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Les Ponts-de-Cé

47° 25′ 31″ nord, 0° 31′ 27″ ouest
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Les Ponts-de-Cé
Les Ponts-de-Cé
Le pont de Dumnacus.
Blason de Les Ponts-de-Cé
Héraldique
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionPays de la Loire
DépartementMaine-et-Loire
ArrondissementAngers
IntercommunalitéAngers Loire Métropole
Maire
Mandat
Jean-Paul Pavillon
2020-2026
Code postal49130
Code commune49246
Démographie
GentiléPonts-de-Céais
Population
municipale
12 863 hab.(2022en évolution de +1,22 % par rapport à 2016)
Densité658 hab./km2
Population
agglomération
250 031 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées47° 25′ 31″ nord, 0° 31′ 27″ ouest
AltitudeMin. 15 m
Max. 36 
m
Superficie19,55 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineAngers
(banlieue)
Aire d'attractionAngers
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton des Ponts-de-Cé
(bureau centralisateur)
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
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Les Ponts-de-Cé
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Les Ponts-de-Cé
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Les Ponts-de-Cé
Liens
Site weblespontsdece.fr
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Les Ponts-de-Cé est unecommune française située dans ledépartement deMaine-et-Loire enrégionPays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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Communeangevine, Les Ponts-de-Cé est traversée par laLoire et se trouve dans la première couronne Sud de l'agglomération d'Angers, En France[1].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes desPonts-de-Cé
AngersAngersTrélazé
Sainte-Gemmes-sur-LoirePonts-de-CéLoire-Authion
Saint-Jean-de-la-CroixMûrs-ErignéLes Garennes sur Loire

Les quartiers

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La Guillebotte : quartier récent créé dans les années 1970 entre La Chesnaie et le canal de l’Authion.

La Chesnaie : quartier qui s’est développé dans les années 1960-1970 avec la construction de nombreux logements, construits principalement sur des terres maraîchères.

Saint-Aubin : quartier ancien au cœur des Ponts-de-Cé où se trouve l’église Saint-Aubin, classée monument historique.

Saint-Maurille : quartier situé sur la rive sud de la Loire, entre le Louet et le bras principal de la Loire. L’axe principal ancien de Saint-Maurille est la rue du Commandant-Bourgeois. C’est maintenant la rue Pasteur dans l’axe du pont Dumnacus qui relie le quartier à celui de l’Île.

L’Île : avec Saint-Aubin forme le centre historique des Ponts-de-Cé sur les terrains situés entre le bras principal de la Loire et le bras de Saint-Aubin. On y trouve la mairie et les rues les plus anciennes de la ville ainsi que le château construit vers 850 sousCharles II le chauve.

Sorges : quartier des Ponts-de-Cé situé entre Gauthier et Trématé. Village indépendant des Ponts-de-Cé, il lui est rattaché à la Révolution. Ses habitants étaient alors appelés les Sorgeais, nom qui apparaît vers l’an mille dans les manuscrits de l’abbaye Saint-Aubin d'Angers[2].

Hydrographie

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La commune est située en bords du fleuve laLoire, qui traverse le territoire au centre, et de l'Authion canalisé au nord, et par leLouet au sud. Ces cours d'eau sont enjambés à l'origine par un pont unique. Au fil du développement de la cité médiévale, les arches ont été comblées tout en assurant la particularité de la commune des Ponts-de-Cé. Elle est située à environ 110 km de la mer en suivant la Loire.Limite de la Loire dite« navigable ».

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Pays de la Loire etClimat de Maine-et-Loire.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique et est dans la région climatiqueMoyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 627 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deBeaucouzé à 10 km àvol d'oiseau[5], est de12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Les Ponts-de-Cé est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant douze communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (25,1 %), zones urbanisées (21,3 %), prairies (20,3 %),terres arables (10,7 %), eaux continentales[Note 4] (7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), forêts (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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En 2020, le nombre total delogements dans la commune est de 6 406, alors qu'il est de 5 820 en 2014 et de 5 281 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 93,2 % sont desrésidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements sont pour 58,1 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 41,7 % desappartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements aux Ponts-de-Cé en 2020 en comparaison avec celle du Maine-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (3,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation des résidences principales, 54,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,1 % en 2014), contre 60,4 % pour le Maine-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement aux Ponts-de-Cé en 2020.
TypologieLes Ponts-de-Cé[I 1]Maine-et-Loire[I 4]France entière[I 5]
Résidences principales (en %)93,290,382,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)1,63,29,7
Logements vacants (en %)5,36,68,2

Toponymie

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Cé est attesté sous les formes[Castro] Seio en 889,Saiaco en 967,[Pon] Sigei en 1009,[In] Saiaco en 1036-1056,Saiaco 1060 - 1080,Saiacus en 1090,Seium en 1104,[Pons] Sagei en 1115,[Pons] Sagii en 1148,[Pons] Saeiien 1291,[Le Pont de] Sae (1293),[Les Ponts de] Sée en 1529[15],[Les Ponts de] Cé en 1793,[Pont-de-]Cé en 1801, puis[Les Ponts-de-]Cé[16],[17]. Durant laRévolution, la commune porte le nom dePonts-Libres[16].

Selon une légende locale, la ville, divisée en deux parties par la Loire enjambée par une multitude de ponts, aurait été construite par César. Quelqu'un voulut la baptiser « Les Ponts de César »[18]. D’après une autre légende, une attaque gauloise a permis d'enlever le sculpteur en plein travail, empêchant d’inscrire sur le pont la dernière syllabe du nom de César, expliquant ainsi le suffixe du nom de la ville[19]. Ce genre de légende étymologique est caractéristique de la Renaissance et du classicisme et n'a ni fondement linguistique, ni fondement historique.

En réalité, l'élément représente le nom primitif du village voisin[20], comme l'indiquent les formes les plus anciennes. La formeSeio de 889 s'accorde mal avec celles, plus régulières, duXe au XIe siècle du typeSaiaco, bien qu'on ne puisse pas exclure un amuïssement régulier des consonnes intervocaliques dès cette époque. Il s'agit donc vraisemblablement d'un type toponymique gallo-romain en-(i)acum, suffixe d'origine gauloise marquant la localisation puis la propriété. Ce suffixe a régulièrement donné la finale dans l'ouest de la France, en domaine d'oïl. Le premier élémentSai- peut représenter le nom de personne latin (porté par un indigène)Sabius, d'ailleurs unevilla rustica est mentionnée à cet endroit sous la formeSabiacus dans une charte deCharles le Chauve (823 - 877), devenu plus tard paroisse de Saint-Aubin-des-Ponts-de-Cé[21]. Ce qui peut justifier les formes plus tardives du typeSigei,Sagei (évolution phonétique comparable à celle derabia>rage ourubeus>RUBIU>rouge) par déplacement de l'accent tonique de 'SABIACU enSA'BIACU.

Histoire

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Préhistoire et Antiquité

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Moyen Âge

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En 869, le roiCharles le Chauve construit unpont fortifié aux Ponts-de-Cé, afin de bloquer la remontée de la Loire aux pillardsvikings[22]. Il existe deux exemples de ponts similaires, àPont-de-l'Arche sur la Seine, et àTrilbardou sur la Marne.

AuXVe siècle, le roiLouis XI (1423-1483) demeurait fréquemment aux Ponts-de-Cé[23], quoique ce lieu fût situé en Anjou. En effet, à cette époque, le ducFrançois II de Bretagne, afin de conserver son indépendance, s'était allié aux ennemis du royaume de France, notamment le duc de BourgogneCharles le Téméraire. Pour le roi, le château des Ponts-de-Cé était idéal à contrôler ceux qui y passaient vers et dès laBretagne. Ainsi, il y arrivale 29 août 1472 pour cet objectif, après avoir occupéAncenis le ainsi quePouancé le21 juillet, villes frontières, de sorte queFrançois II renonce son intention d'attaquer le royaume[24].

Ancien Régime

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Le eut lieu labataille des Ponts-de-Cé, connue également sous le nom des « Drôleries des Ponts-de-Cé », entre les partisans du roiLouis XIII et ceux de sa mère,Marie de Médicis, que son fils avait écartée de laRégence trois ans plus tôt, et qui tentait de revenir au pouvoir. Par la défection de certains de ses alliés, les troupes de Marie de Médicis furent bientôt sans commandement avant le combat. L'armée royale n'eut plus qu'à disperser ses fantassins dans une « drôlerie » générale.

Époque contemporaine

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Rame de l'ancien tramway d'Angers devant la mairie, vers 1908.
Rame de l'ancien tramway d'Angers devant la mairie, vers 1908.
Article détaillé :Fusillades des Ponts-de-Cé.

Lors de laguerre de Vendée, les républicains fusillent 1 500 à 1 600 prisonniers entre à la mi-janvier 1794[25].

Les villages

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Une histoire riche accompagne ce quartier. Ses terres ont appartenu successivement à l'abbaye Saint-Aubin, aux vicomtes d'Anjou, puis au frère du roiLouis-CharlesIer duc d'Anjou et à Jean Bourré, célèbre trésorier deLouis XI et bâtisseur duchâteau du Plessis-Bourré.

En 1579, le temple protestant de la ville d'Angers s'installe à Sorges (près de la poste actuelle), celui-ci devant être construit à une lieue (4 km) au moins d'Angers. Aujourd'hui, il n'en reste que la cour dite du « prêche », car ce temple fut détruit lors de larévocation de l'édit de Nantes parLouis XIV en 1685.

En 1661, au début de son règne,Louis XIV, se rendant de Saumur à Angers, s'arrête à Sorges et y dîne dans une ferme-auberge. En effet, la route Saumur-Angers passait par Sorges où il fallait emprunter un bac pour traverser l'Authion.

À la Révolution, en 1790, le village de Sorges devient une commune : son maire est Jacques Houtin. Un an plus tard, Sorges revient à la commune de Trélazé. Son rattachement définitif à la commune des Ponts-de-Cé date de 1796.

Son église est dédiée à saint Maurice depuis 1535 et elle a été agrandie en 1845. Elle est ouverte chaque année le dimanche le plus proche de la Saint-Maurice (22 septembre).

Les inondations, surtout celle de 1856 avec le passage deNapoléon III et celle de 1910, ont inondé le quartier. Des plaques, sur le côté de la porte de l'église et sur la façade d'une maison (celle de Vignoble), indiquent les niveaux d'eau des crues : plus de deux mètres au-dessus du sol. Aujourd'hui, des levées et la station d'exhaure des eaux de l'Authion protègent le quartier.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[26]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Liste des maires avant 1945
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17901791Claude-Jean Humeau  
17921793Julien-Charles Baguenier-Desormeaux  
1793 Jean Moron  
1795 François Foucher Agent municipal
an VIan VIIILouis Moulin Président du Conseil cantonnal
10 messidor an VIII
(4 juin 1801)
27 juillet 1811
(décès)
Pierre-Marie Fruslon  
17 août 181126 octobre 1811René-Jean Geslin Maire par intérim
26 octobre 1811 Pierre L'Huilier de la Chapelle  
7 avril 181512 juin 1815F. Rontard  
12 juin 181525 juillet 1815F. Salomon  
25 juillet 18157 juillet 1816
(démission)
Pierre L'Huilier de la Chapelle  
7 juillet 181610 novembre 1825F. Lemonnier  
14 janvier 182613 août 1830
(démission)
Charles-François Siret  
13 août 183023 octobre 1846Jean-Baptiste Boutton-Leveque  
23 octobre 184610 octobre 1850
(démission)
Casimir-Édouard-Eugène Boutillier de St-André  
15 décembre 1850mai 1870Jean-Baptiste Boutton-LévêqueRépublicain
rallié
Conseiller général des Ponts-de-Cé(1885 → 1905)
8 mai 18701er novembre 1870
(décès)
Casimir Boutillier de St-André  
14 mai 18711881Étienne Thau  
13 mars 18817 mai 1882Olivier Courtois  
mai 1882mai 1892Joseph Boutton  
15 mai 1892novembre 1893
(démission)
Augustin Godard  
14 janvier 189418 novembre 1905
(décès)
Joseph Boutton  
23 décembre 190513 octobre 1911
(démission)
Jean Dolbois  
30 octobre 191119 mai 1935Abel Boutin-DesvignesRGConseiller général des Ponts-de-Cé(1913 → 1937)
19 mai 1935septembre 1942
(démission)
Victor Simon  
28 octobre 1942mai 1945Adolphe Girardeau Banquier
 
19 mai 19455 octobre 1947Georges Barritault Médecin
5 octobre 194715 mars 1961
(décès)
Adolphe GirardeauDVDBanquier
Conseiller général des Ponts-de-Cé(1945 → 1961)
24 avril 196119 mars 1971Maurice Joubert[27]RIPépiniériste
Conseiller général des Ponts-de-Cé(1966 → 1967)
Maire d'Allonnes(1983 → 1986)
19 mars 197118 mars 1977Paul KeryellDVDIngénieur des Ponts et Chaussées
18 mars 1977mars 2001Guy PoirierUDFMédecin généraliste, lieutenant de réserve
Conseiller régional des Pays de la Loire(1979 → 1982)
Conseiller général des Ponts-de-Cé(1973 → 1998)
Vice-président duconseil général(1982 → 1998)
Suppléant du députéHubert Grimault(1988 → 1997)
mars 200123 mars 2008Pierre-André Ferrand[28],[29]UMPMédecin généraliste
23 mars 20089 avril 2018[30]Joël Bigot[31],[32]PSEnseignant retraité
Sénateur de Maine-et-Loire(2017 → 2023)
Vice-président d'Angers Loire Métropole(2014 → 2018)
Démissionnaire à la suite de son élection comme sénateur
26 avril 2018En cours
(au 3 juin 2020)
Jean-Paul Pavillon[33],[34],[35],[36]PSProfesseur des écoles
Conseiller départemental des Ponts-de-Cé(2015 → 2021)
11e vice-président d'Angers Loire Métropole(2020 → )

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Angers du département deMaine-et-Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de ladeuxième circonscription de Maine-et-Loire.

Elle était depuis 1793 lechef-lieu ducanton des Ponts-de-Cé[16]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune désormais lebureau centralisateur, est modifié, passant de 16 à 17 communes.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de lacommunauté de communes du secteur des Ponts-de-Cé. Celle-ci a été supprimée fin 2004, certaines de ses communes ayant rejoint lacommunauté de communes Loire Aubance ou lacommunauté de communes de la Vallée-Loire-Authion. Les Ponts-de-Cé intègrent, eux, lacommunauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole. Celle-ci se transforme encommunauté urbaine le sous le nom d'Angers Loire Métropole.

Contrairement à ce que laisse entendre cette dénomination, l'intercommunalité ne dispose pas du statut deMétropole au sens de laréforme des collectivités territoriales françaises et de l'acte III de la décentralisation.

La communauté urbaine, dont est désormais membre la commune, est organisée autour de la ville d'Angers et fait partie du syndicat mixtepôle métropolitain Loire Angers, anciennement Pays Loire-Angers. Elle est également membre dupôle métropolitain Loire-Bretagne.

Démocratie participative

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La commune s'est dotée d'unconseil municipal d'enfants dont les membres sont élus par les élèves des classes de CM1 et CM2. La dernière élection a eu lieu en[37].

Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 en Maine-et-Loire.

Distinctions et labels

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En 2017, la commune a obtenu le label « ville active et sportive »[38].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 5].

En 2022, la commune comptait 12 863 habitants[Note 6], en évolution de +1,22 % par rapport à 2016 (Maine-et-Loire : +2,12 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
3 6923 1083 5123 7403 6653 8643 8293 9243 839
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
3 8143 7393 5573 3973 4443 4833 6003 5683 530
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
3 5863 5733 2243 3793 5733 7713 9994 4795 293
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
5 9117 1759 58910 73911 03211 38711 44011 78012 708
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
12 72512 863-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puisInsee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 31,1 % la même année, alors qu'il est de 26,1 % au niveau départemental.

En 2020, la commune compte 6 004 hommes pour 6 585 femmes, soit un taux de 52,31 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[I 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
1,9 
7,8 
75-89 ans
12,3 
18,5 
60-74 ans
20,4 
17,7 
45-59 ans
18,6 
17,6 
30-44 ans
16,4 
18,3 
15-29 ans
14,9 
19,1 
0-14 ans
15,4 
Pyramide des âges du département deMaine-et-Loire en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Enseignement

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La commune est située dans l'académie de Nantes.

En 2014, la commune administre uneécole maternelle (Raymond-Renard) et quatreécoles élémentaires (André-Malraux, Jacques-Prévert, Raoul-Corbin, Raymond-Renard) communales et dispose de deux écoles élémentaires privées (Saint-Aubin, Saint-Maurille)[42].

L'école élémentaire Saint-Maurille compte 127 élèves en 2012-2013[43]. Elle a été créée auXIXe siècle, dans un bâtiment qui était à l'origine unetannerie[44]. Le24 mai 1837, Médéric Lechalas, notaire, enregistre un legs fait par François Gazeau au profit du centre communal d’action sociale, d'un ensemble immobilier (ancienne tannerie duXVIIIe siècle) situé au74, rue duCommandant-Bourgeois, aux pauvres les plus nécessiteux de la paroisse de Saint-Maurille[45].Vers 1850, des religieuses créent une école de garçons au 78 et une école de filles au 74 de cette même rue. En 1982, ces deux écoles sont unifiées, deviennent mixtes et s'associent à la commune des Ponts-de-Cé via un contrat d'association.[réf. nécessaire]

Le département gère en 2014 deuxcollèges : le collège public François-Villon comptant 764 élèves en 2012-2013[46] et le collège privé Saint-Laud comptant 275 élèves en 2012-2013[47].

Toujours en 2014, la régionPays de la Loire gère deuxlycées : le lycée polyvalent du campus de Pouillé-Angers[48] et le lycée général et technologique Jean-Bodin comptant 796 élèves en 2012-2013[49].

Outre ces établissements, la commune accueille uninstitut médico-éducatif dispensant une éducation et un enseignement spécialisés pour des enfants et adolescents atteints de déficience à prédominance intellectuelle[50].

Par sa proximité géographique avec Angers, c'est sur le territoire de la commune que sont installés les établissements suivants :

Culture

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La commune comprend en 2015 plusieurs équipements culturels : le centre culturel Vincent-Malandrin, la médiathèque Saint-Exupéry créée en 2008[53], le théâtre des Dames et une école de musique[54].

Sports

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On trouve sur la commune un complexe sportif et des salles de sport : le complexe sportif François-Bernard, qui comprend un stade avec une tribune de 270 places, et les salles de sport annexe d’Athlétis et salle de sport Val-de-Louet[55].

En 2017, L'office municipal des sports regroupe 23 clubs ou sections sportifs réunis au sein de l'association sportive des Ponts-de-Cé (ASPC) ou de l'amicale des anciens élèves de l'école communale (AAEEC)[38].

Le club deKin-ball de la ville accueille la10e coupe du monde de sport Kin-Ball à l'automne 2019[56].

Sont implantés dans la ville la Maison des sports, le comité départemental olympique et sportif et le District de Maine-et-Loire de football[38].

Manifestations culturelles et festivités

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Se déroule dans la commune le festival les Traver’Cé musicales, dont la16e édition a lieu le dimanche[57],[58].

Économie

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Tissu économique

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Sur793 établissements présents sur la commune à fin 2010, 3 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 65 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[59]. Cinq ans plus tard, en 2015, sur les 980 établissements présents, 2 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 11 % de celui de la construction, 67 % du secteur du commerce et des services et 14 % de celui de l'administration et de la santé[60].

Commerces et entreprises

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La ville accueille en 2015 plusieurs zones industrielles et artisanales : des zones communautaires gérées par lacommunauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, la zone du Moulin-Marcille et la zone de Vernusson Pierre-Martine, et des zones communales, les zones d’activités Jean-Boutton, de Saint-Aubin et de la Petite Perrière[61].

Le « village Oxylane », situé sur la zone du Moulin-Marcille, a pour originalité de présenter des structures destinées à la pratique sportive. On y trouve notamment un magasinDécathlon de 6 000 m2, ouvert ennovembre 2009[62],[63]. La zone est accessible depuis l'A87.

À côté de ce complexe destiné aux sports, au début des années 2010 apparait un projet d'un centre commercial, provisoirement baptisé « l'Aréna », comprenant 30 000 m2 de commerces, restaurants et équipements culturels et ludiques, avec ses six salles de cinéma sous enseigne Mégarama[64],[65]. En 2014, le projet porté par le groupe Idec est retoqué par la commission départementale d'aménagement commercial (CDAC)[66].

La commune compte également une surface alimentaire,Intermarché et la société Technitoit[67].

En 2023, l'Autre Usine, plus grand complexe de sport et loisir indoor de France installé àCholet, annonce son projet de s'implanter aux Ponts-de-Cé d'ici 2025[68],[69].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune compte trois monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[70] et 191 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[71]. Par ailleurs, elle compte 15 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[72].

Les trois monuments historiques sont :

Les Ponts-de-Cé et la littérature

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Louis Aragon a écrit le poème C qui débute ainsi :J'ai traversé les Ponts-de-Cé, c'est là où tout a commencé ..., publié dans le recueilLes Yeux d'Elsa en 1942.Francis Poulenc le mit en musique l'année suivante.

Personnalités liées à la commune

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  • Gustave Cordon (1854-1915), docteur en médecine et homme politique, décédé aux Ponts-de-Cé.
  • Jules Quélin (1835-1911), poète et astronome français, né aux Ponts-de-Cé.
  • Eugène Raphaël Fontaine (1884-1933), grand industriel, manufacturier et marchand de bois Alençonnais et conseiller municipal Ponts-de-Céais, décédé aux Ponts-de-Cé.
  • Robert Sciardis (1939-2017), coureur cycliste, y est né.
  • Michel Sy (1930-2024), homme politique, né aux Ponts-de-Cé.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Angers comprend une ville-centre et onze communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 aux Ponts-de-Cé - Section LOG T2 »(consulté le).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 aux Ponts-de-Cé - Section LOG T7 »(consulté le).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Mainet-et-Loire »(consulté le).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière »(consulté le).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune des Ponts-de-Cé (49246) »,(consulté le).

Autres sites

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  2. « Sorges », surVille des Ponts de Cé(consulté le).
  3. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
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  7. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  9. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Angers », surle site de l'Insee(consulté le).
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  19. Maguelonne Toussaint-Samat,Récits des Châteaux de la Loire, Paris, Fernand Nathan,coll. « Contes et légendes de tous les pays »,(BNF 35234753),p. 18.
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  24. Jean Favier,Louis XI, Paris, Fayard,coll. « le Grand livre du mois »,(BNF 37708410).
  25. Jacques Hussenet (dir.),« Détruisez la Vendée ! » Regards croisés sur les victimes et destructions de la guerre de Vendée, La Roche-sur-Yon,Centre vendéen de recherches historiques,, 634 p.,p. 462. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
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  31. « Joël Bigot, maire, et ses adjoints ont été élus »,Ouest France,‎(lire en ligne, consulté le)« Joël Bigot, 65 ans, a été réélu maire par 25 voix, David Colin (« Osons les Ponts-de-Cé ») a remporté 6 voix et Didier Bourdin, (« Démocratie locale ») une voix ».
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  34. « Joël Bigot cède son fauteuil à Jean-Paul Pavillon : Jean-Paul Pavillon remplace Joël Bigot à la tête de la mairie. Si l'écharpe change de main, la gestion de la ville ne devrait pas connaître de grands bouleversements »,Ouest France,‎(lire en ligne, consulté le)« Joël Bigot est devenu maire en 2008 lors d'une bataille électorale épique en faisant basculer la ville à gauche, à la surprise générale. Mais cela fait près de 30 ans qu'il siège au conseil municipal (...) L'élection s'étant déroulée sans surprise, Jean-Paul Pavillon a reçu l'écharpe de premier magistrat de la ville des mains de Joël Bigot. C'est un militant socialiste assumé qui prend les rênes de la gestion ».
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v ·m
Plus de 150 000 habitants
Plus de 10 000 habitants
Plus de 3 500 habitants
Moins de 3 500 habitants
v ·m
Communes du Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes (UNESCO)Patrimoine mondial Patrimoine mondial(2000)
Patrimoine mondial de l'UNESCO
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