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Pulsion

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Pour les articles homonymes, voirPulsion (homonymie).

Lapulsion (dulatinpulsio : action de pousser,pellere, pulsum) est un concept majeur de lapsychanalyse, dont le nom est latraduction de l'allemandTrieb (substantif de genre masculin, issu du verbetreiben d'origine germanique).

La théorie des pulsions évolue chezSigmund Freud tout au long de son œuvre, ponctuée de plusieurs moments et d'ouvrages décisifs, desTrois essais sur la théorie sexuelle de 1905 jusqu'au tournant de 1920, que signifieAu-delà du principe de plaisir et où apparaît la pulsion de mort, en passant par l'instauration du narcissisme (Pour introduire le narcissisme, 1914) et les textesmétapsychologiques de 1915.

La pulsion est surtout un processus dynamique. La théorie freudienne maintient undualisme quasiment constant : à la pulsion sexuelle s'opposent d'autres pulsions. Au cours du premier dualisme, les pulsions d'auto-conservation ou duMoi s'opposent aux pulsions sexuelles. La dernière théorie des pulsions oppose les pulsions de vie (Éros) et les pulsions de mort (Thanatos).

Le concept de pulsion

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Historique

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Freud,Trois essais sur la théorie sexuelle (1905)

SelonÉlisabeth Roudinesco et Michel Plon, le choix de la traduction enfrançais de l'allemandTrieb par « pulsion » (mot dérivé du latinpulsio qui apparaît en 1625 et désigne l'action de pousser) permettait d'éviter la confusion avec « instinct » et « tendance »[1]. Il s'agissait de dégager la spécificité dupsychisme humain pourFreud, par rapport àInstinkt qui qualifiait lecomportement animal[1].

« Pulsion » en français

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D'après leDictionnaire historique de la langue française, le mot « pulsion », qui s'est introduit avec la valeur générale d'« action de pousser »,« n'a pas réussi à s'imposer à côté depoussée »[2]. Son sens s'était précisé enphysique auXVIIIe siècle« pour désigner la propagation du mouvement dans un milieu fluide et élastique » (poussée d'Archimède). Son emploi est attesté chezVoltaire qui le calquait de l'anglaispulse, venu du latinpulsus,« spécialisé en physique parNewton (1673) »[2]. Malgré ses applicationstechniques jusqu'auXIXe siècle (1859, techniques d'aération), cette acception« est sortie d'usage »[2]. Le mot est« repris enpsychanalyse » au début duXXe siècle, où il exprime« une force psychiqueinconsciente consistant en une poussée qui fait tendre l'organisme vers un but »[2]. Il arrive alors dans les traductions de Freud« comme équivalent de l'allemandTrieb », detreiben, qui veut dire « pousser »[2].

Le philosophe Alexandre Abensour souligne d'emblée que le terme de pulsion« a donc ceci de particulier qu'il doit sa vie effective dans la langue française à un choix de traduction »[3].

Sur ce choix de traduction deTrieb par « pulsion », il écrit[3] :

« c'est avant tout comme terme technique du vocabulaire freudien que l'on emploie ce mot, dont s'est emparé le langage courant, ce qui peut s'expliquer par la vulgarisation de la psychanalyse »

— Alexandre Abensour

Der Trieb en allemand

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D'aprèsJean Laplanche etJean-Bertrand Pontalis,« le termeTrieb n'apparaît dans les textes freudiens qu'en1905 », mais« trouve son origine comme notion énergétique dans la distinction queFreud opère très tôt entre deux types d'excitation (Reiz) auxquels l'organisme est soumis et qu'il doit décharger conformément au principe de constance »: les« excitations externes que le sujet peut fuir », à côté desquelles« il existe des sources internes » qui apportent« un afflux d'excitation » du« ressort du fonctionnement de l'appareil psychique »[4]. Les auteurs duVocabulaire de la psychanalyse confirment que ce sont effectivement lesTrois essais sur la théorie de la sexualité (Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie, 1905), qui« introduisent le termeTrieb, ainsi que les distinctions qui ne cesseront dès lors d'être utilisées par Freud entresource,objet,but »[4].

Définition et caractéristiques de la pulsion

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C'est en1915 queSigmund Freud donne la définition de la pulsion comme concept limite entre le psychique et le somatique dans son écritmétapsychologiquePulsions et destins des pulsions[5] :

« Le concept de pulsion nous apparaît comme un concept limite entre le psychique et le somatique, comme lereprésentant psychique des excitations issues de l'intérieur du corps et parvenant au psychisme, comme mesure de l'exigence de travail qui est imposé au psychique en conséquence de sa liaison au corporel[6]. »

Après avoir donné sa définition de la pulsion, Freud énumère et définit dans le même texte de 1915,Pulsions et destins des pulsions, les quatre caractéristiques de la pulsion[7] :

  • la « poussée » constitue« l'essence même de la pulsion », considérée comme« moteur de l'activité psychique »[7] ;
  • le « but », c'est-à-dire la satisfaction, permet la suppression de l'excitation à l'origine de la pulsion. Il y a des pulsions, dit Freud,« inhibées quant au but »[7] ;
  • l'« objet » de la pulsion est le moyen pour la pulsion d'atteindre son but, l'objet n'étant pas lié originellement à la pulsion[7] ;
  • la « source » de la pulsion correspond à un processus somatique localisé dans une partie du corps et qui provoque une excitation, laquelle est représentée par la pulsion[7].

La pulsion sexuelle (Geschlechtstrieb, Sexualtrieb)

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Le termeGeschlechtstrieb[note 1],[8],[note 2],[9] apparaît en 1894, en même temps que « libido », relève Michèle Porte, etFreud publie en 1895 la critique d'une conférence intitulée « Der Geschlechtstrieb »[10]. Il dénonce« la sous-estimation de la pulsion sexuelle » et repère« l'importance de la sexualité dans l'étiologie desnévroses »[10]. En 1905, avec lesTrois Essais sur la théorie sexuelle, paraissent« la découverte de lasexualité infantile et sa synthèse avec la diversité des vies sexuelles adultes »[10].

Freud écrit en1908 dansLa morale sexuelle civilisée et la maladie nerveuse des temps modernes :« La révolution psychanalytique est celle de la “pulsion sexuelle” — ou plus exactement : des pulsions sexuelles, car l'investigation analytique enseigne que la pulsion sexuelle est assemblage de nombreux composants, des pulsions partielles »[10]. Pour Michèle Porte, elle est le paradigme de la pulsion, si centrale enpsychanalyse que toutes les autres notions en dépendent et que contester son importance revient à refuser la psychanalyse, ainsi que Freud le signifia au moment de sa séparation d'avecCarl Gustav Jung en1913[10].Reproduction et sexualité se trouvent dissociées ; Freud précise que la pulsion sexuelle a pour but« des espèces déterminées de gain de plaisir », et ceci dès l'enfance, non seulement dans lesorganes génitaux, mais aussi dans d'autres lieux corporels dits « zones érogènes » : au cours du développement de la pulsion sexuelle, cela va du stade de l'auto-érotisme à celui de l'amour d'objet, et de l'agencement ensuite des zones érogènes« sous le primat des [organes] génitaux mis au service de la reproduction »[10].

Du point de vueéconomique, lalibido est, selon Laplanche et Pontalis, l'énergie unique, dont Freud postule l'existence« dans les vicissitudes de la pulsion sexuelle »[11]. Du point de vue dynamique, la pulsion sexuelle est l'un des pôles duconflit psychique : c'est sur elle que s'exerce l'action durefoulement dans l'inconscient[11].

Évolution de la théorie des pulsions chez Freud

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Freud aurait distingué trois « pas » successifs dans la théorie des pulsions :« l'élargissement du concept de la sexualité »,« l'instauration dunarcissisme » et« l'affirmation du caractère régressif des pulsions »[12]. Michèle Porte cite les ouvrages majeurs permettant de repérer ces trois moments importants de l'évolution de la théorie des pulsions chez Freud : lesTrois essais sur la théorie sexuelle (1905);Pour introduire le narcissisme (1914) et les articlesmétapsychologiques de 1915; enfinAu-delà du principe de plaisir (1920)[12].

On a pu parler d'une première théorie des pulsions et à partir de 1920 d'une seconde théorie des pulsions, tandis qu'au cours même de son évolution, et comme l'observentJean Laplanche etJean-Bertrand Pontalis,« la théorie des pulsions chez Freud reste toujours dualiste »[4].

Première théorie des pulsions

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Le premier dualisme est celui des pulsions sexuelles et des pulsions dumoi ou d'auto-conservation, lesquelles « pulsions d'auto-conservation » correspondent, selon Laplanche et Pontalis, à des grands besoins comme la faim et la nécessité de s'alimenter : la pulsion sexuelle se détache des fonctions d'autoconservation sur lesquelles elle s'étaye d'abord[4].

1905: lesTrois essais

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Articles détaillés :Sexualité infantile (psychanalyse),Trois essais sur la théorie sexuelle etÉtayage (psychanalyse).

Dans le premier pas de Freud que représente son écrit de 1905,Trois essais sur la théorie sexuelle, on assiste, selon Michèle Porte, à une décomposition de la pulsion sexuelle en« pulsions partielles élémentaires » en même temps qu'à une démonstration de l'importance de lasexualité infantile[12].

Laplanche et Pontalis recourent à la notion d'étayage, qu'ils estiment être« une conception maîtresse de la conception freudienne de la sexualité »[13].

Le narcissisme et la métapsychologie de 1915

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Articles détaillés :Pour introduire le narcissisme,Narcissisme etMétapsychologie.

Tandis que, dans les écritsmétapsychologiques de 1915, va se trouver précisée la notion de poussée pour la pulsion et ses représentants psychiques[12], c'est aussi autour de 1914-1915 que Freud passe à des formations psychiques non élémentaires et de grande dimension comme leMoi et lenarcissisme[12]. Avec l'introduction du narcissisme, une difficulté dans la théorie freudienne se présente vis-à-vis dudualisme pulsionnel[12]. L'analyse ducas Schreber (1911) a en effet amené Freud à observer que l'investissementlibidinal du Moi semble« défaire le dualisme pulsionnel » : en prenant pourobjet, au lieu des objets extérieurs, le Moi propre, les pulsions d'auto-conservation se révèlent être des pulsions sexuelles qu'on appelle désormais« libido narcissique »[14]. Plutôt que de parler d'un conflit entre pulsions sexuelles et pulsions du Moi, mieux vaut parler dès lors« d'un conflit entre libido d'objet et libido du Moi »[14].

Sigmund Freud en 1921.

Seconde théorie des pulsions

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D'après Michèle Porte, le troisième pas, par lequel Freud continue d'élargir son domaine jusqu'à un dualisme de vaste dimension, — sans toutefois abandonner les acquis antérieurs d'une dimension moindre — consiste en l'instauration des pulsions de vie et de mort[14].

Pulsions de mort

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Dans la genèse de l'idée d'une pulsion de mort chez Freud,Jacques Sédat note qu'il faut remonter plus haut dans les travaux de Freud, jusqu'aux années 1907-1909, c'est-à-dire au moment du débat avecJung sur la question de lalibido auquel participait aussi la psychanalysteSabina Spielrein, auteur d'un texte paru en 1912 sur « La destruction comme cause du devenir » (Die Destruktion als Ursache des Werdens)[15],[16]. Sédat constate qu'on retrouvera« des traces de ce texte dans les propos de Freud sur la pulsion de mort, quand il écrira les deux derniers chapitres de « Au-delà du principe de plaisir », en juin-juillet 1920 »[16].

Freud 1921,Jenseits des Lustprinzips (Au-delà du principe de plaisir)

Freud évoque donc la pulsion de mort (« Thanatos », terme qui reste toutefois absent du texte freudien lui-même[17]) pour la première fois en 1920 dansAu-delà du principe de plaisir ; selonPierre Delion, il l'évoque« par la négative » en l'opposant à la pulsion de vie (Éros), il écrit :« L'opposition entre pulsions du Moi (de mort) et pulsions sexuelles (de vie) deviendrait alors caduque en même temps que la contrainte de répétition perdrait la signification qui lui a été attribuée »[18]. Il s'agit à ce moment-là de comprendre que la contrainte de répétition va au-delà duprincipe de plaisir, comme c'est le cas dans les rêves post-traumatiques, dans certains jeux compulsifs de l'enfant (Fort-da), voire dans lesrésistances desanalysés autransfert dans lacure[18]. L'hypothèse de la pulsion de mort est déconcertante, car elle présuppose, comme le dit Freud, que« le but de toute vie est la mort, [que] le sans-vie était là antérieurement au vivant » et que« tout ce qui est vivant doit nécessairement mourir pour des causes internes »[18].

Dans l'alliage d'Éros et de Thanatos, la pulsion de mort correspondrait dans toute pulsion à une tendance dominante, la« dé-mixtion » ou« dé-liaison », c'est-à-dire la dissociation[18]. Lorsqu'elle se trouve en partie« défléchie vers l'extérieur », elle se fait pulsion de destruction ; elle apparaît sous forme depulsion d'emprise ou de volonté de puissance : c'est le sadisme proprement dit, tandis que« le masochisme érogène originaire » reste pour sa part« à l'intérieur »[18].

Pulsions de vie

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La « pulsion de vie » (Lebenstrieb) ou « Éros » est, selon Isaac Salem, l'une des deux pulsions fondamentales décrites par Freud dansAu-delà du principe de plaisir en1920, elle s'oppose à la pulsion de mort[19].

D'après leVocabulaire de la psychanalyse, les pulsions de vie, qui correspondent à une grande catégorie de pulsions, tendent à« constituer des unités toujours plus grandes et à les maintenir » : elles englobent les pulsions sexuelles ainsi que les pulsions d'auto-conservation[20]. Parmi les pulsions sexuelles, précise Salem, il faut compter aussi les« motions pulsionnelles inhibées quant au but etsublimées »[19].

En fait, pulsions de vie et de mort ne prennent sens que l'une par rapport à l'autre, pense Salem : l'intrication se fait par l'intermédiaire de l'objet, et pour avoir un bon fonctionnel pulsionnel, il faut que la pulsion de vie soit employée à« lier la pulsion de mort »[19]. Comme le relèventLaplanche etPontalis, Freud indique effectivement dans ses dernières formulations (Abrégé de psychanalyse, 1938) que« le principe sous-jacent aux pulsions de vie est un principe deliaison »[20].

Après Freud

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Melanie Klein et la dernière théorie des pulsions

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Élisabeth Roudinesco et Michel Plon observent chezMelanie Klein un« renversement complet du second dualisme pulsionnel »[21] freudien. Par rapport à larelation d'objet, Klein considère en effet que« les pulsions de mort participent de l'origine de la vie »[21], de même que du côté de l'organisme et dans le registre de l'angoisse, elles aident lesujet à s'installer dans laposition dépressive[21].

Les pulsions chez Lacan

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En 1964,Jacques Lacan considère la pulsion comme« l'un desquatre concepts fondamentaux de la psychanalyse »[21]. Pour lui, la pulsion« est toujours partielle », le terme de « pulsion partielle » étant à entendre dans un sens plus général que chezFreud : selonÉlisabeth Roudinesco et Michel Plon, Lacan adopte en l'occurrence le terme d'objet partiel qui provient deKarl Abraham et deskleiniens, et il introduit dès lors les deux nouveaux objets pulsionnels que sont la voix et le regard en plus des fèces et du sein, en les nommant« objets dudésir »[21].

Jean Laplanche : la pulsion et son objet-source

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En 1984, à la suite d'une étude du concept de pulsion en psychanalyse chezFreud, et aussi chezMelanie Klein dont il critique l'« idéalisme biologique » (fantasme et pulsion sont étroitement liés chez Melanie Klein),Jean Laplanche donne sa propre définition de la pulsion en ces termes :« La pulsion n’est donc ni un être mythique, ni une force biologique, ni un concept-limite. Elle est l’impact sur l’individu et sur le moi de la stimulation constante exercée, de l’intérieur, par lesreprésentations-choses refoulées, qu’on peut désigner comme objets-sources de la pulsion »[22]. Pour Laplanche, explique Udo Hock, ce qui caractérise la pulsion est lié à son origine dans la scène deséduction : elle émerge là comme le résultat d’un processus derefoulement, dans lequel« les messages compromis de l’autre adulte vont être partiellement traduits, et deviennent aussi en partie inconscients à cause de l’échec même de cette traduction »[23].

Notes et références

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Notes

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  1. À propos du« doubletSexual- (d'origine romane),Geschlecht- (d'origine germanique) »,Jean Laplanche explique en 1989, dansTraduire Freud, le choix de traduction desOCF.P pourGeschlechtstrieb par « pulsion sexuée » par rapport à « pulsion sexuelle » pourSexualtrieb, en opérant la distinction suivante du point de vue grammatical : la série ensexual dérivant de l'adjectif« est mieux apte à désigner uncaractère commun, fût-il assez général » ; la série enGeschlecht,« centrée sur une notion classificatoire, marque d'emblée ladifférence » (comme c'est le cas pourGeschlechtsunterschied, la « différence des sexes »). L'équipe des nouvelles traductions considère que Freud utilise ces termes« de façon nettement différenciée ».
  2. DansComprendre Freud (2007), le psychanalysteJacques Sédat propose de traduireGeschlechtstrieb par « pulsion de genre » en indiquant que ce terme désigne à ses yeux« la pulsion sexuelle infantile qui ne reconnaît ni la différence des sexes ni la sexualité adulte mais qui est “de par lenarcissisme primaire, orientée vers le genre humain [Geschlecht] comme quête d’identité, antérieure à la sexuation” ».

Références

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  1. a etbRoudinesco et Plon 2011,p. 1266-1267.
  2. abcd eteAlainRey,Dictionnaire historique de la langue française,t. 3PR-Z, Dictionnaires Le Robert, (réimpr. 2000)(ISBN 2-85036-565-3),p. 3008-3009 (pulsion)
  3. a etbAlexandre Abensour,« Pulsion », dans Barbara Cassin (dir.),Vocabulaire européen des philosophies : dictionnaire des intraduisibles,Éditions du Seuil/Dictionnaires Le Robert,(ISBN 978-2-02-143326-5),p. 1050-1055.
  4. abc etdJean Laplanche et J.-B. Pontalis,Vocabulaire de la psychanalyse (1967), PUF,8e éd.: 1984, entrée: « Pulsion »,p. 359-362.
  5. Roudinesco et Plon 2011,p. 1270-1271.
  6. Sigmund Freud,Pulsions et destins des pulsions, (1915), Paris, Payot, coll. "Petite Bibliothèque Payot", 2010(ISBN 9782228908085) ou Ed.: Presses Universitaires de France, Coll.: Quadrige Grands textes,(ISBN 2130579574)
  7. abcd eteRoudinesco et Plon 2011,p. 1271.
  8. Jean Laplanche,« Terminologie raisonnée », dansAndré Bourguignon, Pierre Cotet,Jean Laplanche, François Robert,Traduire Freud,,p. 139-140 (sexuel).
  9. Jean-Pierre Lehmann, « Jacques Sédat, Comprendre Freud. Paris, Armand Colin, Collection Cursus Psychanalyse, 2007 »,Che vuoi, 2007/2 (N° 28),p. 153-162. DOI : 10.3917/chev.028.0153.[lire en ligne].
  10. abcde etfPorte, pulsion sexuelle 2005,p. 1433-1434.
  11. a etbJean Laplanche et J.-B. Pontalis,Vocabulaire de la psychanalyse (1967), PUF,8e éd.: 1984, entrée: « Pulsion sexuelle »,p. 384-385.
  12. abcde etfPorte 2005,p. 1423.
  13. Jean Laplanche et J.-B. Pontalis,Vocabulaire de la psychanalyse (1967), PUF,8e éd.: 1984, entrée: « Étayage »,p. 148-150.
  14. ab etcPorte 2005,p. 1423-1424.
  15. Sabina Spielrein, « Die Destruktion als Ursache des Werdens », inJahrbuch der Psychoanalyse, IV, 1912.
  16. a etbJacques Sédat, « La pulsion de mort : hypothèse ou croyance ? »,Cliniques méditerranéennes, vol. 77, no. 1, 2008,p. 177-193[lire en ligne]
  17. Alain Delrieu,Sigmund Freud. Index thématique, chronologique, anthologique, Paris, Anthropos,, 1568 p.(ISBN 2-7178-4248-9),p. 1492.
  18. abcd eteDelion 2005,p. 1429.
  19. ab etcIsaac Salem 2005,p. 1431-1432.
  20. a etbJean Laplanche et J.-B. Pontalis,Vocabulaire de la psychanalyse (1967), PUF,8e éd.: 1984, entrée: « Pulsions de vie »,p. 378-380.
  21. abcd eteRoudinesco et Plon 2011,p. 1274.
  22. « La pulsion et son objet-source. Son destin dans le transfert », dansLa pulsion, pour quoi faire?, Paris, APF,,p. 9-28,« La pulsion et son objet-source. Son destin dans le transfert »,Annuel de l'APF, 2014/1 (Annuel 2014),p. 201-216. DOI : 10.3917/apf.141.0201.[lire en ligne] ; et dans Jean Laplanche,La révolution copernicienne inachevée — Travaux 1967-1992, Paris,Aubier, 1992,p. 227-242.
  23. Udo Hock, « Laplanches Trieb », traduit de l’allemand par Josef Ludin et Jean-Claude Rolland,Libres cahiers pour la psychanalyse, 2007/1 (N°15), p. 73-84. DOI : 10.3917/lcpp.015.0073.[lire en ligne]

Voir aussi

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Bibliographie

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Textes de référence

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Études

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  1. « But (— pulsionnel) »,p. 53-55
  2. « Étayage »,p. 148-150
  3. « Pulsion »p. 359-362
  4. « Pulsion d'agression »,p. 363
  5. « Pulsion de destruction »,p. 363-364
  6. « Pulsion d'emprise »,p. 364-367
  7. « Pulsion partielle »,p. 367-368
  8. « Pulsions d'auto-conservation »,p. 368-371
  9. « Pulsions de mort »,p. 371-378
  10. « Pulsions de vie »,p. 378-380
  11. « Pulsions dumoi  »,p. 380-384
  12. « Pulsion sexuelle »,p. 384-385
  13. « Représentant de la pulsion »,p. 410-411
  14. « Source de la pulsion »,p. 449-450
  15. « Union — Désunion (des pulsions) »,p. 507-510

Bibliographie complémentaire

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Bibliographie complémentaire

(Par ordre alphabétique)

 

Articles connexes

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