de −0,88 % par rapport à 2016)
Densité44 hab./km2
Géographie
Coordonnées45° 21′ 47″ nord, 0° 58′ 37″ ouest
AltitudeMin. 3 m
Max. 13 
m
Superficie30,73 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionLesparre-Médoc
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton du Nord-Médoc
LégislativesCinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Queyrac
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Queyrac
Géolocalisation sur la carte :Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Queyrac
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Queyrac
Liens
Site webmairie-queyrac.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Queyrac est unecommune du Sud-Ouest de laFrance située dans ledépartement de laGironde (régionNouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés lesQueyracais et lesQueyracaises.

Géographie

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Localisation

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Borne de nivellement sur le mur de l'église- Altitude 7m.

Située dans le département de laGironde (région deNouvelle-Aquitaine), Queyrac est une commune duMédoc en plein cœur des vignes. La commune s'étend sur 30,7 km2, dont environ 180 hectares de vignes[1], et compte 1379 habitants en 2009. Queyrac est situé à 30 km au sud-est deRoyan, la plus grande ville des environs. Situé à 10 mètres d'altitude, le ruisseau des Douze Pieds est le principal cours d'eau qui traverse la commune.

Entrée de la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontBégadan,Civrac-en-Médoc,Gaillan-en-Médoc,Jau-Dignac-et-Loirac,Vendays-Montalivet etVensac.

Carte
Les limites communales de Queyrac et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deQueyrac
VensacJau-Dignac-et-Loirac
Vendays-MontalivetQueyracBégadan
Gaillan-en-MédocCivrac-en-Médoc

Géologie

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Les sols présentent vers l'Est et le Nord un plateau élevé sablo-graveleux et une plaine basse très fertile composée de marais desséchés ; vers l'Ouest, des terrains sablonneux, noirâtres assez fertiles. Le sous-sol est varié : sable, graves, alios et argile vers le Nord ; calcaire au Sud du côté de Lescapon[1].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Gironde.

Historiquement, la commune est exposée à unclimat océanique aquitain[2]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 898 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deVensac à 6,33 km àvol d'oiseau[5], est de13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 921,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Queyrac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-Médoc, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :forêts (36,8 %), prairies (31 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), cultures permanentes (7,6 %), zones urbanisées (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones humides côtières (1,9 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Queyrac est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts etséisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement decours d'eau, notamment le Petit chenal de Guy. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[16],[14].

Queyrac est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le, les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[17]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Queyrac.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 858 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 858 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2010 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie

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Le nom de la localité remonte à un type toponymique*CARIACU, issu du gaulois*Cariacon, nom de domaine en-acon, suffixe précédé du nom du propriétaireCarios (ouCarius), anthroponyme gaulois[22].

Homonymie avecCayrac, etc[23].

Histoire

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L'origine de la commune semble fort ancienne. Non seulement des documents duXIIIe siècle attestent son existence; mais encore des sarcophages duVIe siècle ont été découverts sur la place du bourg. On rapporte que dans l'ancienne église, aujourd'hui disparue, s'élevait une statue deCharlemagne. AuXVIIe siècle, desFlamands entreprennent l'assèchement du marais de Queyrac. Jusqu'alors, l'atmosphère de ces terres marécageuses était pestilentielle et les habitants souffraient d'une maladie fort répandue dans la région, la « Médoquine » (sans doute une sorte de malaria). Son église de construction récente, finXIXe siècle, est venue remplacer une construction romane datant duXIIe siècle qui fut démolie et dont les pierres ont servi en partie à la reconstruction de celle que nous voyons aujourd'hui, sous la direction de l'architecte Bonnore, commencée en 1896, elle fut inaugurée en. Sa silhouette caractéristique domine les vignobles environnants où mûrissent les cépages nobles du Médoc.

Politique et administration

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La mairie.
Le monument aux morts.
La place de la mairie.


Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
avant 1988?Yves Anglade  
2014En coursVéronique Chambaud-BerranVivre, agir ensemble
SE
Agricultrice - Maire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2022, la commune comptait 1 357 habitants[Note 2], en évolution de −0,88 % par rapport à 2016 (Gironde : +6,91 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
2 0881 6901 9892 1062 0121 9901 9711 9411 906
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 8771 9281 7931 7791 8161 8801 8681 6981 576
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 6241 5531 4081 3331 2341 1621 1581 1061 111
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
1 1091 0991 0301 1271 1291 1641 3231 3181 388
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
1 3631 3601 357------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puisInsee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Église Saint-Hilaire

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L'église paroissiale Saint-Hilaire a été construite de 1896 à 1901 par l'architecte Édouard Bonnore[28]. L'ancienne église de Queyrac, dont le dessin a été présenté à la Société le dernier, est aujourd'hui presque entièrement démolie. La tradition du pays en attribue la fondation à Charlemagne, lorsqu'il allait combattre les Sarrasins. L'abside qui datait duXIIIe siècle, contemporaine du clocher, fut détruite au début du siècle. Elle se rapprochait de celle deBégadan, mais avec des proportions moindres. On l'a remplacée par une abside, romane aussi, mais sans cachet. Le clocher était percé de deux baies pour les cloches et consistait en un mur très épais regardant à l'ouest, au nord duquel s'accrochait une tourelle contenant l'escalier. En bas, entre deux contreforts carrés, se trouvait la porte principale, qui fut modifiée et remplacée en même temps que l'abside. La grande nef était voûtée primitivement; la voûte fut, au commencement du siècle, remplacée par une charpente en bois. Les bas-côtés, qui communiquent avec la grande nef par des arceaux romans, sont plus récents. Les piliers des arceaux n'ont ni chapiteaux, ni moulures, ni sculptures comme en ont ordinairement ceux duXIIe siècle. Ils sont carrés. On ne sait à quelle époque ils furent construits d'autant plus qu'au-dessus d'eux, ou voit trois fenêtres romanes longues et étroites paraissant fort anciennes et qui donnent à l'église une apparence fortifiée. Lorsque la charpente fut faite, ces fenêtres se trouvèrent prises entre la toiture et la voûte en bois des bas-côtés. Devenues alors inutiles, elles furent murées. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[29].

  • Vue latérale côté sud.
    Vue latérale côté sud.
  • La nef.
    La nef.
  • Autel de la Vierge.
    Autel de la Vierge.
  • Clé de voûte portant la date de reconstruction de l'église: 1898;.
    Clé de voûte portant la date de reconstruction de l'église: 1898;.

Chapelle Saint-Roch

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Chapelle Saint-Roch

Datant du début duXIXe siècle et construite en pierre de taille, elle est située à Lescapon[30].

Patrimoine civil

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  • château Bernon, domaine viticole de 16 hectares[31]
  • château Carcanieux, domaine viticole de 38 hectares[1].
  • château Guidon
  • château Layauga-Duboscq, domaine viticole de 13 hectares[32]
  • château du Mouva

Personnalités liées à la commune

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  • Éric Holder, romancier a résidé dans la commune entre 2005 et son décès en 2019[33].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. ab etcÉditions Féret, "Bordeaux et ses vins",XVIIe édition, page 270,(ISBN 2-902416-93-8).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. »[PDF], surhaute-vienne.chambre-agriculture.fr,(consulté le),p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  5. « Orthodromie entre Queyrac et Vensac », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « Vensac David » (commune de Vensac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Vensac David » (commune de Vensac) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  9. « La grille communale de densité », surinsee,fr,(consulté le).
  10. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Queyrac ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lesparre-Médoc », surinsee.fr(consulté le).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  14. ab etc« Les risques près de chez moi - commune de Queyrac », surGéorisques(consulté le).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surGéorisques(consulté le).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », surgironde.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque inondation.
  17. « Le risque feux de forêts. », surgironde.gouv.fr(consulté le).
  18. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », surgironde.gouv.fr(consulté le).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », surgironde.gouv.fr(consulté le), chapitre Feux de forêts.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Queyrac », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  22. Albert Dauzat etCharles Rostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1979.
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing,op. cit.
  24. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  28. « Église Saint-Hilaire », noticeno IA00024669, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  29. « Eglise paroissiale Saint-Hilaire », surpop.culture.gouv.fr(consulté le).
  30. « Chapelle Saint-Roch », noticeno IA00024670, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  31. Éditions Féret, "Bordeaux et ses vins",XIXe édition, page 440,(ISBN 978-2-35156-148-5).
  32. Éditions Féret, "Bordeaux et ses vins",XIXe édition, page 439,(ISBN 978-2-35156-148-5).
  33. « L'écrivain Eric Holder s'est éteint cette semaine chez lui à Queyrac dans le Médoc », surSudOuest.fr(consulté le).

Voir aussi

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Bibliographie

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Jacques Baurein,Variétés Bordeloises,t. 1, Bordeaux,,2e éd. (1re éd. 1786)(lire en ligne),article 1.XIII, pages 116-120.

Articles connexes

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Liens externes

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